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Histoires Coquines

Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 04:45

Ça y est, je me décide enfin à vous écrire. Cela fait maintenant plusieurs mois que je lis hebdomadairement vos riches histoires, coquines et tellement érotiques.

Mais passons plutôt à ce qui nous intéresse, ma belle-sœur...

Je me présente, Julien, grand brun d'1 mètre 85 pour 85 kg de 28 ans (un beau bébé comme disent certaines personnes). Plutôt sportif, footballeur du dimanche, j'ai un visage plaisant sans être Brad Pitt. Je suis marié depuis deux ans avec Virginie, une jolie demoiselle d'un petit gabarit (1 mètre 60, 49 kg) avec de jolies formes et notamment une paire de fesses à faire pâlir un mannequin de podium. Tout se passe bien entre nous, nous nous aimons, passons de bons moments ensemble, et surtout, nous nous entendons formidablement bien au lit. (Plus de détails dans une histoire prochaine). Bref il ne m'était jamais venu à l'esprit de tromper ma femme, l'avenir montrera que j'avais tout faux...

Quelques semaines après ma rencontre avec Virginie, elle me présente sa famille. Son père et sa mère sont des gens simples et très sympathiques. Lui, chauffeur routier, elle, femme au foyer. Une fois les présentations faites, nous commençons à prendre l'apéritif dans le salon familial. Au bout de quelques minutes (et quelques verres), on entend des voix dans le couloir. La porte s'ouvre, deux jeunes garçons d'une dizaine d'années et une petite fille apparaissent, suivis de deux femmes, les sœurs de ma future femme : Sylvie et Magali. La première est un joli brin de femme brune d'une quarantaine d'années de taille fine qui semble avoir une joli derrière comme sa sœur. La seconde est plus grande que ses deux sœurs mais n'a pas du tout le même physique. Magali est une femme plutôt ronde sans être grosse. Ses deux enfants lui ont laissé des formes bien épanouies au niveau de la poitrine et au bas du dos. Elle porte un jean avec une chemise noire nouée au niveau du ventre laissant apercevoir un piercing au nombril. Une ceinture à grosse boucle tient son pantalon. Je remonte mon regard et constate que cette chemise met ses seins lourds en valeur et laisse entrevoir un aperçu du soutien-gorge blanc qui contraste bien avec l'étoffe de tissu. Je discute et me présente donc aux nouveaux arrivants. Le début de soirée se passe bien et se finit bien. Tout le monde décide alors de rentrer chez soi. J'avais fait la connaissance de ma belle-famille et surtout celle de Magali.

Les semaines passent ; notre couple devient de plus en plus solide et de plus en plus complice.

Un jour, coup de téléphone de ma belle-mère pour nous inviter à manger en famille le dimanche suivant. Virginie accepte, c'était donc noté.

Dimanche, midi, nous partons pour le domicile familial. Nous arrivons un quart d'heure plus tard, deux voitures sont déjà là. Ma belle-mère nous accueille et nous invite à aller dans le salon où tout le monde nous attend. Je rencontre enfin mes deux beaux-frères, Gilles le mari de Sylvie et Jacques, celui de Magali. Deux hommes au premier abord très sympas. Nous nous installons, prenons un verre et engageons la discussion. Les hommes entre eux pour parler foot (et oui, classique) et les femmes pour parler de je ne sais quoi. Je jette un regard vers Magali afin d'apercevoir ses formes. Aujourd'hui, elle est habillée en blanc de la tête au pied : des sandalettes, une longue jupe et un chemisier assez échancré au niveau du buste.

Elle remarque mon coup d'oeil, jette un regard sur son décolleté s'apercevant de la vision qu'elle me donne et se redresse, ce qui propulse ses deux obus en avant. Je ne peux m'empêcher d'avaler ma salive pour ne pas baver. Elle s'en aperçoit et me fait un sourire complice. Je me dis alors que ma belle-sœur doit être une sacrée coquine.

Je ne pense qu'à son sourire et à ses seins commençant à m'imaginer les histoires les plus folles.

Ma belle-mère me fait revenir sur terre en nous appelant pour manger. Je me dis alors que manger me fera le plus grand bien. Je demande où est la salle de bain afin de me laver les mains. Et là surprise, Magali me dit :

- Suis-moi, je vais te montrer, je vais me les laver aussi.

Je suis Magali dans le long couloir qui mène à la salle des bains. Je pose mon regard sur sa croupe qu'elle balance exagérément sous mes yeux, consciente que je ne peux que regarder le spectacle qui m'est offert... Elle ouvre la porte et se retourne d'un coup. J'ai toujours les yeux scotchés sur ses fesses. Elle me fait un grand sourire et me dit :

- Voila, tu as le savon ici ; et une serviette là.

Elle reste dans l'encadrement de la porte et me laisse le passage mettant ses seins en avant. Le passage est de ce fait, plutôt étroit. Je la frôle et l'excitation me gagne. Mon slip semble tout d'un coup trop petit. Magali suit mes moindres faits et gestes. Je discerne une étincelle dans ses yeux. Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil sur sa poitrine. Ses seins sont vraiment gros, je donnerais n'importe quoi pour les palper, les malaxer, les lécher, les titiller...

L'eau glacée qui coule sur mes mains me fait du bien, je me vois face à la glace au-dessus du lavabo et je vois me yeux remplis d'excitation. Magali ne peut qu'avoir remarqué. Mon excitation s'amplifie, je bande comme un âne. J'essaye de cacher ma protubérance, mais Magali se rapproche doucement du lavabo. Du coin de l'œil je l'observe, elle regarde vers mon entrejambe. Cette fois, c'est sûr, elle voit mon état. Elle est à 20 cm de moi, je peux sentir son souffle. Elle tend les mains pour que je lui mette du savon dessus.

Et là ma femme déboule. Mon sexe retombe instantanément. Les deux sœurs commencent à discuter et en moi-même je me demande ce que je fais là. Nous regagnons la salle à manger. Tout le monde est installé. Je me retrouve assis à côté de Virginie et de ma belle-sœur Sylvie. Magali est juste en face de moi, entre son mari et son beau-frère.

Le repas commence par une grosse salade composée. A chaque bouchée je regarde en direction de Magali. Elle commence à repérer mon manège et commence un jeu sensuel. Elle prend sa fourchette et l'enfonce dans sa bouche en faisant tourner sa langue autour. Je la fixe et cela semble lui plaire. Elle en remet une couche. Mon entrejambe est très tendu. Je commence à faire descendre mon regard vers son opulente poitrine. Les boutons du haut du chemisier sont toujours défaits et laissent ainsi entrevoir un profond sillon...

Je n'en peux plus, ma queue me fait mal tellement je bande. C'est alors que je sens un pied sur mon mollet. Je lève les yeux vers Magali et elle me fait un large sourire tout en se léchant son index plein de sauce. Je crois défaillir. Elle remonte son pied le long de ma jambe, caressant ma cuisse. Elle frôle mes couilles à présent. Et au moment où elle touche mon sexe, je me lève d'un coup feignant une envie pressante. Je vais donc aux toilettes, ferme la porte à double tour et sors mon sexe bandé pour assouvir une pulsion sexuelle insoutenable. Je ne suis pas long à venir, repensant à ce qu'il vient de se passer. Mon orgasme est total, je me mords la lèvre pour ne pas crier mon bonheur.

Soulagé, je rejoins les autres à table, faisant mine de rien. Le repas se prolonge et j'évite de regarder Magali dans les yeux. Le dessert arrive avec le café. Magali me demande le sucre. Je lui tends et elle se lève légèrement de sa chaise, se penchant bien en avant pour attraper la sucrière. La vision que j'ai de ses seins est sublime, j'aperçois son téton droit sortant de son immense soutien-gorge en dentelle blanche. Ses gros nichons laiteux vacillent au rythme de son bras. Mon érection recommence mais je me résonne en me disant que c'est ma future belle-sœur, que ma femme est à côté de moi et que son mari est en face.

Nous finissons le repas vers 16h30, il est temps de rentrer pour tout le monde. Nous nous embrassons tous. Magali s'approche de moi, pose sa main sur mon épaule, froissant le tissu de ma chemise. Elle me fait alors deux bises près des lèvres et me murmure sensuellement à l'oreille

- À bientôt Julien...

Quelques jours plus tard, c'était un jeudi (c'est mon jour de repos), Virginie se prépare pour partir au boulot et me dit :

- Tiens mon chéri, est ce que tu pourrais passer chez Magali en fin de matinée. Elle vient d'acheter un nouveau lecteur DVD mais n'arrive pas à l'installer. Jacques est en déplacement toute la semaine. Elle te gardera sûrement pour manger, tu verras, c'est un vrai cordon bleu.

- Tu sais ma chérie, si je peux rendre service, ce sera avec plaisir.

Je n'en croyais pas mes oreilles. J'allais me retrouver seul chez Magali avec la bénédiction de ma femme. Je commence déjà à imaginer la tournure des événements. Mon excitation commence à me faire mal. Je décide d'aller prendre une bonne douche froide, histoire de me remettre les idées en place. Je me rase de près, me parfume comme si j'allais à un rendez-vous galant.

J'arrive devant la petite maison de Magali à onze heures précises. J'ai préalablement acheté un bouquet de fleurs. Je sonne à la porte. Après quelques secondes, j'entends le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Magali m'ouvre la porte vêtue d'un peignoir beige qui laisse deviner ses formes bien rondes. Elle porte une queue de cheval ce qui met son visage et notamment ses yeux bleus en valeur.

- Julien comment vas-tu ? Excuse-moi pour ma tenue, mais je viens juste de finir le ménage. Mais entre, ne reste pas sur le pas de la porte.

Je rentre donc dans la maison. Magali referme la porte derrière moi. Elle me fait la bise sans me toucher. Cela me refroidit pensant qu'elle allait me sauter au cou. Elle me fait entrer au salon et me propose de m'asseoir.

- Tu veux boire quelque chose ?

- Volontiers, un petit pastis ira très bien.

- Je te prépare ça tout de suite.

Elle va dans le coin du salon du côté du bar. Je la suis des yeux ne me gênant pas pour détailler sa tenue sachant que nous sommes seuls à la maison, les enfants étant à l'école. Son peignoir lui arrive juste au-dessus des genoux. Ses mollets sont fins et musclés. Je remonte mes yeux le long de ses courbes. Ses cuisses paraissent être bien galbées. On voit nettement les formes de ses fesses qui ressortent du peignoir, quelle chute de reins ! Elle est de dos. Je vois sa nuque où quelques mèches rebelles dépassent. Cette vision m'excite. Elle me sert mon verre et revient vers moi. Sa démarche est sensuelle. Elle bombe le torse mettant ses lourds attributs en valeur. Elle est vraiment bandante. Son bassin est plutôt large, sa taille en proportion et sa poitrine semble démesurée. À chaque pas, ses seins balancent, ce qui signifie qu'il n'y a pas de soutif là-dessous. Elle me tend le verre en se penchant légèrement en avant. Le sillon de ses seins semble m'appeler. Je ne me gêne pas pour mater ouvertement ses gros nichons blancs.

La chaleur monte d'un cran dans la pièce. Magali semble être excitée de la situation autant que moi. Je vois ses tétons qui pointent à travers le peignoir.

- Je vais te chercher des glaçons, me dit-elle en se redressant et en partant en direction de la cuisine.

Je la regarde se déhancher. Elle disparaît dans la cuisine. Je regarde autour de moi, le salon est très mignon, assez moderne et très lumineux. Magali réapparaît avec un petit bol rempli de glace et en met dans mon verre. Je ne peux détacher mes yeux de son décolleté. Elle s'est servi un muscat et propose de trinquer.

- A nos amours beau-frère !

- A nos amours !

On boit une gorgée quand Mag me dit :

- Je vais aller me changer. Ça ne se fait pas de recevoir quelqu'un dans cette tenue.

- Mais cette tenue te va à ravir. Ne te fais pas de soucis, ça ne me gêne pas du tout. Tu es très belle comme ça.

- Tu me trouve belle comme ça ? Mais je ne suis pas coiffée, pas maquillée, dit-elle en se passant les mains dans les cheveux puis en les redescendant le long de son corps.

Lorsqu'elles sont au niveau de la poitrine, Magali fait un geste qui me fait bander aussitôt. Elle a comprimé ses seins à travers le tissu. Ses tétons pointent comme deux petits soldats. Elle me regarde avec un large sourire.

- Je reste comme ça alors ? Tu es sûr ? dit-elle tout en continuant à se caresser le corps.

- Sûr de sûr. Alors au fait, ce lecteur DVD ? » dis-je pour faire redescendre la température.

- Ah oui, c'est vrai. Ne bouge pas je vais le chercher, il est là sur le dessus de la bibliothèque.

Elle se dirige vers le meuble, attrape une chaise au passage pour pouvoir atteindre le lecteur. Plutôt galant, je me lève aussitôt pour aller l'aider. Elle est déjà debout sur la chaise quand j'arrive près du meuble. J'ai la vision de ses opulentes fesses sous les yeux. Elle lève le bras pour atteindre le haut de la bibliothèque, ce qui défait légèrement l'étreinte de la ceinture du peignoir, qui s'entrouvre. Surprise, elle tente de se rajuster et manque de tomber de la chaise. D'un réflexe éclair, j'arrive à la maintenir sur la chaise en la saisissant d'une main sur la hanche et l'autre sur la fesse droite. J'ai maintenant un bout de son postérieur dans la main. Son cul est imposant mais d'une remarquable fermeté. Elle tourne alors la tête vers moi pour me remercier. J'ai toujours ma main sur ses fesses, décidé à ne pas l'enlever tout de suite. Elle attrape alors le lecteur et reste plantée sur son perchoir. Je lui tapote alors son derrière en lui disant :

- Tu aurais pu te faire mal, belle-sœur, heureusement que je t'ai rattrapé.

- Merci beaucoup mon cher, mais tu m'as quand même mis la main aux fesses petit coquin, répond-elle en descendant.

Elle m'embrasse rapidement sur la bouche et part en direction de la télé en riant. Je ne sais plus où j'en suis. Ma tête essaye de me raisonner et ma queue m'incite à aller plus loin. Mag s'accroupit devant le poste de télévision et déballe le lecteur DVD. Je la rejoins sur le sol, attrapant les câbles nécessaires au branchement. Nous sommes l'un à côté de l'autre et de là où je suis placé, j'ai une vue imprenable sur sa paire de lourdes mamelles qui se balancent impudiquement sous mes yeux. On dirait qu'elle le fait exprès. Ma queue est dure et me gêne dans la position dans laquelle je suis. Je me lève pour me rassoire. Mag suit des yeux la bosse formée dans mon pantalon. Elle commence à rougir.

- Qu'est ce qui se passe Julien ? On dirait que tu...

- ...bandes, l'interromps-je la fixant droit dans les yeux. En effet je bande, excuse-moi, ce sont des choses qui arrivent aux hommes lorsqu'ils se retrouvent avec des femmes belles comme tu l'es.

- Merci du compliment. T'es plutôt pas mal non plus, tu sais. Dommage que je sois mariée et que tu sortes avec ma sœur, me lance-t-elle.

