Voici ma contribution pour ce blog . C'est la première fois que je fais ca donc j'espère que vous aimerez.
Biz à tous et toutes
Elo
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Mes voisins du dessus...
Je suis une jeune femme de 29 ans, assez jolie, bien faite de ma personne. J'aime la vie, mais la vie ne semblait pas m'aimer. Je vivais seule, simplement parce que je me sentais un peu "bloquée" coté sexe. J'ignore pourquoi, mais je culpabilisais... je n'osais pas. Il faut dire que, depuis mon adolescence, je n'ai jamais pu parler avec qui que ce soit de tout ce qui est relatif au sexe. Ma famille était très pudique, très religieuse, et ma mère me houspillait chaque fois que des petits secrets difficilement dissimulables semblaient animer mes relations avec mes petites copines. Mes nuits étaient parfois longues, peuplées de nombreux points d'interrogation. Heureusement, depuis l'âge de 16 ans, j'ai appris à me faire plaisir, toujours seule bien sûr, le soir dans mon lit, ou bien quand mes parents étaient absents. C'est mon jardin secret, jardin que j'aurais bien voulu partager avec quelqu'un...
J'avais trouvé une fois dans leurs affaires des revues cochonnes, et cela m'excitait particulièrement. En fait j'avais hâte de rencontrer un jour quelqu'un de suffisamment sûr pour recevoir mes confidences. Car j'avais des questions, des secrets, et personne avec qui les partager. A 22 ans, je dus partir à l'étranger, dans un pays très religieux. L'équipe de travail était peu sympa et pendant deux ans, il ne s'est rien passé. Les hommes qui travaillaient avec moi étaient grossiers, peu amusants et le soir, buvaient beaucoup. Quant aux autres femmes, soit elles étaient moches, soit elles étaient mariées et dans ces pays-là, il ne faut jamais donner le bâton pour se faire battre. Rentrant en France, c'était la déprime, la solitude, les longues soirées sans rien : pas d'amis, pas de tendresse... Et je devais satisfaire mes pulsions toute seule, un peu honteuse à chaque fois.
Et puis tout a changé quand, à l'occasion d'un déménagement pour un nouveau job, j'ai rencontré des voisins super sympa, Françoise et Marc. Françoise était un joli petit bout de femme, environ mon âge, brune, cheveux coupés très courts. Elle était gaie, dynamique. Marc était posé, calme, semblant ne pas louper une occasion de se délecter des bienfaits de la vie. Tolérant, ayant une vue très libérale des choses de la vie, ils semblaient, tous les deux, réellement complices de leur existence. Et leur vitalité éclairait facilement leur entourage : moi en particulier dont la vie avait jusqu'ici été si sombre. Nous fîmes plusieurs sorties ensembles, les week-end, et Françoise venait me voir souvent dans mon appartement, quand Marc partait en tournée. Elle était douce, gentille, prévenante. Le contact passait très bien et nos cœurs ne tardèrent pas s'ouvrir. Elle me confia un après midi qu'elle était réellement heureuse avec Marc, car il était très attentionné avec elle, et surtout... et elle gloussa en riant :
- Il me fait très bien l'amour... et très souvent, rajouta-t-elle
- Ha bon ! Et c'est quoi souvent ? Demandai-je, surprise par l'allusion
- Eh presque tous les jours... mais tu sais... précisa-t-elle sur le ton de la confidence, les jours que je préfère, c'est quand il revient après trois ou quatre jours de tournée. Car là, en rentrant, il est en pleine forme, prêt à toutes les excentricités. C'est génial ! Et toi, où en es-tu ? Tu as un ami ?
- Non malheureusement... avouai-je
- T'es pourtant pas mal, dit-elle en s'approchant. C'est étonnant qu'un homme ne te fasse pas de propositions...
- Si ! Il y en a eu, mais ce n'était pas comme je le vois dans ma tête...
- Et comment tu le vois dans ta tête ?
Là, je n'osais pas répondre. Car c'était tellement confus... Françoise s'approcha tout près, me fit un bisou sur le front :
- T'inquiète pas Agnès, la chance finit toujours par tourner. Ne te fais pas de soucis... Mais au fait... Il y a longtemps que tu es seule ?
- Oui, environ cinq mois...
- Cinq mois !! Et depuis cinq mois... tu n'as pas...
- Ben... non ! Avouai-je timidement. Enfin... il m'arrive de...
- De te masturber ? me dit-elle en se collant tout contre moi. Et cela te plaît ? J'étais presque pétrifiée par un tel propos. Cela ne m'était jamais arrivé. Elle s'en aperçut car elle me lança :
- Tu sais, Agnès, fait le saut, débloque toi, et tu verras le bien ce que cela fait. Il faut parler de ces choses-là, même si on t'a toujours appris à ne pas le faire... Cela fait partie des choses de la vie. Tu sais, avant de rencontrer Marc, j'étais un peu comme toi, et puis, on a grandi... Je n'ai plus honte de mon corps, ni avec Marc, ni avec quiconque. Tiens, regarde ! Il te plaît, mon corps ?
