Lundi 27 novembre
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Depuis que nous sommes séparés, mon ex femme et moi, nous avons toujours garde une relation légèrement ambiguë. Toujours à se chercher du regard, à s’allumer gentiment, à se frôler doucement… Et parfois, ne tenant plus et ayant une envie de folie, nous faisions l’amour tous les deux. C’est vrai qu’ayant chacun nos vies, et de plus quand l’un était libre l’autre avait notre fils avec lui, se retrouver seuls tous les deux était rare. Mais cette occasion là arrivait un soir où je rentrais plus tôt de chez ma famille, où j’avais laisser mon fils pour les vacances.
Ce soir là, je passais la chercher chez elle, et l’emmenais en Italie pour un petit resto sympa. C’était marrant comme, dans la voiture, nous étions presque timides et gênés de par cette situation mais au fond de nous très impatient de cette soirée et de ce qu’il pouvait se passer. Arrivés à Bordighera, nous avons trouvé un restaurant avec une très belle terrasse extérieure. Le repas se déroule bien, nous rigolons, nous discutons, nous nous allumons, le vin aidant, nous nous lâchons de plus en plus : une caresse sur la main, du pied sous la table, un regard sur son décolleté qui laisse imaginer ses superbes seins demandant juste à être caressés.
L’adition arrive, je règle et nous nous levons. Elle me fait un baiser pour me remercier de ce repas et nous partons vers la voiture main dans la main. Nous passons devant un jardin public où se trouvent des bancs. Nous nous asseyons et commençons à nous embrasser fougueusement, un baiser tellement bon que l’envie monte encore plus forte en nous. Rapidement elle se retrouve à califourchon sur moi, à se frotter contre la bosse que fait mon pantalon depuis déjà longtemps. Je caresse ses seins à travers son chemisier. Ils pointent et les bouts sont tellement durs que j’ai envie de les attraper entre mes lèvres.
La situation devient de plus en plus chaude, mais à ce moment là deux italiens, avec leurs fils, arrivent pour jouer aux balançoires. Nous nous calmons vite, et après s’être un peu rhabillés, nous partons de ce sympathique jardin. Il n’est plus question pour nous de repartir en voiture, ou d’attendre plus longtemps, alors nous décidons de prendre une chambre d’hôtel ! A peine la porte refermée derrière nous, nous reprenons où nous avions été dérangés au jardin. Nous nous retrouvons rapidement nus, nos mains se balladent tendrement sur le corps de l’autre, ma bouche cours le long de son cou, vers son lobe d’oreille, descend sur son épaule, descend encore entre ses seins, je les saisis avec mes mains, et les serre l’un contre l’autre afin de pouvoir lécher les deux mamelons qui sont tout dur.
Je continue à descendre encore jusqu’à son nombril, son bas ventre, puis ma langue vient se poser sur son sexe. Il est très humide d’envie et j’en profite pour bien goûter à ce sexe que je n’ai plus eu depuis longtemps et dont je ne me suis pas assez occupé les années passées. Pendant que je lui lèche le clito, je viens glisser un doigt en elle et commence de légers va-et-vient en elle. Elle ne tient plus tellement l’envie est là. Elle joui fort. Hummm, je profite de boire cette jouissance si douce. Apres quelques saccades de vibrations, elle vient directement prendre mon sexe dans sa bouche. Je sais de suite que je risque de ne pas tenir longtemps, tellement elle suce à merveille.
Je n’ai jamais trouvé une autre femme qui suce aussi bien qu’elle. Sa bouche va le long de mon sexe, descend jusque sous mes couilles et remonte sur mon gland. Elle l’avale, l’aspire le titille. C’est bon. Ne pouvant plus tenir, je la pousse sur le lit et directement je m’introduis en elle. Elle est si mouillée que ça glisse tout seul. Je commence à bouger en elle doucement puis de plus en plus vite. Très vite nous jouissons ensemble très fort. A ce moment là, malgré le silence, je sais que nous sommes heureux tous les deux. Nous nous serrons dans les bras. Nous savourons. Nous respirons fort. Nous avons encore envie l’un de l’autre, comme si cela faisait des tonnes et des tonnes de retard d’envies à rattraper. Nous voulons pleinement profiter de ce moment là, peut être le dernier entre nous, qui sait !
Elle me regarde dans les yeux et me dit « j’ai encore envie ». Alors là, elle commence à se caresser. Un spectacle délicieux. Je me mets à genoux devant elle. Elle est allongée, les genoux repliés, les jambes écartées. Ses doigts sur son sexe. Moi, je commence à me branler en la regardant. L’envie revient vite, mon sexe durci très vite du fait de ce spectacle dont j’ai tant rêvé. Nous sommes là, face à face, en train de se caresser pour l’autre.
Apres quelques instants comme ça, elle se lève, me prend par la main et m’emmène sur le balcon. La chambre de l’hôtel est au premier étage et donne sur la rue principale. Il est tard dans la nuit, mais des gens se promènent encore, profitant de la douceur de cette nuit d’été. Là, sur le balcon, elle s’accoude à la balustrade et je viens derrière elle. Elle prend mon sexe dans la main et l’introduit en elle doucement et commence à bouger d’avant en arrière. Je lui saisi les seins. Je commence à aller et venir de plus en plus vite. Je vais au fond d’elle. Je la prend fougueusement et lui tiens les seins fortement. Très rapidement encore nous jouissons tous les deux. Il est déjà très tard dans la nuit. Il ne reste pas beaucoup de temps pour dormir un peu et rentrer en France afin de se préparer pour aller bosser.
Cette soirée là reste dans ma tête, et très souvent j’y repense. Nous nous étions dit que c’était à refaire, ainsi qu’à découvrir d’autres choses aussi torrides ensemble. Le temps est passé la vie aussi. Nous n’avons plus eu de relation ensemble même si je sais que nous en avons envie tous les deux. Mais je garde espoir d’un jour où nous nous retrouverons pour des moments forts comme cette soirée en Italie.