Tous les Articles

W3C

  • Flux RSS des articles
Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 16:20
Quand cette histoire est arrivée, nous étions mariés, Evelyne et moi, depuis 8 ans. J’ai toujours été très excité par l’idée de ma femme baisant avec un autre, ce fantasme est né à l’époque ou nous étions fiancés. Quelques mois avant de nous marier, nous nous sommes disputés et nous avons rompus. Peu de temps après je l’ai croisée dans une boite au bras d’un type, j’ai noté dans son attitude de la provocation mais en même temps qu’un peu de jalousie j’ai ressenti une certaine excitation.

J’ai fait celui qui l’ignorait mais je ne l’ai pas perdu de vue, de plus en plus excité par le fait de voir mon ex-fiancée flirter avec cet homme, cela était sans équivoque et à la voir collée à lui j’imaginais qu’ils avaient déjà baisé ensemble. Quand ils sont sortis je les ai suivis le plus discrètement possible, la nuit était mon alliée, ils sont allés vers les voitures. L’endroit était isolé, je devinais leurs silhouettes, enlacées, ils s’embrassaient fougueusement, j’ai deviné ce qu’elle allait faire quand elle a disparu de ma vue, le type a commencé à gémir lui disant au passage qu’elle suçait divinement...

Ensuite il l’a relevé et l’a plaqué sur le capot de la voiture, relevant sa mini robe il lui a arraché sa culotte et l’a pénétré brusquement. Je ne voyais pas grand chose mais ce que j’entendais me faisait parfaitement comprendre qu’elle aimait beaucoup ça, au bout de dix minutes ses gémissements s’étaient transformés en cris et en suppliques pour qu’il décharge en elle, ce qu’il fit peu après... Ils quittèrent ensuite le parking et je ne les revis plus jamais ensemble.

Quelques semaines après je me réconciliais avec Evelyne et nous avons bien sur parlé de son aventure, elle a vite compris que je n’étais pas jaloux et que ça m’excitait d’en parler. Je ne lui ai pas tout avoué, notamment le fait que je l’ai vu sur le parking mais je lui ai raconté, peu à peu, certains de mes rêves où je la mettais en scène avec lui...

Après notre mariage nous avons souvent reparlé de cette aventure, surtout au cours de nos soirées amoureuses, c’est moi qui en parlait le premier. Ces fois là nous ne faisions pas l’amour de la même façon, il y avait plus d’excitation dans nos rapports et elle s’enhardit aussi, me demandant parfois ce que je ressentais à l’idée qu’elle ai couché avec un autre, les mots qu’elle employait alors étaient plus crus.

A partir de ce moment, ses parties de jambes en l’air avec lui sont devenus un thème récurent dans notre vie sexuelle, j’ai réussi à ce qu’elle me raconte tout dans les moindres détails, quand elle se laissait mettre la main entre les cuisses en discothèque, quand elle lui sortait la queue et le suçait alors qu’il conduisait, quand elle s’asseyait sur sa verge dressée ou quand elle ouvrait les cuisses sur le siège arrière de sa voiture en suppliant qu’il la baise...

Ma femme savait que j’avais très envie qu’elle ai une autre expérience mais cela demeurait un jeu entre nous car elle n’était pas prête à faire ce pas. Quand notre dernier enfant est entré à l’école primaire, elle a décidé de retravailler et a finalement trouvé une place de vendeuse dans la boutique d’un photographe. Au bout d’une semaine je notais que ma femme était plus attentive à sa tenue et soignait beaucoup son maquillage. Mon imagination commença à faire des siennes et je lui demandais ce qui se passait mais pour elle s’était juste parce qu’elle devait être soignée dans son travail, face au public. J’admis son explication jusqu’au jour où je rencontrais son employeur, Pierre, un type de 53 ans, divorcé, pas mal de sa personne mais quand je vis le regard de cet homme sur ma femme je sus tout de suite qu’elle lui plaisait.

Le soir j’en parlais à Evelyne qui ne me démentit pas, elle aussi avait compris que son patron la désirait...Je lui redis une fois encore mon fantasme et ce soir là nous fîmes l’amour intensément. Pierre était en train de prendre la place de son ex-amant dans nos fantasmes amoureux. Quelques semaines plus tard, Evelyne revint du travail assez excitée, elle ne voulut rien me dire avant que les enfants soient couchés.

