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Samedi 16 septembre 6 16 /09 /Sep 04:46
Ma jolie compagne Bénédicte m’a annoncé récemment avoir eu la visite d’un de ses anciens soupirants, resté à ce jour célibataire, et avec lequel elle avait eu, avant de me rencontrer, une courte aventure.


Il la poursuivait de ses assiduités, ce qui expliquait les bouquets que je découvrais de temps en temps chez elle et au sujet desquels je n'avais jamais posé de questions, sachant bien quand même qu'ils n'étaient pas de moi, sauf erreur de composition du fleuriste auquel je m'adressais de temps à autre. Elle m'avait parlé de lui, m’avouant, avec un rien de cynisme, regretter de n’avoir eu avec lui qu’un flirt trop sage tant il était timide et peu sûr de lui à l’époque. Il semblait donc avoir un peu changé avec le temps et devait avoir lui aussi un regret.


Je suis certain que si Philippe avait pu imaginer la véritable petite salope sensuelle, exhibitionniste et libérée qu’elle était devenue avec moi, il aurait sûrement crevé de dépit de n’avoir osé en faire sa maîtresse. Mais aucun homme ne pourrait imaginer, dès le premier abord, que sous ce joli minois sage, et ce malgré la sensualité qu’elle dégage, se cache un véritable volcan. Moi-même j'en suis parfois sidéré ! J’ai proposé à Bénédicte de ne pas l’éconduire lors de sa prochaine visite et, me connaissant bien, elle a tout de suite compris à quel jeu je souhaitais jouer. Je savais le risque que je prenais, mais ce danger m’excitait, et je n’avais jamais testé sa réaction en présence d’un de ses ex.


Elle m’a spontanément avoué que Philippe ne lui était pas indifférent et que je jouais un jeu dangereux. Mais les mots et les situations font partie de notre plaisir et je crois qu’entre nous la complicité à ce niveau est totale. Nous avons un peu déliré sur ce qui pourrait arriver et j’ai bien senti que sous couvert de plaisanterie, elle me mettait en garde et n’était pas vraiment sûre de sa réaction devant une telle situation. Quelques temps plus tard, elle m’a avoué que Philippe l’avait rappelé, toujours hors de ma présence, et qu’elle avait suivi mon désir en se montrant avec lui moins ferme et catégorique dans son refus d’accepter toute invitation de sa part.


Très peu de temps après, elle m’a annoncé, les joues un peu roses et la voix légèrement hésitante, que le garçon se faisait plus pressant et lui avait annoncé sa visite. À cette nouvelle, et devant son air un peu inquiet et interrogateur, mon cœur a bondi et j’ai mis en route le scénario sur lequel je fantasmais. En observant bien sa réaction, je me suis lancé :

-Je voudrais que tu le reçoives gentiment, en tenue plutôt sexy.
-Tu joues avec le feu ! Me dit elle en souriant.
-J’aimerais que tu sois très sexy... Jupe courte, bas, chemisier décolleté, sans slip ni soutien-gorge.
-Non ! Je n’oserai jamais seule avec lui !
-Je veux que tu sois une petite pute très obéissante comme je t’ai appris à l’être et que tu acceptes de te laisser draguer.
-Tu es un vrai salaud mais je t’aime comme ça ! Me dit-elle les yeux légèrement humides.
-Je te donne carte blanche, pourvu que tu me racontes après...
-Tu veux que je couche avec lui ? Tu prends un risque car je ne suis pas sûre de pouvoir lui résister...
-Peut-être n’es-tu pas sûre de vouloir lui résister ! Lui dis-je en souriant.

Elle a rougi un peu et s’est troublée puis a fait semblant de se fâcher...

-Tu es vraiment un fumier ! Tu me jette carrément dans ses bras et tu joues les victimes. Tu me demandes de l’allumer et tu vas te plaindre s’il me saute dessus et si je me laisse faire...
-Je ne me plains pas, puisque je te donne carte blanche. J’ai envie de jouer avec toi mais si tu ne veux pas, tu sais très bien que je ne t’y oblige pas.
-Tu sais très bien que tu as fais de moi une vraie salope et j’aime t’obéir mais je ne peux pas te garantir que je ne coucherai pas avec lui. En tous cas, c’est promis, je te raconterai.


Le jour venu, avant de laisser Béné seule pour recevoir son ami, j’ai vérifié qu’elle ne portait aucun dessous, seulement des bas blancs. Elle était à croquer dans une tenue courte et sexy, le haut des seins dévoilé par un chemisier largement décolleté. Je l’ai allongée sur le canapé et j’ai longuement sucé sa jolie chatte nue, refusant de la prendre alors qu’elle me demandait de la baiser. Je voulais la laisser inassouvie et excitée, au bord de l’orgasme, et la connaissant, je savais que je brisais en elle toute résistance. Le jeu était dangereux mais je voulais le jouer jusqu’au bout.


Du bout de la rue, assis dans ma voiture, je vois Philippe arriver. Le cœur battant, j’entre discrètement par la porte de service de la cuisine dont j'ai les clés, et à ma grande surprise, je la découvre non verrouillée... Sans doute un oubli... À moins que... Je reste en haut de l’escalier, à la porte de cette cuisine, laquelle donne sur le salon et j'écoute. Leurs voix me semblent un peu tendues... J’imagine l’émoi du garçon devant Béné.

Après un échange de banalités, Philippe semble se lancer :

-Tu sais que si je ne me suis pas marié, c’est en partie à cause de toi. Lui dit-il la voix hésitante.
-Ne me dis pas que j’ai gâché ta vie ! Lui répond-elle en riant, mais la voix plutôt chavirée. Tu étais très timide.
-Un autre l’a été moins que moi à l’époque.
-Je préférerais ne pas parler de cet autre. Erreur de jeunesse. Ceci étant, c'est vrai que tu étais beaucoup trop timide...
-Rassures-toi, je n’ai pas vécu en ermite mais sans histoire sérieuse et je suis prêt à attendre que tu me considères autrement que comme un vieux copain en visite...
-Je vis avec Pierre une histoire qui me convient parfaitement, je te l’ai déjà dis, et je ne veux pas que tu t’imagines que je veuille le quitter. Je serais désolée que tu ne le comprennes pas.

Philippe hésite, puis reprend, la voix un peu cassée :

-Il est au courant de ma visite ?
-Bien sûr ! Lui répond-elle innocemment. Je ne lui cache rien.
-Qu’est ce qu’il en dit ? Ça ne l’ennuie pas ?
-Il me fait confiance et de plus il ne me surveille pas, pas plus que je ne le fais ! Ajoute-t-elle perfidement.
-Tu lui dis toujours tout ?
-C’est la base de notre entente et de notre complicité. C’est pour ça que je veux que tu comprennes bien ce qu’il y a entre lui et moi.

Les sous-entendus dans le ton de Bénédicte sont évidents et je sens qu’elle maîtrise très bien la situation, ignorant (ou pas ?) ma présence.

-Ça ne t’ennuie pas que je vienne te voir quand il n'est pas là ?
-Si ça m’ennuyait, je te l’aurais fais comprendre !

Elle est plutôt détendue, coquine et enjouée, lui semble tendu et assez déstabilisé. Je regrette de ne pas les voir.

-Tu es particulièrement ravissante, aujourd’hui !
-C’est gentil de me le dire, répond-elle en riant.
-C’est pour moi ?
-Tu es le seul dont j’attendais la visite !

Un moment de silence, puis j’entends la voix de Philippe, plus basse et tremblante :

-Tu me déstabilises vraiment, tu sais. Tu me parles de ton entente avec lui et pourtant tu acceptes que je vienne te voir alors que tu sais que tu ne m’es pas indifférente du tout.
-Tu préférerais que je ne veuille pas te voir ? Lui demande-t-elle ingénument.
-Bien sûr que non ! Mais il sait vraiment que je suis là ? Tu lui dis absolument tout ?
-Absolument tout ! Mais pour être honnête, je dois te dire qu’il est plutôt coquin et très libéral...

Je suis stupéfait de son audace, moi qui imaginais que c’est lui qui allait la draguer, il semble bien que ce soit elle qui prenne les commandes. Je crois que l’état dans lequel je l’ai laissée après l'avoir si longuement sucé lui donne toutes les audaces.
Elle reprend d’une voix légèrement oppressée :

-Et c’est lui qui m’a tout appris et a fait de moi ce que je suis... Je croyais ma vie tracée et banale. Mais j'ai découvert d'autres horizons dès les premiers instants avec lui.

En aveugle, de ma cachette, j’entends le bruit d’un déplacement, puis le silence seulement bercé par le très faible fond musical. N’y tenant plus, je traverse la cuisine et me glisse jusqu'à l’entrebâillement de la porte. Il l’a rejointe sur le canapé, prise dans ses bras et l’embrasse. Je sens mon cœur cogner. Elle s’abandonne dans les bras de son ex. La main de Philippe se pose sur les seins de Bénédicte et les empaume doucement. Il doit les sentir nus sous le chemisier. Elle lui rend son baiser en lui caressant la nuque. Sous l’impulsion de son partenaire, elle s’affaisse sur le canapé. Il la couvre à moitié, presque étendu, et j’ai sous les yeux les jambes de ma compagne découvertes jusqu’au-dessus de la naissance de ses bas.
Il défait lentement son chemisier sans cesser de l’embrasser et libère ses seins superbes. Ma petite salope a les tétons tendus et se laisse peloter.


Il abandonne ses lèvres et glisse sa bouche sur la poitrine offerte, tète ses nichons tandis que sa main descend le long du ventre de Béné pour finir sa course sur sa cuisse, et remonte vers son sexe. D’elle-même la petite salope écarte les jambes. J’imagine qu’il découvre le haut de ses bas, puis la peau nue et sans aucun rempart, son coquillage rasé que je sais déjà ouvert et humide. Il marque un moment de surprise que me confirme sa voix incrédule :

-C’est pour moi que tu es toute nue sous ta jupe ?
-Oui ! Souffle-t-elle
-Et il sait que tu m’attendais comme ça ?
-Bien sûr ! Répond-elle en ouvrant plus encore les cuisses.

Je suis dans un état d’émotion maximum et sa voix complètement chavirée m’électrise.

-C’est lui qui t’a obligé à me recevoir comme ca ?
-Il ne m’oblige jamais à faire ce que je ne veux pas faire !
-Il a fait de toi une vraie petite pute !
-Oh oui ! Râle-t-elle, secouée d’un spasme.

À la voir se tendre, j’imagine qu’il lui enfonce un doigt dans le vagin. Sa voix à lui devient fébrile :

-Petite salope ! Tu m’excites ! Je vais regretter encore plus de n’avoir pas osé plus tôt.

D’une voix toute timide, elle lui demande :

-Je ne te déçois pas trop ?
-Oh non, puisque tu me laisses profiter de toi. Tu me plais ! Tu fais ça souvent ?
-Caresse-moi doucement et longtemps ! Lui répond-elle.

Je la sens très excitée. Les cuisses ouvertes, troussée jusqu’aux hanches, seins nus, à demi couverte par son amant dont la main lui fouille l’entrejambe, elle est impudique et terriblement bandante. J’ai presque mal de la voir s’abandonner, se croyant seule avec Philippe. Du bout des doigts, je le vois branler le clito tendu, plonger entre les lèvres ouvertes dans son vagin béant dont il ressort avec un bruit de succion obscène pour revenir à son bouton. Ses doigts sont luisants de foutre. Elle gémit et ondule dans ses bras.

