Ça y est, je me décide enfin à vous écrire. Cela fait maintenant plusieurs mois que je lis hebdomadairement vos riches histoires, coquines et tellement érotiques.
Mais passons plutôt à ce qui nous intéresse, ma belle-sœur...
Je me présente, Julien, grand brun d'1 mètre 85 pour 85 kg de 28 ans (un beau bébé comme disent certaines personnes). Plutôt sportif, footballeur du dimanche, j'ai un visage plaisant sans être Brad Pitt. Je suis marié depuis deux ans avec Virginie, une jolie demoiselle d'un petit gabarit (1 mètre 60, 49 kg) avec de jolies formes et notamment une paire de fesses à faire pâlir un mannequin de podium. Tout se passe bien entre nous, nous nous aimons, passons de bons moments ensemble, et surtout, nous nous entendons formidablement bien au lit. (Plus de détails dans une histoire prochaine). Bref il ne m'était jamais venu à l'esprit de tromper ma femme, l'avenir montrera que j'avais tout faux...
Quelques semaines après ma rencontre avec Virginie, elle me présente sa famille. Son père et sa mère sont des gens simples et très sympathiques. Lui, chauffeur routier, elle, femme au foyer. Une fois les présentations faites, nous commençons à prendre l'apéritif dans le salon familial. Au bout de quelques minutes (et quelques verres), on entend des voix dans le couloir. La porte s'ouvre, deux jeunes garçons d'une dizaine d'années et une petite fille apparaissent, suivis de deux femmes, les sœurs de ma future femme : Sylvie et Magali. La première est un joli brin de femme brune d'une quarantaine d'années de taille fine qui semble avoir une joli derrière comme sa sœur. La seconde est plus grande que ses deux sœurs mais n'a pas du tout le même physique. Magali est une femme plutôt ronde sans être grosse. Ses deux enfants lui ont laissé des formes bien épanouies au niveau de la poitrine et au bas du dos. Elle porte un jean avec une chemise noire nouée au niveau du ventre laissant apercevoir un piercing au nombril. Une ceinture à grosse boucle tient son pantalon. Je remonte mon regard et constate que cette chemise met ses seins lourds en valeur et laisse entrevoir un aperçu du soutien-gorge blanc qui contraste bien avec l'étoffe de tissu. Je discute et me présente donc aux nouveaux arrivants. Le début de soirée se passe bien et se finit bien. Tout le monde décide alors de rentrer chez soi. J'avais fait la connaissance de ma belle-famille et surtout celle de Magali.
Les semaines passent ; notre couple devient de plus en plus solide et de plus en plus complice.
Un jour, coup de téléphone de ma belle-mère pour nous inviter à manger en famille le dimanche suivant. Virginie accepte, c'était donc noté.
Dimanche, midi, nous partons pour le domicile familial. Nous arrivons un quart d'heure plus tard, deux voitures sont déjà là. Ma belle-mère nous accueille et nous invite à aller dans le salon où tout le monde nous attend. Je rencontre enfin mes deux beaux-frères, Gilles le mari de Sylvie et Jacques, celui de Magali. Deux hommes au premier abord très sympas. Nous nous installons, prenons un verre et engageons la discussion. Les hommes entre eux pour parler foot (et oui, classique) et les femmes pour parler de je ne sais quoi. Je jette un regard vers Magali afin d'apercevoir ses formes. Aujourd'hui, elle est habillée en blanc de la tête au pied : des sandalettes, une longue jupe et un chemisier assez échancré au niveau du buste.
Elle remarque mon coup d'oeil, jette un regard sur son décolleté s'apercevant de la vision qu'elle me donne et se redresse, ce qui propulse ses deux obus en avant. Je ne peux m'empêcher d'avaler ma salive pour ne pas baver. Elle s'en aperçoit et me fait un sourire complice. Je me dis alors que ma belle-sœur doit être une sacrée coquine.
Je ne pense qu'à son sourire et à ses seins commençant à m'imaginer les histoires les plus folles.
Ma belle-mère me fait revenir sur terre en nous appelant pour manger. Je me dis alors que manger me fera le plus grand bien. Je demande où est la salle de bain afin de me laver les mains. Et là surprise, Magali me dit :
- Suis-moi, je vais te montrer, je vais me les laver aussi.
Je suis Magali dans le long couloir qui mène à la salle des bains. Je pose mon regard sur sa croupe qu'elle balance exagérément sous mes yeux, consciente que je ne peux que regarder le spectacle qui m'est offert... Elle ouvre la porte et se retourne d'un coup. J'ai toujours les yeux scotchés sur ses fesses. Elle me fait un grand sourire et me dit :
- Voila, tu as le savon ici ; et une serviette là.
Elle reste dans l'encadrement de la porte et me laisse le passage mettant ses seins en avant. Le passage est de ce fait, plutôt étroit. Je la frôle et l'excitation me gagne. Mon slip semble tout d'un coup trop petit. Magali suit mes moindres faits et gestes. Je discerne une étincelle dans ses yeux. Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil sur sa poitrine. Ses seins sont vraiment gros, je donnerais n'importe quoi pour les palper, les malaxer, les lécher, les titiller...
L'eau glacée qui coule sur mes mains me fait du bien, je me vois face à la glace au-dessus du lavabo et je vois me yeux remplis d'excitation. Magali ne peut qu'avoir remarqué. Mon excitation s'amplifie, je bande comme un âne. J'essaye de cacher ma protubérance, mais Magali se rapproche doucement du lavabo. Du coin de l'œil je l'observe, elle regarde vers mon entrejambe. Cette fois, c'est sûr, elle voit mon état. Elle est à 20 cm de moi, je peux sentir son souffle. Elle tend les mains pour que je lui mette du savon dessus.
Et là ma femme déboule. Mon sexe retombe instantanément. Les deux sœurs commencent à discuter et en moi-même je me demande ce que je fais là. Nous regagnons la salle à manger. Tout le monde est installé. Je me retrouve assis à côté de Virginie et de ma belle-sœur Sylvie. Magali est juste en face de moi, entre son mari et son beau-frère.
Le repas commence par une grosse salade composée. A chaque bouchée je regarde en direction de Magali. Elle commence à repérer mon manège et commence un jeu sensuel. Elle prend sa fourchette et l'enfonce dans sa bouche en faisant tourner sa langue autour. Je la fixe et cela semble lui plaire. Elle en remet une couche. Mon entrejambe est très tendu. Je commence à faire descendre mon regard vers son opulente poitrine. Les boutons du haut du chemisier sont toujours défaits et laissent ainsi entrevoir un profond sillon...
Je n'en peux plus, ma queue me fait mal tellement je bande. C'est alors que je sens un pied sur mon mollet. Je lève les yeux vers Magali et elle me fait un large sourire tout en se léchant son index plein de sauce. Je crois défaillir. Elle remonte son pied le long de ma jambe, caressant ma cuisse. Elle frôle mes couilles à présent. Et au moment où elle touche mon sexe, je me lève d'un coup feignant une envie pressante. Je vais donc aux toilettes, ferme la porte à double tour et sors mon sexe bandé pour assouvir une pulsion sexuelle insoutenable. Je ne suis pas long à venir, repensant à ce qu'il vient de se passer. Mon orgasme est total, je me mords la lèvre pour ne pas crier mon bonheur.
