Jeudi 24 mai
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19:11
salut julia, mes compliments pour ton site. j'ai une histoire un peu coquine à raconter.
je commence : il y a deux ans, j'ai postulé pour un stage à une rédaction d'un magazine féminin. c'était l'été, mon travail consistait à corriger, mettre en page des articles, rien de bien excitant. on m'avait quand même attribué un bureau et un ordinateur pour çà.
mon lieu de travail était une villa dans un quartier résidentiel de Casablanca. il y avait une dizaine d'employés, deux ou trois femmes journalistes et la rédactrice en chef. je connaissais un ou deux gars, mais ma meilleure rencontre fût celle d'Ilham, une ancienne amie et fille d'un éditeur, qui travaillait à plein temps au magazine.
à mon premier jour, Ilham, jolie brunette aux yeux chauds comme la braise, m'a tout de suite reconnu, a été polie et affable, je ne m'y attendais pas.
une semaine s'est écoulée. son bureau était près du mien, nos écrans d'ordinateur n'étaient séparés que d'un ou deux centimètres. ce jour-là, Ilham était vêtue d'un haut moulant et décolleté en coton rose, avec un pantalon de même tissu et de même couleur, des sandales talons aiguille. je la voyais de profil ; elle était vraiment bandante. ses tétons pointaient sous son débardeur, un string fuschia remontait sur ses hanches nues par son pantalon taille basse. elle a surpris a quelques reprises mes regards concupiscents, m'a souri en retour. je ne me suis pas aperçu que je tapais un commentaire particulièrement salace sur mon ordinateur, et elle n'a pas trouvé mieux que de regarder mon écran à cet instant. j'avais mis : oh-la-laa keskel est bonne ! j'ai trop envie de me la faire ! je n'ai pas eu le temps d'effacer qu'elle avait lu. elle m'a tancé d'un regard froid et mauvais, je n'ai même pas pu m'excuser, je me suis remis tout penaud à mon travail.
j'étais loin d'imaginer ce qui allait suivre. elle a pivoté sur son siège, écartant les jambes, faisant sauter le bouton de son pantalon. j'ai risqué un timide coup d'oeil, l'ai vue ouvrir son tiroir, sortir un fruit, une orange précisèment. et là, elle a pris l'orange et s'est mise à se caresser l'entrejambes avec. j'ai pivoté à mon tour sur mon siège, n'en croyant pas mes yeux mais admirant quand même.
à cette heure de la matinée, nos collègues étaient dehors. seul un trentenaire moustachu, responsable de l'impression, faisait les mots croisés dans un bureau un peu plus loin. j'ai pensé : qu'est-ce que c'est que ce canular porno ? j'ai jeté un regard circulaire inquiet, Ilham s'en est aperçue, je crois que çà l'a encore plus excitée, elle a commencé à pousser de petits gémissements de plaisir. me regardant droit dans les yeux avec un regard tueur, elle se pelotait avec l'orange en cadence, mon érection explosait, je m'accrochais à mon siège. son pantalon déboutonné, elle y a glissé l'orange, et j'ai bien vu qu'un ou deux doigts disparaissaient dans son string. elle a glissé sa main libre dans son débardeur, sortant un sein dont elle a titillé le téton. n'y tenant plus, j'ai esquissé un mouvement vers elle. elle m'a repoussé, puis au bout d'un moment elle a joui. ou a semblé jouir. elle s'est arrangée, a posé l'orange sur mon bureau, puis elle s'est remise au travail. l'air de rien.
il va sans dire qu'après cet épisode, j'ai eu quelques nuits torrides, à rêver d'Ilham. ma fiancée, que je ne pouvais baiser, était trop prude à mon goût.
quelques jours plus tard, un soir. j'étais retardataire, j'avais des articles à fignoler. les femmes de la rédaction étaient invitées à une soirée. Ilham en était. elles s'étaient rassemblées avant de s'y rendre. je travaillais à l'étage. Ilham est montée, vêtue d'une (très) courte robe du soir noire, les pieds nus. elle vint à son bureau, sembla prêter attention à ma présence. j'ai fait l'indifférent. elle a pris des chaussures sous sa table, les enfila avec des gestes provocants, étendant ses belles jambes nues quasiment sous mon nez. je suis resté de glace. elle s'est alors levée, a esquissé quelques mouvements de danse sous mes yeux, faisant à chaque fois remonter sa robe, laissant apparaitre ses fesses serrées dans un string doré, j'ai noté la même couleur pour ses escarpins. je me suis, malgré moi, mis à suivre sa danse. on l'a appellée, d'en bas, elle a continué à danser, avant de s'éloigner en abaissant sa robe et en me passant son doigt mouillé sur les lèvres.