La dernière phrase aurait dû me calmer, mais au contraire, le fait que cette relation ne doive pas se faire m'excite beaucoup. Mag est toujours face à moi les joues rosies par l'émotion. Je lui demande de me faire passer la prise péritel qui se trouve juste à côté d'elle. Son genou est sur la ceinture du peignoir et lorsqu'elle veut attraper la prise en tendant son bras, la ceinture se défait comme par magie. Les pans s'entrouvrent. Je vois maintenant la naissance de deux énormes globes laiteux qui se tiennent haut pour leur taille. En baissant mon regard, je découvre son piercing au nombril, un petit ventre rond et un peu plus bas une petite culotte blanche. Ses cuisses musclées paraissent solides. À moitié dénudée, Mag me regarde sans rien dire, attendant sans doute ma réaction.

Je l'ai sous les yeux. Combien de fois m'étais-je masturber en imaginant un pareil scénario ? Et aujourd'hui, je suis sur le point de réaliser mon fantasme.

J'avance la main vers sa cuisse. Nous ne disons rien... Nos souffles sont courts... Ma main atteint le genou. Le contact sur cette peau si douce m'électrifie. Ma queue double de volume dans mon pantalon trop serré. Mag soupire au premier toucher.

Je remonte doucement le long de sa cuisse. Inconsciemment, Mag écarte légèrement son entrejambe. Je ne suis plus qu'à quelques centimètres de sa culotte. Mag respire de plus en plus fort. Je la sens fondre. Son visage a changé. Ses yeux sont fermés. Ça y est mon index est en contact avec la dentelle de la petite culotte. Je frotte légèrement, deux autres de mes doigts s'invitent à la fête. À travers l'étoffe je sens l'humidité s'installer. Mag soupire. Je décide d'abandonner le coin (mais de revenir un peu plus tard) afin de d'accéder aux deux seins tant convoités depuis quelques semaines. Je remonte mes mains le long de son ventre pour atteindre la base de ses nichons. Mag dégage complètement les pans du peignoir et se retrouve entièrement nue. Wahou !! Cette femme respire la volupté.

- Lèche-moi les seins... J'adore ça... me dit-elle d'une voix méconnaissable.

Après une telle invitation, je ne me fais pas prier. Mes mains malaxent et pétrissent ses énormes nichons. Ils sont vraiment d'une taille impressionnante (j'ai appris plus tard : du 100E). Plutôt pâles, ils sont bien ronds et crémeux. Mes doigts titillent les aréoles roses de la taille d'une pièce de 5 francs. Ses tétons sont très durs. J'y tire dessus, les sentant grossir de plus belle. Mag commence à gémir, elle n'avait pas menti, elle est très sensible des seins. Je me rapproche de son buste et fais participer ma langue au festin mammaire. Ma langue lèche les tétons. Je commence à lécher de plus en plus vite. Les gémissements de ma partenaire m'encouragent et sont de plus en plus bruyants. Je me régale. Mag pose sa main derrière ma nuque et m'attire contre son sein. Je tète comme un bébé Je suis au milieu de ses loches, prêt à m'étouffer avec. Reprenant ma respiration, j'en profite pour enlever mon pantalon. Mag s'étend sur le sol, me regardant me déshabiller. Elle a des étincelles dans les yeux. Elle n'arrête pas de se passer la langue sur les lèvres. Machinalement, elle se caresse le ventre puis remonte doucement vers sa poitrine. De sa position couchée sur le dos, ses seins tombent de chaque côté de son buste, mais restent d'une taille impressionnante. Elle joue avec ses mamelons, elle tire dessus et semble apprécier.

Me voilà en caleçon. J'admire le spectacle offert. Une des mains de Mag se balade maintenant au niveau de son bas-ventre. Elle se caresse à travers le tissu. Je peux voir nettement une tache humide sur la culotte.

- Tu aimes te caresser ? lui demandé-je.

- Oui, j'adore ça. Tu sais, quand Jacques n'est pas là, je m'occupe toute seule... Mais aujourd'hui, je ne suis pas seule.

Et sur cette parole, je la vois s'enfiler un doigt dans la chatte qu'elle ressort immédiatement pour se le mettre dans la bouche. Je n'ai jamais vu une femme plus excitante que ma belle-soeur dans cet état. Je décide de la laisser se caresser. De sa main gauche elle malaxe son sein droit. De l'autre main elle joue avec son clitoris qu'elle commence à titiller énergiquement. Elle râle de plaisir.

- Enlève ton caleçon, que je voie ce qu'il y a dedans. Ta queue semble à l'étroit, laisse-la respirer.

J'ôte donc mon caleçon. Ma queue est énorme. Je ne l'ai jamais vue comme ça. Machinalement, de la main droite je décalotte mon sexe et exécute quelques va-et-vient. Ma queue grossit encore.

- Hum... Tu as vraiment une grosse queue, Julien. Je crois que je vais bien m'amuser avec un tel engin. Viens, approche-toi de moi que je la mette en bouche.

Mag est toujours couchée sur le sol. Je me mets au-dessus d'elle et lui présente mon sexe devant le visage. Les yeux de ma belle-sœur sortent de leur orbite. Elle souffle fort tellement son excitation semble intense. Elle se décide alors à s'occuper de mon cas. Elle entreprend la meilleure fellation que l'on ne m'ait faite. Elle lèche la base de mon sexe, titille mes couilles avec sa langue, puis revient sur ma tige. Doucement elle remonte avec sa langue le long de mon érection. Elle va atteindre mon gland. Elle le lèche, encore et encore. Et tout d'un coup elle avale ma queue au fond de sa gorge tout en me malaxant les bourses avec sa main gauche. Je suis aux anges.

Je commence à lui caresser les seins. Ils sont si gros que mes grandes mains ne peuvent les contenir. Je masse les globes laiteux, quel régal ! Mag commence à gémir. Je continue mes caresses encore quelques minutes lorsque Mag, tout en léchant ma bite, me dit :

- J'ai envie que tu me baises...

Je l'aide à se relever. Ses gros seins bougent dans tous les sens. Je ne peux m'empêcher de les saisir à nouveau et de les lécher. Elle m'emmène jusqu'au canapé me fait rester debout pendant qu'elle s'assoit face à moi. Sans un mot et avant que je puisse réagir, elle remet ma queue dans sa bouche. C'est encore meilleur que tout à l'heure. Elle salive beaucoup cette fois. Les bruits de succion deviennent obscènes. Je bande de plus belle. Mag a du mal à la prendre entière dans la bouche. Ma queue est pleine de bave. Mag se lève, se retourne et pose un genou sur le canapé et attrape le dossier. Dans cette position, ses seins pendent comme de mamelles. Elle met son gros cul en arrière. Je peux nettement discerner sa chatte rasée. L'humidité semble inévitable.

- Prends-moi, je suis chaude, bouillante, j'ai besoin de ta lance pour me refroidir. Tiens regarde, ma chatte est toute mouillée à cause de toi. Mais qu'est ce que tu attends ? Viens en moi, je te dis !

Mag est en transe. Je découvre son côté nymphomane et je vais me régaler. Je me rapproche d'elle. Je prends ma queue et lui tapote ses grosses fesses avec. Elle aime ça. Sentant que ma partenaire ne va pas refroidir de suite, je décide de retarder la pénétration tant attendue par ma belle-sœur. Je commence à lui caresser les fesses. Son gros cul est ferme. Je le prends bien en main, je lui pétris le cul comme si c'était de la pâte à pain. Je fais remonter mes mains aux creux de ses reins. Je passe alors en dessous, mes mains atteignent le piercing, je joue avec quelques secondes. J'abandonne le bijou. Mes mains saisissent ses énormes outres. Ils ont vraiment une taille impressionnante, je n'arrive pas à y croire. Je tire sur les mamelles comme on trait une vache. Mag adore ça. Je les fais se balancer. Elle gémit de plus en plus fort.

- Oh oui. Vas-y, c'est bon. Oh ! Tu tires fort mon cochon, mais continue, j'aime ça. Huuummmm... Oui... Huuummm, encore, ne t'arrête pas...

Mon sexe n'en peut plus, il va exploser. J'arrête mon massage mammaire. Je me plante devant les opulentes fesses de ma partenaire et enfonce ma queue directement dans sa chatte. Elle mouille tellement que je suis rentré jusqu'au bout sans effort. Mag hurle de plaisir :

- Que tu es gros ! Vas-y, baise-moi bien à fond ! Oh oui, comme ça. Pilonne-moi avec ta grosse queue. J'en veux encore. Ne t'arrête surtout pas... Han, han. Que c'est bon ce que tu me fais. Je mouille comme une fontaine. Oh oui, encore. Je n'ai jamais mouillé comme ça...

Elle projette son bassin d'avant en arrière. Ma queue la pénètre au plus profond à chaque va-et-vient. Ma queue glisse à toute vitesse dans cette chatte trempée. Je sens le plaisir monter en moi alors que Mag me dit :

- Continue mon chéri, je vais jouir. Va plus vite, défonce-moi la chatte, baise-moi comme une pute. Oh oui, vas-y !

Mag emploie maintenant un vocabulaire vulgaire. L'excitation l'emporte sur la gentille mère de famille qui se transforme en chienne insatiable. Je décide d'utiliser le même répertoire qu'elle :

- Tu aimes te faire baiser comme une chienne ?

- Oui j'adore ça. Je suis ta chienne. Insulte-moi, tu m'excites encore plus !

- Tu es une belle salope. J'en étais sûr. Je vais te baiser comme on t'a jamais baisée.

Je fais mettre Mag à quatre pattes sur le canapé. Je me place derrière elle et recommence à lui baiser la chatte. Je vois ses gros nichons valser au rythme de mes coups de boutoir. J'en saisis un et le pétris sans ménagement.

- Oh oui, pelote-moi les nichons pendant que tu me baises et continue à m'insulter je vais jouir.

- T'es vraiment qu'une grosse cochonne qui aime bien se faire sauter par son beau-frère... Tu mouilles comme une catin. Ma queue est trempée par ta mouille.

- Oh oui, oh oui... Je viens... Je... VIENS... hurle-t-elle alors qu'un océan de mouille me coule le long de la queue et même sur les cuisses.

Mag vient de jouir et je m'arrête de la baiser. Elle s'est affalée sur le cousin. Seul son cul se dresse fièrement.

Elle se retourne pour m'embrasser. Je lui rends son baiser.

- Je veux que tu jutes sur mes nichons.

Je me lève pendant qu'elle s'installe confortablement à genoux devant moi. Je lui soupèse les nichons. Ils sont lourds. Les tétons ont doublé de volume. Elle prend un sein dans chaque main et me les présente tels deux uniques fruits dans une corbeille.

- Tu as l'air de les aimer. À chaque repas j'ai remarqué que tu les regardais. Aujourd'hui, je te les offre, profites-en, me dit elle en se les caressant sensuellement.

Ma queue est toujours aussi raide. Je l'approche du sillon et l'engouffre à l'intérieur. Mon sexe a disparu entièrement entre les seins de Magali. Je commence un long va-et-vient. C'est bon. Il y fait chaud. Mag fait venir ses mamelles sur ma queue. À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Elle met des coups de langue sur mon gland à chaque passage de ma queue à proximité de sa bouche. Je n'en peux plus, je sens ma semence monter en moi. Je vais jouir, je vais lui en mettre partout sur la poitrine.

Un violent spasme me traverse le corps de la tête aux pieds. Mon sperme jaillit de mon sexe à grandes giclées pour atterrir sur les deux gros nichons de ma cochonne de belle-sœur. Il y en a une grosse quantité. Mag se l'étale sur ses mamelles. Je la regarde faire. Quelle femme !

Nous restons dans le salon encore un moment avant de retrouver nos esprits. Je l'embrasse tendrement.

Voila comment Magali est devenu ma maîtresse occasionnelle. Nous faisons l'amour sauvagement de temps à autres, même pendant les repas de famille ; mais ça, c'est une autre histoire...


Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 14 septembre 4 14 /09 /Sep 16:40

C'est la video de mon ex copine Géraldine qui a fait cette video pour mon anniversaire. Cette petite pute m'a trompé pendant que j'étais en déplacement donc pour me venger je partage son cadeau avec tout le monde.

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A plus Karim

Par Karim - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 14 septembre 4 14 /09 /Sep 00:02

Carole était une femme d'une trentaine d'années qui travaillait dans la même société que moi. Elle était secrétaire ou du moins, elle travaillait dans la partie administrative de la société.

Brune, les yeux verts, des seins pas trop gros mais avec des jolis tétons qui pointaient sous ses vêtements et très sensibles, des jolies jambes, un beau corps. Elle savait se mettre en valeur de part ses tenues, même lorsqu'elle portait un pantalon, son corps était fort désirable. Je la croisais souvent dans les couloirs, mais nos rapports se limitaient à des « bonjour, bonsoir » accompagnés d'un sourire de politesse.

Un jour à la cantine, le midi, je me suis retrouvé à la table juste derrière la sienne. La pièce était découpée en petits espaces séparés par des bacs agrémentés de plantes artificielles qui formaient des sortes de petites haies, assurant une certaine intimité visuelle, mais non sonore, ce qui permettait d'entendre si l'on était curieux ce qui se disait à la table d'à côté.

J'étais seul, elle était avec une autre fille de la société qui devait travailler avec elle.

Comme je n'avais pas de compagnie à ma table, j'avais tout loisir, même sans être curieux, d'entendre ce que les filles se disaient. Au début leur conversation portait sur le travail, quelques commérages et quelques potins, dont la découverte me faisait sourire lorsque je connaissais les personnes citées. Puis leur conversation à tourné vers un caractère plus intime, Carole disait à sa collègue que sa vie de couple n'était pas au beau fixe et que sexuellement, la routine s'était installée et que de toutes les façons, son compagnon n'avait jamais vraiment été à la hauteur de ses attentes et de ses désirs. Je gardais cette information dans un coin de ma tête, mais sans plus. Mon repas étant fini, je me suis levé et je suis retourné travailler.

Quelques semaines plus tard, il y avait un cocktail offert aux employés, pour les remercier des résultats réalisés sur l'année. Carole était là, elle portait une robe noire à fines bretelles, des bas ou des collants noirs et des escarpins. Elle discutait un peu avec tout le monde, puis à un moment elle s'est trouvée seule, un peu éloignée de la foule, au bout de la table où étaient disposés les canapés et autres amuse-bouche.

Je m'approchais, une coupe de champagne à la main.

- Bonsoir. Carole, c'est ça ?

Elle fut assez surprise, levant ses jolis yeux verts pour me regarder, puis je sentis qu'elle cherchait mon prénom.

Je lui tendis la coupe de champagne

- Robert, je m'occupe de la gestion du magasin des pièces détachées.

Elle sourit

- Oui, bien sûr.

Puis, prenant la coupe elle me remercia.

- Vous avez l'air de vous ennuyer ?

- Non, mais je n'aime pas trop la foule.

- Moi non plus, je préfère les ambiances plus intimes, moins strictes.

Elle sourit en portant la coupe à ses lèvres.

- Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous parler, c'est dommage.

- Oui.