Il reprend d’une voix sourde :

-Cest lui qui te rase ta petite chatte ?
-Oui !
-Tu m’excites ! Tu mouilles comme une fontaine !
-Toi aussi tu m’excites ! Répond-elle. C’est bon ce que tu me fais !
-Tu aimes te faire branler ?
-Oh oui, j’aime ça ! Tu sens comme j’aime ça ?
-Salope !
-Oui ! Parle-moi encore ! Le supplie-t-elle.

Je suis au bord de l’éjaculation mais je ne veux rien faire qui briserait cet instant. Je sais qu'elle est parfaitement sincère. Bénédicte déteste cacher ses sentiments et j'ai un peu mal, ce mal qui parfois fait du bien, cette douleur du cœur qui excite l'esprit. Il semble avoir compris l’importance des mots sur Bénédicte. Elle aime dans ces moments là la vulgarité, les ordres crus et obscènes et elle y répond, ce qu’il est en train de découvrir. Je la sens au bord de l’orgasme. Il reprend :

-Tu l’as déjà trompé ?
-Jamais ! C’est la première fois sans lui !
-Tu veux dire que tu t’es déjà fait baiser par un autre mec devant lui ?
-Oui, avec lui !
-Tu fais tout ce qu’il te demande ?
-Oui ! Mets-moi ton doigt.
-C’est ma bite que je vais te fourrer salope !
-Non, attend, pas encore, le supplie-elle d'une voix de petite fille.

Philippe semble hésiter, puis reprend le jeu des mots, plus doucement, plus tendrement me semble-t-il

-Tu t’es déjà fait baiser par plusieurs mecs avec lui ?
-Non jamais ! Un seul...
-Et tu aimes ça ?
-Avec lui, oui...
-Tu t’es fait prendre en sandwich ?
-Oui ! Suce-moi !

Mon sang bat si vite que je suis au bord du malaise, la bouche sèche. Il glisse à ses pieds, s’agenouille entre ses jambes qu’elle relève et écarte au maximum. Il reste un instant en contemplation devant cette cramouille béante et ruisselante de foutre puis avance son visage et la lèche avec frénésie. Il doit la sucer profondément, parce qu’elle se met à haleter et à crier de plaisir, tortillant son cul comme une chienne en chaleur, les mains passées sous ses genoux, s’ouvrant comme une pute.

-Oh oui, c’est bon ! Elle est bonne ta langue. Tu fais ça bien !

Elle se redresse pour regarder la tête de son amant entre ses jambes, comme elle le fait avec moi.

-Ça m’excite de te regarder ! C’est bon ce que tu me fais. Suce-moi bien ! Moi aussi je te sucerai si tu veux !

Je suis sidéré de la voir se laisser aller comme ça, sans aucune retenue.

Il la maintien solidement sous les fesses tant elle s’agite.

-Oui, oui, encore ! Tu vas me faire jouir ! Continue ! Fais-moi jouir avec ta langue !

Elle se déchaîne :

-Oui ! Je viens, je viens, je jouis, c’est bon... Je jouis !

Elle s’arqueboute en hurlant. Elle doit lui décharger son foutre dans la bouche. Longtemps elle frissonne sous les lèvres collées à son sexe puis se redresse et le regarde, les yeux humides et voilés. Il revient s’asseoir à ses côtés et la prend dans ses bras. Elle pose sa tête sur son épaule sans un mot. Je sais que ce petit orgasme, même s’il l’a fait hurler, n’est qu’un hors d’œuvre et en appelle un autre plus consistant. Elle aime, après avoir joui une première fois être prise énergiquement, et là tout est permis. Devant son silence, elle entreprend de défaire le pantalon de son amant en penchant la tête vers son sexe. Il est clair qu’elle veut le sucer, mais il l’arrête.

-Je veux te baiser ! Lui dit-il rudement.
-Pas tout de suite ! Sois patient !
-Pourquoi ?
-Je n’ai jamais fais l’amour sans lui, tu comprends. Je lui ai promis qu’aucun garçon ne me prendrait sans qu’il soit là !
-Vous faites ça souvent ?
-Non, pas souvent, de temps en temps. Je sais que ça n’est pas facile à comprendre, mais je suis bien comme ça avec lui...

Il la prend à nouveau dans ses bras. Visiblement il n’a aucune envie de partir mais semble très troublé. J'imagine son désarroi et le supplice qu'elle lui inflige. Mais il est vrai qu'elle a été honnête avec lui dès le départ.

-Il a fait de toi une vraie petite pute ! Tu crois que j’y serais arrivé moi aussi ?
-Peut être, lui répond-elle d’une voix mouillée. Je te l'ai dit. Je me suis vraiment découverte dès les premiers instants avec lui.

Il lui caresse les cuisses, le ventre, la chatte. Elle ouvre les jambes. Il la branle du bout des doigts et elle soupire

-Tu vas me rendre fou ! Lui dit-il.
-Toi aussi ! J’ai envie de toi ! Reste !
-Tu voudrais faire un ménage à trois ?
-Pourquoi pas... Murmure-t-elle.
-Tu aimerais avoir deux hommes à ta disposition pour te branler et remplir ta petite chatte ?

Elle se cambre dans ses bras, écartant encore les cuisses. Il doit comprendre à quel point les mots ont un pouvoir sur elle, car il semble à nouveau très excité et lui ordonne soudain :

-Lève-toi et déshabille-toi !

Debout, elle achève de défaire son chemisier et fait glisser sa jupe. Vêtue de ses seuls bas blancs, elle est superbe, provocante, et vient se coller à lui, s’asseyant de face sur ses genoux. Il lui embrasse les seins en lui caressant le dos. Elle se cambre pour lui offrir ses nichons et je le vois aspirer les tétons tendus.

-Tu aimes te faire sucer les seins ? Lui dit-il d’une voix rauque.
-Oui ! J’aime ce que tu me fais.

Elle ondule du bassin, frottant sa chatte contre la queue de son amant qui doit bander ferme sous son pantalon. Soudain il se relève, la soutenant sous les fesses. Elle reste accrochée à lui, nouant ses jambes dans le dos du garçon. D’une main, il se défait et libère une belle queue en pleine érection qu’il pointe à l’entrée de la cramouille béante de Bénédicte, puis il la laisse glisser de quelques centimètres et l’empale sur sa verge. Il a dû s’enfoncer en elle d’un seul coup car elle s’arqueboute en criant.

-Salaud ! Oh oui c’est bon ! Elle est bonne ta queue ! Oh oui baise-moi !

Je suis anéanti, au point de tomber à genoux, mais personne ne remarque ma présence. Je fais un effort surhumain pour ne pas me ruer dans la pièce, mais je suis en général suffisamment maître de moi pour qu'en une fraction de seconde, ma tête soit froide, mon esprit lucide. J'ai joué avec le feu. Je suis l'instigateur de cette rencontre. Il est évident que personne ne pouvait résister à ce jeu aussi poussé. Et puis Bénédicte sait que je sais. Elle me connaît et se doute de ma présence. Et cette porte restée ouverte, alors qu'elle est si peureuse d'imaginer seulement l'idée d'une intrusion chez elle. Je suis calme, et mon excitation s'enflamme à nouveau en les voyant. Tous mes désirs de voyeur sont grâce à elle comblés. Il ne peut pas faire grand chose et elle ne bouge presque pas, collée à lui, mais je sais la façon dont elle se sert des muscles de son vagin et j’imagine qu’elle doit lui faire un massage intime auquel il est difficile de résister.


Il a visiblement du mal à se contrôler, mais semble décidé à ne pas craquer. Et soudain c’est elle qui décolle. Je vois son corps parcouru de tremblements. Elle l’enserre de ses bras et de ses jambes comme une pieuvre, la tête niché dans son cou, et se met à délirer :

-Oh oui ! Oui ! Ne bouge plus, je vais jouir ! Je la sens bien ta queue ! Oui... Je jouis... Je jouis !

Il la garde immobile, collée à lui, puis s’agenouille sur la moquette, toujours planté en elle, l’allonge sur le dos et se déchaîne sur elle

-Et là, tu la sens encore bien ma queue ?
-Oui...
-Tu aimes la bitte, hein, salope ?
-Oh oui, j’aime ça !
-Tu es bonne, tu es chaude... Tu t’es déjà fait enculer ?
-Oui ! Souffle-t-elle
-Tu voudrais que lui et moi on te prenne en sandwich ? C’est ça que tu aimes ?
-Oui ! Vous ferez tout ce que vous avez envie de faire de moi ! J’aime ça ! J’aime me faire baiser !
-Ça doit être bon de se faire remplir par deux bites...
-Oui... Tu es aussi dégueulasse que lui et j’aime ça... Ca m’excite...
-Alors je vais rester et on va te baiser toute la nuit comme une pute... On va te mettre par tous les trous !
-Oh oui... Baise-moi fort... Défonce-moi... Je vais jouir...

J’ai déchargé sans même me toucher, au paroxysme de l’excitation et ahuri de la voir se donner comme ça, sans aucune retenue. Je sais que dans ces moments elle est capable de tout, d’accepter n’importe quoi, pourvu qu’elle jouisse. Mais brutalement il se retire d’elle, et la prend par la main pour la relever. Comme un automate, elle le suit.

Il l’a retourne vers le canapé et l’oblige à s’agenouiller et à se courber sur l’accoudoir. D’elle-même elle se penche et écarte ses genoux. Il fléchit les jambes derrière elle, guidant sa queue vers sa raie. J’ai l’impression qu’il va l’enculer, mais elle creuse les reins pour lui présenter son vagin et il l’enfile d’une seule poussée.

-Tu aimes être baisée comme une chienne ?
-Oui, J’aime...
-Tu crois que dans ton cul ça rentrerais aussi bien que dans ta chatte ?
-Non... Pas maintenant... Baise-moi comme ça...

Il se met à la pistonner comme un fou. J’entends son ventre qui claque sur les fesses de Bénédicte et je vois les seins de ma petite pute tressauter à chaque coup de boutoir qu’il lui inflige. Elle glisse de l’accoudoir et se retrouve à quatre pattes, le dos creusé. Il la lime comme un malade et elle s’affaisse, le cul cambré, ouverte de façon obscène. Il a glissé la main sous son ventre et doit lui triturer le clitoris. Elle se met à hurler :

-Oh putain c’est bon ! Casse-moi le cul, salaud... Défonce-moi... Je jouis... Je jouis...