Soulagé, je rejoins les autres à table, faisant mine de rien. Le repas se prolonge et j'évite de regarder Magali dans les yeux. Le dessert arrive avec le café. Magali me demande le sucre. Je lui tends et elle se lève légèrement de sa chaise, se penchant bien en avant pour attraper la sucrière. La vision que j'ai de ses seins est sublime, j'aperçois son téton droit sortant de son immense soutien-gorge en dentelle blanche. Ses gros nichons laiteux vacillent au rythme de son bras. Mon érection recommence mais je me résonne en me disant que c'est ma future belle-sœur, que ma femme est à côté de moi et que son mari est en face.
Nous finissons le repas vers 16h30, il est temps de rentrer pour tout le monde. Nous nous embrassons tous. Magali s'approche de moi, pose sa main sur mon épaule, froissant le tissu de ma chemise. Elle me fait alors deux bises près des lèvres et me murmure sensuellement à l'oreille
- À bientôt Julien...
Quelques jours plus tard, c'était un jeudi (c'est mon jour de repos), Virginie se prépare pour partir au boulot et me dit :
- Tiens mon chéri, est ce que tu pourrais passer chez Magali en fin de matinée. Elle vient d'acheter un nouveau lecteur DVD mais n'arrive pas à l'installer. Jacques est en déplacement toute la semaine. Elle te gardera sûrement pour manger, tu verras, c'est un vrai cordon bleu.
- Tu sais ma chérie, si je peux rendre service, ce sera avec plaisir.
Je n'en croyais pas mes oreilles. J'allais me retrouver seul chez Magali avec la bénédiction de ma femme. Je commence déjà à imaginer la tournure des événements. Mon excitation commence à me faire mal. Je décide d'aller prendre une bonne douche froide, histoire de me remettre les idées en place. Je me rase de près, me parfume comme si j'allais à un rendez-vous galant.
J'arrive devant la petite maison de Magali à onze heures précises. J'ai préalablement acheté un bouquet de fleurs. Je sonne à la porte. Après quelques secondes, j'entends le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Magali m'ouvre la porte vêtue d'un peignoir beige qui laisse deviner ses formes bien rondes. Elle porte une queue de cheval ce qui met son visage et notamment ses yeux bleus en valeur.
- Julien comment vas-tu ? Excuse-moi pour ma tenue, mais je viens juste de finir le ménage. Mais entre, ne reste pas sur le pas de la porte.
Je rentre donc dans la maison. Magali referme la porte derrière moi. Elle me fait la bise sans me toucher. Cela me refroidit pensant qu'elle allait me sauter au cou. Elle me fait entrer au salon et me propose de m'asseoir.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Volontiers, un petit pastis ira très bien.
- Je te prépare ça tout de suite.
Elle va dans le coin du salon du côté du bar. Je la suis des yeux ne me gênant pas pour détailler sa tenue sachant que nous sommes seuls à la maison, les enfants étant à l'école. Son peignoir lui arrive juste au-dessus des genoux. Ses mollets sont fins et musclés. Je remonte mes yeux le long de ses courbes. Ses cuisses paraissent être bien galbées. On voit nettement les formes de ses fesses qui ressortent du peignoir, quelle chute de reins ! Elle est de dos. Je vois sa nuque où quelques mèches rebelles dépassent. Cette vision m'excite. Elle me sert mon verre et revient vers moi. Sa démarche est sensuelle. Elle bombe le torse mettant ses lourds attributs en valeur. Elle est vraiment bandante. Son bassin est plutôt large, sa taille en proportion et sa poitrine semble démesurée. À chaque pas, ses seins balancent, ce qui signifie qu'il n'y a pas de soutif là-dessous. Elle me tend le verre en se penchant légèrement en avant. Le sillon de ses seins semble m'appeler. Je ne me gêne pas pour mater ouvertement ses gros nichons blancs.
La chaleur monte d'un cran dans la pièce. Magali semble être excitée de la situation autant que moi. Je vois ses tétons qui pointent à travers le peignoir.
- Je vais te chercher des glaçons, me dit-elle en se redressant et en partant en direction de la cuisine.
Je la regarde se déhancher. Elle disparaît dans la cuisine. Je regarde autour de moi, le salon est très mignon, assez moderne et très lumineux. Magali réapparaît avec un petit bol rempli de glace et en met dans mon verre. Je ne peux détacher mes yeux de son décolleté. Elle s'est servi un muscat et propose de trinquer.
- A nos amours beau-frère !
- A nos amours !
On boit une gorgée quand Mag me dit :
- Je vais aller me changer. Ça ne se fait pas de recevoir quelqu'un dans cette tenue.
- Mais cette tenue te va à ravir. Ne te fais pas de soucis, ça ne me gêne pas du tout. Tu es très belle comme ça.
- Tu me trouve belle comme ça ? Mais je ne suis pas coiffée, pas maquillée, dit-elle en se passant les mains dans les cheveux puis en les redescendant le long de son corps.
Lorsqu'elles sont au niveau de la poitrine, Magali fait un geste qui me fait bander aussitôt. Elle a comprimé ses seins à travers le tissu. Ses tétons pointent comme deux petits soldats. Elle me regarde avec un large sourire.
- Je reste comme ça alors ? Tu es sûr ? dit-elle tout en continuant à se caresser le corps.
- Sûr de sûr. Alors au fait, ce lecteur DVD ? » dis-je pour faire redescendre la température.
- Ah oui, c'est vrai. Ne bouge pas je vais le chercher, il est là sur le dessus de la bibliothèque.
Elle se dirige vers le meuble, attrape une chaise au passage pour pouvoir atteindre le lecteur. Plutôt galant, je me lève aussitôt pour aller l'aider. Elle est déjà debout sur la chaise quand j'arrive près du meuble. J'ai la vision de ses opulentes fesses sous les yeux. Elle lève le bras pour atteindre le haut de la bibliothèque, ce qui défait légèrement l'étreinte de la ceinture du peignoir, qui s'entrouvre. Surprise, elle tente de se rajuster et manque de tomber de la chaise. D'un réflexe éclair, j'arrive à la maintenir sur la chaise en la saisissant d'une main sur la hanche et l'autre sur la fesse droite. J'ai maintenant un bout de son postérieur dans la main. Son cul est imposant mais d'une remarquable fermeté. Elle tourne alors la tête vers moi pour me remercier. J'ai toujours ma main sur ses fesses, décidé à ne pas l'enlever tout de suite. Elle attrape alors le lecteur et reste plantée sur son perchoir. Je lui tapote alors son derrière en lui disant :
- Tu aurais pu te faire mal, belle-sœur, heureusement que je t'ai rattrapé.
- Merci beaucoup mon cher, mais tu m'as quand même mis la main aux fesses petit coquin, répond-elle en descendant.