Nous avons commencé à échanger des banalités, parlant de la société, de tout et de rien, quand Valérie une fille travaillant avec moi s'est approchée de nous.

- Alors Robert, tu ne participes pas à la fête ? Tu préfères séduire la jolie Carole ?

Nous l'avons regardée, un peu confus.

- Elle a bon goût, fit-elle en s'éloignant.

Valérie était la coquine de l'entreprise, et tous les hommes de la société ou presque avait au moins eu une aventure avec elle.

Carole me dit :

- Ça y est, elle va raconter partout que nous sommes amants.

- C'est sûr qu'avec elle, il y a des chances que cela arrive, dans mon cas ce serait flatteur, mais dans le tien, ce serait peut être plus embarrassant ?

Elle haussa les épaules

- Peu importe, cela ne me dérange pas.

Nous avons continué un peu ce jeu, en imaginant ce qui se passerait si nous étions amants, comment nous nous rencontrerions, ce que nous ferions pour nous voir, mais le tout sur le ton de la plaisanterie, l'alcool ayant détendu l'atmosphère.

Elle regarda sa montre.

- Il commence à être tard, il faut que je rentre.

- Ton mari t'attend ?

- Non, mais j'ai un dossier à la maison que je dois finir pour demain, je l'ai oublié ce matin chez moi où je l'avais emmené hier pour travailler. Et mon patron le veut pour demain sans faute.

- Ok, la raison est valable.

Elle s'approcha de moi, me tendit la joue pour m'embrasser, je sentis son parfum délicat et sa peau douce sur mes joues.

Puis posant sa coupe de champagne vide, elle se tourna vers moi une dernière fois, et en me regardant droit dans les yeux elle me dit

- J'aime les hommes, les vrais, ceux qui ne s'embarrassent pas avec des ronds de jambes mais qui vont droit au but. J'adore être un jouet entres leurs mains. Salut.

Et elle s'éloigna, puis sortit de la salle.

Je restais immobile, les pensées les plus confuses et les plus folles ont envahi ma tête, le message était clair, à moi de jouer, mais comment allais-je m'y prendre ?

Je ne tardais pas à partir moi aussi, mes pensées étant totalement occupées par cette dernière phrase de Carole. Comment allais-je bien pour voir négocier la suite ?

Le lendemain à midi, je me suis arrangé pour arriver un peu avant elle à la cantine. Je l'ai vue rentrer, accompagnée d'une de ses collègues, je m'étais placé de telle manière qu'elle était obligée d'emprunter cette allée pour entrer dans la salle. Lorsque elle passa devant ma table, elle me sourit, je la regardai droit dans les yeux, puis lui désignant la chaise face à moi, lui dis d'un ton ferme :

- Assieds toi !

Elle dit à sa copine d'aller s'installer, qu'elle allait la rejoindre. Elle posa son plateau sur la table et s'assit sans un mot. Puis, posant sa tête entre ses mains, son regard plongé dans le mien, elle me dit :

- Ma dernière phrase t'aurait-elle fait de l'effet ?

- Serais-tu là, sinon ?

- Non, je ne pense pas.

- J'ai bien repensé à cette dernière phrase, en as-tu pesé tous les mots ? lui dis je en insistant bien.

- Oui !

- Tu es prête à être le jouet de mes envies et des mes fantasmes ?

- Oui.

- Bien, dans ce cas, attends-toi à avoir de mes nouvelles très bientôt pour en faire la preuve.

Elle se leva, reprit son plateau et me lança un regard qui en disait long qui reflétait aussi que ses pensées devaient bouillonner à leur tour. Elle alla rejoindre sa collègue, jetant de temps en temps un regard dans ma direction, signe du trouble que j'avais fait naître en elle.

Je quittai la salle, puis je retournai travailler. Dans l'après midi, je composai son numéro de téléphone interne :

- Carole G... j'écoute !

- Ce soir, chez moi, 18 heures.

Et je lui donnai l'adresse sans un mot de plus.

- Heu... 19heures plutôt, si tu veux bien, ce sera plus facile pour moi.

- Ok, 19heures chez moi, à tout à l'heure.

Et je raccrochai.

Mon travail fini, vers 17 heures - je n'allais pas faire des heures sup ce soir là - je rentrai. Arrivé chez moi, une petite villa à la périphérie d'un village à quelques kilomètres de mon travail, je me garai, puis j'allai prendre une douche afin d'attendre cette femme qui allait devenir ma Maîtresse, et avec qui j'allai expérimenter toutes mes envies. La douche terminée, j'enfilai un peignoir en éponge, puis j'allai mettre un peu d'ordre dans la maison, et préparer sa venue. La maison était constituée d'une grande pièce unique, où j'avais installé un grand canapé et un fauteuil style club, une table ronde avec quatre chaises. Il y avait une chambre assez grande où j'avais installé un bureau. Le seul luxe de cette maison était dans la salle de bains, la baignoire était digne de certains films d'Hollywood, en forme de haricot, avec des jets de massages, qui serviraient sans doute un jour avec Carole, comptant tout mettre en œuvre pour en faire ma Maîtresse régulière.

A 19 heures, j'entendis une voiture se garer devant la maison. Je m'approchai de la porte, et j'éclairai l'entrée, tout en vérifiant que c'était bien elle par la fenêtre de la cuisine qui donnait sur le devant.

Elle descendit de sa voiture, ferma la portière et se dirigea de manière directe et sans hésitations vers la porte.

Avant qu'elle ne sonne, j'ouvris.

Elle me regardait, debout devant la porte, tenant son sac devant elle. Elle portait la même robe noire que la veille, elle était donc allée se changer.

Je lui fis signe d'entrer. Elle s'exécuta. Quand elle eut passé la porte, je refermai derrière elle et d'un signe de la main sans un mot, je lui indiquai d'entrer dans le salon.

Elle attendait que je prenne une initiative, que je parle.

Je m'approchai d'elle, je pris son sac à main et le jetai sur le canapé, puis sans un mot, je passai ma main gauche derrière sa nuque, de la droite j'écartai les pans de mon peignoir, et je saisis mon sexe. La pression de ma main gauche se fit plus insistante sur sa nuque, l'incitant à venir emboucher mon sexe.

Je décalottai mon gland, mon sexe commençait à raidir, je le poussai entre ses lèvres, son buste étant penché en avant, sa tête au niveau de mon pubis. Elle ouvrit ses lèvres pour laisser passer mon gland chaud et commença à me sucer, ses deux mains sur mes hanches. Je tenais toujours ma main sur sa nuque, mais il était inutile de la forcer, elle s'exécutait apparemment avec plaisir.

Ma queue qui avait atteint une bonne taille au fond de sa bouche qui coulissait le long de ma tige, je sentis sa langue douce par en dessous, je profitais de sa position, pour soulever sa robe. Je découvris ses fesses, et avec plaisir je constatai qu'elle ne portait pas de culotte. D'un geste sec, je lui claquai les fesses, elle émit un son, mais continua de plus belle à me sucer.

Je recommençai, et chaque fois, d'un léger mouvement de la croupe, elle me faisait comprendre de continuer.

Après quelques instants comme cela, où elle enfonçait mon sexe au plus profond de sa gorge, et où je sentais mon plaisir monter, je me suis reculé, puis la saisissant par les cheveux, je l'ai redressée pour lui faire un baiser profond. Ma langue dans sa bouche se mêlait à la sienne, ce baiser fut long et passionné, je sentais qu'elle appréciait mon audace et mon attitude directe.

Tout en tenant ses cheveux, je m'écartai d'elle, son regard en disait long sur le plaisir qu'elle éprouvait de cette situation.

J'ai défait la ceinture de mon peignoir, me débarrassant de ce vêtement qui commençait à me tenir chaud vu les conditions.

- Alors petite chienne, tu es contente de ton os ?

Elle prononça un oui qui n'avait rien d'un peut être.

La repoussant contre le mur face à moi.

- Allez à poil, enlève-moi cette robe !

Elle s'exécuta, soulevant la robe par-dessus sa tête, pour la lancer dans la pièce, son regard était fiévreux de désir. Je découvris son corps que je n'avais pour le moment qu'imaginé durant toute la journée.

Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins, sans êtres gros étaient bien fermes et bien ronds, les aréoles brunes, avec des tétons qui pointaient, incitant à la caresse. Je descendis mon regard le long de son ventre, pour découvrir un petit triangle de poils en forme de V, le reste de son sexe étant épilé et bien lisse. Elle se tenait droite, attendant la suite des évènements.

- Tu es très belle, encore mieux que dans mes rêves, je suis le Maître d'une très jolie chienne, j'en suis ravi.

- Oui, fit-elle d'une voix profonde. Oui, je suis ta chienne, continue, fais de moi ce que tu veux.

- Bien, c'est ce que je compte faire.

- Accroupis-toi !

Elle s'exécuta aussitôt, son dos contre le mur, ses jambes repliées et écartées, toujours gainées de ses Dim-up noirs et ses pieds toujours chaussés de ses escarpins.

J'avais ainsi une vue imprenable sur son intimité offerte sans pudeur, certains reflets sur ses grandes lèvres indiquaient clairement qu'elle mouillait de la situation.

Je pris ses mains, je les posai sur mes épaules, puis de nouveau je poussai mon sexe entre ses lèvres. Je poussai lentement pour m'enfoncer le plus possible en elle, sa tête en appui contre le mur, elle ne pouvait se soustraire à cette pénétration. Quand j'ai senti que j'avais atteint la limite du supportable pour elle, je restai un instant au fond avec de reculer d'un lent mouvement de reins. Ma queue tendue était recouverte de sa salive. Quand mon gland fut dehors, elle souffla, mais aussitôt elle ouvrit en grand sa bouche pour me faire comprendre que je devais encore la prendre ainsi.

Je commençai de lent allers-retours dans sa cavité buccale, elle se laissait faire s'ouvrant au maximum, tout en agitant sa langue pour me donner plus de plaisir. Elle salivait abondamment et une partie coulait sur ses seins. Quand j'allais trop profond, elle serrait ses mains sur mes épaules pour me le faire comprendre, je marquais une pause, puis je sortais pour de nouveau mieux la remplir.

- J'adore ta bouche, elle est chaude et soyeuse, tu aimes te faire prendre par là comme si c'était ton sexe ?

Elle faisait « hummm », étant incapable de parler, ma queue emplissant sa bouche, mais quand je me retirais, elle disait « encore !» d'une voix haletante.

Je fis glisser ses mains sur mes tétons, j'adore cette caresse quand je me fais sucer. Elle caressait doucement mes tétons, cela m'électrisait à chaque fois que j'entrais dans sa bouche. Je tendis les mains pour arriver à atteindre ses tétons à elle. Je m'en emparai, je les fis rouler, je les tirai vers le haut, quand ma queue sortait de sa bouche, et elle râlait de plaisir.

Sentant mon plaisir monter, je continuai à aller et venir dans sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu.

- Je vais te jouir dans la bouche, j'adore ça et tu vas tout avaler ! Compris ?

Je me retirai suffisamment pour qu'elle puisse dire oui.

J'accélérai mon va-et-vient, elle continuait à me caresser les tétons et moi les siens, je sentis des picotements dans les reins, puis au moment où j'allais jouir, je me suis retiré, ne laissant que mon gland dans sa bouche. J'ai inondé sa cavité de mon plaisir, elle ne bougeait pas, ayant refermé ses lèvres sur mon gland. Les jets se faisant plus rares et moins puissants, elle saisit mon sexe pour le branler et en extraire les dernières gouttes. Elle avala mon sperme mêlé à sa salive, puis aspira mon gland en faisant des bruits obscènes. Quand mon sexe fut bien propre et qu'il commençait à ramollir, elle le lâcha, se laissant tomber, tout en restant dans sa position accroupie. Ses cheveux étaient mouillés par sa sueur, elle était très belle.

Je repris doucement mes esprits, la jouissance avait été forte, mes jambes étaient cotonneuses. Elle respirait fort, la tête penchée en avant.

Quelques secondes plus tard, je la saisis de nouveau par les cheveux, pour lui indiquer de se redresser.

Debout contre le mur, ma main dans ses cheveux, de mon épaule gauche je la plaquai contre le mur. Je m'approchai de son oreille, et doucement je lui dis :

- Alors petite pute, tu es contente de ce début ?

- Oui, répondit-elle doucement.

Ma main droite se plaqua sur son pubis qui était brûlant et trempé, il était doux et lisse, la sensation était divine.

- Mais tu mouilles ma parole, ça t'excite donc d'être mon jouet, mon esclave de plaisir ?

- Oui.

- Désormais quand nous ne serons que tous les deux, où que nous soyons, tu devras me dire bonjour en prenant ma queue dans ta bouche, c'est compris ?

- Oui.

- Bien.

En disant cela, je pousse mon index et mon majeur dans son sexe, ils glissent facilement et sont emprisonnés dans une fournaise, je les bouge un peu dedans, puis l'annulaire va les rejoindre.

Je commence à la branler, la sensation est agréable pour moi, ce sexe brûlant et liquide autour de mes doigts, je tiens son plaisir dans ma main.

Je l'embrasse de nouveau d'un baiser profond et tout en accentuant mon geste, je me fais de plus en plus rapide en elle. Elle remue, veut se retirer de ma bouche pour reprendre son souffle, mais je ne cède pas, sa respiration s'accélère de plus en plus au rythme de mes doigts, je sens son corps se contracter, elle pousse un cri qui est étouffé par nos bouches mêlées, son corps se raidit, je sens mes doigts qui sont écrasés par les contractions de son vagin, puis la pression diminue. Je sors mes doigts gluants de son intimité, je les porte à sa bouche, et les enfonce entre ses lèvres.

- Goûte ton plaisir, ta jouissance !

Elle avale et lèche mes doigts, je m'écarte de son corps, elle se laisse doucement tomber contre le mur, visiblement fatiguée par ce qu'elle vient de ressentir.

Je la laisse, elle s'allonge à moitié sur le sol pour récupérer, sa respiration se calme.

Je vais chercher deux coupes et une bouteille de champagne dans la cuisine, puis je reviens dans le salon.

Elle est toujours sur le sol, mais redressée en appui sur son coude droit, de sa main gauche elle tente de se recoiffer, du moins elle arrange ses cheveux mouillés et en bataille.

Je m'assieds sur le canapé, je la regarde, ses yeux sont brillants, illuminés de cette lueur indéfinissable que les femmes ont après avoir joui.

Je sers les deux coupes, elle va pour se relever et s'approcher.

- Non, comme une petite chienne !

Elle sourit, comprenant ce que je veux, elle se met à genoux, les mains posées au sol et elle s'approche doucement de la table d'une démarche féline.

- Bien.

Arrivée à la table, je porte la coupe à ses lèvres, et je l'aide à boire. Doucement le liquide frais coule dans sa bouche, mais aussi sur son menton et sur le bas de ses joues, pour finir sur le plateau en verre de la table.

Je lui fais signe que je trinque, et je bois ma coupe à mon tour.

Elle me regarde droit dans les yeux, et d'une manière sensuelle, mais impudique, tout en penchant sa tête pour ne pas me perdre du regard, elle lèche le champagne sur le plateau de la table, pour ne pas en perdre une goutte.

