Les Rencontres Sexe
Comment ai-je bien pu en arriver là ? A près de 30 ans, je suis pourtant un jeune père consciencieux et un mari toujours amoureux de sa femme. Nous formons une famille unie et heureuse. Mais aujourd'hui, je ressens le désagréable sentiment de trahir tout mon entourage.
En fait, cette idée reste cantonnée bien au fond de mon esprit, mais, malgré tout, elle est là, bien présente et je la sens qui rôde. Heureusement, une autre sensation, bien plus intense et agréable, la masque largement et m'empêche de trop culpabiliser. Mes deux jeunes gamins, que je suis censé surveiller, sont en train de jouer seuls à l'aire de jeux du jardin public tandis que je me fais sucer par une jeune fille au pair dans les toilettes pour femmes du parc. C'est du propre !
En congé parental depuis quelques années déjà, je m'occupe de mes deux garçons âgés respectivement de 2 et 4 ans pendant que ma femme travaille. J'avoue que c'est un peu spécial pour un homme, mais on s'y fait très bien, malgré les interrogations légitimes de ses parents et amis. Les journées passent très vite et il est vraiment agréable de pouvoir passer du temps avec ses enfants, de les voir grandir. Cet après-midi, par exemple, nous sommes venus ensemble au jardin public, comme presque tous les mercredis dès le retour des beaux jours. J'y retrouve en général toute une foule d'habitués, surtout des femmes et pour la plupart des mamans venues comme moi défouler un peu leurs garnements en ce jour de repos. Pendant que mes gamins jouent tranquillement dans leur coin, je lis ou je discute de choses et d'autres avec quelques-unes d'entre elles.
Mais aujourd'hui, pour la toute première fois, j'ai laissé mes enfants seuls. J'ai prétexté une course urgente pour confier leur surveillance à une des mamans que je connais bien. Puis, je me suis rendu discrètement dans les toilettes des femmes pour y retrouver la jeune fille qui me faisait de l'œil depuis mon arrivée au parc. C'est une superbe brune d'à peine 20 ans au fort accent anglais, très sexy dans son tailleur chic un peu strict qui accompagne deux petits bourgeois tout aussi élégamment vêtus. Je l'avais déjà remarquée la semaine dernière pour la première fois. Elle aussi apparemment. Nous avions échangé quelques sourires mais pas un mot. Lorsqu'elle est partie avec ses petits protégés, je n'ai pu m'empêcher de la suivre du regard. Elle a du le sentir et s'est retournée, me souriant une dernière fois. Je n'étais pas certain alors de la revoir un jour. Et pourtant, aujourd'hui, elle est là et je suis bel et bien occupé à lui peloter la chatte.
Quand elle s'est levée pour se diriger vers la cabane en bois qui fait office de toilettes, elle m'a fait un petit signe encourageant qui ne laissait guère de doutes quant à ses intentions. Elle voulait que j'emboîte le pas. Je l'ai donc suivie, sans un mot, à bonne distance et me voilà maintenant subitement passé du statut de papa modèle au rôle de père indigne.
Je suis assis sur le couvercle des chiottes, slip et pantalon sur les chevilles. La jeune brunette me taille une pipe d'enfer, agenouillée sur le sol carrelé, toujours vêtue de son tailleur. J'ai largement écarté les cuisses pour lui faciliter la tâche. Sa tête disparaît entre mes jambes. Cette salope suce comme une reine. Elle me pompe fougueusement le jonc, bien au chaud dans sa bouche humide. Ses joues sont déformées, leur fine peau distendue par le nœud de ma bite. Ses lèvres goulues et pulpeuses enserrent mon sexe dans un étau de velours délicieux. Je sens sa langue pointue qui lape le bout de mon gland à l'intérieur de la bouche. S'aidant de sa main, elle fait coulisser mon pieu dans la cavité, avançant et reculant la tête alternativement. De temps en temps, elle s'arrête de glisser sur mon manche pour mieux en sucer l'extrémité. Ces moments sont exquis. Elle aspire alors les quelques gouttes de liquide séminal qui perlent du méat. Elle semble aimer sucer et me fait bénéficier de son goût pervers pour les sucettes humaines. Si elle pompe la queue de son patron aussi bien que la mienne, celui-ci n'est pas prêt de la renvoyer au pays.