Elle à l’air de prendre un pied fantastique et s’abat sur la moquette, entraînant son cavalier qui ne déconne même pas. À le voir parcouru de spasmes, j’imagine qu’il lui décharge dans le ventre, et elle continue à gémir. J’ai presque mal de la voir s‘abandonner de cette façon. Au bout d’un moment, il roule sur le coté et elle reste immobile, cuisses écartées. Je vois le sperme qui lui suinte de la fente encore ouverte. Puis elle se relève et je rejoins précipitamment ma cachette dans l’escalier.
Elle sort de la pièce et j’entends le bruit de la douche. Je suis incapable de bouger et je veux savoir ce qu’ils vont se dire. Elle revient, enveloppée d'un peignoir et lui propose la salle de bain. Je l’entends se préparer un verre et changer le disque sur la chaîne Lorsqu’il revient, elle lui propose un whisky. Sa voix me semble un peu tendue, et je dois me rapprocher pour les écouter, sans les voir de peur de dévoiler ma présence. C’est elle qui rompt le silence :

-C’était très bon... Dit-elle d’une voix douce. J’espère que tu n’es pas trop choqué...
-J’ai un peu de mal à croire ce qui vient d’arriver, répond-il.
-Moi aussi. Je n’avais encore jamais fais l’amour sans lui. Tu dois me prendre pour une vraie salope ?
-Non mais il y a tellement longtemps que je pense à toi que j’ai du mal à réaliser. Tout ce que tu m’as dit était vrai ?
-Oui. Je suis ce qu’il a fait de moi et ce que j'étais sans le savoir ou sans vouloir l'accepter. Je ne regrette rien mais attention, je ne veux pas que tu tombes amoureux de moi. .Je ne veux pas changer ma vie avec lui.
-Mais je suis déjà amoureux de toi depuis des années...
-Je t’avais prévenu, lui dit-elle d’une voix douce.
-Quand tu m’as dit que tu aimerais que je reste, c’était vrai ?
-Oui, si tu t’en sens capable...
-Tu aimerais un ménage à trois ?
-J’aimerais faire encore l’amour avec toi et avec lui si tu acceptes, mais pas vivre en permanence avec vous deux. J’ai choisi de vivre seule chez moi, et ma vie avec lui.
-Tu accepterais d’être ma maîtresse quand il n’est pas là ?
-Je crois que ce serait dangereux mais s’il est d’accord, peut être... Je ne sais pas...

Je le sens complètement déstabilisé et je le suis aussi car j’ai l’impression que la situation m’échappe totalement. Bénédicte à l’air tout à fait à l’aise et sûre d’elle.

-Je vais partir, dit-il.
-Si tu préfères...
-J’ai besoin de réfléchir... Je peux te rappeler ?
-Bien sûr ! Il vient ce soir.

Sans ajouter un mot, il est parti. J’ai rejoint ma voiture et suis allé en ville m’offrir un whisky dont j’avais grand besoin. Lorsque je suis rentré, une heure plus tard, je l’ai trouvée habillée comme lorsque j’avais feint de quitter l'appartement.
Elle s’est jetée dans mes bras et l’air faussement contrit, mais un peu inquiète tout de même, elle m’a avoué spontanément :

-J’ai craqué ! J’ai fais l’amour avec lui et il est parti ! Tu m’en veux ?
-Non je ne t’en veux pas... Je savais que je jouais un jeu dangereux... Tu as aimé ?

Je me suis assis et l’ai prise sur mes genoux. Elle m’a répondu en riant :

-Oui, j’ai aimé et tu aimerais que je te raconte ?
-Bien sûr mais j’espère que tu n’es pas tombé amoureuse...

Elle s’est lovée dans mes bras.

-Non, je ne suis pas amoureuse, mais lui, je crois que si, depuis longtemps, et le fait d’avoir fait ce que nous avons fait n’a pas arrangé son cas. Pour le consoler, je lui ai dis que j’étais d’accord pour recommencer, mais avec toi...

J’ai ouvert la bouche pour lui avouer ma présence mais je n'en ai pas eu le temps. j’ai eu la surprise de l’entendre me dire :

-J'avais peur que tu n'aies pas sur toi la clé de la porte de la cuisine.
-Tu savais que j’étais là ?
-Oui mon salaud et je suis même sure que tu as vu, bien que tu aies été très discret, mais je sentais ta présence et ça m’excitait autant que de me faire baiser par lui ! Je me suis conduite comme une salope hein ?

J’ai glissé la main entre ses cuisses qu’elle a écartées et j’ai trouvé son coquillage toujours nu, déjà ouvert et légèrement humide. Le téléphone a sonné. Elle s’est levée, a attrapé l’appareil et est revenue s’asseoir sur mes genoux avant de décrocher. Aussitôt elle a mis le haut-parleur et moi la main sur son sexe. C’était Philippe :

-Il est rentré ?
-Oui, il est là ! Répondit-elle
-Tu lui as raconté ?
-Bien sûr ! Dit-elle en riant, alors que je lui massais le clito qui raidissait sous mon doigt.
-J’avais besoin de réfléchir un peu. J’ai adoré faire l’amour avec toi, et si vous êtes d’accord, je préfère te partager que te perdre. Est-ce que je peux revenir ?

En guise d’acquiescement, j’ai glissé un doigt dans son petit con trempé et elle s’est cambrée sur mes genoux en ouvrant grand les jambes, répondant d’une voix mal assurée :

-Bien sûr ! Nous t’attendons.

Il est arrivé vingt minutes plus tard et j’ai libéré Bénédicte que j’avais allongé sur la table de la salle à manger pour lui bouffer confortablement la chatte, afin qu’elle aille l’accueillir. Il nous a fallu presque une bouteille de champagne pour détendre l’atmosphère. Puis nous avons commencé à parler de notre intimité, faisant monter la température. L’ambiance et le soir venant ont achevé de détendre Philippe, assis à coté de Bénédicte, mais n’osant aucun geste. Brusquement, elle s’est levée, annonçant qu’elle allait chercher une nouvelle bouteille, qu’elle nous a ramenée quelques instants plus tard. Et à notre surprise, elle était entièrement nue, les joues roses et les yeux brillants. Elle s’est immobilisée au milieu du salon, en nous disant d’une toute petite voix :

-Je veux mes hommes !

Toutes les barrières sont tombées. Une soirée d’orgie. Dans toutes les positions, nous l’avons caressée, tripotée, léchée, sucée, branlée. Par tous les trous, nous l’avons remplie, baisée, sodomisée. Elle en suçait un, se faisant prendre par l’autre. Elle a voulu nos deux bites en même temps dans la bouche. Elle se conduisait comme une salope, sur le dos, debout, à quatre pattes, accroupie. Nous lui avons même demandé de se branler devant nous. Elle a voulu que nous la prenions en sandwich, alternant l’un devant et l’autre derrière. Elle était aussi déchaînée que nous et a demandé que nous lui introduisions nos deux bites en même temps dans le vagin. Elle voulut même que j’encule Philippe pendant qu’il la baisait, mais c’est la seule chose que nous ayons refusé. Je ne l’avais jamais vue dans cet état. Elle était couverte de sueur, de foutre et de sperme. Nous l’avons prise dans tous les sens jusqu’à ce que nous n’en puisions plus d’épuisement et avons fini par nous endormir, de chaque côté d’elle.
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 13:27

Salut Juju,

Voici un petit strip coquin pour apporter ma contribution à ton blog que j'adore. Sinon à part ca j'ai 22 ans et j habite à Geneve donc si vous voulez me contacter laissez moi vos coms.

Bises coquines à tous

Sam

 


Change
envoyé par Sam

 

Par Samantha - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 10:36

Bonjour les bloggeurs,

Nous sommes un couple coquin de 22 et 23 ans et l on recherche à faire des visios coquines sur msn avec d'autres mecs ou couples.

Nous habitons en region parisienne et nous adorons les sorties, les soirees coquines, les clubs coquins et les exhibs dans les lieux insolites.

Laissez nous vos coms avec votre description et adresse msn et nous vous contacterons.

Bises coquines à tous

Mia et vincent

 

Par Mia et Vincent - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 09:57

Voici la video du plus grand strip poker au monde.

Par julia - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 04:45

Ça y est, je me décide enfin à vous écrire. Cela fait maintenant plusieurs mois que je lis hebdomadairement vos riches histoires, coquines et tellement érotiques.

Mais passons plutôt à ce qui nous intéresse, ma belle-sœur...

Je me présente, Julien, grand brun d'1 mètre 85 pour 85 kg de 28 ans (un beau bébé comme disent certaines personnes). Plutôt sportif, footballeur du dimanche, j'ai un visage plaisant sans être Brad Pitt. Je suis marié depuis deux ans avec Virginie, une jolie demoiselle d'un petit gabarit (1 mètre 60, 49 kg) avec de jolies formes et notamment une paire de fesses à faire pâlir un mannequin de podium. Tout se passe bien entre nous, nous nous aimons, passons de bons moments ensemble, et surtout, nous nous entendons formidablement bien au lit. (Plus de détails dans une histoire prochaine). Bref il ne m'était jamais venu à l'esprit de tromper ma femme, l'avenir montrera que j'avais tout faux...

Quelques semaines après ma rencontre avec Virginie, elle me présente sa famille. Son père et sa mère sont des gens simples et très sympathiques. Lui, chauffeur routier, elle, femme au foyer. Une fois les présentations faites, nous commençons à prendre l'apéritif dans le salon familial. Au bout de quelques minutes (et quelques verres), on entend des voix dans le couloir. La porte s'ouvre, deux jeunes garçons d'une dizaine d'années et une petite fille apparaissent, suivis de deux femmes, les sœurs de ma future femme : Sylvie et Magali. La première est un joli brin de femme brune d'une quarantaine d'années de taille fine qui semble avoir une joli derrière comme sa sœur. La seconde est plus grande que ses deux sœurs mais n'a pas du tout le même physique. Magali est une femme plutôt ronde sans être grosse. Ses deux enfants lui ont laissé des formes bien épanouies au niveau de la poitrine et au bas du dos. Elle porte un jean avec une chemise noire nouée au niveau du ventre laissant apercevoir un piercing au nombril. Une ceinture à grosse boucle tient son pantalon. Je remonte mon regard et constate que cette chemise met ses seins lourds en valeur et laisse entrevoir un aperçu du soutien-gorge blanc qui contraste bien avec l'étoffe de tissu. Je discute et me présente donc aux nouveaux arrivants. Le début de soirée se passe bien et se finit bien. Tout le monde décide alors de rentrer chez soi. J'avais fait la connaissance de ma belle-famille et surtout celle de Magali.

Les semaines passent ; notre couple devient de plus en plus solide et de plus en plus complice.

Un jour, coup de téléphone de ma belle-mère pour nous inviter à manger en famille le dimanche suivant. Virginie accepte, c'était donc noté.

Dimanche, midi, nous partons pour le domicile familial. Nous arrivons un quart d'heure plus tard, deux voitures sont déjà là. Ma belle-mère nous accueille et nous invite à aller dans le salon où tout le monde nous attend. Je rencontre enfin mes deux beaux-frères, Gilles le mari de Sylvie et Jacques, celui de Magali. Deux hommes au premier abord très sympas. Nous nous installons, prenons un verre et engageons la discussion. Les hommes entre eux pour parler foot (et oui, classique) et les femmes pour parler de je ne sais quoi. Je jette un regard vers Magali afin d'apercevoir ses formes. Aujourd'hui, elle est habillée en blanc de la tête au pied : des sandalettes, une longue jupe et un chemisier assez échancré au niveau du buste.

Elle remarque mon coup d'oeil, jette un regard sur son décolleté s'apercevant de la vision qu'elle me donne et se redresse, ce qui propulse ses deux obus en avant. Je ne peux m'empêcher d'avaler ma salive pour ne pas baver. Elle s'en aperçoit et me fait un sourire complice. Je me dis alors que ma belle-sœur doit être une sacrée coquine.