- Bien tu es une bonne chienne docile, je crois que je vais te garder.

Elle ne dit rien, mais elle sourit avec un regard mystérieux, en passant sa langue sur ses lèvres.

Puis continuant à avancer vers moi, elle pose sa main droite sur ma cuisse, puis sa gauche sur mon autre cuisse, pour les écarter.

Elle se penche en avant et embouche mon sexe. La sensation est étrange, sa bouche est douce et fraîche, je me laisse aller en arrière pour savourer l'instant.

A genoux entre mes cuisses, elle commence à me sucer en aspirant, ses mains posées sur mes genoux. Mon sexe commence à se raidir, sa bouche se fait plus chaude.

- Mets la tête en arrière !

Elle obéit.

- Ouvre la bouche !

Elle le fait.

Je fais couler un peu de champagne dedans.

- Continue !

Elle se penche et prend mon sexe dans sa bouche. Je sens de nouveau la fraîcheur sur mon sexe, mais aussi le picotement des bulles, et le liquide froid qui coule le long de ma queue pour finir sur mes bourses. Elle n'avait pas tout avalé. Après quelques va-et-vient, elle envoie la tête en arrière pour recevoir une nouvelle dose de champagne. Durant de longs moments elle s'est livrée à ce petit jeu, me suçant avec du champagne dans la bouche, et je sentais la fraîcheur et les bulles, ces sensations étaient extraordinaires.

Mon sexe étant bien raide, je la laisse encore un moment me sucer dans cette position, puis je lui dis :

- Sur le fauteuil ! Présente-moi ton cul !

Elle se dirige vers le fauteuil, de l'autre côté de la table, toujours à quatre pattes, en ondulant de la croupe pour bien s'exposer, impudique et offerte. J'admire son abricot lisse qui ondule entre ses cuisses.

Arrivée près du fauteuil, elle se hisse doucement dessus, mais au lieu de s'agenouiller comme je l'attendais, elle met ses genoux sur les accoudoirs, et s'écrase véritablement sur le fauteuil, sa tête reposant sur l'assise. Cette pose est très indécente, son sexe et son anus sont ainsi offert totalement à la vue, la place libre en dessous, lui permet de passer les bras pour écarter son sexe et bien s'offrir.

- Très jolie vue, tu es très chienne, mais je ne vais pas me plaindre, continue, caresse-toi !

Elle glisse ses mains sous son ventre, écarte ses lèvres et se caresse le sexe, se fouillant de ses doigts fins. Elle est encore mouillée.

Je me lève et je m'approche d'elle, je parcours son dos avec mes doigts, j'effleure ses fesses, le dessus de ses cuisses, je passe sur le côté de sa poitrine, je remonte sur sa nuque, puis je redescends doucement le long de sa colonne, puis je continus mon geste. En passant, j'effleure son anus et je finis en mêlant mes doigts aux siens sur son sexe. Puis d'un geste vif, je claque ses fesses. Elle pousse un petit cri, mais continue à se caresser, sans bouger le reste de son corps. Ma main retombe sur sa croupe offerte, avec un bruit sec, elle étouffe un deuxième petit cri.

- Tu sais que tu es une vilaine fille ?

- Ah bon ?

- Oui tu es une vilaine fille qui excite les hommes, ce n'est pas bien !

Et ma main tombe sur ses fesses. Cette fois-ci le petit cri se transforme en râle de plaisir.

- En plus, tu aimes être vilaine !

- Oui, je suis une vilaine fille, très vilaine !

Je passe derrière le fauteuil, son buste repose sur le dossier, elle me regarde, toujours avec cette lueur de désir dans les yeux.

J'approche mes doigts de ses lèvres, je passe mon index droit dessus, puis je le pousse pour entrer dans sa bouche.

- Suce ma jolie, suce, tu sais si bien le faire !

Elle suce mon doigt comme elle l'a fait avec mon sexe. Je joue un moment avec elle, elle ronronne comme une chatte, ses mains lui donnent du plaisir.

Je retire mon doigt pour le remplacer par mon sexe, mon gland passe lentement entre ses lèvres, je sens la douceur soyeuse de sa bouche m'entourer, je me penche un peu et de mon doigt humide de sa salive, je caresse son petit trou. Je sens qu'elle est sur le point de jouir, je me retire et je donne une claque sur ses fesses pour ponctuer son plaisir.

- Stop ! Cesse de te caresser !

- Non, s'il te plaît ! dit elle d'une voix hésitante, se concentrant sur son plaisir.

- J'ai dit stop !

Et ma main tombe sur ses fesses. Je fais le tour, je me positionne derrière elle, je passe mes mains sous ses coudes, pour sortir ses bras de sous son ventre.

- Bras croisés dans le dos, mains sur les fesses !

J'accompagne mes mots de gestes et je croise doucement ses bras, puis je dépose ses mains sur ses fesses, qu'elle saisit pour bien s'ouvrir s'il en était besoin, vu sa position.

Je m'empare de sa taille et je positionne mon sexe à l'entrée du sien.

- Humm, fait-elle écartant un peu plus ses fesses.

D'une seule poussée, je vais au fond de son sexe, je le sens autour de moi, brûlant et humide. Elle râle de plaisir durant toute la pénétration. Arrivé au fond, je me retire aussitôt, pour ne laisser que mon gland juste à l'entrée, entre ses petites lèvres.

- Tu veux ?

- Oui, prends-moi, je suis ta chose » !

- Je peux faire de toi ce que je veux ?

En même temps, je m'enfonce au plus profond d'elle même.

- Ouiiii, fais ce que tu veux, mais prends-moi !

Je me retire lentement, mon sexe est trempé de sa mouille.

Je sors mon sexe du sien, et je pose mon gland sur son petit anneau brun.

- Tout ce que je veux ? »

- Ouiiiii !!!!

Je force le passage d'une poussée lente mais régulière, elle étouffe un long râle en enfouissant la tête dans le dossier du fauteuil. Je sens son anus qui m'enserre, mes couilles viennent au contact de son sexe, je reste ainsi quelques secondes, j'en profite pour lui caresser le dos de la main droite.

Je ressors lentement, elle émet encore un long son étouffé par l'étoffe.

Je la tiens par le bassin et je commence à aller et venir très lentement dans son anus étroit. Au bout de quelques temps, je passe ma main sous mon sexe, et je glisse mon pouce dans son vagin, tout en frottant son clitoris avec le reste de ma main. Je sens mon doigt à travers la fine peau qui le sépare de mon sexe. J'accélère, allant de plus en plus vite en elle, elle ne cesse de grogner, elle vibre sous la pénétration.

- J'adore ton cul, je pense que je ne te prendrai que par là !

- Oui, si tu veux, crie-t-elle. Ne t'arrêtes pas, c'est trop bon !

Je vais et je viens en elle, je la sens se contracter autour de ma queue, elle se cambre en arrière, ses doigts se crispent sur ses fesses, elle pousse un cri de jouissance, avant de retomber, la tête sur le dossier. Je sens mon plaisir monter au creux de mes reins, je sors de son anus.

- Ta bouche !

Elle se retourne d'un mouvement rapide, tombe assise sur le fauteuil et ouvre sa bouche au moment où mon sperme jaillit par saccades de mon sexe.

Elle le reçoit sur le visage et la poitrine. Elle s'empare de mon sexe, le branle et suce le gland comme si elle était prise de folie. Je sens mes jambes se dérober, je prends appui sur les accoudoirs pour ne pas tomber, elle continue à téter mon gland, tout en me branlant vigoureusement, je sens une deuxième vague de plaisir monter, et de nouveau je gicle dans sa bouche, et elle avale tout aspirant la moindre goutte. Le contact de ses mains et de ses lèvres devient presque douloureux. Je la fais cesser et je tombe à genoux face à elle. Elle me regarde en souriant, mon sperme macule encore ses joues et sa poitrine.

Je reprends lentement mes esprits, à genoux devant elle. Son visage est beau, ses yeux verts en disent long sur les sensations qu'elle a ressenties.

Je me recule et je me laisse tomber sur le canapé.

Elle vient me rejoindre et se love contre moi.

- Si tu continues comme ça, tu peux faire vraiment tout ce que tu veux de moi, je t'appartiens.

Je la regarde en souriant.

- Je vais vraiment faire ce que je veux de toi ! »

Elle me sourit et approche son visage du mien pour m'offrir un baiser passionné, sa bouche a encore le goût de mon sperme, nos langues se mêlent. Puis elle repose sa tête sur ma poitrine.

- Je vais prendre une douche, j'en ai besoin, dit-elle en se levant doucement.

Je lui désigne la salle de bains. Je la suis du regard, son délicieux derrière qui m'a donné du plaisir ondule à chaque pas. Elle ne porte que ses bas, je la trouve très belle.

Pendant qu'elle prend sa douche, je remets mon peignoir et je vais à la cuisine nous préparer un petit en-cas, le sexe, ça creuse.

Elle ressort, le corps ceint d'une serviette, elle est très jolie ainsi. Elle me rejoint dans la cuisine, où nous grignotons avec avidité ce que j'ai trouvé dans le frigo.

Quand il ne reste plus rien, elle me dit :

- Je vais me sécher les cheveux et après je rentre.

Puis elle retourne à la salle de bains, où j'entends le sèche-cheveux qui est entré en action.

Je range la cuisine, quand elle revient vêtue de sa robe et de ses bas, portant à la main ses escarpins.

- J'adore ta salle de bains.

- Tu auras l'occasion d'y revenir !

Elle me sourit, va chercher son sac sur le canapé, je suis dans l'encadrement de la porte, elle avance doucement vers moi.

- On se voit demain au boulot ?

- Oui, comme si de rien n'était.

- Parfait, cela me convient.

Elle dépose un baiser sur mes lèvres en se hissant sur la pointe des pieds, puis enfile ses chaussures, avant de se diriger vers la porte d'entrée.

Je la regarde, elle pose la main sur la poignée, puis se retourne.

- J'allais oublier...

Elle revient vers moi, se penche en avant, glisse sa main par la fente du peignoir, saisit délicatement mon sexe, et l'embouche une dernière fois, en aspirant, puis dépose un baiser sur mon gland et se redresse.

- Si je dois dire bonjour ainsi, pourquoi pas au revoir ?

Je lui souris, elle ouvre la porte, au moment où elle la passe, je lui dis :

- Je ne veux plus que tu mettes de culotte, je te veux accessible tout le temps !

- Ok.

Elle m'envoie un baiser du bout des doigts, se dirige vers sa voiture et s'en va.

Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 13 septembre 3 13 /09 /Sep 16:19

Salut Julia,

Voici la video d une de mes ex copines prise en camera cachée. Qu'en pensez vous?

A plus

Tim

Par Tim - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 13 septembre 3 13 /09 /Sep 09:15
bonjour a tous
voila ma petit histoire vecu
un mercredi de aout 1999 étant en vacance j'avais prévu d'alleé a la pêche.donc je partie au magasin de pêche cherche le neceraire pour rentré je fis un detour par la ville je vis une copine qui rentrait du boulo je luis demandait si je pouvait la racompagné chez elle elle repondis un oui tres vite car un orage approchait arrivé chez elle m'invita a monte boire un café nous discutame de tout et de rien,sachant q'elle habitait avec ca mere je luis demandait des nouvelles elle repondit que c'etait par tout rose et q'elle rentrais a 16h.
elle parti cherche le reste de café je la suivie est dans la cuisine je l'a pris par les hanches est je l'embrassait a pleine bouche je commencais a la caresse tout y passai je m'assoie sur une chaise je deboutonait son chemisier je decouvri ses seins il etait ien ferme je les embrassais longment.elle me pris une main et me tira vers ca chambre arrivé je repris mes baisé et mes caresses on de desabilla je decouvrie une toison rousse moi je bandais deja fort ellle ca procha et pris ma verge dans une main la branla un peu puis la pris en bouche ses mouvement si regulier que je pu me retinr plus lointemps et je jouis dans ca bouche 4 giglé elle avala comme du petit lait et n'an perdi pas une goute.reprenant une forme je me mie a léché ca chatte bien rousse est mouillé je la sentie se cabré plusieur foi elle aimai bien ca, on se mis en position du 69 un bon moment.
nous changame de position je la prie par derriere avant de la fourré je arretait un petit moment sur son petit anus salivant pour espere faire tour.je remtrai ma verge dans ca chatte humide je les bourrés comme un fou elle u plusieur orgasme (mais moi tout me disait elle) soudain ca mere rentra dans la chambre (on ne l'avais pas entendu rentre dans l'appartement) l'air supris pour nous deux on ne savais pas ou se mettre.
puis ca mere nous dit je me douche est j'arrive ca fait un moment que j' ai pas fait l'amour surpris de ces paroles on se regardait est je repris mes va vient doucement ca mere revint est commenca par nous carresse tout les deux,je me retir pour presente ma verge est sans hate elle le pris en bouche l'experince etait lâ !!!!!!!!!!!!
ca fille rejoindre ca mere chacun leur tour me sucais la queue la mere me presentait ca chatte je rentri dans cette chatte rousse comme la fille mes va vient assez violant,on fait jallir des petit cris je me retirai la mere me dit enfonce la dans mon cul,ca fille me prepare cette orrife une foi bien humide la fille pris ma verge me guida dans le cul de ca mere la mere gemeissait elle u plusieur orgasme ne temant plus je jouis dans le cul de la mere j'etait en plein bonheur je me retire la mere nant perdis pas une miette en reprenant mon sex dans la bouche la fille en frofitait pour luis leche le cul avec hatte
puis la fille demanda de ce faire defonce l'anus (personne etant passé) la mere si mis la leche fit rentre un doigt puis deux je titillais les sein de la fille je repris forme la mere repris ma verge en bouche en la salivant puis me presentait l'anus de la fille je penetrais ce petit orifice sans visite la fille disait va y defonce le moi je la bourrais comme un fou c'etait pour nous deux l'extase je jouis elle apres quelle est u plusieur orgasme je me retire la mere s'enpresse de boire le sperme qui coullait du cul de ca fille elle m' embrassait toutes les deux en me disant que ca suffirra pour aujourd'huit j' etait lessive je pris une douche est je rentrai chez moi en revant comment se passerait la prochaine fois ca serra une autre histoire
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 11 septembre 1 11 /09 /Sep 15:14
J'aimerais te raconter une expérience que j'ai vécue il y a quelques semaines et dont je n'oublierai jamais les événements. Je vais raconter mon histoire comme si c'était à toi que je m'adresse, car je trouve ça plus excitant et ça donne vraiment libre court à son imagination.

Par une belle soirée d'été, j'étais seule chez moi dans mon salon et pour me détendre un peu, j'ai décidé d'aller faire un brin de causette avec mes amis sur Internet. Quand je suis arrivé sur Palace, tu m'as abordé d'une façon si originale, que je me suis vite rendu compte que j'étais intéressé à en savoir plus sur toi. En temps normale, je me contente de jaser avec mes connaissances, mais avec toi c'était différent.

