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Mardi 16 mai 2 16 /05 /Mai 08:38
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Par julia - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Lundi 15 mai 1 15 /05 /Mai 20:46
J'assurais la gérance d'une boutique de défroques féminines. A une demi-heure de la fermeture, l'unique cliente farfouillait dans les bacs de sous-vêtements soldés au fond du magasin, sac à main à l'épaule. Quoique concentré sur la clôture comptable de la journée je notais qu'elle agitait sa crinière dorée en glissant des coups d'oeil furtifs dans ma direction... La recette était aussi maussade que le temps pluvieux qui faisait suinter la poussière de la ville le long de la vitrine. Dans la rue les roues des voitures projetaient sur le trottoir l'eau accumulée dans les caniveaux. Lorsque la jeune femme passa devant moi je posai la main sur son bras. Elle sursauta. « Mademoiselle, vous voudrez bien ouvrir votre sac à main... » Ses mirettes d'un bleu intense crépitèrent de fureur contenue. « J'insiste . Ici, le moindre vêtement est équipé de puces électroniques qui titilleront l'alarme. Vous êtes en talons aiguilles et jupe étroite, je cours vite. Donc, dans l'hypothèse d'un escamotage je récupère la marchandise et nous en restons là. Vous m'agonirez d'insultes tout votre saoul si je ne trouvais rien. » Je bluffais car le système électronique était en rade pour cause de maintenance bâclée. Lèvres tremblantes, regard d'automate, elle déclipsa le fermoir en métal. Le sac était vraiment peu garni et parfaitement ordonné : trois tubes de rouge à lèvres, porte cartes de paiement, stylo encre, petit porte monnaie, quelques papiers d'identité, un roman de Daniel Pennac et ... un sous-tif à balconnets tenant compagnie à deux culottes mexicaines.

« Vos goûts sont raffinés : du 1er choix, pour environ deux cents euros. » Je procédai à un rapide calcul mental. « Deux cent dix-huit très exactement. Vous comptez user de la carte bleue ou vous passer de ces colifichets ? » Elle minauda « Je .... je suis vraiment à découvert en ce moment. J'ai eu une pulsion incontrôlable devant ces jolis objets. - En plus je soupçonne qu'ils doivent faire beaucoup d'effet sur vous... » Elle rougit, faisant saillir ses pommettes. Aucun de nous deux n'avait élevé la voix, ma collègue Danièle qui achevait de classer le stock dans les réserves fut surprise en découvrant la jolie blonde au sortir de son antre à rangements. Je me levai pour remettre en place le produit du larcin. Danièle ajusta son blouson en jean, empoigna un parapluie, me salua avant d 'affronter la bruine. « Suis à la bourre pour récupérer le gamin chez la nounou. Désolée. - No problem, c'était convenu. A demain. »

Derrière moi, la chipeuse manipulait nerveusement sa besace. Je pivotai, frusques toujours en main. Nous nous dévisageâmes en chats de faïence. « Ces fringues vous ont plu au point de prendre un tel risque ? » Elle hocha la tête. « Vous en avez tellement envie ? » Mouvement de nuque affirmatif. Je la fixai dans les yeux « Vous seriez prête à tout pour les avoir ? » Re hochement du chef, sans le moindre battement de cil. « Je vais être plus explicite. Accepteriez vous un troc sous-vêtements contre acquittement en nature ? Même si votre alliance me laisse deviner qu'un bonhomme a accès à vos charmes indéniables. » Un bref temps d'arrêt précéda son acquiescement délicieusement ambigu, presque murmuré : « Oui. J'ai tellement d'envies. - OK, vous devrez mériter chaque vêture, sans rechigner à la tâche... » Son regard oscillait entre timidité et détermination. Je verrouillai le sas de l'échoppe, éteignis l'éclairage de la devanture, indiquai à la belle la cabine d'essayage en fond de boutique, y poussai un fauteuil à roulettes. Je disposai les « achats » sur un petite carton.


