Gout amer de l'éphémère illusion d'une victoire. Larmes de désillusion qui s'en suit... Prise en faute alors qu'elle croyait avoir remporté la partie... |
Victoire de soumise
C'est un matin ensoleillé dans une petite chambre d'hôtel. Après inspection, je trouve ton cul pas assez propre à mon goût. Très gênée, tu retournes à la salle de bain pour te faire un nouveau lavement. Même si tu as perdu la plus grande partie de ta pudeur, cela reste toujours un moment délicat. Devoir subir un lavement devant son Maître. "Ça pue, Maître. Ce n'est pas propre" as-tu invoqué comme excuse. J'ai beau insister, tu ne veux pas subir ton lavement devant moi. Tu espères que la gêne visible qui se lit sur ton visage me fera plier.
Finalement, déçu par ton attitude, je referme la porte de la salle de bain. Une fois seule, tu savoures ta victoire. "Il a fini par comprendre. Je vais disposer d'un peu d'intimité en fin de compte" Et de te laver le cul en prenant ton temps… en fait non, pas vraiment. Inquiète, désireuse de ne pas trop me faire attendre, tu t'empresses de te laver le cul à grandes eaux. Oubliant, un détail innocent: Tout ce qui rentre dans ton cul en sort par le même chemin.
Or, dans ta précipitation, tu n'as pas attendu que toute l'eau soit bien ressortie. Lorsque, finalement, tu ouvres la porte de la salle de bain, tu te rends compte de ton erreur. Que tu n'aurais jamais dû refermer cette porte et me laisser dehors. Je t'attends juste derrière la porte. Je te saisis violement par les cheveux et je te jette sur le lit. Tu n'as pas le temps de réaliser ce qui t'arrive que déjà, je suis à tes côtés et j'enfonce deux doigts raides dans ton cul.
Il ne me tarde pas de découvrir que tu as encore le cul plein. Sans retirer mes doigts de ton cul, je te reprends par les cheveux, je te relève et je te ramène à la salle de bain. Tu te retrouves la tête dans les cabinets, le cul relevé avec mes deux doigts toujours enfoncés dedans. "Espèce de sale fille, tu ne sais pas que tu dois te présenter à moi le cul propre et que tu n'as droit à aucune intimité"
Tu n'as pas le temps de comprendre ce qui t'arrive, car je tire la chasse et le flux d'eau t'inonde le visage. En même temps, je retire mes doigts de ton cul… et un flux d'eau sale en sort en un grand jet. Te tenant toujours par les cheveux, je te redresse. "Regarde ce que tu as fait, sale fille" Tu vois le mur et le sol couvert d'eau et de tes saletés. Tu es tellement perdue que tout ce que tu trouves à me dire c'est "merde, j'ai chié sur le mur".
Raffermissant ma prise sur tes cheveux, je te balance dans la douche, à 4 pattes, le cul levé vers moi. Je me saisis du pommeau de douche que je démonte. Je t'enfonce l'embout du tuyau dans l'anus et je tourne le mélangeur. Un flux d'eau tiède te traverse les intestins. Je coupe l'eau. "Redresse-toi! Ecarte les fesses" Le flux d'eau s'écoule de ton cul. Tu es gênée, mais pas tant par ce qui sort de ton cul que par le spectacle pitoyable de la salle de bains. Des flaques d'eau brunâtre maculent le sol et une longue traînée à la couleur non équivoque fini de couler du mur.
A chaque fois que l'eau s'écoule de tes intestins, je recommence l'opération. 5 fois, 10 fois, tu ne sais plus. Tu as perdu le compte. Il y a longtemps que l'eau qui sort de ton cul est propre, mais tu éprouves toujours la même gêne, la même humiliation. Lorsque je te laisse enfin sortir de la douche, c'est pour laver, devant moi (tu n'oses plus refermer la porte) le mur et le sol. Tu te sens définitivement humiliée, dégradée. A peine as-tu fini de nettoyer tes saletés que tu te précipites dans la douche pour te laver à grandes eaux.