son copain est monté, elle est descendue avec lui. j'ai foncé aux toilettes, et là j'ai éjaculé du mieux que je pouvais. putain quelle allumeuse ! elle me rendait fou. elle me l'a encore prouvé. j'avais joui dans le lavabo des toilettes, éclaboussant les bords. Ilham est entrée, prétextant vouloir se saupoudrer le nez. elle m'a surpris dans cette posture, mon sexe a baissé de volume ; elle a passé un doigt sur le lavabo, l'a léché, et mon sexe s'est remis au garde-à-vous. elle a souri, puis m'a dit avec une douce autorité d'aller me remettre à mon travail. je suis sorti des toilettes.
j'ai regagné mon bureau, elle m'y a rejoint. elle s'est accroupie devant mon siège, ouvert ma braguette et mis sa main dans mon pantalon, m'aggripant la bite. elle l'a longuement caressée, m'a griffé les bourses par ses caresses, puis s'est mise à sucer. Dieu que c'était bon ! j'avais eu raison de me branler, tout à l'heure. je crois qu'elle m'a fait la meilleure fellation de ma vie. çà a bien duré dix minutes ! elle paraissait impressionnée de ma 'constance'. et la encore, paf ! son copain est remonté. il l'a appelée, elle a stoppé ses va-et-vient buccaux. le mec, que je connaissais assez bien, m'a demandé de mes nouvelles. je ne sais pas ou j'ai trouvé la force de lui répondre, et comment j'ai pu lui dire qu'elle arriverait tout de suite. il m'a regardé d'un air soupçonneux, Ilham m'a donné du courage en se remettant a me sucer, j'ai alors opiné de la tête pour indiquer les toilettes au gars. il a acquiescé, puis est redescendu. j'ai alors joui.
elle s'est relevée, a voulu s'essuyer. il n'y avait pas de mouchoirs. elle a alors abaissé son string, me laissant admirer sa chatte, s'en est essuyé le visage et le cou, puis elle l'a ré-enfilé, ainsi humide, l'excitant délicieusement. je l'ai attirée vers moi, ai voulu abaisser les bretelles de sa robe. elle m'en a empêché, a murmuré : je dois y aller. je n'ai pas écouté, j'étais ivre de désir. la plaquant sur une table voisine, j'ai remonté sa robe, arraché son string, et je l'ai carrément violée. je l'ai pénetrée par son anus d'abord, elle a étouffé un cri de douleur, je l'ai retournée, et je lui ai mis ma queue entre les cuisses, mais j'ai éjaculé, l'angoisse et l'envie pressante aidant, un peu trop vite a mon goût. elle est néanmoins restée appuyée sur les coudes, en sueur et la chatte a l'air, toute pleine de mon sperme. délicatement, je lui ai remonté sa culotte, avec un bisou sur le minou d'abord.
elle s'est ré-arrangée, m'a jeté un regard que j'ai voulu croire reconnaissant, puis est partie, cette fois. quant a moi, une terrible inquiétude m'a envahi : qu'avais-je fait ? n'étais-je pas allé trop loin avec ce fantasme ?
le lendemain, elle s'est présentée au boulot, très détendue. vêtue d'une jupe large, et d'une chemise sans manches, elle s'est mise au travail normalement, en me disant bonjour. a la pause, elle s'est levée, laissant son string du jour sur son siège, et me jetant un regard coquin. j'ai pris le dessous, un papier y était roulé. dessus, il y avait écrit : c'était si bon.
je ne l'ai néanmoins plus jamais baisée. mon stage terminé, je ne l'ai revue qu'a de rares occasions. elle était une bonne amie a ma fiancée, elle était fiancée elle-même. j'ai appris son mariage cette année, j'ai rompu quant a moi mes fiançailles, cette histoire reste un bon souvenir d'une vraiment bonne meuf.
sélim.
Par Selim
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Publié dans : Histoires Coquines
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