Nous avons parlé environ 1 heure, quand tu m'annonça déjà l'heure pour toi de quitter Internet car tu n'étais pas chez toi. Comme tu ne voulais plus me quitter et moi non plus, nous avons échangé nos numéros de téléphone. toi tu avais un cellulaire, donc 10 minutes ap`res s'être quitter, mon téléphone sonne et c'était toi à bord de ta voiture nous avons jasé comme ça au moins 20 minutes quand subitement les piles de ton téléphone étaient morte, tu as donc juste eu le temps de me dire que tu me rappellerais dans 5 minutes que la ligne fût coupée. Comme prévue, cinq minutes plus tard mon téléphone retentit à nouveau, tu avais emprunté une sortie et tu avais trouvé une cabine téléphonique pour que l'ont puisse continuer notre conversation qui devenait de plus en plus intéressante. Après au moins 1h00 encore, je t'ai demandé ou tu te trouvais au juste et tu m'as répondu que tu ne le savais pas du tout, alors tu pars t'informer à un passant. Comme par magie, en revenant, tu m'annonce que tu étais dans une certaine ville (que je ne préfère pas nommée) Moi je n'en croyais pas mes yeux tu te trouvais à environ 5 minutes de marche de mon appartement. Mais comme je suis timide, je n'ai pas osé te le dire tout de suite, mais l'envie de te rencontrer me fit céder, et je t'ai avoué que tu étais à côté de chez moi. Tu étais très heureux, et comme je le pensais tu as insisté pour que l'on aille prendre un café quelque part ensemble. J'ai finalement accepté, et je t'ai donné mon adresse au complet et nous nous sommes rencontré au pied de l'escalier chez moi, tu étais vraiment beau grand musclé bronzé vraiment à croqué, moi j'ai faillit fondre. Finalement nous sommes remonté dans mon appartement et nous ne sommes pas allé prendre de café.

Nous avons parlé quelques instant, et j'ai senti en moi ce désir immense de sentir ton corps contre le mien et je crois que nous avions tout les deux ce même désir en fin de compte, car tu t'ai approché de moi et tu as effleuré tes lèvres contre les miennes et dans un mouvement très passionné, nous nous sommes embrassés durant de longue heures ... se minouchant se caressant pour découvrir le corps de l'autre, sentir les frissons passé sur nos corps, le désir se fesait de plus en plus intense.

Nous avons décidé de passer du salon à ma chambre à coucher ... tu m'as étendu sur le lit et tu as commencé à enlever mes vêtements. Je portais une jupe noire avec des bas nylon et une blouse transparente blanche qui laissait entrevoir mon soutient-gorge blanc. Je t'excitait énormément, car j'ai sentit sur ma cuisse une érection difficile à contenir. Pour m'exciter d'avantage également, j'ai commencé à faire un doux mouvement de bassin en frottant ma chatte sur ta cuisse plus précisément sur cette boss grossissante de ton pantalon. Hummmm tu adorais sentir la chaleur de mon sexe sur ta cuisse .... et tu enfonçais encore plus ta cuisse au travers de ma féminité ..... on se caressait à l'aide de nos mains ..... de nos langue .... de nos lèvres .... c'était si sensuelle.

Je me suis éloignée un peu de toi et j'ai commencé à me déshabiller sous ton regards alléchant. J'ai enlever ma blouse, et gardé mon soutient-gorge. J'ai descendu ma jupe le long de mes cuisses en me tortillant les fesses légèrement pour te laisser entrevoir ma chatte de plus en plus humide qui débordait d'envie pour toi. Je me suis assise sur le coin de mon lit et un par un j'ai commencé à enlever mes bas nylon en me caressant les cuisses et en m'attardant sur mon entre-cuisse. Toi tu étais toujours debout près de mon bureau à me regarder et tu as commencer à démontrer des signes d'impatience. Je me suis donc reculer pour être assise confortablement dans mon lit .... et j'ai commencé à me masturber devant tes yeux en faufilant deux doigts dans ma culotte. En remontant mes doigts vers mon nombril.... vers mes seins ... je caresse doucement le renflement de mes seins et je continue toujours de remonter mes doigts vers mes lèvres .... j'humidifie un peu ma lèvre inférieur et je passe ma langue sur mes lèvres... hummm quel délice.

Je continue en défaisant les agrafes de mon soutient-gorge .... et en enlevant ma petite culotte pour que tu puisse bien voir ma chatte quand je continue de passer mes doigts à l'intérieur ..... sur mes lèvres ..... sur mon beau clito tout gonflé de désir de sentir sur lui le contact de cet être si doux et si cher dont il vénère l'ardeur !!!

Je vous embrasse très fort et j'espère que ce petit avant goûts de mes récits vous donneront des frissons et des envies chaudes et perverses ...
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 11 septembre 1 11 /09 /Sep 09:12
 y a quelques semaines, je me trouvais dans le centre de la France, pour un court périple golfique. Exceptionnellement, j'étais seul. Ni copains, ni copines pour m'accompagner.
La période était parfaite, beau temps, pas trop chaud et, surtout... presque pas de monde.
Comme j'aime faire des parcours seuls, en me mesurant à mes propres scores, cette solitude ne me pesait pas trop.
Un matin où je m'entraînais au practice, deux autres tapis étaient occupés par deux jeunes femmes. Chacun fit un bref salut.
Comme je me trouvais au dernier tapis et que je suis droitier, cela me permettait d'avoir les deux golfeuses dans mon champ de vision. Bien loin de moi l'idée d'une aventure mais j'étais intrigué quand même.
La première devant moi devait avoir entre 22 et 26 ans, pas grande, un peu boulotte, noire de cheveux. Elle avait une belle élégance de mouvement et projetait ses balles à belle distance. Je ne pus m'empêcher d'admirer son jeu, tout en étant attiré (eh oui !) par le mouvement de ses fesses bien moulées dans un jean.
L'autre était toute différente. Grande, longiligne, elle avait un type asiatique prononcé, peut-être eurasienne même. A la voir, je lui donnais entre 28 et 30 ans. Elle avait une chevelure noir jais qui pendait quasi jusqu'à la taille. Elle avait un polo très ajusté qui laissait deviner une poitrine plus abondante que sa taille ne le supposait. En jean aussi, il ne la serrait cependant pas. Mais là, quel jeu ! Une déesse de la balle. Elle avait un visage assez sévère mais des lèvres très maquillées.
J'étais vraiment tombé, par hasard, sur deux bonnes joueuses. Elles ne se connaissaient visiblement pas.
Pour rompre la glace, j'ai été cherché une boisson au distributeur et, à mi-voix pour ne pas troubler leur concentration, j'ai demandé aux deux femmes si elles voulaient également à boire.
La première me répondit aimablement et affirmativement, dans un français où l'accent régional un peu chantant, perçait. Quant à la seconde, sans sourire, elle refusa mon amabilité et continua à s'entraîner. Son accent à elle était résolument anglo-saxon.
Après avoir vidé deux seaux de balles, je me suis apprêté pour faire un parcours, mettant des tees dans ma poche, nettoyant mes balles et classant mes clubs.
Les deux femmes en faisaient quasi de même en même temps et c'est naturellement que nous sommes arrivés ensemble à l'aire de départ du trou n°1.
Pourquoi donc ne pas faire le parcours ensemble ? Bonne question.
Très à l'étiquette sur les parcours de golf, je me suis présenté aux dames et leur ai proposé un parcours commun.
La petite française, très volubile, me répondit : " oh ! oui, c'est gentil. Cela me fait plaisir car jouer seule est un peu monotone. Mais, vous m'en excuserez à l'avance, je ne suis pas une excellente joueuse...et je parle beaucoup sur le parcours. " Le tout était accompagné d'un gentil sourire.
Quant à l'asiatique (appelons là comme cela provisoirement !) sa réponse fut aussi brève que son absence de sourire." Oui, merci. C'est une bonne idée. "
Finalement, on s'échangea nos prénoms. Pierre pour moi, Claudine pour la petite française et My Chan pour l'autre.
Les quatre premiers trous se sont effectués agréablement, nous étions pratiquement de force égale. Claudine ne cessait de babiller de tout et de rien, mais c'était reposant car il ne fallait pas lui répondre !!! L'autre ne sortit pas un mot inutile, se contentant de : " C'est à vous ... ma balle est près de l'arbre.. etc. "
Au 5 ème trou, comme nous n'étions pas suivis par d'autres joueurs nous avons décidé de faire un bref break. J'y ai partagé une tablette de chocolat que j'emporte toujours au jeu.
J'ai été assez surpris de voir mes deux partenaires se parler en aparté et s'éloigner ensemble de quelques pas, avec un " sorry " à mon égard. Les herbes folles du rough étaient très hautes et des épineux longeaient le parcours.
J'ai été encore plus surpris lorsque, pas à plus de 10 pas de moi, quasi au bord du fairway, les deux donzelles se sont accroupies et ont baissé leur jean pour un pipi.
Sans se soucier de moi, comme si je n'existais pas, leur petite culotte s'abaissa aussi.
J'étais comme tétanisé sur place et, malgré ma volonté de gentleman, je n'ai pu détourner mon regard. Faut dire aussi, que mes deux partenaires n'avaient même pas pris la précaution de se retourner et me faisaient face.
Claudine avait une chatte très fournie, châtain foncée et, assez grosse de cuisse, avait largement ouvert ses jambes. Le soleil complice éclairait le beau jet doré que je voyais couler. My Chan me coupait le souffle. Elle avait, en effet, un minou taillé comme un casque d'iroquois. C'est à dire une longue mèche centrale très crépue et le reste de son sexe est épilé ! Plus grande et plus fine que Claudine elle s'était moins accroupie et, d'une main retenait son slip en avant pour ne pas le mouiller. Son jet, que je voyais puissant, provoquait un bruit troublant et agréable à la fois.
Inutile de dire que, malgré mon étonnement, ma verge avait pris une certaine propension à se redresser, si vous voyez ce que je veux dire, et gonflait mon léger pantalon.
Mes deux bonnes femmes se sont réajustées, Claudine se séchant un peu avec son slip tandis que l'autre, en un geste malgré tout très élégant, malgré la situation cocasse, serra ses lèvres vaginales entre ses doigts et les secoua très légèrement avant de ré enfiler son slip.
Vraiment je n'avais jamais vu cela !!
Claudine s'approcha de moi et me fit un furtif baiser sur la joue en me disant : " Excusez-nous, mais nous ne pouvions plus nous retenir... comme les herbes du rough son hautes, nous avons eu peur des petits serpents et autres bestioles, c'est pour cela que nous sommes restées près de vous. Nous n'osions pas vous le dire ! Vous ne nous en voulez pas ? "
Comment répondre à une si jolie excuse, d'autant plus que My Chan, s'approchant de moi, me caressa négligemment les lèvres de sa main qui avait servi à son nettoyage intime. Pas bavarde, mais un peu salope sur les bords ! L'odeur de ses doigts était puissante.
Je mis quelques instant à reprendre mes esprits.... Et puis, je me suis dit que cela pouvait être également à mon tour ! J'ai dit : " sorry, mesdames " et me suis éloigné de quelques pas tout en ouvrant déjà ma braguette et sortant mon sexe. Je me suis retourné et, très ostensiblement je me suis mis à pisser. Ma queue à moitié bandée, accentuait la puissance du jet. Pour bien que mes partenaires ne manquent rien du spectacle, je ne tenais mon sexe qu'avec deux doigts. Elles avaient ainsi une excellente vue sur son agréable dimension. Après quelques mouvements de décalottage du gland, j'ai remis mes ustensiles dans mon pantalon. Revenant vers elle, nouvelle surprise, My Chan, sans un mot, s'était emparée des doigts qui avaient tenu mon sexe et y déposa un petit baiser qui était d'ailleurs plus une lèche !
C'est à ce moment là seulement que j'ai réalisé que ma solitude ne serait plus longue !
L'atmosphère entre nous s'était libérée (on le serait à moins) et nous discutions sans façon.
Claudine, me raconta : " Je viens souvent jouer seule ici. Mon mari voyage beaucoup pour ses affaires et j'habite un petit mas à 15 km d'ici. C'est rare hors saison de trouver un partenaire. Cela me fait plaisir de vous avoir rencontré. Si vous restez longtemps, on pourra encore faire quelques parcours. "
Je lui répondis que je restais au moins trois jours encore. Finaud je lui ai demandé : " Et vous ferez chaque fois pipi lorsque nous jouerons ensemble ? "
Sa réponse fut sans équivoque : "Et pourquoi pas ? " avec un air mutin dans le regard.
My Chan, plus discrète peut-être me dit : " J'habite Londres et suis en stage actuellement à la ville proche. Aujourd'hui mon programme de formation ne m'intéressait pas et je suis venu jouer seule, comme je le fais souvent sur la semaine. C'est un stage de 45 jours et pendant ce temps, mon mari est resté en Angleterre. "
Voyant de la curiosité dans mon regard elle continua, toujours avec cet accent, mais dans un français châtié : " Bien que vous ne me le demandiez pas, je vous informe que je suis métisse d'un père français et d'une mère saigonnaise. J'ai les défaut des deux races " conclut-elle, cette fois en riant franchement.
A l'issue du 18 ème trou, après la bise de remerciement traditionnelle, j'ai proposé de boire un verre au club-house. Accepté avec enthousiasme !!
Nous étions maintenant devenus amis et cela laissait présager de bonnes autres parties de golf... et pourquoi pas plus.
Claudine dit à un certain moment : " oh là, il est déjà 16.00 et je dois absolument être à la maison à 17.00 pour le plombier. Je prends vite une douche et je me sauve. "
My Chan regardant aussi sa montre déclara péremptoirement : " Pour moi, aussi vite une douche et puis retour car j'ai un briefing ce soir. "
C'est donc ensemble que nous sommes descendus à la salle de douche, déserte à cette heure. Les dames d'un côté et moi de l'autre !
A peine nu, je me suis dit qu'il ne fallait pas perdre de temps et, franchissant la porte, je suis rentré dans le vestiaire des dames. Mes deux copines étaient déjà sous la douche et se savonnaient mutuellement....Un petit cri d'effroi en me voyant puis un seul mot sorti en même temps des deux bouches : " Viens "
Il n'a pas fallu me le dire deux fois !!
Nues, elles étaient encore plus adorables. Claudine était plus potelée que boulotte et l'exercice avait durci ses muscles. Elle avait des seins assez gros, légèrement tombants, avec une aréole sur dimensionnée et de délicieux boutons, curieusement roses et très proéminent. Sa chatte, que j'avais aperçue sur le parcours était très abondante et dans son état nature. Sa pilosité remontait en flèche un peu bouclée vers son nombril. C'était un beau brin de femme.
Quant à My Chan, c'était une splendeur. Sa peau était entre le jaune foncé et le brun, avec des reflets cuivrés aux endroits mouillés par l'eau de la douche. Ses seins tenaient sans artifice et avaient, au vu, sûrement un 85 C. En poires, ils se terminaient par deux petits boutons noirs dressés. C'était du marbre rare, sculpté par un maître de génie. Elle avait des muscles longs que l'on voyait jouer sous sa peau et un ventre plat. Un cul légèrement calypige rehaussait l'érotisme animal qui émanait d'elle.
Sa chatte, que j'avais devinée mi épilée était particulière. Probablement dotée d'une pilosité abondante et longue, elle avait laissé intacte une bande centrale, bien découpée de 4 cm de large. Elle partait, longue, drue et légèrement crépue, de quasi au nombril pour se perdre dans sa raie fessière. C'était hallucinant de beauté.
La douche était vaste et nous y étions à l'aise à trois... Finalement nos trois corps n'en formaient plus qu'un tellement nous étions enlacés sous l'eau coulante. Nos mains, sous des prétextes de savonnée, parcouraient tous les endroits secrets et se rencontraient parfois pour, ensemble, encore mieux connaître.
Je sentis bien que s'il y avait entre nous une évidence complicité sexuelle, il ne fallait cependant rien brusquer et plutôt laisser l'initiative à mes compagnes. J'avais ainsi senti un refus lorsqu'un de mes doigts avait voulu s'infiltrer dans l'anus de l'une des deux (le plus beau, c'est que j'ignorais laquelle). Nos bouches cependant étaient mêlées et nos trois langues voltigeaient à qui mieux mieux de lèvres en lèvres. Je constatai avec plaisir que les filles, entre -elles, se bécotaient aussi avec ardeur.
Inutile de dire que je bandais et que des mains habiles me parcouraient et entretenaient mon érection. J'avais facile pour caresser et reconnaître les minous offerts à mes explorations car la différence de pilosité était notoire.
A un moment, mes deux compagnes avaient le corps fortement cambrés en arrière et chacune de mes mains était occupée à caresser les boutons d'amour. Claudine, très classiquement, avait un bouton assez petit mais qui vibrait sous mes doigts. Son bassin suivait mes mouvements et, à sentir son intérieur, elle avait beaucoup de plaisir et ce n'est certes pas l'eau de la douche qui provoquait son humidité.
My Chan, poussait son ventre en avant comme pour mieux m'offrir encore son intimité. Bien caché dans sa bande poilue, j'ai senti un petit cylindre doux et dur à la fois, sûrement de 4 cm de long. C'était comme un petit sexe bandé. Il se plaisait à mon toucher et je sentais son durcissement encore s'accentuer alors que, sans trop de peine, je lui ai enlevé son petit capuchon. Nul doute que rasée complètement, sa chatte aurait laissé dépasser cet attribut quasi masculin. D'un vif mouvement, ma compagne se redressa, bloquant ainsi ma main entre ses cuisses et elle se mit à me mordiller le lobe de l'oreille, quasi à me faire mal. C'était maintenant sa main qui s'activait sur moi et tripotait, je ne trouve pas d'autres mots, ma verge comme si c'était son jouet préféré.
Claudine occupait ma bouche libre et jouait avec sa langue au papillon de nuit prit de folie à la lumière du jour.
My Chan avait cessé de me mordiller l'oreille mais se déchaînait en paroles : " Je suis une salope... sois salaud avec moi.. Fais-moi tout.. Je vais te sucer à en mourir et tu vas me lécher à t'user la langue. Je vais te boire... " J'en passe et sûrement des meilleures....
Claudine en avait profité pour s'accroupir devant moi et elle avait englouti ma queue au plus profond de sa gorge. Elle pompait avec une énergie incroyable et, très habilement, elle comprimait la base de ma hampe pour m'empêcher de jouir.. C'était dantesque et je ne savais où donner de la tête ....
Presque avec violence, l'autre partenaire fit reculer Claudine et s'empara elle-même de ma queue. En quelques coups de langue elle me fit arriver à l'explosion et c'est avec extase que je me suis libéré de toute ma semence dans sa bouche qui en dégoulinait...
J'allais vraiment de surprise en surprise avec elles car je vis My Chan, la bouche pleine, se mettre à embrasser goulûment Claudine et partager ainsi avec elle tout ce que je lui avais donné... Je n'avais pas lâché les deux corps et, à un certain moment, je me suis demandé si ces deux femmes ne se connaissaient pas déjà avant !!
Tout à coup, l'une s'est exclamée : " Merde, tu as vu l'heure... faut qu'on se sauve ! "
J'ai juste eu le temps de les inviter à dîner car je restais sur ma faim (sexuelle). My Chan refusa arguant d'une réunion de travail mais promettant pour le lendemain tandis que Claudine accepta avec joie. Rendez-vous fut pris pour 20.00 chez elle. Elle dénicherait elle-même un resto sympa.
A 20.00, j'étais évidemment chez elle. Elle m'attendait pratiquement sur le seuil et ne me fit pas rentrer (pour les voisins m'avoua-t-elle après !) Elle avait revêtu une jolie petite robe bleue boutonnée devant et avec un col en V assez échancré.
Assise dans ma voiture, elle me fit un baiser rapide mais profond qui me fit bien augurer du reste de la soirée.
Le resto qu'elle avait choisit se trouvait à 20 km. Nous avions bien le temps et je ne roulais pas vite. Les routes étaient quasi désertes. Elle s'était blottie contre moi et sa robe un peu relevée me montrait le début de ses cuisses. Sa main qui s'était posé immédiatement sur le haut de ma cuisse me pétrissait le muscle et, tout doucement, remontait vers mon entre-jambe qu'elle se mit à palper avec beaucoup de douceur.
D'une main, elle avait commencé à déboutonner sa robe et bien ouverte, me laissait voir un délicieux slip de dentelles moulant bien sa chatte et un soutien balconnet.
Je devais faire attention à la route mais je ne pus empêcher ma main droite de se blottir tout contre son pubis et de sentir déjà l'humidité qui n'allait pas tarder à tacher son entre jambes.
Sans se gêner, elle avait sorti ma verge et jouait avec elle de ses doigts mobiles. De mon côté je m'étais glissé sous son slip et nouait ses poils autour de mes doigts. A la sentir mouillée, elle devait déjà avoir atteint son orgasme au moins une fois.
J'ai du m'arrêter car cela devenait trop dangereux de conduire ainsi et un parking boisé et désert semblait être là pour notre conclusion.
C'est comme deux fous que nous nous sommes enlacés. J'ai presque déchiré son slip pour arriver mieux à la totalité de sa chatte et y fourrager sans beaucoup de délicatesse. Prise de frénésie amoureuse, elle avait largement ouvert ses cuisses me permettant vraiment un contact dans toute son intimité. Son soutien avait valsé et ma bouche errait comme un bateau en perdition, d'un sein à l'autre.
Changeant de position, elle se mit à quatre pattes sur le siège passager, offrant à ma bouche son cul somptueux. Je me suis empressé de lui caresser l'œillet ainsi offert et d'introduire ma langue dans son minou... Elle ne demandait que cela et glapissait comme tout un troupeau de poules dans l'attente du coq....
" Sortons, sortons. " hurla-t-elle.
C'est debout contre la portière que je m'introduisis en elle. Elle avait la robe ouverte, quasi nue et avait fortement relevé une jambe pour permettre ma pénétration. Sa bouche bavait sur la mienne et malgré l'inconfort, son bassin allait au devant du mien, dans le même mouvement.
Cela ne dura pas assez longtemps, mais nous ne savions plus attendre .... L'explosion fut quasi en même temps.....
Claudine me dit : " Mon chéri, cela fait longtemps que je n'ai plus joui ainsi... Merci. Tu sais, j'avais grand besoin et lorsque j'ai fait pipi devant toi sur le parcours de golf, c'est parce que j'avais déjà envie d'un homme. La vue de ta queue m'a fait déjà jouir dans mon slip. Alors tu comprends qu'à la douche, je me suis déchaînée.... Maintenant, allons dîner, on fera l'amour comme tu le veux après... Méfie-toi, je suis insatiable.. " conclu-elle en riant.
Avant de remonter en voiture, elle a fait un long pipi sur le parking, prenant ma main pour dégouliner dessus et se faire caresser pendant que cela coulait.. J'aimais assez cela ! Cela promet... Nous nous sommes quittés, amis lecteurs, alors que, sur un parking, Claudine et moi n'avions pu résister à libérer d'urgence les effets fébriles de notre passion.