Je passais l'index sur l'échancrure de son bustier, les muscles fins de ses épaules. Son blouson en peau d'agneau, légèrement élimé, chut dans un froissement mat de cuir. Un à un je dégrafais les boutons de son haut, fis jaillir son buste en décrochant son soutien-gorge. Ses lèvres purpurines, délicatement soulignées d'un trait discret de rouge-baiser, tremblotaient. Son ventre souple et musclé frissonna lorsque mes paumes presque glacées enveloppèrent les sphères de seins si tendrement fermes, explorèrent ses charmes – flancs, croupe, haut des cuisses enserrées par de fins bas aux motifs abstraits. Je glissais le string par dessus ses bottines à talons aiguilles, plaquais tout contre moi son bronzage intégral aux tessitures pain d'épices, massais ses fesses, enchâssais par l'arrière le majeur dans le creux de sa c oupe de Vénus. Elle léchait mes lippes à petit coups, souffle court mouvant le doux velours de sa poitrine, dardait sa langue dans ma bouche, lèvres scellées aux miennes, reins avançant et reculant au rythme de ma tendre branlette. Je pivotais lentement, la guidai comme en une danse sans musique, la plaçai sur le fauteuil, cuisses écartées, substituant mes babines au majeur fureteur.

Serrant possessivement ses fesses, je la suçais de tout mon saoul, dégustais ses saveurs en profondes lichées, plongeais ma langue en elle, la léchais puis déposai sa mouille sur ses cuisses, son abdomen avant de me gorger à nouveau de son suc. Les trémolos des gémissements de cette voluptueuse catin escortaient chaque variation de mon cunnilinctus. Me redressant, je posais sa dextre sur son minou, guidant ses doigts en elle. Délaissant groles, chaussettes, futal et slip, couvrant mon érection d'un condom, je la pris par les hanches, faisant balancer son fion sur la surface en tissu pour empaler sa chatte sirupeuse sur ma gaule tumescente. Cambrée de plaisir, yeux mis-clos, elle arc-boutait ses mollets à mes fesses. Nous forniquions avec une lubricité du meilleur aloi plus que nous ne faisions l'amour, baladant d'avant en arrière le fauteuil. Le rideau frôlait mon postérieur. Tempo débridé – deux coups de bambou énergique, une glissade lente dans la moiteur fondante de son con, pilonnages rapprochés, pause, douce pénétration de l'ampleur de mon vit, coups de râbles endiablés... Corps réchauffés, épiderme couverts de suée, souffles raccourcis en râles d'amants. Surexcité par cette créature si chaude, je bloquais les muscles de ses cuisses pour l'immobiliser et régenter à ma guise mes assauts de plus en plus effrénés, reculant mon braquemard pour la saillir au plus profond de sa chatte. De plus en plus vite, prenant mon élan, ouïssant mes burnes qui claquaient son fion, jusqu'à exploser dans l'étui de latex. Sa jouissance débridée ne me sembla pas feinte...


Flageolant, je me retirai, fis choir la capote lestée de sperme. « Ma belle voleuse, tu viens de gagner ton premier accoutrement. Mais il y a un petit problème. - Heu lequel ? - Il me semble que te faire baiser ne te coûte pas grand chose, ce serait plutôt cadeau pour toi. Alors tu vas me solder ton compte en bonne petite pute, bien docile. - Oui. - Oui qui ? - Oui Monsieur, votre putain est aux ordres... » Je disposai mon séant sur le siège, l'attrapai par la nuque. « Suite du programme : taillage de pipe bien goulue. C'est dans tes cordes ? - Bien sur, je suis une très bonne suceuse, surtout quand je suis motivée par l'enjeu. Monsieur pourra en juger. » Adoptant la génuflexion elle mut délicatement de la boucle de ses doigts la tige ma foi ramollie. Mon gland violacé, encore visqueux gigotait tout près de ses naseaux au rythme lascif de cette branlette liminaire. Sa langue fouilla la fente de ma boule, me décapsula, spirala à moult reprises autour du chibre ainsi mis à nu. L'angle de la verge portait vers le bas mais mon dard se gonflait de plus en plus. Senestre maintenant le braquos dans l'axe, la pulpe de ses lèvres expertes voilait, dévoilait le bout de mon globe sommital, le barbouillait de sa salive, toute à la lente dégustation d'une gluante Chupa Chups.