Elle m'embrasse rapidement sur la bouche et part en direction de la télé en riant. Je ne sais plus où j'en suis. Ma tête essaye de me raisonner et ma queue m'incite à aller plus loin. Mag s'accroupit devant le poste de télévision et déballe le lecteur DVD. Je la rejoins sur le sol, attrapant les câbles nécessaires au branchement. Nous sommes l'un à côté de l'autre et de là où je suis placé, j'ai une vue imprenable sur sa paire de lourdes mamelles qui se balancent impudiquement sous mes yeux. On dirait qu'elle le fait exprès. Ma queue est dure et me gêne dans la position dans laquelle je suis. Je me lève pour me rassoire. Mag suit des yeux la bosse formée dans mon pantalon. Elle commence à rougir.
- Qu'est ce qui se passe Julien ? On dirait que tu...
- ...bandes, l'interromps-je la fixant droit dans les yeux. En effet je bande, excuse-moi, ce sont des choses qui arrivent aux hommes lorsqu'ils se retrouvent avec des femmes belles comme tu l'es.
- Merci du compliment. T'es plutôt pas mal non plus, tu sais. Dommage que je sois mariée et que tu sortes avec ma sœur, me lance-t-elle.
La dernière phrase aurait dû me calmer, mais au contraire, le fait que cette relation ne doive pas se faire m'excite beaucoup. Mag est toujours face à moi les joues rosies par l'émotion. Je lui demande de me faire passer la prise péritel qui se trouve juste à côté d'elle. Son genou est sur la ceinture du peignoir et lorsqu'elle veut attraper la prise en tendant son bras, la ceinture se défait comme par magie. Les pans s'entrouvrent. Je vois maintenant la naissance de deux énormes globes laiteux qui se tiennent haut pour leur taille. En baissant mon regard, je découvre son piercing au nombril, un petit ventre rond et un peu plus bas une petite culotte blanche. Ses cuisses musclées paraissent solides. À moitié dénudée, Mag me regarde sans rien dire, attendant sans doute ma réaction.
Je l'ai sous les yeux. Combien de fois m'étais-je masturber en imaginant un pareil scénario ? Et aujourd'hui, je suis sur le point de réaliser mon fantasme.
J'avance la main vers sa cuisse. Nous ne disons rien... Nos souffles sont courts... Ma main atteint le genou. Le contact sur cette peau si douce m'électrifie. Ma queue double de volume dans mon pantalon trop serré. Mag soupire au premier toucher.
Je remonte doucement le long de sa cuisse. Inconsciemment, Mag écarte légèrement son entrejambe. Je ne suis plus qu'à quelques centimètres de sa culotte. Mag respire de plus en plus fort. Je la sens fondre. Son visage a changé. Ses yeux sont fermés. Ça y est mon index est en contact avec la dentelle de la petite culotte. Je frotte légèrement, deux autres de mes doigts s'invitent à la fête. À travers l'étoffe je sens l'humidité s'installer. Mag soupire. Je décide d'abandonner le coin (mais de revenir un peu plus tard) afin de d'accéder aux deux seins tant convoités depuis quelques semaines. Je remonte mes mains le long de son ventre pour atteindre la base de ses nichons. Mag dégage complètement les pans du peignoir et se retrouve entièrement nue. Wahou !! Cette femme respire la volupté.
- Lèche-moi les seins... J'adore ça... me dit-elle d'une voix méconnaissable.
Après une telle invitation, je ne me fais pas prier. Mes mains malaxent et pétrissent ses énormes nichons. Ils sont vraiment d'une taille impressionnante (j'ai appris plus tard : du 100E). Plutôt pâles, ils sont bien ronds et crémeux. Mes doigts titillent les aréoles roses de la taille d'une pièce de 5 francs. Ses tétons sont très durs. J'y tire dessus, les sentant grossir de plus belle. Mag commence à gémir, elle n'avait pas menti, elle est très sensible des seins. Je me rapproche de son buste et fais participer ma langue au festin mammaire. Ma langue lèche les tétons. Je commence à lécher de plus en plus vite. Les gémissements de ma partenaire m'encouragent et sont de plus en plus bruyants. Je me régale. Mag pose sa main derrière ma nuque et m'attire contre son sein. Je tète comme un bébé Je suis au milieu de ses loches, prêt à m'étouffer avec. Reprenant ma respiration, j'en profite pour enlever mon pantalon. Mag s'étend sur le sol, me regardant me déshabiller. Elle a des étincelles dans les yeux. Elle n'arrête pas de se passer la langue sur les lèvres. Machinalement, elle se caresse le ventre puis remonte doucement vers sa poitrine. De sa position couchée sur le dos, ses seins tombent de chaque côté de son buste, mais restent d'une taille impressionnante. Elle joue avec ses mamelons, elle tire dessus et semble apprécier.
Me voilà en caleçon. J'admire le spectacle offert. Une des mains de Mag se balade maintenant au niveau de son bas-ventre. Elle se caresse à travers le tissu. Je peux voir nettement une tache humide sur la culotte.
- Tu aimes te caresser ? lui demandé-je.
- Oui, j'adore ça. Tu sais, quand Jacques n'est pas là, je m'occupe toute seule... Mais aujourd'hui, je ne suis pas seule.
Et sur cette parole, je la vois s'enfiler un doigt dans la chatte qu'elle ressort immédiatement pour se le mettre dans la bouche. Je n'ai jamais vu une femme plus excitante que ma belle-soeur dans cet état. Je décide de la laisser se caresser. De sa main gauche elle malaxe son sein droit. De l'autre main elle joue avec son clitoris qu'elle commence à titiller énergiquement. Elle râle de plaisir.
- Enlève ton caleçon, que je voie ce qu'il y a dedans. Ta queue semble à l'étroit, laisse-la respirer.
J'ôte donc mon caleçon. Ma queue est énorme. Je ne l'ai jamais vue comme ça. Machinalement, de la main droite je décalotte mon sexe et exécute quelques va-et-vient. Ma queue grossit encore.
- Hum... Tu as vraiment une grosse queue, Julien. Je crois que je vais bien m'amuser avec un tel engin. Viens, approche-toi de moi que je la mette en bouche.
Mag est toujours couchée sur le sol. Je me mets au-dessus d'elle et lui présente mon sexe devant le visage. Les yeux de ma belle-sœur sortent de leur orbite. Elle souffle fort tellement son excitation semble intense. Elle se décide alors à s'occuper de mon cas. Elle entreprend la meilleure fellation que l'on ne m'ait faite. Elle lèche la base de mon sexe, titille mes couilles avec sa langue, puis revient sur ma tige. Doucement elle remonte avec sa langue le long de mon érection. Elle va atteindre mon gland. Elle le lèche, encore et encore. Et tout d'un coup elle avale ma queue au fond de sa gorge tout en me malaxant les bourses avec sa main gauche. Je suis aux anges.
Je commence à lui caresser les seins. Ils sont si gros que mes grandes mains ne peuvent les contenir. Je masse les globes laiteux, quel régal ! Mag commence à gémir. Je continue mes caresses encore quelques minutes lorsque Mag, tout en léchant ma bite, me dit :
- J'ai envie que tu me baises...