Je ne pense qu'à son sourire et à ses seins commençant à m'imaginer les histoires les plus folles.

Ma belle-mère me fait revenir sur terre en nous appelant pour manger. Je me dis alors que manger me fera le plus grand bien. Je demande où est la salle de bain afin de me laver les mains. Et là surprise, Magali me dit :

- Suis-moi, je vais te montrer, je vais me les laver aussi.

Je suis Magali dans le long couloir qui mène à la salle des bains. Je pose mon regard sur sa croupe qu'elle balance exagérément sous mes yeux, consciente que je ne peux que regarder le spectacle qui m'est offert... Elle ouvre la porte et se retourne d'un coup. J'ai toujours les yeux scotchés sur ses fesses. Elle me fait un grand sourire et me dit :

- Voila, tu as le savon ici ; et une serviette là.

Elle reste dans l'encadrement de la porte et me laisse le passage mettant ses seins en avant. Le passage est de ce fait, plutôt étroit. Je la frôle et l'excitation me gagne. Mon slip semble tout d'un coup trop petit. Magali suit mes moindres faits et gestes. Je discerne une étincelle dans ses yeux. Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil sur sa poitrine. Ses seins sont vraiment gros, je donnerais n'importe quoi pour les palper, les malaxer, les lécher, les titiller...

L'eau glacée qui coule sur mes mains me fait du bien, je me vois face à la glace au-dessus du lavabo et je vois me yeux remplis d'excitation. Magali ne peut qu'avoir remarqué. Mon excitation s'amplifie, je bande comme un âne. J'essaye de cacher ma protubérance, mais Magali se rapproche doucement du lavabo. Du coin de l'œil je l'observe, elle regarde vers mon entrejambe. Cette fois, c'est sûr, elle voit mon état. Elle est à 20 cm de moi, je peux sentir son souffle. Elle tend les mains pour que je lui mette du savon dessus.

Et là ma femme déboule. Mon sexe retombe instantanément. Les deux sœurs commencent à discuter et en moi-même je me demande ce que je fais là. Nous regagnons la salle à manger. Tout le monde est installé. Je me retrouve assis à côté de Virginie et de ma belle-sœur Sylvie. Magali est juste en face de moi, entre son mari et son beau-frère.

Le repas commence par une grosse salade composée. A chaque bouchée je regarde en direction de Magali. Elle commence à repérer mon manège et commence un jeu sensuel. Elle prend sa fourchette et l'enfonce dans sa bouche en faisant tourner sa langue autour. Je la fixe et cela semble lui plaire. Elle en remet une couche. Mon entrejambe est très tendu. Je commence à faire descendre mon regard vers son opulente poitrine. Les boutons du haut du chemisier sont toujours défaits et laissent ainsi entrevoir un profond sillon...

Je n'en peux plus, ma queue me fait mal tellement je bande. C'est alors que je sens un pied sur mon mollet. Je lève les yeux vers Magali et elle me fait un large sourire tout en se léchant son index plein de sauce. Je crois défaillir. Elle remonte son pied le long de ma jambe, caressant ma cuisse. Elle frôle mes couilles à présent. Et au moment où elle touche mon sexe, je me lève d'un coup feignant une envie pressante. Je vais donc aux toilettes, ferme la porte à double tour et sors mon sexe bandé pour assouvir une pulsion sexuelle insoutenable. Je ne suis pas long à venir, repensant à ce qu'il vient de se passer. Mon orgasme est total, je me mords la lèvre pour ne pas crier mon bonheur.

Soulagé, je rejoins les autres à table, faisant mine de rien. Le repas se prolonge et j'évite de regarder Magali dans les yeux. Le dessert arrive avec le café. Magali me demande le sucre. Je lui tends et elle se lève légèrement de sa chaise, se penchant bien en avant pour attraper la sucrière. La vision que j'ai de ses seins est sublime, j'aperçois son téton droit sortant de son immense soutien-gorge en dentelle blanche. Ses gros nichons laiteux vacillent au rythme de son bras. Mon érection recommence mais je me résonne en me disant que c'est ma future belle-sœur, que ma femme est à côté de moi et que son mari est en face.

Nous finissons le repas vers 16h30, il est temps de rentrer pour tout le monde. Nous nous embrassons tous. Magali s'approche de moi, pose sa main sur mon épaule, froissant le tissu de ma chemise. Elle me fait alors deux bises près des lèvres et me murmure sensuellement à l'oreille

- À bientôt Julien...

Quelques jours plus tard, c'était un jeudi (c'est mon jour de repos), Virginie se prépare pour partir au boulot et me dit :

- Tiens mon chéri, est ce que tu pourrais passer chez Magali en fin de matinée. Elle vient d'acheter un nouveau lecteur DVD mais n'arrive pas à l'installer. Jacques est en déplacement toute la semaine. Elle te gardera sûrement pour manger, tu verras, c'est un vrai cordon bleu.

- Tu sais ma chérie, si je peux rendre service, ce sera avec plaisir.

Je n'en croyais pas mes oreilles. J'allais me retrouver seul chez Magali avec la bénédiction de ma femme. Je commence déjà à imaginer la tournure des événements. Mon excitation commence à me faire mal. Je décide d'aller prendre une bonne douche froide, histoire de me remettre les idées en place. Je me rase de près, me parfume comme si j'allais à un rendez-vous galant.

J'arrive devant la petite maison de Magali à onze heures précises. J'ai préalablement acheté un bouquet de fleurs. Je sonne à la porte. Après quelques secondes, j'entends le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Magali m'ouvre la porte vêtue d'un peignoir beige qui laisse deviner ses formes bien rondes. Elle porte une queue de cheval ce qui met son visage et notamment ses yeux bleus en valeur.

- Julien comment vas-tu ? Excuse-moi pour ma tenue, mais je viens juste de finir le ménage. Mais entre, ne reste pas sur le pas de la porte.

Je rentre donc dans la maison. Magali referme la porte derrière moi. Elle me fait la bise sans me toucher. Cela me refroidit pensant qu'elle allait me sauter au cou. Elle me fait entrer au salon et me propose de m'asseoir.

- Tu veux boire quelque chose ?

- Volontiers, un petit pastis ira très bien.

- Je te prépare ça tout de suite.

Elle va dans le coin du salon du côté du bar. Je la suis des yeux ne me gênant pas pour détailler sa tenue sachant que nous sommes seuls à la maison, les enfants étant à l'école. Son peignoir lui arrive juste au-dessus des genoux. Ses mollets sont fins et musclés. Je remonte mes yeux le long de ses courbes. Ses cuisses paraissent être bien galbées. On voit nettement les formes de ses fesses qui ressortent du peignoir, quelle chute de reins ! Elle est de dos. Je vois sa nuque où quelques mèches rebelles dépassent. Cette vision m'excite. Elle me sert mon verre et revient vers moi. Sa démarche est sensuelle. Elle bombe le torse mettant ses lourds attributs en valeur. Elle est vraiment bandante. Son bassin est plutôt large, sa taille en proportion et sa poitrine semble démesurée. À chaque pas, ses seins balancent, ce qui signifie qu'il n'y a pas de soutif là-dessous. Elle me tend le verre en se penchant légèrement en avant. Le sillon de ses seins semble m'appeler. Je ne me gêne pas pour mater ouvertement ses gros nichons blancs.

La chaleur monte d'un cran dans la pièce. Magali semble être excitée de la situation autant que moi. Je vois ses tétons qui pointent à travers le peignoir.

- Je vais te chercher des glaçons, me dit-elle en se redressant et en partant en direction de la cuisine.

Je la regarde se déhancher. Elle disparaît dans la cuisine. Je regarde autour de moi, le salon est très mignon, assez moderne et très lumineux. Magali réapparaît avec un petit bol rempli de glace et en met dans mon verre. Je ne peux détacher mes yeux de son décolleté. Elle s'est servi un muscat et propose de trinquer.

- A nos amours beau-frère !

- A nos amours !

On boit une gorgée quand Mag me dit :

- Je vais aller me changer. Ça ne se fait pas de recevoir quelqu'un dans cette tenue.

- Mais cette tenue te va à ravir. Ne te fais pas de soucis, ça ne me gêne pas du tout. Tu es très belle comme ça.

- Tu me trouve belle comme ça ? Mais je ne suis pas coiffée, pas maquillée, dit-elle en se passant les mains dans les cheveux puis en les redescendant le long de son corps.

Lorsqu'elles sont au niveau de la poitrine, Magali fait un geste qui me fait bander aussitôt. Elle a comprimé ses seins à travers le tissu. Ses tétons pointent comme deux petits soldats. Elle me regarde avec un large sourire.

- Je reste comme ça alors ? Tu es sûr ? dit-elle tout en continuant à se caresser le corps.

- Sûr de sûr. Alors au fait, ce lecteur DVD ? » dis-je pour faire redescendre la température.

- Ah oui, c'est vrai. Ne bouge pas je vais le chercher, il est là sur le dessus de la bibliothèque.

Elle se dirige vers le meuble, attrape une chaise au passage pour pouvoir atteindre le lecteur. Plutôt galant, je me lève aussitôt pour aller l'aider. Elle est déjà debout sur la chaise quand j'arrive près du meuble. J'ai la vision de ses opulentes fesses sous les yeux. Elle lève le bras pour atteindre le haut de la bibliothèque, ce qui défait légèrement l'étreinte de la ceinture du peignoir, qui s'entrouvre. Surprise, elle tente de se rajuster et manque de tomber de la chaise. D'un réflexe éclair, j'arrive à la maintenir sur la chaise en la saisissant d'une main sur la hanche et l'autre sur la fesse droite. J'ai maintenant un bout de son postérieur dans la main. Son cul est imposant mais d'une remarquable fermeté. Elle tourne alors la tête vers moi pour me remercier. J'ai toujours ma main sur ses fesses, décidé à ne pas l'enlever tout de suite. Elle attrape alors le lecteur et reste plantée sur son perchoir. Je lui tapote alors son derrière en lui disant :

- Tu aurais pu te faire mal, belle-sœur, heureusement que je t'ai rattrapé.

- Merci beaucoup mon cher, mais tu m'as quand même mis la main aux fesses petit coquin, répond-elle en descendant.

Elle m'embrasse rapidement sur la bouche et part en direction de la télé en riant. Je ne sais plus où j'en suis. Ma tête essaye de me raisonner et ma queue m'incite à aller plus loin. Mag s'accroupit devant le poste de télévision et déballe le lecteur DVD. Je la rejoins sur le sol, attrapant les câbles nécessaires au branchement. Nous sommes l'un à côté de l'autre et de là où je suis placé, j'ai une vue imprenable sur sa paire de lourdes mamelles qui se balancent impudiquement sous mes yeux. On dirait qu'elle le fait exprès. Ma queue est dure et me gêne dans la position dans laquelle je suis. Je me lève pour me rassoire. Mag suit des yeux la bosse formée dans mon pantalon. Elle commence à rougir.

- Qu'est ce qui se passe Julien ? On dirait que tu...

- ...bandes, l'interromps-je la fixant droit dans les yeux. En effet je bande, excuse-moi, ce sont des choses qui arrivent aux hommes lorsqu'ils se retrouvent avec des femmes belles comme tu l'es.

- Merci du compliment. T'es plutôt pas mal non plus, tu sais. Dommage que je sois mariée et que tu sortes avec ma sœur, me lance-t-elle.