Je lissais ses cheveux de mes doigts, glissant ver sa nuque, tirais peu à peu sa crinière pour guider les turpitudes affriolantes de son pompage de biroute. « Là, ma chaude. C'est bon, tellement bon ! Continue, enfonce bien cette queue dans ton gosier, que je sente que tu as VRAIMENT envie de ces fringues... » Sa main droite caressait mon ventre. Ailes du nez serrées, ses joues se creusèrent pour ingérer mon mandrin, entonnoir buccal progressant par à coups, refluant, regagnant le terrain perdu - et au-delà ; d'une traction explicite de sa crinière je fis redresser son buste afin que ma bandaison désormais flagrante s'extériorise à la verticale. Je prenais mon pied à soumettre cette tapineuse domestiquée au tempo de mon bon plaisir, contractant et décontractant les parois de ma gau le enfoui dans son fourreau buccal. J'admirais la chorégraphie friponne de son triple reflet sur les miroirs de la cabine. Sa poigne licencieuse astiquait vicieusement ma verge, faisait coulisser la peau autour de la raideur de mon érection, de bas en haut, de haut en bas, troussant et retroussant le chibre, synchrone avec ses sucées dont l'avidité s'accélérait. Je matais ma cime tumescente qui distendait les muscles de sa joue droite, gauche, droite, gauche... « Ouuui !!! On sent que tu en veux, petite salope ! Pompe moi le bout à fond, maintenant, que je voies comment tu avales mon jus. Oh, quelle pipeuse ! » Ses doigts me compressèrent le chibre, comme pour intensifier la puissance de mon éjaculation. Gémissant, vagissant, mes deux mains tractaient violemment les racines de sa crinière, je m'arquais, explosais dans sa bouche. Ses yeux magnifiques contemplaient ma jouissance, elle siphonna de toute sa vélocité le haut du noeud violet de fé licité, déglutit pour me savourer mais la vigueur de mes geysers de sauce blanche dégorgea le long de son menton puis sur ma pine.

« Recrache ma purée sur tes seins, TOUT DE SUITE ! Après tu lécheras mon foutre sur tes miches ! Exécution, PUTAIN !!! » Toujours aussi docile, elle étira ses poupes, y rétrocéda mon nectar, passa sa langue sur ses aréoles, yeux clos, mamelons durcis par l'excitation de mes directives salaces. Je l'embrassai à pleine bouche. Mes paumes palpaient, pétrissaient le velours de son buste souillé de ma glu puis étreignirent ces appâts, les serrèrent peu à peu. Un rictus endolori s'esquissa mais elle ne pipa mot. « Ta dernière acquisition est à conquérir. Il faut que je sois à nouveau d'attaque pour faire face à ton tempérament fougueux. Branle-moi le vit. Mais peut-être as tu ton compte ? - OH NON ! S'il vous plaît ! » Clignant de l'oeil elle massa mes burnes d'une pogne, enlaça le sommet du dard de l 'autre.