Je l'aide à se relever. Ses gros seins bougent dans tous les sens. Je ne peux m'empêcher de les saisir à nouveau et de les lécher. Elle m'emmène jusqu'au canapé me fait rester debout pendant qu'elle s'assoit face à moi. Sans un mot et avant que je puisse réagir, elle remet ma queue dans sa bouche. C'est encore meilleur que tout à l'heure. Elle salive beaucoup cette fois. Les bruits de succion deviennent obscènes. Je bande de plus belle. Mag a du mal à la prendre entière dans la bouche. Ma queue est pleine de bave. Mag se lève, se retourne et pose un genou sur le canapé et attrape le dossier. Dans cette position, ses seins pendent comme de mamelles. Elle met son gros cul en arrière. Je peux nettement discerner sa chatte rasée. L'humidité semble inévitable.
- Prends-moi, je suis chaude, bouillante, j'ai besoin de ta lance pour me refroidir. Tiens regarde, ma chatte est toute mouillée à cause de toi. Mais qu'est ce que tu attends ? Viens en moi, je te dis !
Mag est en transe. Je découvre son côté nymphomane et je vais me régaler. Je me rapproche d'elle. Je prends ma queue et lui tapote ses grosses fesses avec. Elle aime ça. Sentant que ma partenaire ne va pas refroidir de suite, je décide de retarder la pénétration tant attendue par ma belle-sœur. Je commence à lui caresser les fesses. Son gros cul est ferme. Je le prends bien en main, je lui pétris le cul comme si c'était de la pâte à pain. Je fais remonter mes mains aux creux de ses reins. Je passe alors en dessous, mes mains atteignent le piercing, je joue avec quelques secondes. J'abandonne le bijou. Mes mains saisissent ses énormes outres. Ils ont vraiment une taille impressionnante, je n'arrive pas à y croire. Je tire sur les mamelles comme on trait une vache. Mag adore ça. Je les fais se balancer. Elle gémit de plus en plus fort.
- Oh oui. Vas-y, c'est bon. Oh ! Tu tires fort mon cochon, mais continue, j'aime ça. Huuummmm... Oui... Huuummm, encore, ne t'arrête pas...
Mon sexe n'en peut plus, il va exploser. J'arrête mon massage mammaire. Je me plante devant les opulentes fesses de ma partenaire et enfonce ma queue directement dans sa chatte. Elle mouille tellement que je suis rentré jusqu'au bout sans effort. Mag hurle de plaisir :
- Que tu es gros ! Vas-y, baise-moi bien à fond ! Oh oui, comme ça. Pilonne-moi avec ta grosse queue. J'en veux encore. Ne t'arrête surtout pas... Han, han. Que c'est bon ce que tu me fais. Je mouille comme une fontaine. Oh oui, encore. Je n'ai jamais mouillé comme ça...
Elle projette son bassin d'avant en arrière. Ma queue la pénètre au plus profond à chaque va-et-vient. Ma queue glisse à toute vitesse dans cette chatte trempée. Je sens le plaisir monter en moi alors que Mag me dit :
- Continue mon chéri, je vais jouir. Va plus vite, défonce-moi la chatte, baise-moi comme une pute. Oh oui, vas-y !
Mag emploie maintenant un vocabulaire vulgaire. L'excitation l'emporte sur la gentille mère de famille qui se transforme en chienne insatiable. Je décide d'utiliser le même répertoire qu'elle :
- Tu aimes te faire baiser comme une chienne ?
- Oui j'adore ça. Je suis ta chienne. Insulte-moi, tu m'excites encore plus !
- Tu es une belle salope. J'en étais sûr. Je vais te baiser comme on t'a jamais baisée.
Je fais mettre Mag à quatre pattes sur le canapé. Je me place derrière elle et recommence à lui baiser la chatte. Je vois ses gros nichons valser au rythme de mes coups de boutoir. J'en saisis un et le pétris sans ménagement.
- Oh oui, pelote-moi les nichons pendant que tu me baises et continue à m'insulter je vais jouir.
- T'es vraiment qu'une grosse cochonne qui aime bien se faire sauter par son beau-frère... Tu mouilles comme une catin. Ma queue est trempée par ta mouille.
- Oh oui, oh oui... Je viens... Je... VIENS... hurle-t-elle alors qu'un océan de mouille me coule le long de la queue et même sur les cuisses.
Mag vient de jouir et je m'arrête de la baiser. Elle s'est affalée sur le cousin. Seul son cul se dresse fièrement.
Elle se retourne pour m'embrasser. Je lui rends son baiser.
- Je veux que tu jutes sur mes nichons.
Je me lève pendant qu'elle s'installe confortablement à genoux devant moi. Je lui soupèse les nichons. Ils sont lourds. Les tétons ont doublé de volume. Elle prend un sein dans chaque main et me les présente tels deux uniques fruits dans une corbeille.
- Tu as l'air de les aimer. À chaque repas j'ai remarqué que tu les regardais. Aujourd'hui, je te les offre, profites-en, me dit elle en se les caressant sensuellement.
Ma queue est toujours aussi raide. Je l'approche du sillon et l'engouffre à l'intérieur. Mon sexe a disparu entièrement entre les seins de Magali. Je commence un long va-et-vient. C'est bon. Il y fait chaud. Mag fait venir ses mamelles sur ma queue. À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Elle met des coups de langue sur mon gland à chaque passage de ma queue à proximité de sa bouche. Je n'en peux plus, je sens ma semence monter en moi. Je vais jouir, je vais lui en mettre partout sur la poitrine.
Un violent spasme me traverse le corps de la tête aux pieds. Mon sperme jaillit de mon sexe à grandes giclées pour atterrir sur les deux gros nichons de ma cochonne de belle-sœur. Il y en a une grosse quantité. Mag se l'étale sur ses mamelles. Je la regarde faire. Quelle femme !
Nous restons dans le salon encore un moment avant de retrouver nos esprits. Je l'embrasse tendrement.
Voila comment Magali est devenu ma maîtresse occasionnelle. Nous faisons l'amour sauvagement de temps à autres, même pendant les repas de famille ; mais ça, c'est une autre histoire...
C'est la video de mon ex copine Géraldine qui a fait cette video pour mon anniversaire. Cette petite pute m'a trompé pendant que j'étais en déplacement donc pour me venger je partage son cadeau avec tout le monde.
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A plus Karim
Carole était une femme d'une trentaine d'années qui travaillait dans la même société que moi. Elle était secrétaire ou du moins, elle travaillait dans la partie administrative de la société.
Brune, les yeux verts, des seins pas trop gros mais avec des jolis tétons qui pointaient sous ses vêtements et très sensibles, des jolies jambes, un beau corps. Elle savait se mettre en valeur de part ses tenues, même lorsqu'elle portait un pantalon, son corps était fort désirable. Je la croisais souvent dans les couloirs, mais nos rapports se limitaient à des « bonjour, bonsoir » accompagnés d'un sourire de politesse.
