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Lundi 15 mai 1 15 /05 /Mai 20:46
J'assurais la gérance d'une boutique de défroques féminines. A une demi-heure de la fermeture, l'unique cliente farfouillait dans les bacs de sous-vêtements soldés au fond du magasin, sac à main à l'épaule. Quoique concentré sur la clôture comptable de la journée je notais qu'elle agitait sa crinière dorée en glissant des coups d'oeil furtifs dans ma direction... La recette était aussi maussade que le temps pluvieux qui faisait suinter la poussière de la ville le long de la vitrine. Dans la rue les roues des voitures projetaient sur le trottoir l'eau accumulée dans les caniveaux. Lorsque la jeune femme passa devant moi je posai la main sur son bras. Elle sursauta. « Mademoiselle, vous voudrez bien ouvrir votre sac à main... » Ses mirettes d'un bleu intense crépitèrent de fureur contenue. « J'insiste . Ici, le moindre vêtement est équipé de puces électroniques qui titilleront l'alarme. Vous êtes en talons aiguilles et jupe étroite, je cours vite. Donc, dans l'hypothèse d'un escamotage je récupère la marchandise et nous en restons là. Vous m'agonirez d'insultes tout votre saoul si je ne trouvais rien. » Je bluffais car le système électronique était en rade pour cause de maintenance bâclée. Lèvres tremblantes, regard d'automate, elle déclipsa le fermoir en métal. Le sac était vraiment peu garni et parfaitement ordonné : trois tubes de rouge à lèvres, porte cartes de paiement, stylo encre, petit porte monnaie, quelques papiers d'identité, un roman de Daniel Pennac et ... un sous-tif à balconnets tenant compagnie à deux culottes mexicaines.

« Vos goûts sont raffinés : du 1er choix, pour environ deux cents euros. » Je procédai à un rapide calcul mental. « Deux cent dix-huit très exactement. Vous comptez user de la carte bleue ou vous passer de ces colifichets ? » Elle minauda « Je .... je suis vraiment à découvert en ce moment. J'ai eu une pulsion incontrôlable devant ces jolis objets. - En plus je soupçonne qu'ils doivent faire beaucoup d'effet sur vous... » Elle rougit, faisant saillir ses pommettes. Aucun de nous deux n'avait élevé la voix, ma collègue Danièle qui achevait de classer le stock dans les réserves fut surprise en découvrant la jolie blonde au sortir de son antre à rangements. Je me levai pour remettre en place le produit du larcin. Danièle ajusta son blouson en jean, empoigna un parapluie, me salua avant d 'affronter la bruine. « Suis à la bourre pour récupérer le gamin chez la nounou. Désolée. - No problem, c'était convenu. A demain. »

Derrière moi, la chipeuse manipulait nerveusement sa besace. Je pivotai, frusques toujours en main. Nous nous dévisageâmes en chats de faïence. « Ces fringues vous ont plu au point de prendre un tel risque ? » Elle hocha la tête. « Vous en avez tellement envie ? » Mouvement de nuque affirmatif. Je la fixai dans les yeux « Vous seriez prête à tout pour les avoir ? » Re hochement du chef, sans le moindre battement de cil. « Je vais être plus explicite. Accepteriez vous un troc sous-vêtements contre acquittement en nature ? Même si votre alliance me laisse deviner qu'un bonhomme a accès à vos charmes indéniables. » Un bref temps d'arrêt précéda son acquiescement délicieusement ambigu, presque murmuré : « Oui. J'ai tellement d'envies. - OK, vous devrez mériter chaque vêture, sans rechigner à la tâche... » Son regard oscillait entre timidité et détermination. Je verrouillai le sas de l'échoppe, éteignis l'éclairage de la devanture, indiquai à la belle la cabine d'essayage en fond de boutique, y poussai un fauteuil à roulettes. Je disposai les « achats » sur un petite carton.