Toujours à mes pieds, une jambe dépliée en appui sur le talon déployait ses arômes de femelle en chaleur. « J'irai jusqu'au bout, Monsieur... Laissez-moi encore jouer l'esclave soumise à votre belle queue. - T'as vraiment le feu au cul. Une salope bien lubrique comme je sais les apprécier. » Elle imprima un tempo grivois à son activité manuelle, ponctuant chaque syllabe de sa réponse : « SALOPE, PUTE, NYMPHO, CHAUDASSE, CAGE A PINES : je me fous de l'étiquette ! L'important est de se faire sabrer, mon cher. » Etendant un bras je taquinais l'érection de son clito. Ma paume coiffa sa coupe vénusienne, berça ce tendre monticule, majeur emmailloté dans un con sirupeux de désirs, pouce taquinant l'entrée du rectum, adoptant comme elle un tempo de plus e n plus chaotique. Elle soupira d'aise.

Je piochai un condom dans la poche arrière du pantalon étalé au sol. « Il est grand temps de conclure notre marché : mets toi à quatre pattes... » Mon index parcouru sa colonne vertébrale pendant qu'elle se plaçait dans la pose requise. Mes paumes flattèrent ses flancs, effleurèrent ses cuisses, massèrent son cul somptueux, ferme et souple en même temps. Son corps se déhanchait, ondulait, son souffle se raccourcissait. Je saisis son séant, jouais à écarter, rapprocher les globes de ses fesses, puis baladais langoureusement ma pine latexée le long de sa raie, vers son con, repassait vers l'arrière, bifurquais sur les lèvres sirupeuses de son clitoris, jouant l'incertitude quant à l'orifice que je me déciderai à poinçonner. J'empoignai ses hanches et d'une poussée administrai l'ampleur de mon ére ction dans la chair fondante de sa vulve. Je tirais sa chevelure pour la cambrer, la bloquais tout contre moi, croupion accolé à mon ventre, me repaissant de la dureté de ma colonne de chair enchâssée dans la fluidité moite de sa cramouille. « Tu la sens bien, ma queue, hein ! Mmmm !!! - YES ! Je ne suis qu'une chienne à tringler, votre humble pute à outrager ! - Qu'est ce que tu mouilles : avoues que tu aimes quand je te fourre la cage à pines ! Que tes vols ne sont que prétexte à passer à la casserole ! - Je suis votre chose, la domestique de votre bite !! BAISEZ-MOI, je vous en supplie, je ne mérite que cela ! »

Je replantais en elle mon dard, encore plus fort. M'arrêtais. Repris mon élan pour la composter, tenaillant ses nichons, les serrant avec perversité, très très fort. J'adoptais un rythme d'une régularité systématique, ma balistique érotique lui torpillait le vagin. Elle criait son plaisir, vagissait, modulait ses halètements à chaque impérative pression de mon mandrin, pouvant anticiper mes pénétrations si ponctuelles. J'avais vraiment l'impression de la posséder, d'être le démiurge absolu de ses sensations. Tout son corps mouvait de jouissance, tel un animal flexible mais sans la moindre mollesse. Je pilotais une véritable Rolls Royce du sexe, superbement carénée, réagissant à la moindre impulsion - toutefois bien plus bruyante par l'intensité indécente de ses clameurs !! Je truffais, carto nnais son con, lui injectais une bite en furie catapultée par une paillarde opiniâtreté. Comme un feu d'artifice liquide mon sperme déflagra contre son vagin. Tétanisé, en sueur, envoûté par l'orgasme je la sabrais gerbe après gerbe et bien au-delà, profitant de l'occasion superbement offerte par son tempérament torride pour la piner jusqu'à la dernière étincelle de mon érection emmitouflée en ses tréfonds, délaissant enfin ses mamelles lacérées de mes ongles. Lorsqu'elle fit mine de se relever, je choppais sa nuque, vidais le préservatif entre ses lèvres, forçai de mon braquos le sas de ses lèvres pulpeuses : « Il n'y a pas de raison que mon jus salisse la cabine. - Mais je ... - Chut ! Reste coite et rince-moi la queue, s'il te plaît, ma chapardeuse si superbement salope. Tu prendras tes cadeaux en sortant. »


Je doute que ce troc libertin ait eu le moindre effet dissuasif sur ses penchants kleptomanes. Qu'importe, elle rôde de temps en autre dans le magasin, comme par hasard lorsque je suis seul. Une cliente très fidèle, qui règle rubis sur l'ongle en CB - Carte Baise. « Sophia », car tel est son prénom, une nymphomane si éloignée de la « sagesse » ...


Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 15 mai 1 15 /05 /Mai 17:29
MonLasVegas, le casino qui VOUS fait gagner de l’argent !

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Par julia - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Lundi 15 mai 1 15 /05 /Mai 10:05
Salut à tous et toutes,

Voici une petite video de ma femme en train de repasser et de s habiller ensuite. Comment la trouvez vous?

à plus

Rob

Par Rob - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 15:30
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les activités au bureau ne sont pas toujours exaltantes. Entre les fax, le courrier, les coups de fils et autres joyeusetés, je ne sais où va ma préférence ! En fait, si, je le sais fort bien ! elle va vers une petite pratique fort divertissante que je me suis inventée ! Assez accro aux choses du sexe, je prends un plaisir aussi délicat que discret à me masturber au bureau, sans vergogne et sans retenue. De fréquentes et coquines visites aux toilettes allez-vous penser ? Pas du tout ! ça se passe sur ma chaise ! en présence de tous les employés qui, à l'évidence sont bien loin de se douter à quel petit jeu que je me livre pratiquement sous leurs yeux ! Rien de compliqué pourtant : je me contente de m'écraser le minou sur ma chaise, de croiser et décroiser les jambes ou, celles-ci bien serrées, de faire jouer mes muscles pelviens, vous savez, cet espèce de plancher qui va du sexe à l'anus.
Je me suis faite là, résultat d'une pratique déjà longue, une musculature de championne. Mes sphincters aussi se trouvent partie prenante dans ma chasse au plaisir discret. Oh ! il ne saurait être question d'orgasme ici, rien de fulgurant ni de spectaculaire, mais une délicieuse béatitude, un état d'excitation diffus et bien agréable, comme une fin d'orgasme (quand celui-ci fut très fort) mais pris par l'autre bout, en quelque sorte. Tout l'art consiste à se hisser à un niveau d'excitation convenable et de s'y maintenir.
Mais le plus amusant, c'est de se comporter le plus normalement possible vis-à-vis d'autrui. Combien de fois ne m'est-il pas arrivé, sollicitée par un visiteur ou une cliente, de les regarder dans le blanc de l'oeil en sentant que ma propre prunelle est en train de chavirer sous l'effet de cette délicieuse chaleur que j'entretiens dans mon entrejambes ; de me sentir soudain déglutir au moment de communiquer un renseignement ou même de rougir soudainement sous l'effet d'une brusque montée d'un désir à la fois feutré et insistant ?
Il y a peu, j'ai vraiment frisé la catastrophe ! une visiteuse a du deviner quelque chose car, soudain, ses yeux se sont agrandis sans raison apparente et elle s'est mise à fixer ma poitrine d'une manière insistante. C'était un jour de canicule et je ne portais pas de soutien-gorge sous ma fine chemise de lin ! Dans l'état où je me maintiens, mes pointes dardent bien fort et sans la cachette d'un solide soutif, la chose doit se remarquer ! Elle rougit soudain, puis me foudroya du regard ! le doute n'était plus permis : elle m'avait repérée ! Sans être un prix de beauté, elle était assez élégante et dégageait une certaine sensualité ; son petit minois pointu ne devait pas manquer d'attirer les regards envieux. Je me sentis rougir sous l'examen attentif auquel elle se livrait. Je ne sus si elle allait déclencher un esclandre ou se lever soudain d'un air furieux. À ma vive surprise, et pour mon plus grand soulagement, je la vis esquisser un étrange sourire, mi moqueur, mi complice avant de se lever et prendre congé.
Après son départ, j'ai mis tout un temps à calmer le désordre de mes sens. Le grondement dans mon ventre s'est mué en un roulement doux et chaud. J'adore ces sensations, je les écoute, je les attise, comme on souffle sur un feu mourant.
Ce qui contribue également à me maintenir en ce doux état, c'est lorsque j'enferme mes seins entre mes avant-bras et que je serre un peu, pas trop. De temps à autres, discrètement, je laisse l'ongle d'un pouce effleurer un téton qui réagit aussitôt et se dresse, comme irrité, cherchant à percer le tissu distendu de mon chemisier. J'aime sentir ma poitrine gonfler un peu, se tendre dans sa soif de caresses plus franches, plus affirmées. Mon pouce s'enfonce alors résolument dans l'aréole qui frémit sous la tendre agression, et je fais tourner un peu le doigt coquin. Je me cambre un peu afin que mon sein offre une plus grande résistance au doigt inquisiteur. La sensation se fait plus forte, plus aiguë. Un léger courant se met alors à envahir ma poitrine qui envoie ses messagers affolés vers mon ventre qui les absorbe et s'en nourrit pour accroître encore mon désir latent. Je dois réprimer le léger cri de souris qui me montait aux lèvres.
Ton mon corps ondoie, lentement, imperceptiblement, je flotte dans une douce euphorie, je me sens femme, je me sens bien dans ma peau, dans mon sexe. Je connais une douce, tendre et longue jouissance.