Un jour à la cantine, le midi, je me suis retrouvé à la table juste derrière la sienne. La pièce était découpée en petits espaces séparés par des bacs agrémentés de plantes artificielles qui formaient des sortes de petites haies, assurant une certaine intimité visuelle, mais non sonore, ce qui permettait d'entendre si l'on était curieux ce qui se disait à la table d'à côté.
J'étais seul, elle était avec une autre fille de la société qui devait travailler avec elle.
Comme je n'avais pas de compagnie à ma table, j'avais tout loisir, même sans être curieux, d'entendre ce que les filles se disaient. Au début leur conversation portait sur le travail, quelques commérages et quelques potins, dont la découverte me faisait sourire lorsque je connaissais les personnes citées. Puis leur conversation à tourné vers un caractère plus intime, Carole disait à sa collègue que sa vie de couple n'était pas au beau fixe et que sexuellement, la routine s'était installée et que de toutes les façons, son compagnon n'avait jamais vraiment été à la hauteur de ses attentes et de ses désirs. Je gardais cette information dans un coin de ma tête, mais sans plus. Mon repas étant fini, je me suis levé et je suis retourné travailler.
Quelques semaines plus tard, il y avait un cocktail offert aux employés, pour les remercier des résultats réalisés sur l'année. Carole était là, elle portait une robe noire à fines bretelles, des bas ou des collants noirs et des escarpins. Elle discutait un peu avec tout le monde, puis à un moment elle s'est trouvée seule, un peu éloignée de la foule, au bout de la table où étaient disposés les canapés et autres amuse-bouche.
Je m'approchais, une coupe de champagne à la main.
- Bonsoir. Carole, c'est ça ?
Elle fut assez surprise, levant ses jolis yeux verts pour me regarder, puis je sentis qu'elle cherchait mon prénom.
Je lui tendis la coupe de champagne
- Robert, je m'occupe de la gestion du magasin des pièces détachées.
Elle sourit
- Oui, bien sûr.
Puis, prenant la coupe elle me remercia.
- Vous avez l'air de vous ennuyer ?
- Non, mais je n'aime pas trop la foule.
- Moi non plus, je préfère les ambiances plus intimes, moins strictes.
Elle sourit en portant la coupe à ses lèvres.
- Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous parler, c'est dommage.
- Oui.
Nous avons commencé à échanger des banalités, parlant de la société, de tout et de rien, quand Valérie une fille travaillant avec moi s'est approchée de nous.
- Alors Robert, tu ne participes pas à la fête ? Tu préfères séduire la jolie Carole ?
Nous l'avons regardée, un peu confus.
- Elle a bon goût, fit-elle en s'éloignant.
Valérie était la coquine de l'entreprise, et tous les hommes de la société ou presque avait au moins eu une aventure avec elle.
Carole me dit :
- Ça y est, elle va raconter partout que nous sommes amants.
- C'est sûr qu'avec elle, il y a des chances que cela arrive, dans mon cas ce serait flatteur, mais dans le tien, ce serait peut être plus embarrassant ?
Elle haussa les épaules
- Peu importe, cela ne me dérange pas.
Nous avons continué un peu ce jeu, en imaginant ce qui se passerait si nous étions amants, comment nous nous rencontrerions, ce que nous ferions pour nous voir, mais le tout sur le ton de la plaisanterie, l'alcool ayant détendu l'atmosphère.
Elle regarda sa montre.
- Il commence à être tard, il faut que je rentre.
- Ton mari t'attend ?
- Non, mais j'ai un dossier à la maison que je dois finir pour demain, je l'ai oublié ce matin chez moi où je l'avais emmené hier pour travailler. Et mon patron le veut pour demain sans faute.
- Ok, la raison est valable.
Elle s'approcha de moi, me tendit la joue pour m'embrasser, je sentis son parfum délicat et sa peau douce sur mes joues.
Puis posant sa coupe de champagne vide, elle se tourna vers moi une dernière fois, et en me regardant droit dans les yeux elle me dit
- J'aime les hommes, les vrais, ceux qui ne s'embarrassent pas avec des ronds de jambes mais qui vont droit au but. J'adore être un jouet entres leurs mains. Salut.
Et elle s'éloigna, puis sortit de la salle.
Je restais immobile, les pensées les plus confuses et les plus folles ont envahi ma tête, le message était clair, à moi de jouer, mais comment allais-je m'y prendre ?
Je ne tardais pas à partir moi aussi, mes pensées étant totalement occupées par cette dernière phrase de Carole. Comment allais-je bien pour voir négocier la suite ?
Le lendemain à midi, je me suis arrangé pour arriver un peu avant elle à la cantine. Je l'ai vue rentrer, accompagnée d'une de ses collègues, je m'étais placé de telle manière qu'elle était obligée d'emprunter cette allée pour entrer dans la salle. Lorsque elle passa devant ma table, elle me sourit, je la regardai droit dans les yeux, puis lui désignant la chaise face à moi, lui dis d'un ton ferme :
- Assieds toi !
Elle dit à sa copine d'aller s'installer, qu'elle allait la rejoindre. Elle posa son plateau sur la table et s'assit sans un mot. Puis, posant sa tête entre ses mains, son regard plongé dans le mien, elle me dit :
- Ma dernière phrase t'aurait-elle fait de l'effet ?
- Serais-tu là, sinon ?
- Non, je ne pense pas.
- J'ai bien repensé à cette dernière phrase, en as-tu pesé tous les mots ? lui dis je en insistant bien.
- Oui !
- Tu es prête à être le jouet de mes envies et des mes fantasmes ?
- Oui.
- Bien, dans ce cas, attends-toi à avoir de mes nouvelles très bientôt pour en faire la preuve.
Elle se leva, reprit son plateau et me lança un regard qui en disait long qui reflétait aussi que ses pensées devaient bouillonner à leur tour. Elle alla rejoindre sa collègue, jetant de temps en temps un regard dans ma direction, signe du trouble que j'avais fait naître en elle.
Je quittai la salle, puis je retournai travailler. Dans l'après midi, je composai son numéro de téléphone interne :
- Carole G... j'écoute !
- Ce soir, chez moi, 18 heures.
Et je lui donnai l'adresse sans un mot de plus.
- Heu... 19heures plutôt, si tu veux bien, ce sera plus facile pour moi.
- Ok, 19heures chez moi, à tout à l'heure.
Et je raccrochai.
Mon travail fini, vers 17 heures - je n'allais pas faire des heures sup ce soir là - je rentrai. Arrivé chez moi, une petite villa à la périphérie d'un village à quelques kilomètres de mon travail, je me garai, puis j'allai prendre une douche afin d'attendre cette femme qui allait devenir ma Maîtresse, et avec qui j'allai expérimenter toutes mes envies. La douche terminée, j'enfilai un peignoir en éponge, puis j'allai mettre un peu d'ordre dans la maison, et préparer sa venue. La maison était constituée d'une grande pièce unique, où j'avais installé un grand canapé et un fauteuil style club, une table ronde avec quatre chaises. Il y avait une chambre assez grande où j'avais installé un bureau. Le seul luxe de cette maison était dans la salle de bains, la baignoire était digne de certains films d'Hollywood, en forme de haricot, avec des jets de massages, qui serviraient sans doute un jour avec Carole, comptant tout mettre en œuvre pour en faire ma Maîtresse régulière.