Ce n’est que dans notre lit qu’Evelyne me montra une photo où l’on pouvait voir Pierre, son patron, posant nu sur une photo, elle l’avait trouvé en faisant du rangement. Evidemment ce qui l’avait troublé et me troubla aussi c’est la taille du sexe de cet homme, 20 à 23 cm à vue de nez et assez épaisse, ce qui était remarquable à côté de la mienne. Evelyne se laissa entraîner dans mon fantasme et elle reconnut que ça devait être génial de se laisser glisser sur un tel engin... Après que nous ayons fait l’amour elle me demanda si j’avais toujours envie d’être cocu, ce que je lui confirmais tendrement.

Le lendemain matin elle se leva plus tôt que d’habitude et s’enferma dans la salle de bain. Je m’occupais des enfants puis nous déjeunâmes tous les quatre. Quand ils furent partis ma femme m’entraîna dans la chambre, ôtant son peignoir elle m’apparut portant des bas fumés, un soutien gorge à balconnets, un porte-jarretelles et une culotte noire assortie, elle me dit en souriant,

- Crois tu que ça plaira à Marc ?

- Tu vas le rendre fou, répondis-je très excité...

- Tu sais ce que je vais faire... pour te satisfaire, toi... mais aussi pour mon plaisir, c’est bien ce que tu veux, non ?

Je lui confirmais mon désir et elle m’avoua qu’elle avait très envie de le séduire, et plus encore depuis qu’elle avait vu cette photo. Elle savait que lui était attiré ce dont je ne doutais pas un instant, à 30 ans Evelyne était une jeune femme très désirable et si ses seins n’étaient pas très gros elle avait d’autres arguments dévastateurs, ses jambes, ses fesses, une silhouette fine et nerveuse, une crinière brune frisée qui accentuait sa féminité... Je l’aidais ensuite à choisir un chemisier et une jupe courte, mais pas trop, sexy sans être provocatrice, elle était un peu nerveuse mais je la rassurais une nouvelle fois, lui faisant promettre de tout me raconter le soir...

Le soir elle m’apparut heureuse, rayonnante, mais elle ne voulut rien me raconter tant que nous ne serions pas tranquilles, seuls tous les deux au lit... Pourtant, profitant d’un moment où les enfants regardaient la télé, elle caressa mon sexe au travers du pantalon et me murmura avec un sourire radieux,

- Cocu... ça y est, tu es cocu mon chéri...

Cela m’excita et je trouvais le temps bien long, enfin les enfants furent couchés et ce soir là nous gagnâmes directement notre chambre. Nous déshabillâmes et je vis des traces de suçons dans son cou et sur ses seins, elle souriait, heureuse et s’allongea en m’ouvrant ses cuisses. Je ne me fis pas prier, je la goûtais, imaginant que son amant était là, quelques heures auparavant, et malgré la douche je sentais encore les effluves de ses secrétions amoureuses.

Elle commença à gémir sous mes caresses et nous fîmes l’amour, je sentais que j’aurai du mal à le faire longtemps car j’étais très excité mais Evelyne eut rapidement un orgasme et nous nous effondrâmes épuisés. Le sommeil la gagnait déjà mais j’insistais suffisamment pour qu’elle me fasse un résumé de sa journée.

Elle avait eu durant la matinée plusieurs fois l’occasion de lui faire entrevoir ses jambes, en cherchant dans des placards elle devait s’agenouiller, il voyait parfaitement la lisière de ses bas, il la frôla plusieurs fois et ma femme ne faisait rien pour l’éviter, elle avait aussi défait un autre bouton laissant ainsi son chemisier plus ouvert.

Il y eut aussi l’épisode de l’escabeau, il l’aida une première fois et elle ne protesta pas quand il frôla ses fesses, en redescendant il lui fit un compliment et elle lui sourit, lui montrant ainsi qu’elle était sensible è sa remarque. En fin de matinée, juste avant de fermer elle se retrouva encore sur l’escabeau et il vint à son secours soit disant pour la maintenir et éviter une chute, il avait posé ses mains un peu au dessus des genoux mais elle les sentit monter doucement et s’insinuer sous la jupe.