Je passais l'index sur l'échancrure de son bustier, les muscles fins de ses épaules. Son blouson en peau d'agneau, légèrement élimé, chut dans un froissement mat de cuir. Un à un je dégrafais les boutons de son haut, fis jaillir son buste en décrochant son soutien-gorge. Ses lèvres purpurines, délicatement soulignées d'un trait discret de rouge-baiser, tremblotaient. Son ventre souple et musclé frissonna lorsque mes paumes presque glacées enveloppèrent les sphères de seins si tendrement fermes, explorèrent ses charmes – flancs, croupe, haut des cuisses enserrées par de fins bas aux motifs abstraits. Je glissais le string par dessus ses bottines à talons aiguilles, plaquais tout contre moi son bronzage intégral aux tessitures pain d'épices, massais ses fesses, enchâssais par l'arrière le majeur dans le creux de sa c oupe de Vénus. Elle léchait mes lippes à petit coups, souffle court mouvant le doux velours de sa poitrine, dardait sa langue dans ma bouche, lèvres scellées aux miennes, reins avançant et reculant au rythme de ma tendre branlette. Je pivotais lentement, la guidai comme en une danse sans musique, la plaçai sur le fauteuil, cuisses écartées, substituant mes babines au majeur fureteur.

Serrant possessivement ses fesses, je la suçais de tout mon saoul, dégustais ses saveurs en profondes lichées, plongeais ma langue en elle, la léchais puis déposai sa mouille sur ses cuisses, son abdomen avant de me gorger à nouveau de son suc. Les trémolos des gémissements de cette voluptueuse catin escortaient chaque variation de mon cunnilinctus. Me redressant, je posais sa dextre sur son minou, guidant ses doigts en elle. Délaissant groles, chaussettes, futal et slip, couvrant mon érection d'un condom, je la pris par les hanches, faisant balancer son fion sur la surface en tissu pour empaler sa chatte sirupeuse sur ma gaule tumescente. Cambrée de plaisir, yeux mis-clos, elle arc-boutait ses mollets à mes fesses. Nous forniquions avec une lubricité du meilleur aloi plus que nous ne faisions l'amour, baladant d'avant en arrière le fauteuil. Le rideau frôlait mon postérieur. Tempo débridé – deux coups de bambou énergique, une glissade lente dans la moiteur fondante de son con, pilonnages rapprochés, pause, douce pénétration de l'ampleur de mon vit, coups de râbles endiablés... Corps réchauffés, épiderme couverts de suée, souffles raccourcis en râles d'amants. Surexcité par cette créature si chaude, je bloquais les muscles de ses cuisses pour l'immobiliser et régenter à ma guise mes assauts de plus en plus effrénés, reculant mon braquemard pour la saillir au plus profond de sa chatte. De plus en plus vite, prenant mon élan, ouïssant mes burnes qui claquaient son fion, jusqu'à exploser dans l'étui de latex. Sa jouissance débridée ne me sembla pas feinte...


Flageolant, je me retirai, fis choir la capote lestée de sperme. « Ma belle voleuse, tu viens de gagner ton premier accoutrement. Mais il y a un petit problème. - Heu lequel ? - Il me semble que te faire baiser ne te coûte pas grand chose, ce serait plutôt cadeau pour toi. Alors tu vas me solder ton compte en bonne petite pute, bien docile. - Oui. - Oui qui ? - Oui Monsieur, votre putain est aux ordres... » Je disposai mon séant sur le siège, l'attrapai par la nuque. « Suite du programme : taillage de pipe bien goulue. C'est dans tes cordes ? - Bien sur, je suis une très bonne suceuse, surtout quand je suis motivée par l'enjeu. Monsieur pourra en juger. » Adoptant la génuflexion elle mut délicatement de la boucle de ses doigts la tige ma foi ramollie. Mon gland violacé, encore visqueux gigotait tout près de ses naseaux au rythme lascif de cette branlette liminaire. Sa langue fouilla la fente de ma boule, me décapsula, spirala à moult reprises autour du chibre ainsi mis à nu. L'angle de la verge portait vers le bas mais mon dard se gonflait de plus en plus. Senestre maintenant le braquos dans l'axe, la pulpe de ses lèvres expertes voilait, dévoilait le bout de mon globe sommital, le barbouillait de sa salive, toute à la lente dégustation d'une gluante Chupa Chups.