A 19 heures, j'entendis une voiture se garer devant la maison. Je m'approchai de la porte, et j'éclairai l'entrée, tout en vérifiant que c'était bien elle par la fenêtre de la cuisine qui donnait sur le devant.
Elle descendit de sa voiture, ferma la portière et se dirigea de manière directe et sans hésitations vers la porte.
Avant qu'elle ne sonne, j'ouvris.
Elle me regardait, debout devant la porte, tenant son sac devant elle. Elle portait la même robe noire que la veille, elle était donc allée se changer.
Je lui fis signe d'entrer. Elle s'exécuta. Quand elle eut passé la porte, je refermai derrière elle et d'un signe de la main sans un mot, je lui indiquai d'entrer dans le salon.
Elle attendait que je prenne une initiative, que je parle.
Je m'approchai d'elle, je pris son sac à main et le jetai sur le canapé, puis sans un mot, je passai ma main gauche derrière sa nuque, de la droite j'écartai les pans de mon peignoir, et je saisis mon sexe. La pression de ma main gauche se fit plus insistante sur sa nuque, l'incitant à venir emboucher mon sexe.
Je décalottai mon gland, mon sexe commençait à raidir, je le poussai entre ses lèvres, son buste étant penché en avant, sa tête au niveau de mon pubis. Elle ouvrit ses lèvres pour laisser passer mon gland chaud et commença à me sucer, ses deux mains sur mes hanches. Je tenais toujours ma main sur sa nuque, mais il était inutile de la forcer, elle s'exécutait apparemment avec plaisir.
Ma queue qui avait atteint une bonne taille au fond de sa bouche qui coulissait le long de ma tige, je sentis sa langue douce par en dessous, je profitais de sa position, pour soulever sa robe. Je découvris ses fesses, et avec plaisir je constatai qu'elle ne portait pas de culotte. D'un geste sec, je lui claquai les fesses, elle émit un son, mais continua de plus belle à me sucer.
Je recommençai, et chaque fois, d'un léger mouvement de la croupe, elle me faisait comprendre de continuer.
Après quelques instants comme cela, où elle enfonçait mon sexe au plus profond de sa gorge, et où je sentais mon plaisir monter, je me suis reculé, puis la saisissant par les cheveux, je l'ai redressée pour lui faire un baiser profond. Ma langue dans sa bouche se mêlait à la sienne, ce baiser fut long et passionné, je sentais qu'elle appréciait mon audace et mon attitude directe.
Tout en tenant ses cheveux, je m'écartai d'elle, son regard en disait long sur le plaisir qu'elle éprouvait de cette situation.
J'ai défait la ceinture de mon peignoir, me débarrassant de ce vêtement qui commençait à me tenir chaud vu les conditions.
- Alors petite chienne, tu es contente de ton os ?
Elle prononça un oui qui n'avait rien d'un peut être.
La repoussant contre le mur face à moi.
- Allez à poil, enlève-moi cette robe !
Elle s'exécuta, soulevant la robe par-dessus sa tête, pour la lancer dans la pièce, son regard était fiévreux de désir. Je découvris son corps que je n'avais pour le moment qu'imaginé durant toute la journée.
Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins, sans êtres gros étaient bien fermes et bien ronds, les aréoles brunes, avec des tétons qui pointaient, incitant à la caresse. Je descendis mon regard le long de son ventre, pour découvrir un petit triangle de poils en forme de V, le reste de son sexe étant épilé et bien lisse. Elle se tenait droite, attendant la suite des évènements.
- Tu es très belle, encore mieux que dans mes rêves, je suis le Maître d'une très jolie chienne, j'en suis ravi.
- Oui, fit-elle d'une voix profonde. Oui, je suis ta chienne, continue, fais de moi ce que tu veux.
- Bien, c'est ce que je compte faire.
- Accroupis-toi !
Elle s'exécuta aussitôt, son dos contre le mur, ses jambes repliées et écartées, toujours gainées de ses Dim-up noirs et ses pieds toujours chaussés de ses escarpins.
J'avais ainsi une vue imprenable sur son intimité offerte sans pudeur, certains reflets sur ses grandes lèvres indiquaient clairement qu'elle mouillait de la situation.
Je pris ses mains, je les posai sur mes épaules, puis de nouveau je poussai mon sexe entre ses lèvres. Je poussai lentement pour m'enfoncer le plus possible en elle, sa tête en appui contre le mur, elle ne pouvait se soustraire à cette pénétration. Quand j'ai senti que j'avais atteint la limite du supportable pour elle, je restai un instant au fond avec de reculer d'un lent mouvement de reins. Ma queue tendue était recouverte de sa salive. Quand mon gland fut dehors, elle souffla, mais aussitôt elle ouvrit en grand sa bouche pour me faire comprendre que je devais encore la prendre ainsi.
Je commençai de lent allers-retours dans sa cavité buccale, elle se laissait faire s'ouvrant au maximum, tout en agitant sa langue pour me donner plus de plaisir. Elle salivait abondamment et une partie coulait sur ses seins. Quand j'allais trop profond, elle serrait ses mains sur mes épaules pour me le faire comprendre, je marquais une pause, puis je sortais pour de nouveau mieux la remplir.
- J'adore ta bouche, elle est chaude et soyeuse, tu aimes te faire prendre par là comme si c'était ton sexe ?
Elle faisait « hummm », étant incapable de parler, ma queue emplissant sa bouche, mais quand je me retirais, elle disait « encore !» d'une voix haletante.
Je fis glisser ses mains sur mes tétons, j'adore cette caresse quand je me fais sucer. Elle caressait doucement mes tétons, cela m'électrisait à chaque fois que j'entrais dans sa bouche. Je tendis les mains pour arriver à atteindre ses tétons à elle. Je m'en emparai, je les fis rouler, je les tirai vers le haut, quand ma queue sortait de sa bouche, et elle râlait de plaisir.
Sentant mon plaisir monter, je continuai à aller et venir dans sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu.
- Je vais te jouir dans la bouche, j'adore ça et tu vas tout avaler ! Compris ?
Je me retirai suffisamment pour qu'elle puisse dire oui.
J'accélérai mon va-et-vient, elle continuait à me caresser les tétons et moi les siens, je sentis des picotements dans les reins, puis au moment où j'allais jouir, je me suis retiré, ne laissant que mon gland dans sa bouche. J'ai inondé sa cavité de mon plaisir, elle ne bougeait pas, ayant refermé ses lèvres sur mon gland. Les jets se faisant plus rares et moins puissants, elle saisit mon sexe pour le branler et en extraire les dernières gouttes. Elle avala mon sperme mêlé à sa salive, puis aspira mon gland en faisant des bruits obscènes. Quand mon sexe fut bien propre et qu'il commençait à ramollir, elle le lâcha, se laissant tomber, tout en restant dans sa position accroupie. Ses cheveux étaient mouillés par sa sueur, elle était très belle.