De la, nous sommes partis pour le restaurant que ma compagne avait choisi. Calmé par nos premiers ébats, le repas fut sage. Claudine ne cessait de me couver de ses yeux langoureux et sa main se promenait sur la mienne, pleine d'attente.

Sorti, elle me dit :
- " Tu sais, mon chéri, j'ai encore envie de toi. Mais, où aller ? Chez moi c'est impossible car les voisins sont curieux et mon mari saurait vite que j'ai reçu un homme en son absence.
- Ne peut-on aller à ton hôtel ? "

Je n'avais pas trop envie de l'emmener à mon hôtel car ce n'était vraiment pas le genre d'arriver en pleine nuit avec une femme qui n'est pas la sienne ! De plus, c'était le local du ROTARY de la région et je n'avais nulle envie de m'y faire connaître !! J'ai donc réussit à ma dérober en lui promettant encore un arrêt-campagne !!

Heureusement, ma voiture était confortable. Ce n'était pas une Porsche comme le craignait un de nos critiques mais une bonne quatre portières Mercedes.

Bizarre cette Claudine, avec son attachement soudain et cette grande faim sexuelle. J'en ai profité pour l'interroger sur elle et son mari. Elle me raconta :

" Oui, c'est vrai, tu me plais et j'ai eu tout de suite envie de toi. Entre mon mari et moi, au lit, ce n'est guère brillant. Comme il est absent souvent pour son métier, lorsqu'il revient, c'est presque devenu une corvée de le satisfaire. Lui, de son coté, il n'est pas très exigeant. Figures toi que la dernière fois, c'était il y a quinze jours, il s'est couché en pyjama. Croyant lui faire plaisir, je me suis approché de lui et j'ai voulu caresser son sexe. Tu sais la réaction qu'il a eu ? Il m'a regardé avec des yeux étonnés et a dit : Ah ! bon. Sans enlever sa culotte de pyjama, il m'a pris très rapidement, en bête position du missionnaire... a vite jouis et s'est retourné sans un mot. J'étais frustrée.
Tu sais ce que j'ai fait ? Je me suis levée et j'ai été me masturber comme une malade à la toilette en faisant pipi sur mes doigts.
Avoue que c'est pas marrant !! "

Nous étions à nouveau arrivés au parking discret et j'ai arrêté ma voiture. Vite, Claudine s'est blottie dans mes bras, m'offrant doucement sa bouche. Nous nous sommes livrés là, sans bouger, à un très long baiser vraiment d'amour. Elle avait ouvert sa bouche en grand et engloutissait mes lèvres dans une grande aspiration. Sa langue me semblait être un petit animal très mobile qui tournait comme un écureuil en cage pourrait le faire. C'était très bon...

Sans rompre le charme de ce baiser, j'allais dire presque chaste, de deux amants, j'ai mis ma main sous sa robe, remontant doucement vers son entre jambes. Elle me laissait faire, me facilitant l'accès en ouvrant ses cuisses. J'ai atteint vite sa chatte qui fondait littéralement. Sa toison assez fournie et longue de poils, était trempée. Notre baiser, ou plutôt le sien, car c'est elle qui en avait l'initiative, l'avait excitée formidablement sans qu'elle ne veuille me le dire. Douce Claudine !

Mes doigts s'étaient mis à explorer son intimité et de petits râles de plaisir témoignaient de sa satisfaction.
Sa main à elle avait réussi adroitement à ouvrir mon pantalon et à sortir mon sexe. Elle promenait ses doigts sur lui avec une agilité et une science diabolique, car je sentais que je ne retiendrais plus longtemps.

Elle me dit :
- " Je voudrais t'avoir en moi... viens "

J'ai mis les sièges en position couchette et nous avons tous deux tentés de nous dénuder et de chercher une position plus ou moins confortable pour pouvoir longuement nous aimer. Je ne sais pas si vous avez déjà fait l'amour en voiture ? Moi, c'est rare et je trouve cela vraiment peu confortable. On est quant même plus des adolescents qui se pelotent par manque d'argent pour se louer une chambre !!

Nous nous sommes vite rendu compte, qu'à part se provoquer des courbatures, on arriverait à rien de bien ainsi et, sans même nous en parler, nous nous sommes glissés hors de la voiture.

Claudine avait la robe ouverte et moi, ce n'est pas très élégant, j'avais le pantalon et le caleçon sur les talons ! La portière coté conducteur étant ouverte, ma compagne a posé ses deux mains sur le siège, le cul bien redressé, les cuisses ouvertes et d'une main rapide, elle a retroussé sa robe. Je dois dire que ce beau cul qui m'était ainsi offert m'attirait, car l'érotisme de la scène était évidemment grand.
Elle se trémoussait déjà comme pour appeler la pénétration.

Vu son état, j'ai eu facile à m'introduire en elle en cette position de levrette-automobile ! J'avoue que j'avais bon de sentir bouger le cul de cette jouisseuse qui savait donner du plaisir à son partenaire tout en exigeant de même.

Les mains bien agrippées à ses hanches, j'ai commencé un très lent mouvement de va et vient, voulant faire durer notre plaisir le plus longtemps possible. J'aime toujours le bruit que fait le mouvement d'une queue dans un vagin humide. Sexuellement, c'est pour moi un stimulant. Faut dire qu'ici j'étais gâté !

Ma compagne jappait comme un petit chien et elle imprimait à son cul des mouvements divers qui s'accélérait au fur et à mesure de la montée de sa jouissance. Finalement, elle me cria presque/ " Plus vite, plus vite.. oui.. continue... "

Je me rendais bien compte que, tous deux, nous étions proches de conclure. Comme il est d'ailleurs exaltant de pouvoir conduire une femme vers son plaisir tout en modérant le sien, pour une explosion commune.

Cette fois, c'était le déchaînement total et je devais bien m'agripper à ses hanches pour ne pas laisser échapper ma pénétration. C'était devenu une sorte de rodéo texan, sauf que ma compagne voulait me conserver en elle !!

Son cul allait de gauche à droite, d'avant en arrière, sans rythme particulier, comme s'il recherchait lui-même la meilleure position.... Je n'étais plus le guide mais l'outil de son plaisir. Cela ne me déplaisait pas !

Finalement, ses jappements se sont transformés en grognements qui semblaient provenir de la nuit des temps. C'était la BETE en rut qui manifestait son plaisir.

Je me suis laissé aller et, longuement, j'ai jouis en elle, l'aspergeant bien de ma semence. Subitement, me sentant venir, elle avait retenu ses mouvements, jouissant de la seule chaleur que je lui envoyais dans le ventre.

Longtemps, je suis resté enfoncé en elle... c'était bon.

C'est elle qui a rompu le contact et se redressant et se retournant, elle est venue coller sa bouche à la mienne pour un subtil baiser distillé comme un MERCI.

Soudain, elle s'est accroupie devant moi et, comme à son habitude, elle a fait un long pipi. J'ai du faire un pas en arrière, sinon elle mouillait mon pantalon qui était en boule autour de mes chevilles. Je la regardais uriner, car je trouve chez une femme cette position si pleine d'abandon, que ce en est presque une offrande qu'elle fait à l'homme qui vient de la combler.