Cette fois, au sortir de la salle de bains, tu sais que tu vas être punie, que ta honte ne sera complète que si elle est accompagnée d'une sévère punition. Tu es cependant étonnée de ce que la punition ne suive pas immédiatement. "Maintenant, que tu as le cul propre, je vais peut-être pouvoir m'en servir" Sans attendre, tu te mets en position au bord du lit, les fesses écartées, l'anus tourné vers moi.
Selon ma bonne habitude, je te prends "à froid", ça fait un mal de chienne, mais tu ne t'es jamais révoltée contre ma manière de faire. Tu sais que tu n'en as pas le droit. Tu te sens déchirée, ouverte, écartelée, comme si je te coupais en deux. Tu te sens prise, soumise au pouvoir de ton Maître. Je m'enfonce en toi avec un réel plaisir.
Dans ton souhait de me plaire, tu n'as pas remarqué la courte cravache posée sur le lit. D'un geste, je l'attrape et de l'autre, je reprends ta crinière pour bien caler ton corps au mien. Toi qui croyais recevoir quelques coups de bite, tu comprends que ce sera bien plus que ça lorsque le premier coup de cravache cingle ton dos.
Tu as toujours apprécié que je te sodomise longuement, que je prenne mon temps. Qu'il ne s'agisse pas d'un "coup vite fait". Cette fois, douleurs et plaisirs sont mélangés. Tu souffres du cul à cause de ma prise "à froid" et ton dos devient rapidement cuisant. Tu te sens comme une jument montée par le pire des cavaliers, mais tu sais que ne peux te défaire ni de son étreinte, ni de ses coups.
Lorsque tout s'arrête, tu retombes sur le lit, pantelante. Encore une fois, tu crois avoir gagné un repos bien mérité. Ton dos est cuisant, ton cul est brûlant et tes reins douloureux. Aussi, lorsque tu sens que je t'attache les quatre membres aux coins du lit, tu n'en crois pas tes propres sens. Tu ressens une profonde douleur lorsque ton dos et tes fesses se retrouvent au contact du drap de lit rugueux de l'hôtel.
Tu te retrouves rapidement écartelée, le sexe exposé. Tu me vois saisir une grande cravache de dressage devant toi. Pour l'avoir déjà éprouvée sur tes fesses, tu sais qu'elle est douloureuse et tu te dis que sur ta chatte, ça va être un carnage.
Tes pensées ne vont pas plus loin. Déjà, dans un mouvement vif, tu l'as voit s'abattre sur ta chatte. Dans ton esprit, tu en ressens l'effet. D'un geste désespéré, tu tentes en vain, de refermer les cuisses… sauf que… le coup n'a jamais atteint ta chatte. Tu te rends compte qu'aucune douleur n'est présente. Aussi incroyable que cela paraisse, aussi incompréhensible que cela puisse te sembler, je suis parvenu à te faire ressentir tous les effets d'un coup de cravache sur la chatte sans te le donner. Déjà le deuxième "coup" arrive.
Comme le premier, tu en ressens les effets, la chaleur gagne ton corps. Tu as la même réaction instinctive de vouloir resserrer les cuisses, mais là encore, nulle douleur. Au bout de dix coups, tous simulés, ton cœur bat à grands coups. Ton corps est en nage. C'est la pire punition que tu n'aies jamais subie, car à chaque fois, tu te dis "Cette fois, c'est la bonne! Cette fois, il va frapper" et à chaque fois, tu réagis comme si le coup t'atteignait. Tu aimerais rester inerte, mais ton corps réagit pour toi. Comme s'il te trahissait, pour la seconde fois en quelques heures.
Lorsque la punition est terminée, je te détache. Je te permets une douche rapide pour enlever la sueur de ton corps et je t'emmène déjeuner. Au restaurant, tu attends que je m'asseye avant de me demander la permission de t'asseoir à ton tour sur tes fesses nues, en relevant ta robe. "Maître, merci de m'avoir si bien humiliée et de m'avoir punie de la sorte" Ces mots sont sortis de ta bouche plus vite que tu ne pensais les dire, mais cette fois, tu ne regrettes pas que ton esprit te trahisse. |