Je repris doucement mes esprits, la jouissance avait été forte, mes jambes étaient cotonneuses. Elle respirait fort, la tête penchée en avant.
Quelques secondes plus tard, je la saisis de nouveau par les cheveux, pour lui indiquer de se redresser.
Debout contre le mur, ma main dans ses cheveux, de mon épaule gauche je la plaquai contre le mur. Je m'approchai de son oreille, et doucement je lui dis :
- Alors petite pute, tu es contente de ce début ?
- Oui, répondit-elle doucement.
Ma main droite se plaqua sur son pubis qui était brûlant et trempé, il était doux et lisse, la sensation était divine.
- Mais tu mouilles ma parole, ça t'excite donc d'être mon jouet, mon esclave de plaisir ?
- Oui.
- Désormais quand nous ne serons que tous les deux, où que nous soyons, tu devras me dire bonjour en prenant ma queue dans ta bouche, c'est compris ?
- Oui.
- Bien.
En disant cela, je pousse mon index et mon majeur dans son sexe, ils glissent facilement et sont emprisonnés dans une fournaise, je les bouge un peu dedans, puis l'annulaire va les rejoindre.
Je commence à la branler, la sensation est agréable pour moi, ce sexe brûlant et liquide autour de mes doigts, je tiens son plaisir dans ma main.
Je l'embrasse de nouveau d'un baiser profond et tout en accentuant mon geste, je me fais de plus en plus rapide en elle. Elle remue, veut se retirer de ma bouche pour reprendre son souffle, mais je ne cède pas, sa respiration s'accélère de plus en plus au rythme de mes doigts, je sens son corps se contracter, elle pousse un cri qui est étouffé par nos bouches mêlées, son corps se raidit, je sens mes doigts qui sont écrasés par les contractions de son vagin, puis la pression diminue. Je sors mes doigts gluants de son intimité, je les porte à sa bouche, et les enfonce entre ses lèvres.
- Goûte ton plaisir, ta jouissance !
Elle avale et lèche mes doigts, je m'écarte de son corps, elle se laisse doucement tomber contre le mur, visiblement fatiguée par ce qu'elle vient de ressentir.
Je la laisse, elle s'allonge à moitié sur le sol pour récupérer, sa respiration se calme.
Je vais chercher deux coupes et une bouteille de champagne dans la cuisine, puis je reviens dans le salon.
Elle est toujours sur le sol, mais redressée en appui sur son coude droit, de sa main gauche elle tente de se recoiffer, du moins elle arrange ses cheveux mouillés et en bataille.
Je m'assieds sur le canapé, je la regarde, ses yeux sont brillants, illuminés de cette lueur indéfinissable que les femmes ont après avoir joui.
Je sers les deux coupes, elle va pour se relever et s'approcher.
- Non, comme une petite chienne !
Elle sourit, comprenant ce que je veux, elle se met à genoux, les mains posées au sol et elle s'approche doucement de la table d'une démarche féline.
- Bien.
Arrivée à la table, je porte la coupe à ses lèvres, et je l'aide à boire. Doucement le liquide frais coule dans sa bouche, mais aussi sur son menton et sur le bas de ses joues, pour finir sur le plateau en verre de la table.
Je lui fais signe que je trinque, et je bois ma coupe à mon tour.
Elle me regarde droit dans les yeux, et d'une manière sensuelle, mais impudique, tout en penchant sa tête pour ne pas me perdre du regard, elle lèche le champagne sur le plateau de la table, pour ne pas en perdre une goutte.
- Bien tu es une bonne chienne docile, je crois que je vais te garder.
Elle ne dit rien, mais elle sourit avec un regard mystérieux, en passant sa langue sur ses lèvres.
Puis continuant à avancer vers moi, elle pose sa main droite sur ma cuisse, puis sa gauche sur mon autre cuisse, pour les écarter.
Elle se penche en avant et embouche mon sexe. La sensation est étrange, sa bouche est douce et fraîche, je me laisse aller en arrière pour savourer l'instant.
A genoux entre mes cuisses, elle commence à me sucer en aspirant, ses mains posées sur mes genoux. Mon sexe commence à se raidir, sa bouche se fait plus chaude.
- Mets la tête en arrière !
Elle obéit.
- Ouvre la bouche !
Elle le fait.
Je fais couler un peu de champagne dedans.
- Continue !
Elle se penche et prend mon sexe dans sa bouche. Je sens de nouveau la fraîcheur sur mon sexe, mais aussi le picotement des bulles, et le liquide froid qui coule le long de ma queue pour finir sur mes bourses. Elle n'avait pas tout avalé. Après quelques va-et-vient, elle envoie la tête en arrière pour recevoir une nouvelle dose de champagne. Durant de longs moments elle s'est livrée à ce petit jeu, me suçant avec du champagne dans la bouche, et je sentais la fraîcheur et les bulles, ces sensations étaient extraordinaires.
Mon sexe étant bien raide, je la laisse encore un moment me sucer dans cette position, puis je lui dis :
- Sur le fauteuil ! Présente-moi ton cul !
Elle se dirige vers le fauteuil, de l'autre côté de la table, toujours à quatre pattes, en ondulant de la croupe pour bien s'exposer, impudique et offerte. J'admire son abricot lisse qui ondule entre ses cuisses.
Arrivée près du fauteuil, elle se hisse doucement dessus, mais au lieu de s'agenouiller comme je l'attendais, elle met ses genoux sur les accoudoirs, et s'écrase véritablement sur le fauteuil, sa tête reposant sur l'assise. Cette pose est très indécente, son sexe et son anus sont ainsi offert totalement à la vue, la place libre en dessous, lui permet de passer les bras pour écarter son sexe et bien s'offrir.
- Très jolie vue, tu es très chienne, mais je ne vais pas me plaindre, continue, caresse-toi !
Elle glisse ses mains sous son ventre, écarte ses lèvres et se caresse le sexe, se fouillant de ses doigts fins. Elle est encore mouillée.
Je me lève et je m'approche d'elle, je parcours son dos avec mes doigts, j'effleure ses fesses, le dessus de ses cuisses, je passe sur le côté de sa poitrine, je remonte sur sa nuque, puis je redescends doucement le long de sa colonne, puis je continus mon geste. En passant, j'effleure son anus et je finis en mêlant mes doigts aux siens sur son sexe. Puis d'un geste vif, je claque ses fesses. Elle pousse un petit cri, mais continue à se caresser, sans bouger le reste de son corps. Ma main retombe sur sa croupe offerte, avec un bruit sec, elle étouffe un deuxième petit cri.
- Tu sais que tu es une vilaine fille ?
- Ah bon ?
- Oui tu es une vilaine fille qui excite les hommes, ce n'est pas bien !
Et ma main tombe sur ses fesses. Cette fois-ci le petit cri se transforme en râle de plaisir.
- En plus, tu aimes être vilaine !
- Oui, je suis une vilaine fille, très vilaine !
Je passe derrière le fauteuil, son buste repose sur le dossier, elle me regarde, toujours avec cette lueur de désir dans les yeux.
J'approche mes doigts de ses lèvres, je passe mon index droit dessus, puis je le pousse pour entrer dans sa bouche.