Et elle se mit à tournoyer devant moi dans une petite danse gentille. Je reconnus qu'elle était ravissante dans sa petite robe. Je ne savais quoi dire. S'en apercevant elle me mis à l'aise en m'embrassant gentiment, m'entraîna sur le divan, s'assit tout contre moi, cuisse contre cuisse et sur le ton de la confidence, en me regardant dans les yeux :
- Ecoute Agnès ! Si tu veux, je peux te confier moi aussi plein de trucs, et tu peux en faire autant. Je te jure que cela restera entre nous. Alors si tu as des choses très intimes à me confier, fais le maintenant, cela te fera du bien.
Je bredouillais, ne sachant dissimuler mon n trouble :
- Mais comment te dire des choses que... que je n'ai gardées que pour moi, et... qui sont... vraiment... très intimes ?
Elle posa sa main sur mon cou, attira doucement ma tête de la sienne, posa son front sur le mien. Elle sentait bon. Ses yeux dans les miens... elle me chuchota :
- Fais le saut ! N'aie plus peur... peur de dévoiler ton petit jardin secret. Regarde, moi, je n'ai pas peur... Je n'ai pas peur de te dire que moi aussi... j'aime me masturber... Je n'ai pas peur de t'avouer que j'adore cela, et que je le fais très souvent... et que cela me plaît beaucoup... de te le dire... et de le faire... Cela me plaisait de recevoir une telle confidence. Savourant le moment présent...
- Ne ferme pas les yeux... Si tu veux... Il me vient une envie... Je suis sûre que cela te plairait si je te montrais très simplement comment je le fais... Il y eut encore un silence... Je ne savais quoi dire... Mais j'avais là, à portée de main un fantasme qui me torturait souvent l'esprit : Voir une femme se masturber... En fait, voir le plaisir... me voir... Et elle continua :
- Et je suis certaine que tu as très envie de me voir me faire plaisir... N'est-ce pas ? ...C'est ça, t'as envie que je me branle devant toi ?
Mon front toujours posé contre le sien, je n'osais plus bouger. Mais elle dut sentir un acquiescement très timide de ma tête. Je baissais les yeux, et je la vis défaire un par un les boutons de sa petite robe, jusqu'en haut, dévoilant ses cuisses, une petite culotte bleue, son ventre et sa belle poitrine nue. Un silence torride régnait dans la pièce... Puis cette même main se caressa les seins, s'attardant sur les mamelons qui étaient gros. Elle mouilla ses doigts et les posa juste sur le bout des seins, les faisant tourner... J'étais fasciné, car je ressentais presque moi-même ces caresses que je connaissais si bien... Puis sa main se dirigea vers le ventre... Elle avait à son tour fermé les yeux, s'abandonnant tout doucement au plaisir.
- Regarde, souffla-t-elle.
Et du ventre, sa main s'insinua tout doucement dans le slip... Elle écarta doucement, puis très fortement ses cuisses et je vis sa main faire dans sa culotte, un geste que je connaissais bien, commençant à ressentir le plaisir qu'elle se donnait et que je me donnais depuis tant d'années. Mais c'était la première fois de ma vie que je le voyais faire. Elle gardait toujours les yeux fermés, sa respiration commençait à se modifier. Ses doigts sur ma nuque se crispèrent. Elle se branlait consciencieusement, se faisant bien pénétrer son ou ses doigts... que je ne voyais pas. Mais je voyais le plaisir monter, je voyais tout ce que l'on cache prendre de l'ampleur, sans pudeur, devant moi. Je voyais Françoise me montrer sans complexe son plaisir solitaire, son orgasme, cette chose si intime, si bonne... Elle gémit et sans s'interrompre, les yeux toujours fermés :
- Oh que c'est bon... Que c'est bon de te montrer ! Regarde, je vais exploser devant toi... Oh oui, ça ! Viens... Françoise ! Je vais jouir... oui... oui... ça te plaît ?
J'osais avouer :
- Oh oui, ca me plaît... ça me plaît de te voir faire... Continue...
Mais... Elle n'eut qu'à tendre ses lèvres, Les yeux toujours fermés... Elle attendait que je l'embrasse... et je ne pus résister. Mes lèvres se posèrent tout doucement sur les siennes, et ce fut un baiser extraordinaire, plein de douceur, de tendresse, et de promesses aussi. J'embrassais pour la première fois une femme qui sans complexe, s'envoyait en l'air pour me montrer et me faire plaisir. Elle n'était que plaisir, tout entière, si fragile et si persuasive à la fois. Je suivais le courant, j'avais plaisir à l'accompagner dans l'orgasme qu'elle me confiait. Sa main s'activait de plus en plus, sa respiration devint saccadée. Elle se mit à gémir et pour la première fois, je fus la spectatrice très privée d'un orgasme très solitaire qu'elle m'offrait, et qui se répandit aussi dans son bas ventre, comme une brève secousse, plus par pudeur qu'autre chose.
Je n'étais pas encore habituée... La soudaineté de la situation m'avait quelque peu effrayée. Reprenant doucement ses esprits, elle s'enfonça dans le fauteuil. Conservant les cuisses grandes ouvertes et la main dans le slip, elle m'attira à elle et me chuchota :
- Françoise ! Cela t'a plu de me voir faire ?
- Oui, beaucoup... Mais c'est tellement nouveau !
- Et toi, tu as eu envie ? Me demanda-t-elle.
- Oui, Françoise, beaucoup... Osai-je avouer. Mais allons doucement, c'est trop d'un coup pour moi. Laisse le temps au temps...
Et comme pour fuir, je lui proposais de la laisser et de retourner chez moi, au-dessus. Elle n'insista pas, m'embrassa encore tendrement. Je lui rendis ce baiser, comme pour la remercier... Je ressentis encore quelque chose me troubler, mais il me fallait arrêter pour aujourd'hui.
- Je peux en parler à Marc ? Me demanda-t-elle soudain... Je fus presque prise de panique... Mais quelque chose de flou dans ma tête...
- Oui, si tu veux !
Et je l'embrassais furtivement sur les lèvres avant de me sauver. Elle m'accompagna en me précédant jusqu'à la porte, uniquement vêtue de sa petite culotte. Elle était vraiment désirable avec ses petites fesses... d'autant plus que je savais que ce petit corps ne se refusait rien, et que je pouvais, si je le voulais, le toucher, le caresser, comme j'aurais pu le faire quelques minutes plus tôt. Mais je n'avais pas osé. Passant à sa hauteur pour sortir, je m'enhardis en guise d'adieu, et je passai furtivement ma main entre ses jambes, comme pour lui faire comprendre que ce n'était pas fini... Très vite, elle attira mon visage du sien et à la sauvette et me vola un baiser sur les lèvres...
- A bientôt ! Lança-t-elle avant de refermer la porte.
De retour chez moi, j'étais si excitée que dès mon arrivée, là, dans le salon, je me masturbais comme une folle, la tête pleine des images que je venais de voir, les idées pleines de projets que je n'osais m'avouer... Car Marc n'était pas encore rentré. Et je savais bien qu'après ce qui venait de se passer entre Françoise et moi, il allait bientôt se passer quelque chose entre nous trois. Mais j'en étais beaucoup moins effrayée que quelques minutes plus tôt. Laisser venir les choses... Ne pas les brusquer... Ma nuit fut très, très agitée. Les scènes les plus folles m'assaillaient et je ne pus, cette soirée-là trouver le sommeil qu'après m'être encore et encore caressée. Etais-je entrain de devenir grande ? Cela promettait !
Dès le lendemain matin, j'étais déjà transformée. Je commençais à voir les choses sous un autre angle, et ma petite rencontre avec Françoise m'avait laissé un petit goût de reviens-y. Je ne sais qui a dis un jour, qu'en Amour, les meilleurs moments ne sont pas les "pendant" ni les "après", mais les "avant"... Je commence à saisir que c'est très probablement vrai, car une porte s'ouvrait devant moi, pleine d'espoir. J'allais peut-être enfin pouvoir avoir avec d'autres, des relations totales, sans complexe ni tabou. Accepter les autres tels qu'ils sont, se montrer tel que l'on est, et savoir que sur ce plan là, aucun acte n'est répréhensible. Il suffit de ressentir le besoin de le faire... et de le faire... C'est tout. Deux ou trois jours après, je rencontrais Marc dans l'escalier. Il me fit la bise, m'exprima sa satisfaction d'être revenu, et m'invita à venir manger chez eux un de ces soirs. J'ignorais si Françoise lui avait dit quelque chose, mais il devait être au courant, car en me quittant, son baiser sur ma joue ne tomba pas loin de mes lèvres, et il fût un peu plus appuyé que d'habitude.
Le lendemain, rencontrant Françoise, elle me sauta au cou...
- Tu sais, j'en ai parlé à Marc... Il est emballé !
- Et tu lui as tout raconté ?
- Bien sûr ! Si tu savais dans quel état ça l'a mis... Le soir même, il avait une de ces formes... ! Un vrai régal ! Dis, on aimerait bien que tu viennes ce soir à la maison, tu veux bien ?
Déjà ! Pensais-je. Mais après tout !
- D'accord, à ce soir !
- Chouette ! S'exclama-t-elle... Je vais vite aller faire mes courses...
De retour chez moi, je me demandais comment j'allais me fringuer. Et puis finalement, mon choix s'orienta vers une petite robe sans rien dessous, deux petites bretelles, échancrée, ne dissimulant que ce qu'il fallait de ma poitrine sans trop la cacher.
A 20 heures je sonnais. Françoise vint m'ouvrir... Elle avait une super petite jupe très mini, très collante, des talons... mignonne à croquer... Derrière arriva Marc qui me prit gentiment dans ses bras, et après un profond regard, m'embrassa délicatement et furtivement sur les lèvres. Il était rassurant, doux. Françoise me tenait toujours par la taille et elle déposa sur mes lèvres un très doux baiser... et me félicita sur ma robe. A mon tour, je me mis à virevolter dans le séjour, appréciant les compliments sur ma tenue. Ce soir, tout semblait bon, beau, et j'étais à l'aise. Je me sentais bien avec eux, et je savais que je pouvais tout leur donner... tout leur demander... Le repas fût délicieux... Nous rions beaucoup. Mais j'étais un peu angoissée car j'ignorais totalement comment la soirée allait se poursuivre. Je me sentais bien.
Après le repas, Françoise mis de la musique, puis je l'aidais à débarrasser. Seules dans la cuisine, furtivement, elle m'enlaça, et m'embrassa très tendrement sur la bouche, se collant de tout son corps contre le mien... Je lui rendis copieusement son baiser, avec ma langue dans sa bouche, accentuant ma pression de mon corps sur le sien...
- Oh toi... me chuchota-t-elle...
Nous passâmes dans le salon. Marc se dirigea vers la bibliothèque et choisit un gros volume en cuir qu'il me tendit :
- Agnès, regarde où nous étions cet été... C'était super...
Et il s'installa sur le divan. Je m'assis dans le grand fauteuil à coté de lui, et il posa l'album sur mes genoux, me laissant le soin de tourner les pages. Les photos étaient soigneusement collées, montrant Marc et Françoise, nus, dans un camping, du coté de l'Ardèche. On les voyait sur la plage, au bronzing, ou à coté de leur caravane en train de prendre leurs repas. Marc se leva, pour servir à boire. Tournant une page de l'album, une photo non fixée tomba au sol. Je la ramassai, et je ne sus que faire... On y voyait Marc, allongé sur le lit de la caravane, nu, les jambes écartées, et Françoise allongée à coté de lui, en train de le sucer profondément, le sexe bien bandé dans la main. Ils regardaient tous les deux l'objectif. Marc vint se rasseoir à coté de moi, et au même moment, Françoise revint de la cuisine. Elle vit la première la photo que je tenais en main.
- T'as trouvé ça ! Marc ! Je t'ai déjà dis qu'il faut les ranger ailleurs, ces photos... Excuse-nous, Agnès, mais il ne fait jamais attention... Tu te rends compte, si c'était ma mère qui avait ouvert l'album !
- Cela te dérange ? Me demanda brutalement Marc sur le ton de la confidence...
- Ben... en fait non, mais c'est effectivement dangereux...
- Et elle te plaît cette photo ?
- C'est plutôt amusant, répondis-je, gênée, sentant une douce chaleur envahir mon bas ventre...
- Cela te plairait d'en voir d'autres ? Encore plus gênée : ...
- Ben... Oui... Je veux bien...
- Je vais t'en montrer d'autres, dit-il en se levant.
Et il sortit vers leur chambre. Françoise s'assit sur le divan.
- Tu vas voir, c'est amusant mais je te préviens, c'est du hard-hard...
- On verra bien répondis-je.
Marc revint avec un album tout rouge. Il le posa sur mes genoux et s'assit à coté de Françoise sur le divan. Il lui passa le bras derrière le cou et elle se blottit contre lui. L'album sur les genoux, je l'ouvris tout doucement, consciente qu'il allait me révéler des choses que jamais personne n'ose demander à autrui. Sur la première, Françoise était sur le dos sur un lit, les cuisses repliées sur la poitrine, ouvrant avec ses doigts sa chatte vers Marc, qui, à genoux devant elle, s'apprêtait à la lécher, se tenant lui-même le sexe dans une main. Les autres étaient du même genre. On y voyait Marc sur le divan que je reconnus, chevauché par Françoise qui lui tournait le dos. On voyait clairement le gros membre à moitié enfilé dans la chatte de Françoise, ouverte sans pudeur à l'objectif, et semblant visiblement prendre son pied. Toutes ces photos me fascinaient...
- Elles te plaisent ? Me demanda Marc Il me sortit de ma torpeur. Ils étaient là, tous les deux, amoureusement enlacés. Les mains se promenaient sur les rondeurs, sur les bosses, les lèvres se cherchaient, se collaient... Et j'étais là à les regarder...
- Approche ton fauteuil, Agnès, me dit Françoise, et tu vas pouvoir nous regarder de plus près. Car c'est bien ça, n'est-ce pas, tu voudrais nous voir faire l'amour... ?
- Heu... oui... j'aimerais bien...
J'approchais mon fauteuil tout près, à portée de main... Je m'y enfonçais, à l'aise, consciente que le spectacle que j'allais voir était assez exceptionnel pour moi... Ils étaient là, tout près, et s'apprêtaient à m'offrir ce que je souhaitais intimement voir depuis longtemps. Françoise était chaude comme une chatte. Elle n'arrêtait pas de ronronner, d'embrasser Marc à bouche que veux-tu, de passer la main sur la bosse de sa braguette en me faisant un clin d'œil complice. Bientôt, Marc passa sa main sur la hanche de Françoise et se dirigea vers ses cuisses. La mini jupe ne cachait pas grand chose. Françoise releva une jambe, posa le pied sur le divan, écartant fortement les cuisses, offrant son intimité sans culotte à la main de Marc, et à mon regard. J'avais les yeux fixés sur cette chatte que je n'avais jamais vue. Je vis les doigts de Marc y rechercher la fente et y pénétra un doigt. De suite le bassin de Françoise commença à onduler. Elle gémissait tout en l'embrassant, et je vis ses doigts s'activer avec beaucoup de précision sur la braguette de Marc. La main s'y enfila et je ne pus que deviner les caresses. Mais elles furent du goût de Marc, qui défit lui-même sa ceinture pour faciliter les choses. Effectivement, le pantalon s'ouvrit, et je vis un énorme gland dépasser du slip, presque au niveau du nombril, bien bandé. Françoise le prit à pleine main, le dégagea tout entier, et toujours en embrassant Marc, se mis à faire coulisser la peau. J'étais là, l'album sur mes genoux, à me délecter du spectacle. Ils se branlaient devant moi... sans complexe... Françoise arrêta d'embrasser son mari, me regarda en souriant :
- Regarde cette bitte qu'il a mon Marc !
Lui regardait sa femme faire, toujours la main entre les cuisses. Puis il me regardait avec beaucoup de douceur pendant que Françoise le branlait. Françoise me montrait ce moment d'intimité avec beaucoup d'application. Elle se mouilla la main et la caresse devint plus fluide... Puis elle se pencha, me regarda et me dit :
- Regarde...
Et elle posa sa bouche sur le gland de Marc, le lécha tout doucement, ouvrit les lèvres, et se l'enfonça dans la bouche. Sa caresse fut longue, douce. Marc, la tête renversée en arrière, grognait de plaisir. Elle suçait avec beaucoup d'application, tripotant les couilles... Je commençais vraiment à ressentir une forte démangeaison entre mes cuisses. Resserrant les genoux, je me surpris à appuyer d'une main sur mon pubis, comme je le fais parfois quand je ne veux pas que cela se voit... Elle le branlait, le suçait... C'était super de voir cette bouche déformée par le volume de ce braquemard qui coulissait entre les lèvres...
Soudain elle se dégagea du fauteuil, se leva, finit de lui enlever son pantalon, et s'assit sur ses genoux, lui faisant face. Passant une main derrière elle, elle saisit son énorme sexe, le positionna en se surélevant un peu, et s'empala tout doucement sur lui, se l'enfonçant jusqu'à la garde... Elle resta immobile quelques secondes, laissant le plaisir l'envahir, puis commença une danse du ventre d'avant en arrière à réveiller un mort : Elle tendait bien son petit cul en arrière, faisant apparaître la colonne de chair jusqu'au gland et renvoyait d'un coup de rein : la bitte disparaissait, avalée... Elle cambrait de nouveau avec lenteur son petit cul, laissant la colonne de chair coulisser devant mes yeux... puis se l'enfonçait brutalement d'un nouveau coup de rein, lui arrachant un râle de plaisir... Elle rentrait, sortait... c'était vraiment merveilleux, plein de tendresse, de douceur, d'un érotisme intense...
Avant tout je voudrais préciser que cette histoire s’est réellement déroulée même si les noms et les lieux ont été changés. Bruno, c’est moi, je forme avec mon amie Sophie un jeune couple (28 et 31 ans) et équilibré. Ce soir là, nous étions samedi 8 janvier 2000, nous avions rendez vous pour le repas chez Eric et Sylvie, un couple d’âge équivalent du notre, ils habitaient avant notre déménagement juste à coté de chez nous. Nous n’avons jamais eu de rapports intimes avec ce couple même si comme tous voyeurs je m‘étais exclamé devant la finesse des dessous de Sylvie lorsqu’elle les faisait sécher dehors en été. Pour ce qui est des rapports de ma femme je dois avouer qu’elle s’améliore de jour en jour. En effet au début de notre relation je la trouvais très coincée, à présent je dois avouer qu’elle m’étonne de jour en jour, il lui arrive de ne rien porter sous sa jupe et même de pratiquer une forme d’exhibition lorsqu’elle se glisse dans les cabines d’essayages des grands magasins.
Bref, revenons à cette soirée, après une cinquantaine de Km, nous sommes arrivés en retard chez Eric et Sylvie pour passer une soirée sympa. Je dois dire que je ne pensais pas être reçu de cette manière (champagne et compagnie…), lorsque nous nous sommes installés pour prendre l’apéritif je remarquai que ma femme avait particulièrement soigné son look : Elle portait une jupe noire assez courte, avec des bas ou des collants de même couleur, elle portait des bottes en cuir noir qui remontaient jusqu’au bas du genou (Il faut dire qu’il faisait froid en ce début de mois). Pour le haut, elle portait un pull en cachemire rose qui, quoique très sage, lui moulait correctement son 90b de poitrine. Pour ma part, étant en retard, j’étais en costume cravate et cela commençait à me peser. Eric, étant chez lui, était en jean, polo et était plus décontracté. Quant à Sylvie, elle portait une jupe bleu marine, des collants couleur chair et un chemisier qui me rappelait qu’elle avait une poitrine forte imposante.
Je dois avouer qu’après le champagne et le vin à table, je n’avais plus les idées toute fraîches, je laissai glisser de plus en plus ma main, sur les jambes de ma femme qui était assise à coté de moi, je remarquai d’ailleurs qu’elle portait des bas avec une jarretière en dentelle. Pour sa part elle restait très sage à discuter avec nos hôtes, elle m’avoua cependant après coup qu’elle était bien éméchée par l’alcool. La soirée se terminait et nous étions à court de conversation lorsque ma femme proposa de faire une partie de tarot. Je pense que nous étions alors tous fatigués et l’idée tomba à l’eau.
C’est Eric qui lança « J’ai mieux qu’un jeux de tarot, j’ai un trivial poursuit érotique », Sylvie « Nous n’avons jamais rien compris aux règles de ce jeu et puis je ne sais pas ce qu’on en a fait ». Ma femme Sophie « Ou avez eu ce jeu ? » Eric « C’était un cadeau lors de nos fiançailles pour les longues soirées d’hivers… »
Pour le moment je restais en dehors de tout cela, j’essayais de reprendre mes esprits, Eric se dirigea vers leur chambre et chercha dans les placards le jeu… Sylvie « Laisse tomber on a du le jeter… ». Eric « J’ai trouvé… » Il ramena un jeu de société banal.
Sophie ouvrit la boite et, après avoir rangé des cartes, trouva la règle du jeu : « Avant tout il va falloir que l’on change de place, il faut séparer les couples. » Moi, je n ai pas bougé, c’est Sylvie et Sophie qui ont permuté, elles semblaient désireuses de jouer au jeu. J’étais donc en face d’Eric et j’avais son amie à coté de moi.
« Il faut prendre chacun un camembert et le remplir en répondant aux questions (cela ne vous rappelle rien ?). Il y a 4 types de questions : vert sur les connaissances érotiques, bleu sur le couple, orange des questions personnelles et rouges des défis….(je vous passe sur le reste des règles du jeu et …)
A ce moment je pense que l’ambiance a changé ; tout le monde était à la fois détendu et nerveux, tout le monde regardait le premier lancé de dés. C’est Eric qui commença, il tomba sur une question orange et c’est ma femme qui lui posa : « A quel âge avez vous eu votre premier rapport sexuel ». On se tourna vers lui et il répondit sans pudeur « 16 ans ».
Ce fut alors mon tour et je me souviens encore de la question, question verte, que Sylvie m’a posée « Combien dure en moyenne la pénétration », « 30 minutes ». Elle me répondit « 18 minutes ».
C’était à son tour de lancer les dés et elle tomba sur une question défi rouge, je pris la carte pour lui lire. Sur la carte je pus lire à voix basse le défi « Prenez la main gauche de votre voisin et portez la sur votre poitrine ». Tous les 3 me regardaient et attendaient que je lise la question à haute voix, j’étais très mal à l’aise… Devant l’insistance, je pris mon courage et je lus la question « Prenez la main…. ». Tout le monde éclata de rire sauf Sylvie à coté de moi, c’est elle qui annonça « Je pense que l’on devrait enlever les questions rouges, car sinon on n’a pas fini… ». Eric « On voit que c’est parce que tu viens d’en avoir une... ». Mais en même temps je ne pense pas qu’il réalisait qu’il venait de me proposer de toucher les seins de sa femme.
Sophie « Je pense que l’on devrait voter à bulletin caché ». En même temps je savais que nous allions tous les 3 voter pour le maintien des défis, moi pour toucher les seins de Sylvie, Eric par opposition à sa femme qui voulait les supprimer et Sophie qui trouvait dans ce jeu du piment. Résultat des votes : 1 contre, 1 nul et 2 pour le maintien des défis. Je sus après que c’est ma copine qui avait voté nul, elle me laissait par ce geste le choix d’accepter ou de refuser.
Eric « Allez ma chérie il faut réaliser ton défi... » Elle était rouge de honte, moi j‘attendais la main gauche sur la table, Sophie « Dis toi que c’est ton médecin », rire de l’assemblée, Eric « Tu les montre bien sur la plage… » Soudain elle me prit la main et la posa sur son sein droit, par dessous je fus surpris, elle ne portait pas de soutien-gorge et je sentis de suite l’érection d’un téton ; cela ne dura que quelques secondes mais assez pour remettre un peu de tension dans l’assemblée, j’étais aussi assez gêné par la situation et je regardais alors Sophie de manière interrogative. Elle ne pouvait être jalouse car sinon elle aurait fait arrêter ce jeu par son vote, elle me lança un clin d’œil et jeta les dés. Entre deux je reposai mon regard sur ma voisine, elle était toute rouge et avait les seins tout pointus de chaque coté, elle croisa mon regard mais n’en dit pas un mot.
« Question orange, question perso » annonça Eric pour ma femme « Chère Sophie que portes-tu comme dessous ce soir ? ». De mon coté j espérais ce soir qu’elle portait quelque chose sinon je craignais le pire… Sans effort elle annonça « J ai un soutien gorge noir, et un string ». Sylvie « Et tu exagères, il nous faut des détails… » « OK j ai un porte jarretelle et un string noir en dentelle assortie au haut » Ouf je respire…
Eric lança les dés et tomba sur une question bleu, question couple, Sophie lui lit sa question « Quelle est votre position préférée ? » Eric « Il y en a tellement, si , si par derrière en levrette... »
A mon tour de lancer et je tombe sur une question rouge. Sylvie est morte de rire et prend la carte, la lit et éclate de rire. Je suis de plus en plus inquiet sur mon sort et j’entends « Approchez-vous de votre partenaire et embrassez-la de manière à ce que vos langues soient visibles par les autres joueurs ». Mon dieu quel défi et là je dois dire que ma copine me sauva la mise. Sophie « Cela tombe bien, cela faisait un bon moment que je voulais un baiser ». Je pris la balle au bond à toute vitesse. Je m’approchai et m’exécutai de manière passionnelle. Cela commençait à me chauffer les idées, embrasser ma femme sans pudeur devant des amis, le ton était monté.
Quand Sylvie lança les dés, je pense que tous le monde espérait quelle tombe sur un défi comme le coup précèdent mais non le sort avait décidé une question orange que je m’empressai de lire « Quel genre de mot dites-vous pendant l’amour ? ». « Je t’aime, c’est bon plus fort, voilà des choses normales » Pour se venger ma copine lui dit « Et… » Et Eric qui renchérit « C’est vrai mon amour, tu en oublies ». « OK, cela arrive. Bon, voyons, prend moi fort, je te sens bien » Au fur à mesure, elle prenait goût et continua en rigolant « Elle est bonne, elle est grosse, tu me défonce la chatte, elle est bonne ta bite…» Tout le monde éclata de rire. Intérieurement je fus surpris par son langage si cru par rapport à sa classe et son profil, ce petit jeu devenait de plus en plus excitant.
Ce fut au tour de ma copine. Quand Sophie lança les dés je pense que je souhaitais qu’elle tombe sur un défi pour la tester et ce fut ce qui se passa. Eric prit la question et me regarda en riant « Là je crois pas que l’on va pouvoir » Il me tendit la carte et je lis « Veuillez monter sur votre chaise et montrer vos sous-vêtements en tournant autour de vous-même » Elle me regardait en m’interrogeant. Je lui dis « Ca va, c’est pas trop dur, il faut te souvenir de nos vacances et de la plage » C’est Sylvie qui lui transmit le défi. Elle était radieuse que son amie soit aussi embarrassée. Sophie, en me regardant « Je peux pas faire cela ? ». Moi « C’est toi qui as eu l’idée du vote, fais ce que tu veux » En vérité, j’espérai qu’elle s’exécute. Eric chanta « Sur la chaise, les dessous... » Je vis alors ma femme monter sur sa chaise et elle commença à retrousser sa jupe. Je la détaillai, ses longues bottes, ses bas noirs, progressivement la jarretière le haut de ses cuisses. Elle s’arrêta et de nouveau Eric renchérit « Sur la chaise, les dessous… » Il ne loupait pas une miette du spectacle, Sylvie en rajoutait aussi pour la faire continuer. En un geste elle remonta sa jupe jusque en haut. Elle portait son ensemble noir que je lui avais offert, il était très excitant à mon goût ; le devant était quasiment transparent, je fixai mon regard et fus assez surpris qu’elle se soit épilée en totalité sa chatte car elle sait que j’apprécie ce traitement. Bref elle était presque nue et je pense que nos amies ont largement pu saisir ce détail. elle tourna ensuite et nous présenta ses fesses, le string séparait deux masses charnues à souhait. C’était vraiment un beau paysage et je dois dire qu’à ce moment je fus très fier de ma conquête. Sylvie « Elle ne nous a pas mentis sur ses dessous » Eric en me regardant « Elle est vraiment bien faite » Il fit alors un bond sur sa chaise, je pense que Sylvie venait de lui mettre un coup de pied royal.
Ma femme remis de l’ordre dans sa tenue et dit « Alors cela vous a plu, à qui de jeter les dés… » « Je pense que c’est à Eric » Eric lança et tomba sur une question verte, ma femme lut la question « Quel est votre plus grand fantasme ? ». Eric « Il y en a tellement, bon je dirais faire l’amour avec deux femmes ».
Je pris les dés et les lançai, mon camembert se posa sur une question rouge. Sylvie en riant s’empressa de prendre la carte « Tiens elle est toute dorée, c’est une carte joker, c’est un défi collectif. Olla... Ca à l’air compliqué, tout le monde doit participer. Alors tout le monde doit se lever, les femmes doivent se faire face » En rigolant tout le monde était maintenant au milieu de la pièce, Sophie et Sylvie étaient face à face, seins contre seins. « Les hommes doivent se mettre derrière en inversant les couples » Effectivement, cela se compliquait, j’étais donc derrière la femme d’Eric et face à ma femme et Eric était face à Sylvie et derrière ma femme. Sylvie continua de lire le défi « Chaque couple doit maintenant s’embrasser ». Nous étions tous très proches les uns des autres et nous devions encore nous rapprocher. Pour pouvoir atteindre les lèvres de ma femme je dus me coller au derrière de Sylvie, j’espérais qu’elle ne sente pas trop l’érection qui trahissait mon état d’excitation. Bientôt je sentis la langue de ma femme investir mon palais ce qui augmenta encore mon désir. En même temps, je pense qu’Eric devait être dans le même état que moi, j’imaginai son sexe contre le cul de ma femme et, au regard de l’excitation qu’elle me transmettait dans ses baisers, cela était flagrant... A la fin de ce baiser tout le monde voulut se séparer et à Sylvie de rajouter « C’est pas fini il y a en encore quelque chose, il est dit que les hommes ont libre caresse sur le corps juste devant eux » En gros, je devais embrasser ma femme et caresser celle de mon amie. Quand elle eut fini de lire la fin du défi, personne ne dit un mot. Je sentais la bouche de ma femme se coller à la mienne pour la seconde fois. J’ouvris les yeux et je voyais que Sylvie et Eric s’embrassaient aussi de la même manière. Puis je vis les mains d’Eric remonter et emprisonner les seins de ma femme à travers son pull. Il les pétrissait de manière plus que suggestive, celle ci redoubla l’érotisme de son baiser. Mes mains étaient posées sur les hanches de Sylvie pour que je puisse la coller davantage. Je les détachai et la glissai par devant sur son ventre. Puis, discrètement, je les remontai et attrapai ses seins pour la seconde fois de la journée. Elle ne protesta pas, au contraire, elle encastra ces fesses contre mon sexe. Ses seins étaient vraiment plus gros que ceux de ma femme, elle devait au moins faire du 95b, et je prenais plaisir à en mesurer tous les contours. Je regardai ma femme, celle-ci avait à présent les yeux ouverts et me regardait tout en se faisant peloter les seins par Eric. Elle ne dit pas un mot et regarda le traitement que je faisais à ceux de Sylvie. Si Eric avait pris le premier l’initiative pour la première caresse sur les seins de ma femme, je voulais à mon tour renchérir en passant mes mains sous le chemisier de Sylvie. Je dois dire que ce ne fut pas très facile, étant donné que nous étions très collés les uns aux autres. Mais, à force de persévérance, je réussis à ouvrir deux boutons au bas de son chemisier et bientôt je touchais la chair nue de son ventre et je remontais sur ses seins. Ils étaient doux et chaud, j’attrapai les pointes et les fis rouler dans mes doigts. Sylvie n’eut aucune réaction de refus, elle était complètement bloquée entre moi et ma femme. Je tenais dans mes mains deux seins tous chauds alors que j’embrassais ma femme, la situation était décidément très excitante. Il se passa alors quelque chose car Sylvie imprima à son corps un repli puis se replaça comme auparavant. Je m’interrogeai alors et j essayai de voir ce qui venait de se passer. Je regardait ma femme et rencontrai ses deux yeux brillants d’excitation. Je glissai mon regard plus bas et avec le corps de Sylvie devant moi je ne pouvais voir grand chose. Cependant je me rendis compte qu’Eric avait du glisser sa main sous la mini jupe de ma femme. Pour ma part j’étais un peu figé sur les seins de Sylvie. C’est Eric qui cassa ce silence en prononça vers sa femme cette phrase « Sylvie, tu devrais vraiment essayer de t’épiler la chatte, c’est vraiment tout doux et tout chaud » Mon sang ne fit qu’un tour, il était donc entrain de masturber ma femme sous sa jupe. Je pris alors l’initiative de descendre mes mains et de les glisser sous la jupe de Sylvie. Celle ci essaya de résister mais bientôt mes mains remontaient sa jupe de part et d’autre. Je sentais la douceur d’un collant et très vite ma main atterrit sur son entrejambes. Elle était trempée et chaude. Je devinais alors que Sylvie ne portait pas de dessous sous son collant. Je sentais déjà la naissance de son bourgeon sous mes doigts.