C'était un de ces soirs de fin d'été, quand le soleil se couche sur la mer qui rayonne de mille feux; donnant au paysage un note d'irréalisme. La brise marine balayait doucement les cheveux sur mon visage. Les embruns stimulaient mes sens et je m'enivrais de ce paysage magnifique aux odeurs si agréables. Les vagues venaient doucement s'écraser sur les rochers. Sur l'un deux, je me tenais assise, le regard perdu dans le vague, loin dans mes pensées, parfois coquines, dont celle d'un jeune homme dont j'étais tombée sous le charme...Je me laissais bercer par le bruit régulier de la houle. Une douce torpeur engourdissait mon corps.
Au loin j'entendais les gens parler. Je n'y prêtais pas attention. J'étais trop bien, perdue dans mon monde imaginaire. Puis doucement, je sentie deux mains se poser sur mes épaules. J'eu un mouvement de recul. Quand je voulus me retourner, les deux mains se firent plus fermes:
"Non, ne bouge pas s'il te plait, détends toi, laisse toi faire, repenses a cette plénitude dans laquelle tu avais l'air de te trouver"
La voix était chaude, sensuelle, suave, elle ne me semblait pas inconnue. Je lui demandais:
" Mais qui es-tu? Que veux tu? "
-"Ne t'inquiète pas je ne te ferais aucun mal, je veux juste ton bonheur."
Je me détendais un peu. Décidemment cette voix me disait bien quelque chose, elle me rappelait quelqu'un, mais qui ?
Les mains qui étaient toujours sur mes épaules descendirent un peu plus bas, se posèrent sur mes hanches. Elles commencèrent à me caresser le dos tout doucement puis avec plus d'insistance. C'était très agréable. Je me détendais un peu. La nuit commençait à tomber. Un frisson m'envahi. Etait-ce le froid ou un plaisir naissant? Je pense qu'il le sentit, il se serra un peu plus contre moi, et ses bras m'entourèrent comme pour me protéger, me réchauffer. Je me sentais finalement en confiance. Je n'avais pas envie de partir, tout mon corps en éveil et dans l'attente de ce qui allait se passer ensuite. Je me sentais même en sécurité dans ces bras bronzés par le soleil d'été.
Une main ouvrit doucement mon corsage, me caressant le ventre, les flans, effleurant doucement ma poitrine, sans toucher mes mamelons qui pourtant commençaient à se dresser de désir. Il retroussa ma jupe. Son autre main se posa à l'intérieur de ma cuisse et me caressait jusqu'au mont de Vénus. Si tendre, si sensuel, il mettait tout mon corps en éveil, chaque cellule vibrait une a une laissant un désir fou monter en moi.
Il m'ôta alors mon corsage et posa ses lèvres sur mon dos qu'il parcouru par des milliers de baisers; sa langue se faisait parfois plus insistante sur le bas des reins. Il avait remarqué que cela me faisait tressaillir de plaisir.
Il faisait maintenant nuit. Nous étions seuls sur la plage. Ses mains se faisaient plus insistantes. L'une commençait à me pétrir les seins, a titiller leur petit bout et l'autre caressait mes lèvres déjà toutes humides de plaisir. Un doigt se fit plus inquisiteur. J'écartais doucement les jambes. Je le laissais entrer en moi. Je le sentais bouger doucement, puis régulièrement venir s'occuper de mon petit bouton. Je sentais le désir monter de plus en plus. Je voulais encore me retourner mais il m'en empêchait. Ne pouvais-je à mon tour lui donner du plaisir?
Mais je n'avais pas envie de parler, je ne voulais pas briser cet instant magique. Ses caresses étaient de plus en plus précisent, je m'en délectais.
A un moment, il s'arrêta; me pris par la main tout en restant toujours derrière moi et me fit descendre sur la plage. Le sable était frais. Il posa alors sa veste sur le sol ainsi que son t-shirt et m'aida à m'asseoir entre ses jambes. A travers son short de toile fine je le sentais aimer lui aussi ce moment. Il me pencha alors en avant relavant mes hanches au dessus de ma tête et mis sa bouche brûlante sur mes lèvres en feu. Sa langue s'insinuait partout, aussi bien dans mon nid d'amour que sur mon petit bouton avec lequel il jouait allègrement. Un petit cri de plaisir m'échappa. Il continua alors avec plus de voracité encore. Il accompagnait sa langue de ses doigts, d'abord un puis deux. Une explosion de plaisir m'envahi alors. Je ne pouvais retenir un gémissement de bonheur.
Il me caressa alors doucement partout, se fit moins inquisiteur. Que se passait-il? Il n'allait pas s'arrêter là? Je me redressais doucement et tendis une main vers l'arrière. Je sentais son membre encore tout gonflé de désir.
Alors j'essayais de me retourner. Il ne m'en empêcha pas. Je n'osais pas lever mon visage vers lui. Je sentais ses yeux sur moi, je le devinais me dévorer du regard. Je fis glisser son short sur ses genoux, commençant par lui caresser l'intérieur des cuisses, le faisant languir pour augmenter encore plus son désir. Et je pris, à pleine main, son sexe tout tendu, avant de guider ma bouche, vers lui. Mes lèvres se refermèrent sur son gland. Je l'entendis pousser un petit gémissement. Le plaisir montait de nouveau en moi. Je voulais lui donner autant de plaisir qu'il avait su m'en donner. Mes mains sur ses fesses, je m'appliquais à le faire frémir. Sa verge se tendit encore d'avantage. Je m'arrêtais avant qu'il ne soit trop tard. Je voulais me donner à lui.
Je m'allongeais sur le dos en fermant les yeux. Peu m'importait alors de savoir qui il était. Je l'invitais par des gestes tendres à venir en moi, à me prendre. Ce qu'il fit avec une infinie tendresse! Rapidement, nous jouîmes; tous les deux en même temps.
Nous étions là, allongés l'un contre l'autre sur cette plage, épuisés par cette merveilleuse étreinte charnelle. Je n'osais toujours pas ouvrir les yeux. J'étais si bien. Il me prit alors le visage entre ses mains, me caressa les joues, posa un petit bisou sur le bout de mon nez et me fit ouvrir les yeux...