La dernière phrase aurait dû me calmer, mais au contraire, le fait que cette relation ne doive pas se faire m'excite beaucoup. Mag est toujours face à moi les joues rosies par l'émotion. Je lui demande de me faire passer la prise péritel qui se trouve juste à côté d'elle. Son genou est sur la ceinture du peignoir et lorsqu'elle veut attraper la prise en tendant son bras, la ceinture se défait comme par magie. Les pans s'entrouvrent. Je vois maintenant la naissance de deux énormes globes laiteux qui se tiennent haut pour leur taille. En baissant mon regard, je découvre son piercing au nombril, un petit ventre rond et un peu plus bas une petite culotte blanche. Ses cuisses musclées paraissent solides. À moitié dénudée, Mag me regarde sans rien dire, attendant sans doute ma réaction.

Je l'ai sous les yeux. Combien de fois m'étais-je masturber en imaginant un pareil scénario ? Et aujourd'hui, je suis sur le point de réaliser mon fantasme.

J'avance la main vers sa cuisse. Nous ne disons rien... Nos souffles sont courts... Ma main atteint le genou. Le contact sur cette peau si douce m'électrifie. Ma queue double de volume dans mon pantalon trop serré. Mag soupire au premier toucher.

Je remonte doucement le long de sa cuisse. Inconsciemment, Mag écarte légèrement son entrejambe. Je ne suis plus qu'à quelques centimètres de sa culotte. Mag respire de plus en plus fort. Je la sens fondre. Son visage a changé. Ses yeux sont fermés. Ça y est mon index est en contact avec la dentelle de la petite culotte. Je frotte légèrement, deux autres de mes doigts s'invitent à la fête. À travers l'étoffe je sens l'humidité s'installer. Mag soupire. Je décide d'abandonner le coin (mais de revenir un peu plus tard) afin de d'accéder aux deux seins tant convoités depuis quelques semaines. Je remonte mes mains le long de son ventre pour atteindre la base de ses nichons. Mag dégage complètement les pans du peignoir et se retrouve entièrement nue. Wahou !! Cette femme respire la volupté.

- Lèche-moi les seins... J'adore ça... me dit-elle d'une voix méconnaissable.

Après une telle invitation, je ne me fais pas prier. Mes mains malaxent et pétrissent ses énormes nichons. Ils sont vraiment d'une taille impressionnante (j'ai appris plus tard : du 100E). Plutôt pâles, ils sont bien ronds et crémeux. Mes doigts titillent les aréoles roses de la taille d'une pièce de 5 francs. Ses tétons sont très durs. J'y tire dessus, les sentant grossir de plus belle. Mag commence à gémir, elle n'avait pas menti, elle est très sensible des seins. Je me rapproche de son buste et fais participer ma langue au festin mammaire. Ma langue lèche les tétons. Je commence à lécher de plus en plus vite. Les gémissements de ma partenaire m'encouragent et sont de plus en plus bruyants. Je me régale. Mag pose sa main derrière ma nuque et m'attire contre son sein. Je tète comme un bébé Je suis au milieu de ses loches, prêt à m'étouffer avec. Reprenant ma respiration, j'en profite pour enlever mon pantalon. Mag s'étend sur le sol, me regardant me déshabiller. Elle a des étincelles dans les yeux. Elle n'arrête pas de se passer la langue sur les lèvres. Machinalement, elle se caresse le ventre puis remonte doucement vers sa poitrine. De sa position couchée sur le dos, ses seins tombent de chaque côté de son buste, mais restent d'une taille impressionnante. Elle joue avec ses mamelons, elle tire dessus et semble apprécier.

Me voilà en caleçon. J'admire le spectacle offert. Une des mains de Mag se balade maintenant au niveau de son bas-ventre. Elle se caresse à travers le tissu. Je peux voir nettement une tache humide sur la culotte.

- Tu aimes te caresser ? lui demandé-je.

- Oui, j'adore ça. Tu sais, quand Jacques n'est pas là, je m'occupe toute seule... Mais aujourd'hui, je ne suis pas seule.

Et sur cette parole, je la vois s'enfiler un doigt dans la chatte qu'elle ressort immédiatement pour se le mettre dans la bouche. Je n'ai jamais vu une femme plus excitante que ma belle-soeur dans cet état. Je décide de la laisser se caresser. De sa main gauche elle malaxe son sein droit. De l'autre main elle joue avec son clitoris qu'elle commence à titiller énergiquement. Elle râle de plaisir.

- Enlève ton caleçon, que je voie ce qu'il y a dedans. Ta queue semble à l'étroit, laisse-la respirer.

J'ôte donc mon caleçon. Ma queue est énorme. Je ne l'ai jamais vue comme ça. Machinalement, de la main droite je décalotte mon sexe et exécute quelques va-et-vient. Ma queue grossit encore.

- Hum... Tu as vraiment une grosse queue, Julien. Je crois que je vais bien m'amuser avec un tel engin. Viens, approche-toi de moi que je la mette en bouche.

Mag est toujours couchée sur le sol. Je me mets au-dessus d'elle et lui présente mon sexe devant le visage. Les yeux de ma belle-sœur sortent de leur orbite. Elle souffle fort tellement son excitation semble intense. Elle se décide alors à s'occuper de mon cas. Elle entreprend la meilleure fellation que l'on ne m'ait faite. Elle lèche la base de mon sexe, titille mes couilles avec sa langue, puis revient sur ma tige. Doucement elle remonte avec sa langue le long de mon érection. Elle va atteindre mon gland. Elle le lèche, encore et encore. Et tout d'un coup elle avale ma queue au fond de sa gorge tout en me malaxant les bourses avec sa main gauche. Je suis aux anges.

Je commence à lui caresser les seins. Ils sont si gros que mes grandes mains ne peuvent les contenir. Je masse les globes laiteux, quel régal ! Mag commence à gémir. Je continue mes caresses encore quelques minutes lorsque Mag, tout en léchant ma bite, me dit :

- J'ai envie que tu me baises...

Je l'aide à se relever. Ses gros seins bougent dans tous les sens. Je ne peux m'empêcher de les saisir à nouveau et de les lécher. Elle m'emmène jusqu'au canapé me fait rester debout pendant qu'elle s'assoit face à moi. Sans un mot et avant que je puisse réagir, elle remet ma queue dans sa bouche. C'est encore meilleur que tout à l'heure. Elle salive beaucoup cette fois. Les bruits de succion deviennent obscènes. Je bande de plus belle. Mag a du mal à la prendre entière dans la bouche. Ma queue est pleine de bave. Mag se lève, se retourne et pose un genou sur le canapé et attrape le dossier. Dans cette position, ses seins pendent comme de mamelles. Elle met son gros cul en arrière. Je peux nettement discerner sa chatte rasée. L'humidité semble inévitable.

- Prends-moi, je suis chaude, bouillante, j'ai besoin de ta lance pour me refroidir. Tiens regarde, ma chatte est toute mouillée à cause de toi. Mais qu'est ce que tu attends ? Viens en moi, je te dis !

Mag est en transe. Je découvre son côté nymphomane et je vais me régaler. Je me rapproche d'elle. Je prends ma queue et lui tapote ses grosses fesses avec. Elle aime ça. Sentant que ma partenaire ne va pas refroidir de suite, je décide de retarder la pénétration tant attendue par ma belle-sœur. Je commence à lui caresser les fesses. Son gros cul est ferme. Je le prends bien en main, je lui pétris le cul comme si c'était de la pâte à pain. Je fais remonter mes mains aux creux de ses reins. Je passe alors en dessous, mes mains atteignent le piercing, je joue avec quelques secondes. J'abandonne le bijou. Mes mains saisissent ses énormes outres. Ils ont vraiment une taille impressionnante, je n'arrive pas à y croire. Je tire sur les mamelles comme on trait une vache. Mag adore ça. Je les fais se balancer. Elle gémit de plus en plus fort.

- Oh oui. Vas-y, c'est bon. Oh ! Tu tires fort mon cochon, mais continue, j'aime ça. Huuummmm... Oui... Huuummm, encore, ne t'arrête pas...

Mon sexe n'en peut plus, il va exploser. J'arrête mon massage mammaire. Je me plante devant les opulentes fesses de ma partenaire et enfonce ma queue directement dans sa chatte. Elle mouille tellement que je suis rentré jusqu'au bout sans effort. Mag hurle de plaisir :

- Que tu es gros ! Vas-y, baise-moi bien à fond ! Oh oui, comme ça. Pilonne-moi avec ta grosse queue. J'en veux encore. Ne t'arrête surtout pas... Han, han. Que c'est bon ce que tu me fais. Je mouille comme une fontaine. Oh oui, encore. Je n'ai jamais mouillé comme ça...

Elle projette son bassin d'avant en arrière. Ma queue la pénètre au plus profond à chaque va-et-vient. Ma queue glisse à toute vitesse dans cette chatte trempée. Je sens le plaisir monter en moi alors que Mag me dit :

- Continue mon chéri, je vais jouir. Va plus vite, défonce-moi la chatte, baise-moi comme une pute. Oh oui, vas-y !

Mag emploie maintenant un vocabulaire vulgaire. L'excitation l'emporte sur la gentille mère de famille qui se transforme en chienne insatiable. Je décide d'utiliser le même répertoire qu'elle :

- Tu aimes te faire baiser comme une chienne ?

- Oui j'adore ça. Je suis ta chienne. Insulte-moi, tu m'excites encore plus !

- Tu es une belle salope. J'en étais sûr. Je vais te baiser comme on t'a jamais baisée.

Je fais mettre Mag à quatre pattes sur le canapé. Je me place derrière elle et recommence à lui baiser la chatte. Je vois ses gros nichons valser au rythme de mes coups de boutoir. J'en saisis un et le pétris sans ménagement.

- Oh oui, pelote-moi les nichons pendant que tu me baises et continue à m'insulter je vais jouir.

- T'es vraiment qu'une grosse cochonne qui aime bien se faire sauter par son beau-frère... Tu mouilles comme une catin. Ma queue est trempée par ta mouille.

- Oh oui, oh oui... Je viens... Je... VIENS... hurle-t-elle alors qu'un océan de mouille me coule le long de la queue et même sur les cuisses.

Mag vient de jouir et je m'arrête de la baiser. Elle s'est affalée sur le cousin. Seul son cul se dresse fièrement.

Elle se retourne pour m'embrasser. Je lui rends son baiser.

- Je veux que tu jutes sur mes nichons.

Je me lève pendant qu'elle s'installe confortablement à genoux devant moi. Je lui soupèse les nichons. Ils sont lourds. Les tétons ont doublé de volume. Elle prend un sein dans chaque main et me les présente tels deux uniques fruits dans une corbeille.

- Tu as l'air de les aimer. À chaque repas j'ai remarqué que tu les regardais. Aujourd'hui, je te les offre, profites-en, me dit elle en se les caressant sensuellement.

Ma queue est toujours aussi raide. Je l'approche du sillon et l'engouffre à l'intérieur. Mon sexe a disparu entièrement entre les seins de Magali. Je commence un long va-et-vient. C'est bon. Il y fait chaud. Mag fait venir ses mamelles sur ma queue. À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Elle met des coups de langue sur mon gland à chaque passage de ma queue à proximité de sa bouche. Je n'en peux plus, je sens ma semence monter en moi. Je vais jouir, je vais lui en mettre partout sur la poitrine.