Elle lui dit d’arrêter mais avec un rire qui était plutôt un encouragement, elle redescendait et il laissa sa main glisser au dessus de la jupe, épousant ses fesses puis ses reins... quand elle se retourna, une fois en bas, elle se trouva collée à lui un instant, consentante, il allait l’embrasser mais un client entra et ils s’écartèrent.

Ce dernier client partit il ferma la grille et l’entraîna dans l’arrière boutique, il savait Evelyne consentante, il l’enlaça par derrière, plaquant son sexe déjà dur sur les fesses de ma femme et commença à la peloter avec force, il ouvrit le chemisier et fit glisser le soutien gorge, malaxant ses seins, faisant durcir ses tétons. Excitée Evelyne ne resta pas inactive, elle commença à onduler pour mieux sentir son érection puis n’y tenant plus elle glissa sa main entre eux, baissa la fermeture éclair, voyant qu’elle n’arrivait pas à extraire sa queue, il l’a retourna alors et la fit asseoir, il libéra lui même son sexe qu’il agita sous le nez de ma femme.

Elle ne se fit pas prier et commença à le sucer , il caressait ses cheveux et au bout de quelques minutes il explosa sans retenue, Evelyne en avala une partie mais du sperme s’échappa, elle en avait aux commissures des lèvres puis quelques gouttes étaient tombées tombèrent sur ses seins... Il s’agenouilla devant elle et lécha le sperme qui se trouvait sur son visage, elle me raconta que ça l’avait excitée énormément de voir son amant goutter ainsi son sperme, il l’avait embrasser partageant ainsi sa liqueur et il avait poursuivi ce petit jeu jusqu’au moment ou il n’y eut plus de traces sur elle.

Ils montèrent alors dans l’appartement qu’il possède au 1er étage, Evelyne avait encore sa jupe, lui avait ôté son pantalon et se trouvait déjà nu quand ils arrivèrent en haut. Il lui ôta la jupe et sa culotte avant de la pousser en travers du lit, l la regarda un instant et lui dit combien il la trouvait belle et se mit en devoir de lécher sa chatte. Evelyne le laissa faire, impudique, ouverte, avec ses bas et son porte-jarretelles, elle s’abandonna à son premier orgasme les yeux fermés, elle se sentit pénétrée et ses gémissements se transformèrent, elle cria son plaisir et se dressa sur ses coudes pour voir...

Ce soir là j’eus du mal à lui faire dire ce qu’elle avait ressenti d’avoir cette belle queue en elle, avec pudeur elle m’avoua tout de même qu’elle avait ressenti une forte sensation, elle se sentait plus rempli mais plus tard elle finit par m’avouer que ça l’avait rendue folle...

Pierre l’avait baisé pendant un long moment, au moins une demi heure selon elle, changeant de rythme, la retournant, variant les positions, elle eut un orgasme mais lui s’était retenu, continuant de la défoncer, le second fut intense et quand il explosa en elle, elle était en transe, hurlant comme une folle...

Ils déjeunèrent ensuite, nus, s’embrassant et se caressant entre chaque bouchées... vers la fin du repas elle vit que Pierre avait une nouvelle érection, elle repoussa sa chaise et s’assit sur lui, s’empalant sans précaution sur sa verge dressée, il restait près d’une heure avant de rouvrir la boutique...

Ils ont fini le repas comme ça, face à face, Evelyne bougeait peu au début mais ses sensations étaient intenses, elle se souleva pour offrir ses seins aux lèvres de son amant puis se laissait retomber, coulissant sur cette grosse queue pour l’embrasser furieusement... au bout de plusieurs minutes de ce petit jeu il la souleva, les jambes nouées autour de sa taille, elle se trouva plaquée contre le mur.

Il avait repris le contrôle et la défonça littéralement, il la laissa encore jouir une fois seule avant de la rejoindre dans un second orgasme dévas
tateur. Il la porta sur le lit dans lequel elle se réveilla deux heures plus tard... Pierre était redescendu et avait ouvert la boutique à l’heure, la laissant récupérer de leur folle chevauchée...
Par Anonyme - Publié dans : Histoires Coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés