C’était un dimanche maussade, comme il y en a beaucoup en fin d’automne. Nous n’avions pour ainsi dire pas d’autre occupation que profiter de ne rien faire, profiter encore de ce weekend déjà largement entamé, profiter de nous trouver tous les 2 dans notre nid d’amour, notre cocon privé à l’abri du monde extérieur …
Ma douce m’avait pourtant abandonné pour partir un moment dans notre salle de bains se délasser et s’occuper d’elle alors que, pour ma part, j’en rêvais déjà … de m’occuper d’elle !... ;-)
De la pièce voisine où j’étais resté seul, j’entendais couler l’eau frappant parfois les parois et le réceptacle de la douche et je l’imaginais, nue, ruisselante de gouttes d’eau perlant sur son corps et le parcourant comme une douce caresse, profitant de cet instant de bonheur pourtant si simple et anodin …
L’eau s’arrêta finalement enfin de couler. J’entendis les portes de la douche s’ouvrir et vis enfin réapparaître ma muse, simplement vêtue de son seul peignoir que je rêvais déjà d’ouvrir !
Elle m’adressa un sourire et, sans un mot mais après un regard aussi complice que coquin, elle se retourna et quitta à nouveau la pièce …
Une éternité me semblait s’être écoulée quand je l’entendis m’appeler et me demander, d’un air pour le moins anodin, si j’étais occupé …
Je la rejoignis dans la salle d’eau et la pris par la main avant de la guider prestement vers notre chambre. Alors que ses bras enlaçaient mon cou et que je posais mes mains sur ses hanches, elle m’embrassa tendrement, amoureusement …
Mes mains glissaient sur son peignoir qui ne tarda pas à s’ouvrir, me laissant enfin découvrir, une fois encore comme au premier jour de notre amour, les formes et contours de son corps. Mes doigts effleurèrent sa peau, douce et parfumée aux odeurs de la douche et de la fleur d’oranger, puis écartèrent les pans du peignoir devenu gênant et dont elle se débarrassa en le laissant négligemment tomber sur le sol. Elle s’allongea sur le lit et je vins m’installer à genoux au dessus d’elle, après avoir pris soin de me mettre à l’aise également, exhibant un membre gonflé de désir et témoignant de mon excitation …
Je me penchais sur elle et l’embrassait alors que ses doigts effleuraient légèrement l’intérieur de mes cuisses, caressaient et soupesaient doucement mes bourses avant d’enserrer ma hampe pour me branler lentement …
Mes lèvres se détachèrent des siennes et mon visage descendit jusqu’à sa merveilleuse poitrine, qu’elle avait prit soin d’orner de la parure de bijoux prévue à cet effet. La pointe de ses seins était dure et dressée comme une invitation aux caresses. Je pris un sein dans ma main et, le palpant doucement, je le caressais pour finalement le malaxer fermement tout en serrant son téton que je faisais rouler entre mes doigts. Ma langue se promenait sous l’autre sein, s’agitant autour de l’aréole pour finalement venir titiller l’autre téton avant de l’aspirer entre mes lèvres et le coincer doucement entre mes dents, ma langue s’amusant de plus en plus frénétiquement.
Ma douce respirait de plus en plus fort et, semblant totalement abandonnée à l’emprise de ces caresses, elle avait lâché mon membre …
Ma bouche descendit encore un peu et mes lèvres se posèrent sur le ventre brûlant du seul être avec qui je partagerai toujours ces quelques folies. Mes lèvres parcouraient sa peau en de lents, doux et légers baisers tout en descendant toujours inexorablement vers un puit d’amour les attirant comme un aimant … Je m’installais au bas du lit, entre ses cuisses qu’elle écartait ostensiblement pour offrir son intimité la plus profonde à mon regard envieux, mes envies et mon appétit débordant …
Mes lèvres se posèrent d’abord doucement sur son pubis parfaitement entretenu et, après que ma langue se soit agitée sur l’intérieur de ses cuisses ouvertes, j’offris un doux et délicat baiser à l’orée de son antre. Mes doigts glissèrent le long de son corps pour venir enfin écarter ses lèvres et ses chairs les plus intimes et les plus cachées, à la recherche du bouton d’amour que dissimulait cet abricot juteux et délicieux. Délicatement, ma langue tendue vint le cajoler, lentement ou parfois plus vite alors que ma douce ne se retenait plus d’haleter et gémir, ne cherchant pas le moins du monde à dissimuler son plaisir.
Alors que je fouillais ainsi les moindres recoins de son intimité, ma dulcinée s’agitait de plus en plus sur le lit, jusqu’à l’instant où, dans un cri de jouissance, je sentis ses mains se crisper, ses jambes se tendre et ses fesses remonter alors que je la tenais fermement pour qu’elle profite pleinement de l’orgasme qui la secouait, jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter …
Ma langue se calma et s’agita plus lentement pour finalement stopper ses mouvements et je posais délicatement mes lèvres sur son bouton pour un dernier baiser. Après un instant pendant lequel elle reprit ses émotions, ma douce m’apparue plus sauvageonne que jamais et, se redressant sur le lit, elle prit ma verge à pleine main tout en m’embrassant goulûment …
Que s’est t-il passé ensuite ? Comment s’est finalement terminé cet après midi commencé dans la monotonie d’un temps pluvieux ?...
Cela fera peut-être l’objet d’un prochain récit, selon les impressions et commentaires recueillis après celui-ci !.... J