J'avais également besoin de faire pipi et, ayant remonté mon pantalon, je me suis dit qu'un peu de jeu serait agréable, j'ai dit à Claudine :
- " Viens, tiens moi la queue pendant mon pipi.. "

Elle ne se le fit pas dire deux fois et, avec beaucoup d'habileté et probablement d'expérience, elle dirigea mon jet sur sa toison, l'arrosant copieusement. Comme sa robe était ouverte et remontée, elle ne risquait pas de la mouiller.
Mon urine dégoulinait le long de ses jambes et nos deux flaques se sont rejointes.

Je n'étais pas du tout un adepte de ce genre de sport, mais j'avoue y prendre désormais un plaisir certain...

Bien calmement, nous nous sommes rhabillés et je l'ai reconduite chez elle, avec un simple baiser sur la joue( pour les voisins...)

Rendez-vous était pris pour le lendemain à 10.00 pour un parcours de golf.

Je suis arrivé vanné à mon hôtel. Une enveloppe m'y attendait. C'était un mot de My Chan.

- Mon chéri,
J'ai essayé de t'appeler ce soir, mais tu étais absent... avec cette garce de Claudine sûrement !
Jouons au golf demain matin, veux-tu ?
Je serai sur le parcours dès 09.30 et t'attendrai.
J'ai toute la journée pour moi et je te promets une sieste du tonnerre.
My Chan qui mouille déjà. "

Qu'est- ce que je leur fait à toutes ces bonnes femmes pour qu'elles tombent ainsi toutes comme des cailles rôties à point. Y aurait-il un manque d'homme dans la région ? Messieurs les maris, réveillez-vous SVP !!!

Bon, demain sera un autre jour (comme dirait certainement My Chan en anglais !)


Ma nuit a été réparatrice et j'ai pris un petit-déjeuner copieux seul (quel calme) avant de me rendre au practice pour quelques essais de golf avant le parcours.

La journée était belle et cela promettait un agréable parcours puisqu'une partie des fairways est ombragée. A peine arrivé au club-house pour me changer, mon portable sonne. C'est Claudine en pleurs !!

" Mon chéri, je viens d'avoir un appel de mon mari et je dois aller le chercher à l'aéroport de Bordeaux ce matin. Je ne pourrai donc pas venir jouer au golf... j'en suis triste comme tu ne peux pas savoir. Finalement, je me demande si je ne suis pas tombée amoureuse de toi ? Tu me contente si parfaitement sexuellement et tu es si gentil. Je te promets de faire l'impossible pour te voir demain... Je t'embrasse très tendrement.

Je suis peut-être un mufle, mais cela me contentait parfaitement, car je me voyais mal embarqué avec une femme mal baisée par son mari et qui se serait accrochée à moi. Qui vivra verra.....

Vers 09.30 j'étais sur le practice et je venais de prendre un seau de balles lorsque My Chan est arrivée. Je ne m'en souvenais pas aussi belle ! Ses cheveux pendaient autour de son visage. Elle s'était maquillée discrètement mais en accentuant la proéminence de ses pommettes et la profondeur de ses yeux. Le contour de sa bouche était dessiné au crayon presque noir. Un chemisier assez grand et bouffant, un pantalon de jersey moulant... et la voilà devant moi, un petit sourire aux lèvres.

Un rapide bonjour, quelque peu froid, un petit baiser sur la joue et ne voilà-t-elle pas qu'elle s'éloigne pour jouer sur un tapis à 20 m du mien.

Bon, me suis-je dit.. elle fait sa mijaurée !! Ah ! les femmes.

Je me sentais en bonne forme physique et mes balles, que ce soit avec un fer ou un bois, partaient loin et bien droite, sans slides. My Chan ne s'occupait pas de moi et après avoir vidé son seau de balles, elle a apprêté ses affaires, ajusté son chariot et est partie vers le trou n° 1 du parcours. Passant devant moi, elle me dit :

" Alors, on y va pour ce parcours matinal ? "

J'étais assez refroidi, mais je me suis dit que j'étais ici pour jouer au golf et que le " reste " n'était que supplément !

Comme toujours sur un parcours, pour ne pas nous déconcentrer, nous échangions juste les paroles nécessaires au jeu. Nous avancions vite. C'était une excellente joueuse, très régulière dans ses coups.

Au trou n° 5,comme la veille, nous avons fait une longue halte repos. J'ai tenté de la prendre par la taille et de lui donner un baiser un peu appuyé, mais la garce s'est refusée et m'a dit :
" Non, n'exagère pas. Je t'ai promis une sieste... ne mélange pas le golf et la baisse !!

C'était romantique à souhait. On verra bien.

Avant de continuer le parcours, j'ai eu envie de faire pipi et, sans me gêner, je me suis libéré quasi devant My Chan, juste un peu tourné pour qu'elle me voie de profil. Mon jet était puissant et, comme un gamin, j'essayais d'aller le plus loin possible !!! Cela ne devait pas laisser ma partenaire indifférente car elle s'est levée et, comme si de rien n'était, elle s'est accroupie devant moi, culotte baissée, pour également un long pipi. Comme j'avais terminé, je me suis approché d'elle, queue au vent, espérant une petite caresse... RIEN. Elle m'a donné une petite chiquenaude sur le sexe en riant et s'est relevée. Sa toison abondante mais taillée à l'iroquois, luisait d'humidité. D'un geste a peu près similaire à celui qu'on utilise pour enlever des miettes, elle a brossé son bas ventre et, ensuite, empoignant sa touffe, elle l'a secouée doucement pour faire tomber les dernières gouttes (NDLR : il y a certainement une des critiques qui va essayer cela ! Hello Jeannette !)

A fin de la partie, nous sommes revenus au club-house où, après avoir bu une excellente orange pressée, je l'ai interrogée sur ses intentions. Fallait savoir !

- " Alors, ma belle, quels sont tes projets. Tu sais que nous sommes seuls et que Claudine ne viendra pas. Que faisons-nous ? "
- " Laisse moi t'expliquer... hier je me suis montrée sous un jour qui n'est pas réel. Je ne suis pas la salope que j'ai dit être. Je ne sais ce qui m'a pris par la tête ... Il faut dire que mon mari et moi nous comblons mutuellement et que je n'ai jamais eu le besoin de prendre un amant. "
- " Oui, mais tu n'es montrée carrément lubrique et ouverte à tout puisque tu as caressé Claudine devant moi et que c'est à trois que nous avons continué notre douche !! "
- " Tu as raison, mais il faut te dire que cela faisait plus de 10 jours que je vis sans homme et cela me démangeait !! Ce ne sont pas mes coups de fils amoureux avec mon mari qui peuvent me satisfaire ! "
- " Bon, je te comprends et je ne veux certainement t'obliger à rien. Tu me plais et nous sommes ici libres tous les deux. Essayons d'en profiter quant même "
- " Oui, j'hésite encore... déjeunons et créons une ambiance propice. J'avoue que tu me plais aussi beaucoup. L'Angleterre est loin et mon mari n'en souffrira pas ! "

Le restaurant du Club-house étant renommé, nous n'avons pas hésité à y manger. Nous avions une table un peu isolée, bien calme. J'ai commandé un de ces vins de pays que les viticulteurs de la région réussissent à merveille et un menu du terroir.
J'ai constaté que My Chan se décrispait et, tendrement, j'ai mis ma main sur la sienne. Son sourire de remerciement me fut une récompense inestimable.

Elle me dit :
" Tu sais, je te remercie de ta douceur. Tu ne t'es pas fâché, tu as accepté ma drôle d'humeur... c'est rare pour un homme ! J'apprécie. "

Nos genoux se rencontraient sous la table et, très visiblement, My Chan avait rejeté au loin toutes ses velléités de fuite.

Calmement, au dessert, je l'entrepris à nouveau :
- " Ma petite chatte, j'ai envie de toi. Je voudrais te rendre heureuse cette après-midi et te faire l'amour comme si c'était la première fois pour toi et moi. Je voudrais découvrir ton corps et te faire découvrir le mien. Je voudrais que tout ce qui est à toi soit à moi. "
(Comme on peut être baratineur quand on a envie !!)
- " tu me troubles, me dit-elle, car tu es plus sensuel que sexuel et, moi aussi, je sens une envie monter en moi. Laissons-nous aller .. . et oublions-nous après. "
- " viens... "

La réception nous loua facilement une chambre dans le motel voisin et, la main dans la main nous y sommes allés. Je ne m'expliquais pas la métamorphose de ma compagne, si chienne déchaînée hier ! Mais, je l'aimais autant comme ceci car les amours bestiaux ne sont pas mon fort. !

Dans la chambre, nous nous sommes regardé et, sans mot dire, nos bouches se sont rejointes. Rarement un baiser fut aussi langoureux, aussi amoureux. Elle et moi faisions passer par nos langues, tout notre désir. Nous mélangions nos salives et tournions nos langues comme de petits serpents agiles dans nos bouches jointes. Cela semblait ne jamais devoir finir tellement c'était bon...

Ma main s'était glissée sous son chemisier et rapidement, j'ai dégrafé son soutien gorge. Ses seins étaient durcis par ses envies et je les sentais réceptifs et vibrants à mes caresses. Les pointes cherchaient mes doigts et ceux-ci virevoltaient de l'un à l'autre. My Chan avait collé son bassin au mien et je sentais le renflement de son pubis masser mon entre jambe et entretenir mon érection. Elle avait ouvert ma chemise et ses longs ongles griffaient délicieusement mes tétons. Nos bouches restaient soudées et nous émettions des sons sourds au fur et mesure de la montée de notre passion.

Je lui ai enlevé son chemiser, comme elle ma chemise, et nos deux torses nus se collaient l'un à l'autre. J'ai détaché la fermeture de son pantalon de jersey et l'ai fait descendre sur ses jambes, dévoilant son slip blanc. Voulant continuer dans le calme, c'est très doucement que j'ai glissé mes doigts sous le tissu, pour atteindre son entrejambes. J'ai été étonné de l'état dans lequel je trouvais son intimité. Ce n'était pas humide, mais trempé !!!! La cachottière ...
Sentant mes doigts près d'elle, ma compagne poussait son bassin en avant pour me faire comprendre qu'elle voulait plus encore. Nos bouches restaient comme deux ventouses et c'est vraiment par nos langues enlacées que nous communiquions les rythmes de nos désirs... J'introduis deux doigts dans sa chatte et trouva directement son bouton d'amour bien érigé.

Nous étions toujours debout et, à très petit pas, j'ai amené ma compagne vers le lit où elle s'est allongée. Rapidement, comme si maintenant nous ne savions plus attendre, nous avons retiré les derniers vêtements qui nous gênaient et nos deux corps se sont rencontrés nus.
J'avais une envie folle de prendre le goût de son intimité et je me suis retourné sur elle, offrant ma verge à sa bouche tandis que, de mon coté, je léchais son entre jambes, jouait de mes lèvres avec son bouton d'amour ou rentrait aussi profondément que possible dans son vagin. Elle avait les muscles pelviens et vaginaux très développés et participait visiblement à son propre plaisir par des contractions.

Ma queue était profondément engloutie dans sa bouche. Celle-ci était d 'une agilité diabolique et rampait le long de ma hampe, mordillait délicatement le gland, s'emparait de mes bourses, revenait en une succion du gland, glissait la peau du prépuce .... C'était du grand art et j'ai du faire des efforts de volonté pour ne pas jouir trop vite. Je sentais que le moment n'était pas encore arrivé pour elle..
De son coté elle avait ouvert largement ses cuisses et les avaient remontées bien haut, m'ouvrant ainsi, comme une grotte, son intimité dont je voyais couler la jouissance abondante.
Elle et moi, la bouche occupée, nous grognions de plaisir.

Dans la position qu'elle avait prise, elle dégageait son petit orifice et, à un certain moment, j'ai quitté son intimité pour lui faire ce que l'on appelle communément une " fleur de rose ". Ma langue tournait autour de son petit trou tout plissé et y pénétrait un peu. Je voyais distinctement les petits muscles se crisper de plaisir. Pour ne pas abandonner le reste de son corps, je continuais en elle des mouvements de va et viens par trois doigts bien enfoncés.

Cela devait lui plaire car j'ai senti que du doigt, elle chatouillait mon anus et sans vergogne y avait enfoncé une petite phalange. Nous étions comme cela totalement mélangé.

Il n'est pas d'usage de mesurer le temps en pareille position, mais je peux dire que cela a duré " très longtemps " et que, de visu, je pouvais presque compter les orgasmes nombreux de mon amante douée. Sans être une " femme fontaine " elle jouissait avec abondance et il est inutile que je décrive l'état de l'intérieur de ses cuisses et du lit... ;

Un peu repus de cette position, nous nous sommes mis côte à côte, elle la main caressant toujours mon érection et moi, avec mes doigts enfouis en elle... ; C'était un intermède...

Elle me dit :

- " tu es merveilleux.. tu comprends ce que j'aime et tu penses plus à mon plaisir qu'au tiens... Je pensais que mon mari me faisait bien l'amour, mais cela n'a rien à voir avec toi... viens, continuons .. "

Elle me reprit la bouche pour un nouveau petit jeu de langue puis, sentant que le moment était venu de conclure, elle me dit :

- " Je voudrais que tu me prennes très doucement.... Pas trop vite, bien profondément en moi....essayons d'exploser ensemble.... Viens.. "

Je me mis sur elle et c'est elle-même qui guida ma verge vers son vagin. J'y étais merveilleusement bien enfouis.... Elle, couchée sur le dos, les yeux clos et les mains sur ses seins, me semblait passive. Ce n'était qu'une impression car tous ses muscles intimes étaient en action et me faisaient un véritable massage de ma verge..
Comme elle me l'avait demandé, c'est très doucement que je bougeais en elle lui laissant presque ma queue comme un objet masturbatoire pour ses muscles intimes.

C'était pour moi une sensation nouvelle mais d'une rare qualité sensuelle.

Son bassin s'était animé doucement et je voyais ses doigts pincer les pointes de ses seins. Ses yeux toujours clos, elle avait légèrement ouvert la bouche et de petits râles, de plus en plus fréquents en sortaient. On aurait dit une parturiente qui régulait sa respiration. C'était une toute grande jouisseuse !.

Je l'entendis me dire :
" chéri... c'est merveilleux... on va jouir ensemble... je suis prête... si toi aussi, accentue ton mouvement... je t'aime... "

C'était vraiment la limite pour moi et, répondant à son rythme, j'ai accéléré ma pénétration, m'agrippant bien à ses hanches. Notre cri de jouissance a été quasi simultané et moi, c'est à longs jets que je me suis répandu en elle... Elle, ouvrait et fermait ses cuisses dans un coït d'une extraordinaire intensité.

Pantelants nous sommes restés enlacés, mon sexe un peu débandé encore pénétré.

Elle avait repris ma bouche et avec, la même initiative qu'au début, mais avec une douceur infinie, elle s'occupait de ma langue en chatte amoureuse.

Cela ne m'était plus arrivé depuis longtemps, mais ne voilà t'il pas que je reviens à une nouvelle érection triomphante et, me sentant bien, j'ai recommencé un mouvement lent dans la chatte de My Chan. Son fourreau n'en attendait pas moins et s'est mis immédiatement à participer tandis que nos bouches jouaient au même jeu...
Nous n'avons pas changé de position, moi bien en elle et elle possédant ma bouche... J'ai mis longtemps à jouir... elle pas, car je la sentais, sous moi, vibrer plusieurs fois. C'était simple, beau et bon tout à la fois !!!