- Suce ma jolie, suce, tu sais si bien le faire !
Elle suce mon doigt comme elle l'a fait avec mon sexe. Je joue un moment avec elle, elle ronronne comme une chatte, ses mains lui donnent du plaisir.
Je retire mon doigt pour le remplacer par mon sexe, mon gland passe lentement entre ses lèvres, je sens la douceur soyeuse de sa bouche m'entourer, je me penche un peu et de mon doigt humide de sa salive, je caresse son petit trou. Je sens qu'elle est sur le point de jouir, je me retire et je donne une claque sur ses fesses pour ponctuer son plaisir.
- Stop ! Cesse de te caresser !
- Non, s'il te plaît ! dit elle d'une voix hésitante, se concentrant sur son plaisir.
- J'ai dit stop !
Et ma main tombe sur ses fesses. Je fais le tour, je me positionne derrière elle, je passe mes mains sous ses coudes, pour sortir ses bras de sous son ventre.
- Bras croisés dans le dos, mains sur les fesses !
J'accompagne mes mots de gestes et je croise doucement ses bras, puis je dépose ses mains sur ses fesses, qu'elle saisit pour bien s'ouvrir s'il en était besoin, vu sa position.
Je m'empare de sa taille et je positionne mon sexe à l'entrée du sien.
- Humm, fait-elle écartant un peu plus ses fesses.
D'une seule poussée, je vais au fond de son sexe, je le sens autour de moi, brûlant et humide. Elle râle de plaisir durant toute la pénétration. Arrivé au fond, je me retire aussitôt, pour ne laisser que mon gland juste à l'entrée, entre ses petites lèvres.
- Tu veux ?
- Oui, prends-moi, je suis ta chose » !
- Je peux faire de toi ce que je veux ?
En même temps, je m'enfonce au plus profond d'elle même.
- Ouiiii, fais ce que tu veux, mais prends-moi !
Je me retire lentement, mon sexe est trempé de sa mouille.
Je sors mon sexe du sien, et je pose mon gland sur son petit anneau brun.
- Tout ce que je veux ? »
- Ouiiiii !!!!
Je force le passage d'une poussée lente mais régulière, elle étouffe un long râle en enfouissant la tête dans le dossier du fauteuil. Je sens son anus qui m'enserre, mes couilles viennent au contact de son sexe, je reste ainsi quelques secondes, j'en profite pour lui caresser le dos de la main droite.
Je ressors lentement, elle émet encore un long son étouffé par l'étoffe.
Je la tiens par le bassin et je commence à aller et venir très lentement dans son anus étroit. Au bout de quelques temps, je passe ma main sous mon sexe, et je glisse mon pouce dans son vagin, tout en frottant son clitoris avec le reste de ma main. Je sens mon doigt à travers la fine peau qui le sépare de mon sexe. J'accélère, allant de plus en plus vite en elle, elle ne cesse de grogner, elle vibre sous la pénétration.
- J'adore ton cul, je pense que je ne te prendrai que par là !
- Oui, si tu veux, crie-t-elle. Ne t'arrêtes pas, c'est trop bon !
Je vais et je viens en elle, je la sens se contracter autour de ma queue, elle se cambre en arrière, ses doigts se crispent sur ses fesses, elle pousse un cri de jouissance, avant de retomber, la tête sur le dossier. Je sens mon plaisir monter au creux de mes reins, je sors de son anus.
- Ta bouche !
Elle se retourne d'un mouvement rapide, tombe assise sur le fauteuil et ouvre sa bouche au moment où mon sperme jaillit par saccades de mon sexe.
Elle le reçoit sur le visage et la poitrine. Elle s'empare de mon sexe, le branle et suce le gland comme si elle était prise de folie. Je sens mes jambes se dérober, je prends appui sur les accoudoirs pour ne pas tomber, elle continue à téter mon gland, tout en me branlant vigoureusement, je sens une deuxième vague de plaisir monter, et de nouveau je gicle dans sa bouche, et elle avale tout aspirant la moindre goutte. Le contact de ses mains et de ses lèvres devient presque douloureux. Je la fais cesser et je tombe à genoux face à elle. Elle me regarde en souriant, mon sperme macule encore ses joues et sa poitrine.
Je reprends lentement mes esprits, à genoux devant elle. Son visage est beau, ses yeux verts en disent long sur les sensations qu'elle a ressenties.
Je me recule et je me laisse tomber sur le canapé.
Elle vient me rejoindre et se love contre moi.
- Si tu continues comme ça, tu peux faire vraiment tout ce que tu veux de moi, je t'appartiens.
Je la regarde en souriant.
- Je vais vraiment faire ce que je veux de toi ! »
Elle me sourit et approche son visage du mien pour m'offrir un baiser passionné, sa bouche a encore le goût de mon sperme, nos langues se mêlent. Puis elle repose sa tête sur ma poitrine.
- Je vais prendre une douche, j'en ai besoin, dit-elle en se levant doucement.
Je lui désigne la salle de bains. Je la suis du regard, son délicieux derrière qui m'a donné du plaisir ondule à chaque pas. Elle ne porte que ses bas, je la trouve très belle.
Pendant qu'elle prend sa douche, je remets mon peignoir et je vais à la cuisine nous préparer un petit en-cas, le sexe, ça creuse.
Elle ressort, le corps ceint d'une serviette, elle est très jolie ainsi. Elle me rejoint dans la cuisine, où nous grignotons avec avidité ce que j'ai trouvé dans le frigo.
Quand il ne reste plus rien, elle me dit :
- Je vais me sécher les cheveux et après je rentre.
Puis elle retourne à la salle de bains, où j'entends le sèche-cheveux qui est entré en action.
Je range la cuisine, quand elle revient vêtue de sa robe et de ses bas, portant à la main ses escarpins.
- J'adore ta salle de bains.
- Tu auras l'occasion d'y revenir !
Elle me sourit, va chercher son sac sur le canapé, je suis dans l'encadrement de la porte, elle avance doucement vers moi.
- On se voit demain au boulot ?
- Oui, comme si de rien n'était.
- Parfait, cela me convient.
Elle dépose un baiser sur mes lèvres en se hissant sur la pointe des pieds, puis enfile ses chaussures, avant de se diriger vers la porte d'entrée.
Je la regarde, elle pose la main sur la poignée, puis se retourne.
- J'allais oublier...
Elle revient vers moi, se penche en avant, glisse sa main par la fente du peignoir, saisit délicatement mon sexe, et l'embouche une dernière fois, en aspirant, puis dépose un baiser sur mon gland et se redresse.
- Si je dois dire bonjour ainsi, pourquoi pas au revoir ?
Je lui souris, elle ouvre la porte, au moment où elle la passe, je lui dis :
- Je ne veux plus que tu mettes de culotte, je te veux accessible tout le temps !
- Ok.
Elle m'envoie un baiser du bout des doigts, se dirige vers sa voiture et s'en va.
Salut Julia,
Voici la video d une de mes ex copines prise en camera cachée. Qu'en pensez vous?
A plus
Tim