Un violent spasme me traverse le corps de la tête aux pieds. Mon sperme jaillit de mon sexe à grandes giclées pour atterrir sur les deux gros nichons de ma cochonne de belle-sœur. Il y en a une grosse quantité. Mag se l'étale sur ses mamelles. Je la regarde faire. Quelle femme !

Nous restons dans le salon encore un moment avant de retrouver nos esprits. Je l'embrasse tendrement.

Voila comment Magali est devenu ma maîtresse occasionnelle. Nous faisons l'amour sauvagement de temps à autres, même pendant les repas de famille ; mais ça, c'est une autre histoire...


Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 14 septembre 4 14 /09 /Sep 16:40

C'est la video de mon ex copine Géraldine qui a fait cette video pour mon anniversaire. Cette petite pute m'a trompé pendant que j'étais en déplacement donc pour me venger je partage son cadeau avec tout le monde.

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A plus Karim

Par Karim - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 14 septembre 4 14 /09 /Sep 10:43

Bonjour Julia,

J'ai fait une visio coquine avec une bombe eurasienne de 20 ans. Elle est vraiment super bonne et normalement je devrais la rencontrer dans 2 semaines. Qu'en pensez vous les amis?

A bientot

Ludo

 

Par Ludo - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Jeudi 14 septembre 4 14 /09 /Sep 00:02

Carole était une femme d'une trentaine d'années qui travaillait dans la même société que moi. Elle était secrétaire ou du moins, elle travaillait dans la partie administrative de la société.

Brune, les yeux verts, des seins pas trop gros mais avec des jolis tétons qui pointaient sous ses vêtements et très sensibles, des jolies jambes, un beau corps. Elle savait se mettre en valeur de part ses tenues, même lorsqu'elle portait un pantalon, son corps était fort désirable. Je la croisais souvent dans les couloirs, mais nos rapports se limitaient à des « bonjour, bonsoir » accompagnés d'un sourire de politesse.

Un jour à la cantine, le midi, je me suis retrouvé à la table juste derrière la sienne. La pièce était découpée en petits espaces séparés par des bacs agrémentés de plantes artificielles qui formaient des sortes de petites haies, assurant une certaine intimité visuelle, mais non sonore, ce qui permettait d'entendre si l'on était curieux ce qui se disait à la table d'à côté.

J'étais seul, elle était avec une autre fille de la société qui devait travailler avec elle.

Comme je n'avais pas de compagnie à ma table, j'avais tout loisir, même sans être curieux, d'entendre ce que les filles se disaient. Au début leur conversation portait sur le travail, quelques commérages et quelques potins, dont la découverte me faisait sourire lorsque je connaissais les personnes citées. Puis leur conversation à tourné vers un caractère plus intime, Carole disait à sa collègue que sa vie de couple n'était pas au beau fixe et que sexuellement, la routine s'était installée et que de toutes les façons, son compagnon n'avait jamais vraiment été à la hauteur de ses attentes et de ses désirs. Je gardais cette information dans un coin de ma tête, mais sans plus. Mon repas étant fini, je me suis levé et je suis retourné travailler.

Quelques semaines plus tard, il y avait un cocktail offert aux employés, pour les remercier des résultats réalisés sur l'année. Carole était là, elle portait une robe noire à fines bretelles, des bas ou des collants noirs et des escarpins. Elle discutait un peu avec tout le monde, puis à un moment elle s'est trouvée seule, un peu éloignée de la foule, au bout de la table où étaient disposés les canapés et autres amuse-bouche.

Je m'approchais, une coupe de champagne à la main.

- Bonsoir. Carole, c'est ça ?

Elle fut assez surprise, levant ses jolis yeux verts pour me regarder, puis je sentis qu'elle cherchait mon prénom.

Je lui tendis la coupe de champagne

- Robert, je m'occupe de la gestion du magasin des pièces détachées.

Elle sourit

- Oui, bien sûr.

Puis, prenant la coupe elle me remercia.

- Vous avez l'air de vous ennuyer ?

- Non, mais je n'aime pas trop la foule.

- Moi non plus, je préfère les ambiances plus intimes, moins strictes.

Elle sourit en portant la coupe à ses lèvres.

- Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous parler, c'est dommage.

- Oui.

Nous avons commencé à échanger des banalités, parlant de la société, de tout et de rien, quand Valérie une fille travaillant avec moi s'est approchée de nous.

- Alors Robert, tu ne participes pas à la fête ? Tu préfères séduire la jolie Carole ?

Nous l'avons regardée, un peu confus.

- Elle a bon goût, fit-elle en s'éloignant.

Valérie était la coquine de l'entreprise, et tous les hommes de la société ou presque avait au moins eu une aventure avec elle.

Carole me dit :

- Ça y est, elle va raconter partout que nous sommes amants.

- C'est sûr qu'avec elle, il y a des chances que cela arrive, dans mon cas ce serait flatteur, mais dans le tien, ce serait peut être plus embarrassant ?

Elle haussa les épaules

- Peu importe, cela ne me dérange pas.

Nous avons continué un peu ce jeu, en imaginant ce qui se passerait si nous étions amants, comment nous nous rencontrerions, ce que nous ferions pour nous voir, mais le tout sur le ton de la plaisanterie, l'alcool ayant détendu l'atmosphère.

Elle regarda sa montre.

- Il commence à être tard, il faut que je rentre.

- Ton mari t'attend ?

- Non, mais j'ai un dossier à la maison que je dois finir pour demain, je l'ai oublié ce matin chez moi où je l'avais emmené hier pour travailler. Et mon patron le veut pour demain sans faute.

- Ok, la raison est valable.

Elle s'approcha de moi, me tendit la joue pour m'embrasser, je sentis son parfum délicat et sa peau douce sur mes joues.

Puis posant sa coupe de champagne vide, elle se tourna vers moi une dernière fois, et en me regardant droit dans les yeux elle me dit

- J'aime les hommes, les vrais, ceux qui ne s'embarrassent pas avec des ronds de jambes mais qui vont droit au but. J'adore être un jouet entres leurs mains. Salut.

Et elle s'éloigna, puis sortit de la salle.

Je restais immobile, les pensées les plus confuses et les plus folles ont envahi ma tête, le message était clair, à moi de jouer, mais comment allais-je m'y prendre ?

Je ne tardais pas à partir moi aussi, mes pensées étant totalement occupées par cette dernière phrase de Carole. Comment allais-je bien pour voir négocier la suite ?

Le lendemain à midi, je me suis arrangé pour arriver un peu avant elle à la cantine. Je l'ai vue rentrer, accompagnée d'une de ses collègues, je m'étais placé de telle manière qu'elle était obligée d'emprunter cette allée pour entrer dans la salle. Lorsque elle passa devant ma table, elle me sourit, je la regardai droit dans les yeux, puis lui désignant la chaise face à moi, lui dis d'un ton ferme :

- Assieds toi !

Elle dit à sa copine d'aller s'installer, qu'elle allait la rejoindre. Elle posa son plateau sur la table et s'assit sans un mot. Puis, posant sa tête entre ses mains, son regard plongé dans le mien, elle me dit :

- Ma dernière phrase t'aurait-elle fait de l'effet ?

- Serais-tu là, sinon ?

- Non, je ne pense pas.

- J'ai bien repensé à cette dernière phrase, en as-tu pesé tous les mots ? lui dis je en insistant bien.

- Oui !

- Tu es prête à être le jouet de mes envies et des mes fantasmes ?

- Oui.

- Bien, dans ce cas, attends-toi à avoir de mes nouvelles très bientôt pour en faire la preuve.

Elle se leva, reprit son plateau et me lança un regard qui en disait long qui reflétait aussi que ses pensées devaient bouillonner à leur tour. Elle alla rejoindre sa collègue, jetant de temps en temps un regard dans ma direction, signe du trouble que j'avais fait naître en elle.

Je quittai la salle, puis je retournai travailler. Dans l'après midi, je composai son numéro de téléphone interne :

- Carole G... j'écoute !

- Ce soir, chez moi, 18 heures.

Et je lui donnai l'adresse sans un mot de plus.

- Heu... 19heures plutôt, si tu veux bien, ce sera plus facile pour moi.

- Ok, 19heures chez moi, à tout à l'heure.

Et je raccrochai.

Mon travail fini, vers 17 heures - je n'allais pas faire des heures sup ce soir là - je rentrai. Arrivé chez moi, une petite villa à la périphérie d'un village à quelques kilomètres de mon travail, je me garai, puis j'allai prendre une douche afin d'attendre cette femme qui allait devenir ma Maîtresse, et avec qui j'allai expérimenter toutes mes envies. La douche terminée, j'enfilai un peignoir en éponge, puis j'allai mettre un peu d'ordre dans la maison, et préparer sa venue. La maison était constituée d'une grande pièce unique, où j'avais installé un grand canapé et un fauteuil style club, une table ronde avec quatre chaises. Il y avait une chambre assez grande où j'avais installé un bureau. Le seul luxe de cette maison était dans la salle de bains, la baignoire était digne de certains films d'Hollywood, en forme de haricot, avec des jets de massages, qui serviraient sans doute un jour avec Carole, comptant tout mettre en œuvre pour en faire ma Maîtresse régulière.

A 19 heures, j'entendis une voiture se garer devant la maison. Je m'approchai de la porte, et j'éclairai l'entrée, tout en vérifiant que c'était bien elle par la fenêtre de la cuisine qui donnait sur le devant.

Elle descendit de sa voiture, ferma la portière et se dirigea de manière directe et sans hésitations vers la porte.

Avant qu'elle ne sonne, j'ouvris.

Elle me regardait, debout devant la porte, tenant son sac devant elle. Elle portait la même robe noire que la veille, elle était donc allée se changer.

Je lui fis signe d'entrer. Elle s'exécuta. Quand elle eut passé la porte, je refermai derrière elle et d'un signe de la main sans un mot, je lui indiquai d'entrer dans le salon.

Elle attendait que je prenne une initiative, que je parle.

Je m'approchai d'elle, je pris son sac à main et le jetai sur le canapé, puis sans un mot, je passai ma main gauche derrière sa nuque, de la droite j'écartai les pans de mon peignoir, et je saisis mon sexe. La pression de ma main gauche se fit plus insistante sur sa nuque, l'incitant à venir emboucher mon sexe.

Je décalottai mon gland, mon sexe commençait à raidir, je le poussai entre ses lèvres, son buste étant penché en avant, sa tête au niveau de mon pubis. Elle ouvrit ses lèvres pour laisser passer mon gland chaud et commença à me sucer, ses deux mains sur mes hanches. Je tenais toujours ma main sur sa nuque, mais il était inutile de la forcer, elle s'exécutait apparemment avec plaisir.

Ma queue qui avait atteint une bonne taille au fond de sa bouche qui coulissait le long de ma tige, je sentis sa langue douce par en dessous, je profitais de sa position, pour soulever sa robe. Je découvris ses fesses, et avec plaisir je constatai qu'elle ne portait pas de culotte. D'un geste sec, je lui claquai les fesses, elle émit un son, mais continua de plus belle à me sucer.

Je recommençai, et chaque fois, d'un léger mouvement de la croupe, elle me faisait comprendre de continuer.