Notre récupération fut agréablement entrecoupée de caresses futiles ou sensuelles. Apaisés, nous nous amusions de nos corps....

Une douche commune allait nous permettre de nettoyer tout de ce que, de nous deux, nous avions répandu l'un sur l'autre.

Nus et enlacés par la taille, nous sommes allés à la salle de bain et, l'eau bien chaude nous fit du bien. Soudain, j'ai eu une drôle d'impression. Effectivement, ma compagne faisait pipi !!

Avec un peu de gêne, elle me dit :

- " Excuses-moi, mais j'aime faire pipi après l'amour....Caresses-moi pendant....tu veux bien ??? "

Bien que n'étant pas accro de l'uro, cela ne me déplaisait pas et j'ai répondu à sa demande en caressant son entrejambes, dans le courant de la fontaine jaune qu'elle laissait couler. Moi-même, sans prévenir, j'ai uriné abondamment en guidant mon jet vers ses cuisses, mélangeant ainsi nos urines, nos jets et nos odeurs. C'était aussi assez nouveau pour moi.

Notre douche commune s'est prolongée longtemps, car ma compagne était ouverte à tous les ébats et elle en a profité pour des séries d'attouchements divers qui témoignaient d'une grande science de l'amour. Elle-même guidait ma main sur et en elle avec dextérité selon ses besoins..

Lorsque nous avons rejoint la chambre, My Chan s'est à nouveau emparée de ma bouche. Sa langue bougeait en elle comme un sexe dans un fourreau soyeux. Elle aspirait ma langue comme pour une fellation. C'était un appel à d'autres plaisirs.

Ma verge déjà rebandée se collait à son pubis et se complaisait dans les longs poils bizarrement taillés, de sa chatte. J'avais empoigné ses deux fesses et je la maintenais ainsi bien serrée contre moi. Elle quitta ma bouche pour recouvrir tout mon visage d'une multitude de bécots et puis, elle s'empara de mon oreille et y glissa le bout mutin de sa langue....

Chacun sentait qu'il n'en avait pas encore fini avec l'autre... qu'il y avait encore des choses à faire, des choses à découvrir...

Je lui dis :

- " Ma petite chatte, tu es merveilleuse et tu m'as aimé comme jamais je ne l'ai été. Continuons, passons la nuit ici. Ce sera notre première et dernière nuit ensemble, après cela, ce ne seront plus que des souvenirs ... dis-moi OUI. "

- " Oui, j'ai encore envie de toi ! mais est ce que cela est raisonnable ? répondit-elle. T'aimer et encore t'aimer, j'en ai encore envie, tu le sens. S'éveiller au matin, nu et enlacé serait merveilleux, mais quelle tristesse alors de se quitter !!! "

- " Vis le présent, aimons-nous...et pleurons ensemble en nous quittant mais prolongeons notre contact d'aujourd'hui... nos corps ne se sont pas tout dit encore.. "

Comme seule réponse, j'ai eu un baiser passionné......

My Chan m'a ensuite raconté partiellement sa vie, doucement à mon oreille, étendue nue à mon coté, sur le lit. Une de ses mains tenait mon sexe tandis que l'autre caressait ma joue.

- " Comme tu le sais, ma mère était saigonnaise et mon père français. Ma mère est morte alors que j'avais 2 ans et mon père est rentré en France avec moi. Il s'est remarié rapidement et a eu 3 enfants avec sa nouvelle femme.
J'étais certes pas favorisée par rapport aux autres. A mes 16 ans, je suis tombé amoureuse d'un anglais de 30 ans, en stage dans ma région et, j'ai fugué pour le rejoindre à Londres. Heureusement, ses parents m'ont bien accueillit et nous nous sommes mariés. Oh ! tu sais, ce n'était peut être pas un grand mariage d'amour mais je recherchais la sécurité et le calme et une certaine aisance. Il m'apportait le tout. En plus, il a éveillé et entretenu ma sexualité et ma sensualité.
Tu me croiras ou pas, c'est la première fois que le trompe et je ne m'en veux pas, car c'est merveilleux... "

Elle se retourna vers moi et ses mains partirent à nouveau à la recherche de mon plaisir, tout en m'ouvrant son intimité comme une offrande ....

NON, je m'arrête ici... car je suis amoureux de My Chan et nos ébats futurs appartiennent dorénavant à ma vie privée.... Tout ce que je peux vous dire c'est que la nuit a été fabuleuse et que la séparation, inéluctable, a été douloureuse.
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Dimanche 10 septembre 7 10 /09 /Sep 09:04
"Elisa et moi sommes deux amies de longue date. Il y a deux ans, nous etions parties toutes en vacances au bord de mer. Il faisait chaud, tres chaud. Nous etions persuadees que nous rencontrions de superbes males, bronzes et muscles.

Le premier soir, arrivees a l hotel, nous nous installions dans notre chambre, avec un seul lit, c�est moins cher. Elisa d�cida de prendre une douche avant de sortir. Lorsqu elle se douchait, j entendis comme des petits gemissements, des roles. Je me demandais si tout allait bien, et je franchis la porte de la salle de bain. Je d�couvris Elisa en train de se masturber avec le jet de la douche. Et apparemment, cela devait faire de l effet, puisqu elle ne remarqua meme pas ma presence!

Elle sortit de la salle de bain comme si ne rien n etait, et alla se coucher tout a fait naturellement.

Vers une heure du matin, nous ne dormions pas encore, et nous discutions allongees sur le lit, habillees de simples T-shirt. La discussion vint alors aux baisers que nous avons pu �changer avec des garcons. Elisa m a decrit tellement bien sa facon d embrasser, que cela me donna un frisson etrangement agreable. Elle remarqua mon etat, et me dit " tu veux essayer ?"

Cette question me surprend et m interesse en meme temps. Je repondis " comment cela ? " " Et bien, imagine que je suis un garcon et embrasse-moi ! ". D abord etonnee, je me laisse prendre au jeu, en toute confiance pour ma meilleure amie. Je ferme les yeux, et je me laisse faire.

Elisa s�approche doucement de moi, et pose d abord une main tendre et douce sur ma hanche. Ses l�vres chaudes et pulpeuses se frottent aux miennes, et finalement nos deux bouches n�en forment plus qu�une. Puis elle me mit sa langue agile et d�licate � la fois dans ma bouche, afin de rencontrer ma langue qui n�attendait qu�elle. Nos deux langues faisaient des jeux insenses. A ce moment, je ressentis que j allais avoir comme un orgasme, une sensation de plaisir.

Elisa le sentit �galement, glissa sa main experte sous mon T-shirt pour caresser doucement mon bas-ventre, pour finalement effleurer mon clitoris. A ce moment, j etais totalement perdue dans mon plaisir, et je l�encourageais m�me � continuer ses caresses. Sa main glissait sur mon sexe, et un doigt d�cida enfin de me p�n�trer doucement et s�rement.

Son doigt me penetra tres facilement, vu l etat dans lequel j etais. En reprenant conscience de la situation, je me rendis compte que j��tais si lubrifi�e, que sa main enti�re aurait pu s�introduire en moi. Son doigt s�agitait doucement, puis elle en fit entrer un deuxi�me, puis un troisi�me pour me donner encore plus de plaisir. A ce moment, je poussa un g�missement comme jamais je n�aurai cru pouvoir en faire. Ma meilleure amie �tait en train de me faire jouir comme jamais un gar�on ne put le faire. J�aimais ce qu�elle �tait en train de me faire.

Apr�s ce premier orgasme, Elisa me demanda si j�avais appr�cier ce baiser, qui �tait plus qu�un simple baiser� Je lui r�pondis que oui, et je lui demanda alors ce que je pourrais lui faire, pour la remercier. Elle me demandas si j�acceptais de lui caresser son bas-ventre avec ma langue. J etais tellement avide de sensation que je n ai pas mis longtemps a accepter. Elle enleva son T-shirt avec beaucoup de grace, et elle s allongea enti�rement nue sur le lit.

Sa peau douce et legerement bronzee m excitait beaucoup, et je commenca par lui caresser les cuisses de la facon la plus douce possible. Elle se tordit un peu, et �carta les jambes pour m indiquer le chemin. Ma langue s aventura alors dans son jardin secret, qui etait tres fourni. Ses poils noirs cachaient completement le fruit d�fendu, mais je reussis a me frayer un chemin. Elle etait tres humide, et son foutre commenca a donner un gout agreable a mes coups de langue. Arrivant a son clito, j�entreprit en meme temps de lui caresser les fesses. Elle se tourna alors legerement sur le cote, offrant a mes mains un derri�re ferme et arrondi que j�enviais.

Elle g�missait de plus en plus fort, et elle guida ma main vers son autre orifice. Pendant que ma langue la p�n�trait doucement, mes doigts fins et longs caressaient son anus assez vivement. C est la qu elle me prit mes mains, et qu elle me les mettait dans mon sexe compl�tement humide. Je me laissais faire, et lorsque mes doigts �taient bien lubrifies, elle mit ma main gauche dans sa bouche pour gouter mon jus, et remit ma droite vers son anus, afin que je puisse la p�n�trer plus facilement.

Je d�couvrais tout cela, mais Elisa m�aidait beaucoup, tout en prenant beaucoup de plaisir a cet apprentissage. Un doigt, puis deux parviennent a penetrer son autre orifice, pendant que ma langue devenait de plus en plus vigoureuse. Un long soupir profond indiquait qu�elle venait de jouir. Et cela grace a moi."
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Samedi 9 septembre 6 09 /09 /Sep 11:49
Ce soir-la, mon mari avait invité a la maison un important client. Il m'avait dit de me faire belle. Cette soiree comptait �norm�ment pour lui. Il y avait a la cle un important contrat et de sa signature dependait une belle promotion pour lui.

Je m' etais donc habillee sexy. Je portais une robe noire tres courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes. Le haut, decollete, laissait voir la naissance de mes seins. Un soutien-gorge noir en bandeau se distinguait a peine. En bas, j'avais mis un minislip noir en dentelles et une paire de bas auto-fixants.

A l'heure prevue, son invité est arrive. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené des fleurs ce qui me fit tres plaisir. Pour prendre l'aperitif, nous nous sommes installés au salon. Mon mari et cet homme se sont assis sur le divan. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d'eux. En m'asseyant, ma robe tres courte est encore remontee devoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n'a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J'ai surpris son regard et me suis mise a rougir. J'ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand resultat. J'ai quand m�me fait attention a garder les jambes serrées. L'aperitif s'est deroule normalement, mon mari faisant le service.

Puis nous sommes passés a table. Mon mari s'est placé en face de son client et je me suis retrouvée � coté de lui. Au debut du repas, je me suis occupee du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. Le repas etait tres agreable et les conversations ont vite devié sur des sujets plus legers. Arrives au fromage, mon mari s'est apercu qu'il n'y avait plus de vin et s'est levé pour aller en chercher dans la cave.

Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s'est alors mis a me complimenter. Je le remerciais lorsque j'ai sentis sa main se poser sur ma cuisse a la lisiere de ma robe.

Je vous en prie, arretez ! Mon mari va revenir, m'exclamais-je totalement surprise par ce geste.

Allons, vous etes tellement sexy. Laissez-vous faire. J'ai envie de vous caresser. Vous savez que vous me faites enormement d'effet ?

Non arretez enlevez votre main. Mais il avait deja glisse sa main jusqu'au dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson.

A ce moment-la, un bruit dans le couloir lui a fait enlever sa main. C'etait mon mari qui revenait une bouteille a la main. Je me suis alors levee precipitamment pour aller dans la cuisine. Mon mari m'y a suivi, se doutant de quelque chose. Alors je lui ai raconte ce qui venait de se passer. Mais sa reaction ne fut pas celle que j'attendais. Il me dit :

Ecoute, cherie, tu fais comme tu veux et je ne t'oblige en rien mais pense au contrat que je dois signer. Il en va de ma carriere. Puis il m'embrassa et retourna dans la salle a manger. Je restai un moment seule me demandant si j'avais bien compris ce que je venais d'entendre. Puis je me decidai a rejoindre les deux hommes. Le repas se termina rapidement, les hommes faisant les frais de la conversation. Puis nous sommes retournes au salon pour prendre un digestif.

Mon mari avait legerement tamisé la lumiere et mis de la musique douce. Il m'invita alors pour un slow. Je l'accompagnai. Il me tenait serree contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remonterent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en-dessous. Je le laissais faire et sentais son d�sir grossir contre moi. Je tournais le dos a notre invité mais je suis sure qu'il ne perdait rien du spectacle et devait apprecier de voir ma robe retroussee.

Puis brusquement mon mari s'arreta de danser et declara qu'il devait aller a son bureau terminer de rediger le contrat. Il proposa a son client de venir danser avec moi. Celui-ci ne se fit pas prier et prit de suite sa place.

J'eus juste le temps de rabaisser ma robe sur mes cuisses. C'etait parti pour un autre slow. Manifestement, cet homme n'etait pas reste insensible au spectacle donné avec mon mari car je sentais sa virilité durcie.

Il me serra contre lui et placa ses mains sur mes fesses. Je murmurai un non timide mais il commenca a me peloter les fesses. Ses mains parcouraient le haut de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pouvais pas l'empecher.

Puis il me plaqua contre un mur et se mit a me peloter les seins. En meme temps il me murmurait qu'il avait tres envie de moi, qu'il bandait comme jamais. D'un coup il fit glisser les bretelles de ma robe et, accrochant au passage le soutien-gorge, il me denuda les seins.

Il se pencha vers moi et se mit a me lecher les bouts. Ceux-ci etaient deja durs car j'etais excitee depuis la danse avec mon mari. Puis il se redressa et d�grafa son pantalon, le baissa avec son slip et je vis surgir sa queue tendue au maximum.

Me poussant vers un fauteuil, il me fit me courber contre le dossier et releva ma robe sur mes reins. Il baissa brutalement mon slip et je sentis sa queue se frotter contre mes fesses. Puis, d'un coup sec, il me penetra. Ses mouvements etaient puissants et je le sentais me labourer profondement. Je me mis a jouir sans pouvoir me retenir. Il devait n'attendre que cela car il explosa a son tour. Je sentais son sperme jaillir a grands jets au fond de moi. Puis il se retira.

Je me redressais, recuperais mon slip et me rendit � la salle de bains faire un brin de toilette. Quand je revins au salon, mon mari etait la en train de lui faire signer le fameux contrat. Je les laissai et partis me coucher, seule.

Le lendemain, mon mari m'a avoue qu'il m'a regardé me faire baiser par ce client. Ca l'a beaucoup excité et il s'est masturbé en me regardant. Il m'a dit avoir joui en meme temps que moi.
Par Eric - Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 4 septembre 1 04 /09 /Sep 16:31
Sylvia: ce soir-là le jeu était qu'elle fasse la pute.
Call girl exactement.
Elle arrive chez le client...trouvé sur le web...


Mes Ex
envoyé par Jerome
Par Jerome - Publié dans : Histoires Coquines
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