Dans ma position un peu inconfortable, il m'est assez difficile de rendre à ma partenaire autant de plaisir que j'en reçois. Je suis penché en arrière, le dos sur la cuve de la chasse d'eau et je me tiens fermement au couvercle des toilettes avec les deux mains. Tout mon être est tendu vers la bouche de la jeunette et se concentre dans ma pine. J'ai l'impression de ne plus être qu'une queue qu'on suce. Néanmoins, je veux honorer ma suceuse comme elle le mérite. Je parviens difficilement à glisser mon pied droit entre ses cuisses écartées. Avec le dessus, je frotte légèrement sa vulve à travers son slip. J'insiste un peu, massant sa fente en un mouvement de va-et-vient régulier. J'applique de douces pressions sur son sexe. A travers le sous-vêtement de coton, je sens la tâche humide que déjà fait sa mouille. La vicieuse s'excite toute seule en me pompant le dard. Je vais l'aider à jouir.
Appâtée par mes attouchements, la jeune cochonne écarte un peu plus les genoux, facilitant par là même le mouvement de mon pied entre ses jambes. Elle me pompe toujours allègrement le dard mais je perçois une certaine excitation dans ses gestes, légèrement plus désordonnés. Elle me suce plus violemment mais ce n'est pas pour me déplaire. Devant ses réactions, je m'enhardis un peu. Je tente de faire passer mes orteils sous le doux tissu de son slip. Après deux tentatives malheureuses, elle comprend mes difficultés, vient m'aider et écarte elle-même le bord du bout d'étoffe d'une main. Je profite immédiatement du passage ainsi libéré pour prodiguer à sa chatte une caresse intime qui ne la laisse pas indifférente.
Le cabinet de toilette résonne à présent des petits gémissements de la jeune fille au pair, à peine étouffés par ma queue. La salope prend son pied (ou devrais-je dire " mon pied " ?). C'est la première fois que je branle une femme de la sorte. Je suis prêt à toutes les expériences pour la satisfaire. J'insère mon gros orteil dans sa vulve juvénile et je sens son clito gonflé qui pointe sur mon cou de pied, tout là-haut. Je fais le nécessaire pour venir le coincer entre deux de mes doigts et tirer un peu dessus. Les gémissements du début se transforment peu à peu en petits cris. Sa bouche gloutonne pompe toujours avidement ma bite noueuse. Cependant, je la sens un peu moins disponible, moins consciencieuse, trop excitée sans doute pour pouvoir s'appliquer vraiment. Mais ce que je perds en technique, je le gagne en fougue. Ses gestes sont certes moins précis mais plus rapides et mon manche coulisse maintenant agréablement entre ses lèvres. Ainsi pompé, je ne vais guère tarder à jouir.
Au bas des toilettes, la fille au pair lubrique gigote sur mon pied. Son corps tout entier s'agite sur mes orteils. Je la vois qui s'active sur mes doigts pour faciliter leur intromission dans son sexe maintenant complètement ouvert. Je les resserre pour qu'ils entrent bien dans la fente. Elle n'est plus à genoux mais accroupie, toujours plus écartelée, les jambes presque à l'horizontale. Elle monte et descend alternativement sur mon pied. Elle non plus ne va pas pouvoir tenir bien longtemps à ce rythme infernal. Une idée cochonne traverse alors mon esprit pervers.
Je déplace lentement mon pied gauche sous son bassin. Je le fais passer sous ses fesses. Je recourbe la pointe des orteils et je les insère sans peine entre les globes jumeaux et charnus. De la pointe de mon pouce, je viens lui effleurer délicatement l'anus. Je lui masse la rondelle avec mon pied. Son bassin va et vient d'avant en arrière. Elle cherche le contact côte pile et côté face. Je lui taraude la vulve par-devant et le trou de balle par-derrière. Je sens que la rosette s'ouvre un peu plus à chaque fois que je presse dessus. Le gras de mon orteil vient parfaitement adhérer au pourtour violacé du trou. Il fait ventouse. Je l'agite un peu pour augmenter encore son plaisir.
C'est beaucoup pour son corps affamé de jouissance. Quand je pousse une ultime fois contre son anus et que je parviens à l'écarter suffisamment pour y entrer, elle ne peut faire autrement que s'envoler vers les sommets. C'est le moment que choisit également ma bite pour inonder sa bouche vorace de foutre liquoreux. En bonne suceuse, mon anglaise lubrique n'en perd pas la moindre goutte, retrouvant à l'occasion sa langue maternelle pour lâcher deux ou trois " oh, my God ! " explicites avant de s'effondrer sur le sol froid des toilettes, vaincue par mes caresses.
Décidément, je crois bien que je reviendrais souvent dans ce jardin public le mercredi après-midi. Dommage qu'il faille y amener les enfants