Après quelques instants comme cela, où elle enfonçait mon sexe au plus profond de sa gorge, et où je sentais mon plaisir monter, je me suis reculé, puis la saisissant par les cheveux, je l'ai redressée pour lui faire un baiser profond. Ma langue dans sa bouche se mêlait à la sienne, ce baiser fut long et passionné, je sentais qu'elle appréciait mon audace et mon attitude directe.

Tout en tenant ses cheveux, je m'écartai d'elle, son regard en disait long sur le plaisir qu'elle éprouvait de cette situation.

J'ai défait la ceinture de mon peignoir, me débarrassant de ce vêtement qui commençait à me tenir chaud vu les conditions.

- Alors petite chienne, tu es contente de ton os ?

Elle prononça un oui qui n'avait rien d'un peut être.

La repoussant contre le mur face à moi.

- Allez à poil, enlève-moi cette robe !

Elle s'exécuta, soulevant la robe par-dessus sa tête, pour la lancer dans la pièce, son regard était fiévreux de désir. Je découvris son corps que je n'avais pour le moment qu'imaginé durant toute la journée.

Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins, sans êtres gros étaient bien fermes et bien ronds, les aréoles brunes, avec des tétons qui pointaient, incitant à la caresse. Je descendis mon regard le long de son ventre, pour découvrir un petit triangle de poils en forme de V, le reste de son sexe étant épilé et bien lisse. Elle se tenait droite, attendant la suite des évènements.

- Tu es très belle, encore mieux que dans mes rêves, je suis le Maître d'une très jolie chienne, j'en suis ravi.

- Oui, fit-elle d'une voix profonde. Oui, je suis ta chienne, continue, fais de moi ce que tu veux.

- Bien, c'est ce que je compte faire.

- Accroupis-toi !

Elle s'exécuta aussitôt, son dos contre le mur, ses jambes repliées et écartées, toujours gainées de ses Dim-up noirs et ses pieds toujours chaussés de ses escarpins.

J'avais ainsi une vue imprenable sur son intimité offerte sans pudeur, certains reflets sur ses grandes lèvres indiquaient clairement qu'elle mouillait de la situation.

Je pris ses mains, je les posai sur mes épaules, puis de nouveau je poussai mon sexe entre ses lèvres. Je poussai lentement pour m'enfoncer le plus possible en elle, sa tête en appui contre le mur, elle ne pouvait se soustraire à cette pénétration. Quand j'ai senti que j'avais atteint la limite du supportable pour elle, je restai un instant au fond avec de reculer d'un lent mouvement de reins. Ma queue tendue était recouverte de sa salive. Quand mon gland fut dehors, elle souffla, mais aussitôt elle ouvrit en grand sa bouche pour me faire comprendre que je devais encore la prendre ainsi.

Je commençai de lent allers-retours dans sa cavité buccale, elle se laissait faire s'ouvrant au maximum, tout en agitant sa langue pour me donner plus de plaisir. Elle salivait abondamment et une partie coulait sur ses seins. Quand j'allais trop profond, elle serrait ses mains sur mes épaules pour me le faire comprendre, je marquais une pause, puis je sortais pour de nouveau mieux la remplir.

- J'adore ta bouche, elle est chaude et soyeuse, tu aimes te faire prendre par là comme si c'était ton sexe ?

Elle faisait « hummm », étant incapable de parler, ma queue emplissant sa bouche, mais quand je me retirais, elle disait « encore !» d'une voix haletante.

Je fis glisser ses mains sur mes tétons, j'adore cette caresse quand je me fais sucer. Elle caressait doucement mes tétons, cela m'électrisait à chaque fois que j'entrais dans sa bouche. Je tendis les mains pour arriver à atteindre ses tétons à elle. Je m'en emparai, je les fis rouler, je les tirai vers le haut, quand ma queue sortait de sa bouche, et elle râlait de plaisir.

Sentant mon plaisir monter, je continuai à aller et venir dans sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu.

- Je vais te jouir dans la bouche, j'adore ça et tu vas tout avaler ! Compris ?

Je me retirai suffisamment pour qu'elle puisse dire oui.

J'accélérai mon va-et-vient, elle continuait à me caresser les tétons et moi les siens, je sentis des picotements dans les reins, puis au moment où j'allais jouir, je me suis retiré, ne laissant que mon gland dans sa bouche. J'ai inondé sa cavité de mon plaisir, elle ne bougeait pas, ayant refermé ses lèvres sur mon gland. Les jets se faisant plus rares et moins puissants, elle saisit mon sexe pour le branler et en extraire les dernières gouttes. Elle avala mon sperme mêlé à sa salive, puis aspira mon gland en faisant des bruits obscènes. Quand mon sexe fut bien propre et qu'il commençait à ramollir, elle le lâcha, se laissant tomber, tout en restant dans sa position accroupie. Ses cheveux étaient mouillés par sa sueur, elle était très belle.

Je repris doucement mes esprits, la jouissance avait été forte, mes jambes étaient cotonneuses. Elle respirait fort, la tête penchée en avant.

Quelques secondes plus tard, je la saisis de nouveau par les cheveux, pour lui indiquer de se redresser.

Debout contre le mur, ma main dans ses cheveux, de mon épaule gauche je la plaquai contre le mur. Je m'approchai de son oreille, et doucement je lui dis :

- Alors petite pute, tu es contente de ce début ?

- Oui, répondit-elle doucement.

Ma main droite se plaqua sur son pubis qui était brûlant et trempé, il était doux et lisse, la sensation était divine.

- Mais tu mouilles ma parole, ça t'excite donc d'être mon jouet, mon esclave de plaisir ?

- Oui.

- Désormais quand nous ne serons que tous les deux, où que nous soyons, tu devras me dire bonjour en prenant ma queue dans ta bouche, c'est compris ?

- Oui.

- Bien.

En disant cela, je pousse mon index et mon majeur dans son sexe, ils glissent facilement et sont emprisonnés dans une fournaise, je les bouge un peu dedans, puis l'annulaire va les rejoindre.

Je commence à la branler, la sensation est agréable pour moi, ce sexe brûlant et liquide autour de mes doigts, je tiens son plaisir dans ma main.

Je l'embrasse de nouveau d'un baiser profond et tout en accentuant mon geste, je me fais de plus en plus rapide en elle. Elle remue, veut se retirer de ma bouche pour reprendre son souffle, mais je ne cède pas, sa respiration s'accélère de plus en plus au rythme de mes doigts, je sens son corps se contracter, elle pousse un cri qui est étouffé par nos bouches mêlées, son corps se raidit, je sens mes doigts qui sont écrasés par les contractions de son vagin, puis la pression diminue. Je sors mes doigts gluants de son intimité, je les porte à sa bouche, et les enfonce entre ses lèvres.

- Goûte ton plaisir, ta jouissance !

Elle avale et lèche mes doigts, je m'écarte de son corps, elle se laisse doucement tomber contre le mur, visiblement fatiguée par ce qu'elle vient de ressentir.

Je la laisse, elle s'allonge à moitié sur le sol pour récupérer, sa respiration se calme.

Je vais chercher deux coupes et une bouteille de champagne dans la cuisine, puis je reviens dans le salon.

Elle est toujours sur le sol, mais redressée en appui sur son coude droit, de sa main gauche elle tente de se recoiffer, du moins elle arrange ses cheveux mouillés et en bataille.

Je m'assieds sur le canapé, je la regarde, ses yeux sont brillants, illuminés de cette lueur indéfinissable que les femmes ont après avoir joui.

Je sers les deux coupes, elle va pour se relever et s'approcher.

- Non, comme une petite chienne !

Elle sourit, comprenant ce que je veux, elle se met à genoux, les mains posées au sol et elle s'approche doucement de la table d'une démarche féline.

- Bien.

Arrivée à la table, je porte la coupe à ses lèvres, et je l'aide à boire. Doucement le liquide frais coule dans sa bouche, mais aussi sur son menton et sur le bas de ses joues, pour finir sur le plateau en verre de la table.

Je lui fais signe que je trinque, et je bois ma coupe à mon tour.

Elle me regarde droit dans les yeux, et d'une manière sensuelle, mais impudique, tout en penchant sa tête pour ne pas me perdre du regard, elle lèche le champagne sur le plateau de la table, pour ne pas en perdre une goutte.

- Bien tu es une bonne chienne docile, je crois que je vais te garder.

Elle ne dit rien, mais elle sourit avec un regard mystérieux, en passant sa langue sur ses lèvres.

Puis continuant à avancer vers moi, elle pose sa main droite sur ma cuisse, puis sa gauche sur mon autre cuisse, pour les écarter.

Elle se penche en avant et embouche mon sexe. La sensation est étrange, sa bouche est douce et fraîche, je me laisse aller en arrière pour savourer l'instant.

A genoux entre mes cuisses, elle commence à me sucer en aspirant, ses mains posées sur mes genoux. Mon sexe commence à se raidir, sa bouche se fait plus chaude.

- Mets la tête en arrière !

Elle obéit.

- Ouvre la bouche !

Elle le fait.

Je fais couler un peu de champagne dedans.

- Continue !

Elle se penche et prend mon sexe dans sa bouche. Je sens de nouveau la fraîcheur sur mon sexe, mais aussi le picotement des bulles, et le liquide froid qui coule le long de ma queue pour finir sur mes bourses. Elle n'avait pas tout avalé. Après quelques va-et-vient, elle envoie la tête en arrière pour recevoir une nouvelle dose de champagne. Durant de longs moments elle s'est livrée à ce petit jeu, me suçant avec du champagne dans la bouche, et je sentais la fraîcheur et les bulles, ces sensations étaient extraordinaires.

Mon sexe étant bien raide, je la laisse encore un moment me sucer dans cette position, puis je lui dis :

- Sur le fauteuil ! Présente-moi ton cul !

Elle se dirige vers le fauteuil, de l'autre côté de la table, toujours à quatre pattes, en ondulant de la croupe pour bien s'exposer, impudique et offerte. J'admire son abricot lisse qui ondule entre ses cuisses.

Arrivée près du fauteuil, elle se hisse doucement dessus, mais au lieu de s'agenouiller comme je l'attendais, elle met ses genoux sur les accoudoirs, et s'écrase véritablement sur le fauteuil, sa tête reposant sur l'assise. Cette pose est très indécente, son sexe et son anus sont ainsi offert totalement à la vue, la place libre en dessous, lui permet de passer les bras pour écarter son sexe et bien s'offrir.

- Très jolie vue, tu es très chienne, mais je ne vais pas me plaindre, continue, caresse-toi !

Elle glisse ses mains sous son ventre, écarte ses lèvres et se caresse le sexe, se fouillant de ses doigts fins. Elle est encore mouillée.

Je me lève et je m'approche d'elle, je parcours son dos avec mes doigts, j'effleure ses fesses, le dessus de ses cuisses, je passe sur le côté de sa poitrine, je remonte sur sa nuque, puis je redescends doucement le long de sa colonne, puis je continus mon geste. En passant, j'effleure son anus et je finis en mêlant mes doigts aux siens sur son sexe. Puis d'un geste vif, je claque ses fesses. Elle pousse un petit cri, mais continue à se caresser, sans bouger le reste de son corps. Ma main retombe sur sa croupe offerte, avec un bruit sec, elle étouffe un deuxième petit cri.

