Les Rencontres Sexe
L'été dernier, ma femme et moi avions décidé de faire un peu de nudisme sur une plage dont la réputation n'est plus à faire! Nous n'avions pas de programme particulier et le libertinage fait partie de nos plaisirs. En arrivant, nous avons déposé nos draps de bain assez en retrait de l'eau, au début des dunes de sable et un peu en hauteur. Entre baignade et bronzage, nos corps nus profitaient de ces moments ensoleillés et chauds. La matinée passait tranquillement, notre nudité nous émoustillait un peu et quelques caresses étaient échangées.
Pendant notre farniente, allongés et nus, j'observais un homme arrivant tranquillement vers nous par derrière les dunes. ma femme ne voyait ni n'entendait rien. Il s'assit silencieusement dans le sable à deux mètres de nous, son regard croisant le mien, je n'eut aucune réaction. Je pense que mon silence était pour lui une sorte d'invitation et il nous observait. Au bout de quelque minutes, je réalisa qu'à travers son short léger il avait sorti son sexe ! je fut surpris par cette queue assez grosse et surtout avec des grosses couilles bien rasées comme ma femme les aime. Le type se caressait nonchalamment et commençait à avoir une belle érection. Cette vision m'excita et me donnait des idées. Je sortait alors ma femme de son demi-sommeil pour lui faire découvrir la scène. Elle fut d'abord étonnée puis elle jeta un regard plus ou moins discret sur l'organe de notre invité. Ce dernier, silencieux, continuait de se caresser. Je fit une allusion à ma femme qui tenta de se réfugier dans une fausse timidité. La connaissant, et étant donné les circonstances, je savais qu'elle serait partante.
A l'endroit où l'on était, personne ne pouvait se douter de ce qui se passait. Même si les vacanciers ou les promeneurs n'étaient pas si nombreux sur cette plage éloignée de la Camargue. Pour ma part je commençait à caresser plus « profondément » ma douce moitié entre ses cuisses et percevait au bout de mes doigts cette humidité qui trahissait son désir. Le comparse se rinçait l'oil en continuant de faire dresser son sexe entre ses mains. Il faut préciser que le type était marocain et c'est le genre de nationalité qui plait beaucoup à Madame ! Je demandais à ma femme de nous déplacer sur le versant caché de notre mini dune. Elle accepta et se leva pour déplacer sa serviette et s'allonger sur le dos contre la pente de cette dunette, les jambes ouvertes. Une fois à l'abri, je m'allongeai entre ses jambes et commença à lécher et dévorer sa chatte goulûment. Notre invité attentif, se masturbait en m'interrogeant du regard. Il ne tenait plus et avait une très belle érection. Ma femme avait les yeux fermé sous ses lunettes et profitait de mes caresses. Elle était très excitée mais restait calme et offerte, me faisant comprendre qu'elle était prête et consentante. Elle ne regardait pas, comme pour ne pas savoir qui s'occupait d'elle ! Dans mon excitation j'envoyait un regard au marocain qui comprit immédiatement mon invitation. Il se jeta littéralement sur ma femme, allongée et offerte, ses jambes bien écartées et sa chatte trempée en plein soleil. Il commença à embrasser son entre jambe, à effleurer de sa langue son minou brûlant et à la couvrir de compliments sur sa beauté et ses formes. En effet, elle est belle, pulpeuse et irrésistible quand le désir l'anime. Il entreprit ensuite de lécher et caresser ses seins dont les tétons dressées ne laissait absolument aucun doute sur son excitation. Il n'arrêtait pas de les embrasser, de les lécher et de les caresser. On aurait dit un enfant troublé qui redécouvrait son jouet dont il aurait été privé longtemps. De mon coté, je n'ai pu résister à l'envie de la pénétrer. Ce que je fit sans aucune difficulté vu son état, la chaleur ambiante et mon énorme érection. Sa chatte chaude et humide n'attendait que cela et ce fût très excitant. Pendant ce temps ma femme restait passive et je devinais ses yeux fermés à travers ses lunettes, comme si elle nous disait « faites ce que vous voulez, je suis offerte et prête à tout, allez-y, j'ai envie. »
Après un instant je me retirait et sans un mot, d'un regard complaisant j'invitai l'homme à prendre ma place. Après avoir vérifié qu'il mettait bien son préservatif (j'avais déjà vérifié qu'il en avait un), je reculais et lui offrais ces jambes écartées prêtes à recevoir un nouvel assaut sexuel. A ce stade des évènements Madame, les yeux fermés ne savait pas qui était où ! L'homme s'allongea sur elle et, sans s'arrêter de caresser et de sucer sa généreuse poitrine, il la pénétra vivement. Placé en arrière, j'ai vu en détail l'introduction de son sexe gros et large dans la chatte offerte de ma femme. Il commença à pousser des râles de plaisir, il était aux anges et elle aussi car elle laissa échapper des gémissements de plaisir. La scène était magnifique, je voyais ce marocain s'activer entre les cuisses charnues et largement ouvertes ainsi que les coups de reins de ma femme qui venait à la rencontre des coups de boutoirs de son amant du moment. Sous mes yeux, la grosse queue marocaine limait violemment dans l'humidité de ma femme qui alors lâchait des cris de plus en plus perceptibles et proches du plaisir.