Je lissais ses cheveux de mes doigts, glissant ver sa nuque, tirais peu à peu sa crinière pour guider les turpitudes affriolantes de son pompage de biroute. « Là, ma chaude. C'est bon, tellement bon ! Continue, enfonce bien cette queue dans ton gosier, que je sente que tu as VRAIMENT envie de ces fringues... » Sa main droite caressait mon ventre. Ailes du nez serrées, ses joues se creusèrent pour ingérer mon mandrin, entonnoir buccal progressant par à coups, refluant, regagnant le terrain perdu - et au-delà ; d'une traction explicite de sa crinière je fis redresser son buste afin que ma bandaison désormais flagrante s'extériorise à la verticale. Je prenais mon pied à soumettre cette tapineuse domestiquée au tempo de mon bon plaisir, contractant et décontractant les parois de ma gau le enfoui dans son fourreau buccal. J'admirais la chorégraphie friponne de son triple reflet sur les miroirs de la cabine. Sa poigne licencieuse astiquait vicieusement ma verge, faisait coulisser la peau autour de la raideur de mon érection, de bas en haut, de haut en bas, troussant et retroussant le chibre, synchrone avec ses sucées dont l'avidité s'accélérait. Je matais ma cime tumescente qui distendait les muscles de sa joue droite, gauche, droite, gauche... « Ouuui !!! On sent que tu en veux, petite salope ! Pompe moi le bout à fond, maintenant, que je voies comment tu avales mon jus. Oh, quelle pipeuse ! » Ses doigts me compressèrent le chibre, comme pour intensifier la puissance de mon éjaculation. Gémissant, vagissant, mes deux mains tractaient violemment les racines de sa crinière, je m'arquais, explosais dans sa bouche. Ses yeux magnifiques contemplaient ma jouissance, elle siphonna de toute sa vélocité le haut du noeud violet de fé licité, déglutit pour me savourer mais la vigueur de mes geysers de sauce blanche dégorgea le long de son menton puis sur ma pine.

« Recrache ma purée sur tes seins, TOUT DE SUITE ! Après tu lécheras mon foutre sur tes miches ! Exécution, PUTAIN !!! » Toujours aussi docile, elle étira ses poupes, y rétrocéda mon nectar, passa sa langue sur ses aréoles, yeux clos, mamelons durcis par l'excitation de mes directives salaces. Je l'embrassai à pleine bouche. Mes paumes palpaient, pétrissaient le velours de son buste souillé de ma glu puis étreignirent ces appâts, les serrèrent peu à peu. Un rictus endolori s'esquissa mais elle ne pipa mot. « Ta dernière acquisition est à conquérir. Il faut que je sois à nouveau d'attaque pour faire face à ton tempérament fougueux. Branle-moi le vit. Mais peut-être as tu ton compte ? - OH NON ! S'il vous plaît ! » Clignant de l'oeil elle massa mes burnes d'une pogne, enlaça le sommet du dard de l 'autre.


Toujours à mes pieds, une jambe dépliée en appui sur le talon déployait ses arômes de femelle en chaleur. « J'irai jusqu'au bout, Monsieur... Laissez-moi encore jouer l'esclave soumise à votre belle queue. - T'as vraiment le feu au cul. Une salope bien lubrique comme je sais les apprécier. » Elle imprima un tempo grivois à son activité manuelle, ponctuant chaque syllabe de sa réponse : « SALOPE, PUTE, NYMPHO, CHAUDASSE, CAGE A PINES : je me fous de l'étiquette ! L'important est de se faire sabrer, mon cher. » Etendant un bras je taquinais l'érection de son clito. Ma paume coiffa sa coupe vénusienne, berça ce tendre monticule, majeur emmailloté dans un con sirupeux de désirs, pouce taquinant l'entrée du rectum, adoptant comme elle un tempo de plus e n plus chaotique. Elle soupira d'aise.