- Tu sais que tu es une vilaine fille ?

- Ah bon ?

- Oui tu es une vilaine fille qui excite les hommes, ce n'est pas bien !

Et ma main tombe sur ses fesses. Cette fois-ci le petit cri se transforme en râle de plaisir.

- En plus, tu aimes être vilaine !

- Oui, je suis une vilaine fille, très vilaine !

Je passe derrière le fauteuil, son buste repose sur le dossier, elle me regarde, toujours avec cette lueur de désir dans les yeux.

J'approche mes doigts de ses lèvres, je passe mon index droit dessus, puis je le pousse pour entrer dans sa bouche.

- Suce ma jolie, suce, tu sais si bien le faire !

Elle suce mon doigt comme elle l'a fait avec mon sexe. Je joue un moment avec elle, elle ronronne comme une chatte, ses mains lui donnent du plaisir.

Je retire mon doigt pour le remplacer par mon sexe, mon gland passe lentement entre ses lèvres, je sens la douceur soyeuse de sa bouche m'entourer, je me penche un peu et de mon doigt humide de sa salive, je caresse son petit trou. Je sens qu'elle est sur le point de jouir, je me retire et je donne une claque sur ses fesses pour ponctuer son plaisir.

- Stop ! Cesse de te caresser !

- Non, s'il te plaît ! dit elle d'une voix hésitante, se concentrant sur son plaisir.

- J'ai dit stop !

Et ma main tombe sur ses fesses. Je fais le tour, je me positionne derrière elle, je passe mes mains sous ses coudes, pour sortir ses bras de sous son ventre.

- Bras croisés dans le dos, mains sur les fesses !

J'accompagne mes mots de gestes et je croise doucement ses bras, puis je dépose ses mains sur ses fesses, qu'elle saisit pour bien s'ouvrir s'il en était besoin, vu sa position.

Je m'empare de sa taille et je positionne mon sexe à l'entrée du sien.

- Humm, fait-elle écartant un peu plus ses fesses.

D'une seule poussée, je vais au fond de son sexe, je le sens autour de moi, brûlant et humide. Elle râle de plaisir durant toute la pénétration. Arrivé au fond, je me retire aussitôt, pour ne laisser que mon gland juste à l'entrée, entre ses petites lèvres.

- Tu veux ?

- Oui, prends-moi, je suis ta chose » !

- Je peux faire de toi ce que je veux ?

En même temps, je m'enfonce au plus profond d'elle même.

- Ouiiii, fais ce que tu veux, mais prends-moi !

Je me retire lentement, mon sexe est trempé de sa mouille.

Je sors mon sexe du sien, et je pose mon gland sur son petit anneau brun.

- Tout ce que je veux ? »

- Ouiiiii !!!!

Je force le passage d'une poussée lente mais régulière, elle étouffe un long râle en enfouissant la tête dans le dossier du fauteuil. Je sens son anus qui m'enserre, mes couilles viennent au contact de son sexe, je reste ainsi quelques secondes, j'en profite pour lui caresser le dos de la main droite.

Je ressors lentement, elle émet encore un long son étouffé par l'étoffe.

Je la tiens par le bassin et je commence à aller et venir très lentement dans son anus étroit. Au bout de quelques temps, je passe ma main sous mon sexe, et je glisse mon pouce dans son vagin, tout en frottant son clitoris avec le reste de ma main. Je sens mon doigt à travers la fine peau qui le sépare de mon sexe. J'accélère, allant de plus en plus vite en elle, elle ne cesse de grogner, elle vibre sous la pénétration.

- J'adore ton cul, je pense que je ne te prendrai que par là !

- Oui, si tu veux, crie-t-elle. Ne t'arrêtes pas, c'est trop bon !

Je vais et je viens en elle, je la sens se contracter autour de ma queue, elle se cambre en arrière, ses doigts se crispent sur ses fesses, elle pousse un cri de jouissance, avant de retomber, la tête sur le dossier. Je sens mon plaisir monter au creux de mes reins, je sors de son anus.

- Ta bouche !

Elle se retourne d'un mouvement rapide, tombe assise sur le fauteuil et ouvre sa bouche au moment où mon sperme jaillit par saccades de mon sexe.

Elle le reçoit sur le visage et la poitrine. Elle s'empare de mon sexe, le branle et suce le gland comme si elle était prise de folie. Je sens mes jambes se dérober, je prends appui sur les accoudoirs pour ne pas tomber, elle continue à téter mon gland, tout en me branlant vigoureusement, je sens une deuxième vague de plaisir monter, et de nouveau je gicle dans sa bouche, et elle avale tout aspirant la moindre goutte. Le contact de ses mains et de ses lèvres devient presque douloureux. Je la fais cesser et je tombe à genoux face à elle. Elle me regarde en souriant, mon sperme macule encore ses joues et sa poitrine.

Je reprends lentement mes esprits, à genoux devant elle. Son visage est beau, ses yeux verts en disent long sur les sensations qu'elle a ressenties.

Je me recule et je me laisse tomber sur le canapé.

Elle vient me rejoindre et se love contre moi.

- Si tu continues comme ça, tu peux faire vraiment tout ce que tu veux de moi, je t'appartiens.

Je la regarde en souriant.

- Je vais vraiment faire ce que je veux de toi ! »

Elle me sourit et approche son visage du mien pour m'offrir un baiser passionné, sa bouche a encore le goût de mon sperme, nos langues se mêlent. Puis elle repose sa tête sur ma poitrine.

- Je vais prendre une douche, j'en ai besoin, dit-elle en se levant doucement.

Je lui désigne la salle de bains. Je la suis du regard, son délicieux derrière qui m'a donné du plaisir ondule à chaque pas. Elle ne porte que ses bas, je la trouve très belle.

Pendant qu'elle prend sa douche, je remets mon peignoir et je vais à la cuisine nous préparer un petit en-cas, le sexe, ça creuse.

Elle ressort, le corps ceint d'une serviette, elle est très jolie ainsi. Elle me rejoint dans la cuisine, où nous grignotons avec avidité ce que j'ai trouvé dans le frigo.

Quand il ne reste plus rien, elle me dit :

- Je vais me sécher les cheveux et après je rentre.

Puis elle retourne à la salle de bains, où j'entends le sèche-cheveux qui est entré en action.

Je range la cuisine, quand elle revient vêtue de sa robe et de ses bas, portant à la main ses escarpins.

- J'adore ta salle de bains.

- Tu auras l'occasion d'y revenir !

Elle me sourit, va chercher son sac sur le canapé, je suis dans l'encadrement de la porte, elle avance doucement vers moi.

- On se voit demain au boulot ?

- Oui, comme si de rien n'était.

- Parfait, cela me convient.

Elle dépose un baiser sur mes lèvres en se hissant sur la pointe des pieds, puis enfile ses chaussures, avant de se diriger vers la porte d'entrée.

Je la regarde, elle pose la main sur la poignée, puis se retourne.

- J'allais oublier...

Elle revient vers moi, se penche en avant, glisse sa main par la fente du peignoir, saisit délicatement mon sexe, et l'embouche une dernière fois, en aspirant, puis dépose un baiser sur mon gland et se redresse.

- Si je dois dire bonjour ainsi, pourquoi pas au revoir ?

Je lui souris, elle ouvre la porte, au moment où elle la passe, je lui dis :

- Je ne veux plus que tu mettes de culotte, je te veux accessible tout le temps !

- Ok.

Elle m'envoie un baiser du bout des doigts, se dirige vers sa voiture et s'en va.

Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 13 septembre 3 13 /09 /Sep 16:19

Salut Julia,

Voici la video d une de mes ex copines prise en camera cachée. Qu'en pensez vous?

A plus

Tim

Par Tim - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 13 septembre 3 13 /09 /Sep 09:15
bonjour a tous
voila ma petit histoire vecu
un mercredi de aout 1999 étant en vacance j'avais prévu d'alleé a la pêche.donc je partie au magasin de pêche cherche le neceraire pour rentré je fis un detour par la ville je vis une copine qui rentrait du boulo je luis demandait si je pouvait la racompagné chez elle elle repondis un oui tres vite car un orage approchait arrivé chez elle m'invita a monte boire un café nous discutame de tout et de rien,sachant q'elle habitait avec ca mere je luis demandait des nouvelles elle repondit que c'etait par tout rose et q'elle rentrais a 16h.
elle parti cherche le reste de café je la suivie est dans la cuisine je l'a pris par les hanches est je l'embrassait a pleine bouche je commencais a la caresse tout y passai je m'assoie sur une chaise je deboutonait son chemisier je decouvri ses seins il etait ien ferme je les embrassais longment.elle me pris une main et me tira vers ca chambre arrivé je repris mes baisé et mes caresses on de desabilla je decouvrie une toison rousse moi je bandais deja fort ellle ca procha et pris ma verge dans une main la branla un peu puis la pris en bouche ses mouvement si regulier que je pu me retinr plus lointemps et je jouis dans ca bouche 4 giglé elle avala comme du petit lait et n'an perdi pas une goute.reprenant une forme je me mie a léché ca chatte bien rousse est mouillé je la sentie se cabré plusieur foi elle aimai bien ca, on se mis en position du 69 un bon moment.
nous changame de position je la prie par derriere avant de la fourré je arretait un petit moment sur son petit anus salivant pour espere faire tour.je remtrai ma verge dans ca chatte humide je les bourrés comme un fou elle u plusieur orgasme (mais moi tout me disait elle) soudain ca mere rentra dans la chambre (on ne l'avais pas entendu rentre dans l'appartement) l'air supris pour nous deux on ne savais pas ou se mettre.
puis ca mere nous dit je me douche est j'arrive ca fait un moment que j' ai pas fait l'amour surpris de ces paroles on se regardait est je repris mes va vient doucement ca mere revint est commenca par nous carresse tout les deux,je me retir pour presente ma verge est sans hate elle le pris en bouche l'experince etait lâ !!!!!!!!!!!!
ca fille rejoindre ca mere chacun leur tour me sucais la queue la mere me presentait ca chatte je rentri dans cette chatte rousse comme la fille mes va vient assez violant,on fait jallir des petit cris je me retirai la mere me dit enfonce la dans mon cul,ca fille me prepare cette orrife une foi bien humide la fille pris ma verge me guida dans le cul de ca mere la mere gemeissait elle u plusieur orgasme ne temant plus je jouis dans le cul de la mere j'etait en plein bonheur je me retire la mere nant perdis pas une miette en reprenant mon sex dans la bouche la fille en frofitait pour luis leche le cul avec hatte
puis la fille demanda de ce faire defonce l'anus (personne etant passé) la mere si mis la leche fit rentre un doigt puis deux je titillais les sein de la fille je repris forme la mere repris ma verge en bouche en la salivant puis me presentait l'anus de la fille je penetrais ce petit orifice sans visite la fille disait va y defonce le moi je la bourrais comme un fou c'etait pour nous deux l'extase je jouis elle apres quelle est u plusieur orgasme je me retire la mere s'enpresse de boire le sperme qui coullait du cul de ca fille elle m' embrassait toutes les deux en me disant que ca suffirra pour aujourd'huit j' etait lessive je pris une douche est je rentrai chez moi en revant comment se passerait la prochaine fois ca serra une autre histoire
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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