Pendant ce temps un autre homme nu s'approchait à une vingtaine de mètres, il nous avait découvert et nous observait. Quand je l'ai regardé il m'a demandé d'un signe s'il pouvait venir. Ayant peur de ne plus maîtriser la situation avec ces inconnus, je refusa d'un signe de la tête. Apparemment il avait compris et poliment, garda ses distances tout en continuant de se rincer l'oeil. Cela ne me gênait pas et peut-être m'excitait encore plus.
Notre marocain continuait de baiser et ses coups de reins étaient de plus en plus violents et rapides. Sa queue très large et assez longue donnait tout le plaisir que Madame attendait. Elle le serrait contre lui pour ne rien perdre de sa 'vigueur marocaine'. Ses soupirs devenus rapides et ses cris que je connaissait si bien prouvait qu'elle était en train de jouir. Son corps ondulait et vibrait très fort, elle bougeait pour mieux enfourner cette belle queue. Il poussa aussi un cri de jouissance et se tétanisa de plaisir. Des secousses presque animales montraient qu'il devait éjaculer avec puissance et jouir dans le ventre de sa partenaire. Il tomba immobile quelques seconde sur le corps de ma femme. Elle l'embrassa pour le réconforter et le récompenser de son étreinte si énergique. Il se retira en douceur tout en se confondant en remerciements et compliments à l'égard de celle qu'il venait de séduire. Il reprit ses esprits, se rhabilla, échangea quelques mots et nous salua gentiment avant de partir aussi discrètement qu'il était arrivé. Pour ma part, j'était encore en pleine érection et dans une excitation extrême. J'embrassai alors ma femme qui avait l'air réjouie de cet intermède coquin. Après l'avoir retournée et fait mettre à genoux, j'ai dévoré du regard sa vulve ouverte, trempée et offerte que cette position de levrette offrait. J'ai pris entre mes mains ses larges hanches pour la pénétrer et la pilonner de mon sexe devenu si dur. J'ai joui rapidement sur son dos bronzé qui recevait alors de long jets de sperme brillant et chaud. Nous avons finalement passé un très bon moment et avons repris tranquillement notre bronzage estival dans un repos bien mérité.
Je lui fit part plus tard du deuxième homme qui a failli arriver si je ne l'en avait pas empêché. Elle me répondit avec un aplomb déroutant que j'aurais dû le laisser venir.
Pendant notre farniente, allongés et nus, j'observais un homme arrivant tranquillement vers nous par derrière les dunes. ma femme ne voyait ni n'entendait rien. Il s'assit silencieusement dans le sable à deux mètres de nous, son regard croisant le mien, je n'eut aucune réaction. Je pense que mon silence était pour lui une sorte d'invitation et il nous observait. Au bout de quelque minutes, je réalisa qu'à travers son short léger il avait sorti son sexe ! je fut surpris par cette queue assez grosse et surtout avec des grosses couilles bien rasées comme ma femme les aime. Le type se caressait nonchalamment et commençait à avoir une belle érection. Cette vision m'excita et me donnait des idées. Je sortait alors ma femme de son demi-sommeil pour lui faire découvrir la scène. Elle fut d'abord étonnée puis elle jeta un regard plus ou moins discret sur l'organe de notre invité. Ce dernier, silencieux, continuait de se caresser. Je fit une allusion à ma femme qui tenta de se réfugier dans une fausse timidité. La connaissant, et étant donné les circonstances, je savais qu'elle serait partante.