Je piochai un condom dans la poche arrière du pantalon étalé au sol. « Il est grand temps de conclure notre marché : mets toi à quatre pattes... » Mon index parcouru sa colonne vertébrale pendant qu'elle se plaçait dans la pose requise. Mes paumes flattèrent ses flancs, effleurèrent ses cuisses, massèrent son cul somptueux, ferme et souple en même temps. Son corps se déhanchait, ondulait, son souffle se raccourcissait. Je saisis son séant, jouais à écarter, rapprocher les globes de ses fesses, puis baladais langoureusement ma pine latexée le long de sa raie, vers son con, repassait vers l'arrière, bifurquais sur les lèvres sirupeuses de son clitoris, jouant l'incertitude quant à l'orifice que je me déciderai à poinçonner. J'empoignai ses hanches et d'une poussée administrai l'ampleur de mon ére ction dans la chair fondante de sa vulve. Je tirais sa chevelure pour la cambrer, la bloquais tout contre moi, croupion accolé à mon ventre, me repaissant de la dureté de ma colonne de chair enchâssée dans la fluidité moite de sa cramouille. « Tu la sens bien, ma queue, hein ! Mmmm !!! - YES ! Je ne suis qu'une chienne à tringler, votre humble pute à outrager ! - Qu'est ce que tu mouilles : avoues que tu aimes quand je te fourre la cage à pines ! Que tes vols ne sont que prétexte à passer à la casserole ! - Je suis votre chose, la domestique de votre bite !! BAISEZ-MOI, je vous en supplie, je ne mérite que cela ! »

Je replantais en elle mon dard, encore plus fort. M'arrêtais. Repris mon élan pour la composter, tenaillant ses nichons, les serrant avec perversité, très très fort. J'adoptais un rythme d'une régularité systématique, ma balistique érotique lui torpillait le vagin. Elle criait son plaisir, vagissait, modulait ses halètements à chaque impérative pression de mon mandrin, pouvant anticiper mes pénétrations si ponctuelles. J'avais vraiment l'impression de la posséder, d'être le démiurge absolu de ses sensations. Tout son corps mouvait de jouissance, tel un animal flexible mais sans la moindre mollesse. Je pilotais une véritable Rolls Royce du sexe, superbement carénée, réagissant à la moindre impulsion - toutefois bien plus bruyante par l'intensité indécente de ses clameurs !! Je truffais, carto nnais son con, lui injectais une bite en furie catapultée par une paillarde opiniâtreté. Comme un feu d'artifice liquide mon sperme déflagra contre son vagin. Tétanisé, en sueur, envoûté par l'orgasme je la sabrais gerbe après gerbe et bien au-delà, profitant de l'occasion superbement offerte par son tempérament torride pour la piner jusqu'à la dernière étincelle de mon érection emmitouflée en ses tréfonds, délaissant enfin ses mamelles lacérées de mes ongles. Lorsqu'elle fit mine de se relever, je choppais sa nuque, vidais le préservatif entre ses lèvres, forçai de mon braquos le sas de ses lèvres pulpeuses : « Il n'y a pas de raison que mon jus salisse la cabine. - Mais je ... - Chut ! Reste coite et rince-moi la queue, s'il te plaît, ma chapardeuse si superbement salope. Tu prendras tes cadeaux en sortant. »


Je doute que ce troc libertin ait eu le moindre effet dissuasif sur ses penchants kleptomanes. Qu'importe, elle rôde de temps en autre dans le magasin, comme par hasard lorsque je suis seul. Une cliente très fidèle, qui règle rubis sur l'ongle en CB - Carte Baise. « Sophia », car tel est son prénom, une nymphomane si éloignée de la « sagesse » ...


Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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