Par Candice - Publié dans : Histoires Coquines
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Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 12:46

Nous en parlions de temps à autres, histoire de s'exciter mutuellement et puis un jour......
J'ai proposé a Marie de rencontrer deux hommes en ma présence. Elle était un peu génée, un peu inquiéte tout de même et puis après une courte reflexion elle me dit "Ok tentons le coup !"
J'ai donc donné rv a deux garcon d'une 30aine d'années que j'avais moi même selectionné sur le web (petites annonces)
Je les ai rencontré quelques jours avant le rv coquin. Nous avons parlé entres hommes, dans un bar autour d'un verre. Je leur est expliqué ce que nous attendions d'eux.
Marie voulais qu'ils soient tout de même complices le jour J.
Tout était ok, ils paraissaient sains de corps et d'esprit, plutôt cools et assez motivés.
Tv donc un soir de semaine dans un hotel tout prêt de la Garde de Lyon a Paris.
Nous sommes arrivé Marie et moi alors que les deux hommes attendaient dans la chambre avec une bouteille de champagne et 3 coupes (sympa !)

les présentations faites j'ai commencé a caresser Marie qui était assise sur le lit. Les seins, le ventre, les cuisses. Elle était en jupe noir et petit corsage léger.
Je me suis retiré a un moment et j'ai dis au 2 garcons, "Messieurs je vous laisse ma femme, donnez lui du plaisir !"
Ils sont intervenus très délicatement et on commencé à la caresser sur tout le corps. Marie paraissait déjà très excité par cette situation.
Ils ont commencé a la deshabiller doucement en continuant a la caressser. L'un d'entre eux lui a hoté sa petite cullotte et a commencé a lui toucher le sexe. Marie commencait a gémir et a etre prise de petites convultions. La connaissant par coeur je savais qu'a cette instant elle etait proche de la jouissance.
Ensuite ils l'ont prise ensemble au début.
Marie était a 4 pattes sur le lit, elle sucait un des garcons qui était debout devant elle pendant que son ami la prennait en levrette.
j'etais assi dans un gros fauteuil et je regardais la scène et l'evolution des choses en me masturbant. je me rappel encore ce bruit....comme des petites claquers, c'etait celui des fesses de Marie qui recevaient les assauts de l'homme qui la prennait par derriere.
A chaque va et viens je sentait Marie à la limite de la jouissance.
Et puis l'homme de derriere c'est mis a aller de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Marie qui s'occupait de sucer celui qui était devant gémissait la bouche pleine.
Elle a joui fort, en sucant un enorme sexe, (elle adore ca) je me rappellerai toujours du regard qu'elle m'a lancé au moment ou elle jouissait, elle ma regardé droit dans les yeux en râlant er en se caressant les seins.
les 2 hommes avaient joui en même temps que Marie. L'un dans sa bouche, l'autres dans son sexe.
Ensuite nous l'avons prise à tour de rôles.
Nous l'avons sodomisé chancun notre tour et l'avons fait jouir 5 ou 6 fois nous a t'elle avoué.
Bref, nous avons passé 2 heures à baiser comme des fous et Marie etait notre unique centre d'interêt.