A l'endroit où l'on était, personne ne pouvait se douter de ce qui se passait. Même si les vacanciers ou les promeneurs n'étaient pas si nombreux sur cette plage éloignée de la Camargue. Pour ma part je commençait à caresser plus « profondément » ma douce moitié entre ses cuisses et percevait au bout de mes doigts cette humidité qui trahissait son désir. Le comparse se rinçait l'oil en continuant de faire dresser son sexe entre ses mains. Il faut préciser que le type était marocain et c'est le genre de nationalité qui plait beaucoup à Madame ! Je demandais à ma femme de nous déplacer sur le versant caché de notre mini dune. Elle accepta et se leva pour déplacer sa serviette et s'allonger sur le dos contre la pente de cette dunette, les jambes ouvertes. Une fois à l'abri, je m'allongeai entre ses jambes et commença à lécher et dévorer sa chatte goulûment. Notre invité attentif, se masturbait en m'interrogeant du regard. Il ne tenait plus et avait une très belle érection. Ma femme avait les yeux fermé sous ses lunettes et profitait de mes caresses. Elle était très excitée mais restait calme et offerte, me faisant comprendre qu'elle était prête et consentante. Elle ne regardait pas, comme pour ne pas savoir qui s'occupait d'elle ! Dans mon excitation j'envoyait un regard au marocain qui comprit immédiatement mon invitation. Il se jeta littéralement sur ma femme, allongée et offerte, ses jambes bien écartées et sa chatte trempée en plein soleil. Il commença à embrasser son entre jambe, à effleurer de sa langue son minou brûlant et à la couvrir de compliments sur sa beauté et ses formes. En effet, elle est belle, pulpeuse et irrésistible quand le désir l'anime. Il entreprit ensuite de lécher et caresser ses seins dont les tétons dressées ne laissait absolument aucun doute sur son excitation. Il n'arrêtait pas de les embrasser, de les lécher et de les caresser. On aurait dit un enfant troublé qui redécouvrait son jouet dont il aurait été privé longtemps. De mon coté, je n'ai pu résister à l'envie de la pénétrer. Ce que je fit sans aucune difficulté vu son état, la chaleur ambiante et mon énorme érection. Sa chatte chaude et humide n'attendait que cela et ce fût très excitant. Pendant ce temps ma femme restait passive et je devinais ses yeux fermés à travers ses lunettes, comme si elle nous disait « faites ce que vous voulez, je suis offerte et prête à tout, allez-y, j'ai envie. »
Après un instant je me retirait et sans un mot, d'un regard complaisant j'invitai l'homme à prendre ma place. Après avoir vérifié qu'il mettait bien son préservatif (j'avais déjà vérifié qu'il en avait un), je reculais et lui offrais ces jambes écartées prêtes à recevoir un nouvel assaut sexuel. A ce stade des évènements Madame, les yeux fermés ne savait pas qui était où ! L'homme s'allongea sur elle et, sans s'arrêter de caresser et de sucer sa généreuse poitrine, il la pénétra vivement. Placé en arrière, j'ai vu en détail l'introduction de son sexe gros et large dans la chatte offerte de ma femme. Il commença à pousser des râles de plaisir, il était aux anges et elle aussi car elle laissa échapper des gémissements de plaisir. La scène était magnifique, je voyais ce marocain s'activer entre les cuisses charnues et largement ouvertes ainsi que les coups de reins de ma femme qui venait à la rencontre des coups de boutoirs de son amant du moment. Sous mes yeux, la grosse queue marocaine limait violemment dans l'humidité de ma femme qui alors lâchait des cris de plus en plus perceptibles et proches du plaisir.
Pendant ce temps un autre homme nu s'approchait à une vingtaine de mètres, il nous avait découvert et nous observait. Quand je l'ai regardé il m'a demandé d'un signe s'il pouvait venir. Ayant peur de ne plus maîtriser la situation avec ces inconnus, je refusa d'un signe de la tête. Apparemment il avait compris et poliment, garda ses distances tout en continuant de se rincer l'oeil. Cela ne me gênait pas et peut-être m'excitait encore plus.
Notre marocain continuait de baiser et ses coups de reins étaient de plus en plus violents et rapides. Sa queue très large et assez longue donnait tout le plaisir que Madame attendait. Elle le serrait contre lui pour ne rien perdre de sa 'vigueur marocaine'. Ses soupirs devenus rapides et ses cris que je connaissait si bien prouvait qu'elle était en train de jouir. Son corps ondulait et vibrait très fort, elle bougeait pour mieux enfourner cette belle queue. Il poussa aussi un cri de jouissance et se tétanisa de plaisir. Des secousses presque animales montraient qu'il devait éjaculer avec puissance et jouir dans le ventre de sa partenaire. Il tomba immobile quelques seconde sur le corps de ma femme. Elle l'embrassa pour le réconforter et le récompenser de son étreinte si énergique. Il se retira en douceur tout en se confondant en remerciements et compliments à l'égard de celle qu'il venait de séduire. Il reprit ses esprits, se rhabilla, échangea quelques mots et nous salua gentiment avant de partir aussi discrètement qu'il était arrivé. Pour ma part, j'était encore en pleine érection et dans une excitation extrême. J'embrassai alors ma femme qui avait l'air réjouie de cet intermède coquin. Après l'avoir retournée et fait mettre à genoux, j'ai dévoré du regard sa vulve ouverte, trempée et offerte que cette position de levrette offrait. J'ai pris entre mes mains ses larges hanches pour la pénétrer et la pilonner de mon sexe devenu si dur. J'ai joui rapidement sur son dos bronzé qui recevait alors de long jets de sperme brillant et chaud. Nous avons finalement passé un très bon moment et avons repris tranquillement notre bronzage estival dans un repos bien mérité.
Je lui fit part plus tard du deuxième homme qui a failli arriver si je ne l'en avait pas empêché. Elle me répondit avec un aplomb déroutant que j'aurais dû le laisser venir.
Ven 10 nov 2006
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