J'ai l'habitude d'utiliser les transports en commun quotidiennement mais, c'est la première fois qu'il m'est arrivé une chose pareille. J'étais sur la ligne habituelle, comme tous les soirs. La rame était bondée et, une fois de plus, je suis restée debout, coincée parmi les voyageurs. Je dois dire que je n'apprécie que très modérément cette promiscuité obligée, mais je croie bien qu'il en est de même pour la grande majorité de mes compagnons de voyage.
Nous avions déjà effectué une bonne partie du trajet quand je sentis derrière moi une présence insistante. En fait, j'étais coincée entre une barre de maintien et un homme de haute stature. Avec mon mètre soixante, je me sentais toute petite devant lui. Nous étions au mois de juin et je ne portai qu'un chemisier léger et une jupe relativement courte mais tout à fait décente. A chaque coup de frein de la rame, nous étions un peu secoués et je sentais contre mes fesses le renflement que faisait la bite de l'homme dans son pantalon. J'étais un peu gênée, mais je n'osais lui en faire à la remarque, de crainte de m'adresser à une personne peu conciliante. Je ne savais rien de lui et je ne voulais pas risquer de me mettre à dos un mauvais coucheur. Je supportais donc vaillamment les rencontres de plus en plus fréquentes entre sa queue et mon cul.
Après notre passage à la station Châtelet-Les Halles nous avons eu à faire face à un nouvel afflux de passagers. Nous étions de plus en plus serrés dans le wagon et je crois bien que l'inconnu en profitait pour venir se coller toujours plus contre moi. Son membre restait maintenant fiché entre mes fesses presque continuellement. Pire, il me donnait l'impression de le faire aller de droite à gauche dans ma raie. J'avais l'impression de le sentir durcir contre mon cul. Je crois bien que ce salopard était en train de se branler sur moi.
Sans doute enhardi par mon manque de réaction, l'homme laissa glisser ses mains sur mes hanches et releva l'arrière de me jupe. Je n'osais toujours rien dire et personne ne voyait rien tant nous étions comprimés. A l'audace dont il faisait preuve je me doutais bien, pour ma part, que je n'avais pas à faire à un gentleman. D'autre part, je dois avouer que la situation commençait à passablement m'exciter. A cette période de ma vie, je n'avais pas de petit ami et cela faisait un moment que je devais me contenter de mes caresses manuelles pour satisfaire ma libido.
L'homme n'alla pas jusqu'à me baisser la culotte en public. Il se contenta de venir frotter plus vicieusement encore sa tige dans ma fente. Je décidais alors de lui faire comprendre que ses caresses ne me laissaient pas vraiment indifférente. Je contractais et décontractais alternativement mes muscles fessiers, tentant d'enserrer sa bite entre mes globes charnus. Je crois que je lui prodiguais ainsi un savant massage qui ne le laissa pas sans réaction. J'entendais dans mon cou le souffle haletant qui le trahissait. Je passai alors la vitesse supérieure et commençai à rouler vraiment du cul.
Je sentais le membre du gars qui grossissait toujours plus derrière moi. Les caresses de mon postérieur sur son chibre lui faisaient visiblement de l'effet. Mais je n'étais pas en reste. Bien serrée contre la barre d'appui verticale, je faisais vibrer mon bassin autant pour mon branleur inconnu que pour mon propre plaisir. A chaque passage devant la barre d'aluminium, j'en profitais pour me frotter le minou. Ma culotte commençait à être complètement mouillée et je sentais entre mes jambes ma chatte qui s'ouvrait peu à peu. J'imaginais mes lèvres gonflées par le désir et mon petit bouton bandé sous mon slip.
L'homme se faisait de plus en plus insistant. Je pense qu'il avait compris que, moi aussi, je trouvais mon compte dans cette petite relation improvisée. Ses mains me tenaient maintenant par le haut des cuisses et son bassin accompagnait la danse de mes fesses. Je ne tournais presque plus, me contentant de petits mouvements latéraux qui facilitaient ma branlette sur la barre. Je faisais rouler toute ma vulve sur le tube et commençais à ressentir les premières vagues du plaisir. De temps en temps, je donnai avec mon pubis de petits coups sur la barre afin de stimuler mon clitoris.
Au bout d'un moment, je sentis l'homme qui se contractait. Ses doigts se crispèrent sur mon corps, presque avec violence. Je compris à cet instant que mes caresses avaient eu un effet bénéfique sur sa queue. J'imagine qu'il avait rempli son slip avec le trop-plein de ses couilles. A cette idée, je ne pus retenir plus longtemps ma propre jouissance. Un éclair, en provenance de ma chatte, traversa mon corps de part en part, me laissant pantelante au milieu des voyageurs. J'étais accrochée à la barre qui venait de si bien me faire jouir et mes jambes me supportaient à peine. Mon slip était inondé de mouille et je n'avais plus qu'un souhait : arriver chez moi pour me laver et me coucher.
Quand j'ai enfin osé me retourner, je n'ai trouvé personne derrière moi qui corresponde à l'image que je me faisais de mon branleur. Sans doute avait-il quitté la rame précipitamment, profitant de mon état pour s'éclipser discrètement. Depuis ce jour, j'espère en vain le rencontrer à nouveau et je m'arrange toujours pour prendre les wagons les plus bondés.
slut julia, je t avoue que cela fait longtemps que ce fantasme me trotte dans ma tete et que je serai ravi que tu m accompagne et de le realiser de maniére inconnu c est a dire juste en te decrivant , le lieux les horaires, le wagon ,etc afin de que je te reconnaisse sans que je te dises qui je suis ca seras plus excitant non !!!
a tres bientot .
bonsoir,
j'ai le meme fantasme dans un metro bondé, mais j'en ai un autre dans le metro, alors si tu veux en savoir plus contactes moi arthusval@hotmail.com
bisous