Par Michel - Publié dans : Histoires Coquines
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Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 11:06
Une jeune asiatique tres tres mignonne qui ecarte ses jambes pour nous...

Par julia - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Samedi 13 mai 6 13 /05 /Mai 12:00
un gars - une fille : la masturbation TRES TRES BON !!! Mettez le son

Par julia - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Samedi 13 mai 6 13 /05 /Mai 10:08
ça fait environ un mois que je sort avec C. au début nous étions un peu gêné tous les deux mais ça n'as vraiment pas duré longtemps parce que je suis du genre rapide et je me suis empressée de le décoincer (pour notre plus grand plaisir d'ailleur c'est pas lui qui vas s'en plaindre).

Comme ca arrive souvent il n'y avait personne chez mon père et le lit-canapé ou je dors lorsque je suis chez lui étais défait. nous étions assis dessus et nous embrassions avec tendresse en nous alongeant, je me suis retrouvée au-dessus de lui en amazone (comme par hasard) et je me suis mise en tête de l'exiter et de le faire éjaculer ,même si on étais chez mon père (faut bien s'amuser dans la vie) je me frottais donc contre lui avec ardeur en appuyant bien sur son sexe pour l'exiter,et pour en rajouter une dose j'enlevais mon tee-shit avec le sex-appeal qui s'impose et me remettais à la tache en me frottant contre lui comme une bête; nous nous somme mis sous les couvertures car nous avions encore un minimum de pudeur; et je continuais à me frotter contre lui de plus en plus bas en le couvrant de mille baiser. je le sentais exité et son sexe durcissait au fur et à mesure que je descendais, je me penchais pour déboutonner son jean (4 bouton en plus! non mais vraiment il peut pas mettre des jeans normaux avec une braguette...) et frottais mes seins contre son sex tout dur de façon bestiale et digne d'une star du porno (c'est pas que jme vante mais bon) c'est là qu'il m'a impressionnée en me retirant mon soutif malgré la complexité de la chose (no coment...). j'étais alors seins nu contre son boxer qui n'existai déjà plus pour moi et qu'il fallait qu'il retire immédiatement sans koi il s'en serai mordu les doigts plus tard (car je lui aurai déchiré sauvagement évidemment). c'était donc à ce moment là que nous étions dans un vrai contact que nous pouvons qualifier de "branlette espagnole" et je ne regrette vraiment pas de l'avoir fait et de continuer à le faire régulièrement car: "bordel de dieu c'est vraiment trop bon!!!!!!"

Par Mike - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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Vendredi 12 mai 5 12 /05 /Mai 10:00
Prénom : fati
Relation : Mélangisme
Age : 30
Pays : france
Région : aquitaine
Situation familiale : Marié(e)

Jeune femme en manque de sexe delaisser par son compagnon recherhce plan hard avec hommes et femmes dans le 64 et le 40. je n'ai pas de tabou et je suis ouverte a toutes propositions scenario films x etc

Brune typée fine bien foutue. tres hot sans tabou recherhc plan x a plusieurs ouverte a tout car manque de pratique. je suis ouverte a toute proposition je suis vraimment en manque alors j'attend toutes vos propositions.

Par Fati - Publié dans : Petites annonces rencontres visio
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