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Histoires Coquines

Jeudi 31 août 4 31 /08 /Août 17:43

Une video de mon ex copine à la plage et seins nus, elle avait de bons gros seins c'est dommage. Quelle coquine !!!

Par Tom - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 24 août 4 24 /08 /Août 01:55

Salut Juju,

Bravo pour ton blog je le kiffe grave !!! Voici ma petite contribution. C'est la video que j'ai prise avec mon portable un jour ou Sandy (une amie de ma soeur) dormait à la maison.

Elles sont rentrées complétement bourrées de boite au petit matin et grace à la canicule elles avaient super chaud et vu qu'elles croyaient qu'elles étaient seules à la maison et elles se sont chauffé sur le lit !!!

Au fait j'en ai une deuxieme donc laissez moi vos coms pour que je vous en envoie une autre

 

Par Ulrich - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 09:14

-Bonjour madame, je viens voir Lulu, elle est là ?
-Non, elle est partie avec son père faire des courses, ils seront de retour dans une heure environ... Tu voulais la voir pourquoi ?
-J'étais absent la semaine dernière, il me manque un cours...
-Entre, tu peux l'attendre ici...
-Merci madame...
-Dis moi, tu es bien bronzé, tu as passé tes vacances au soleil ?
-Chez ma grand-mère qui habite Agde, j'étais à la plage tous les jours...
-Alors tu es Michel ?
-Lulu vous à parlé de moi ?
-Oui, c'est toi qui lui à fait ce beau cadeau pour son anniversaire, mais tu n'étais pas là...
-Je n'ai pas pu venir. Je fais partie de l'équipe de hand, nous avions un match à Toulouse...
-C'est bien de faire du sport, Lulu devrait en faire aussi...
-Elle fait de la danse, c'est du sport...
-Dis moi Michel, Lulu et toi, vous êtes copains ou...
-Cela ne fait que six mois que nous sortons ensemble...
-Je peux savoir ce que vous appelez ‘'sortir ensemble'' ?
-C'est-à-dire...
-Vous flirtez, c'est ça ?
-Disons que c'est ma petite amie...
-Michel, je ne suis pas contre, rassure toi, elle va sur ses 18 ans... et toi ?
-18 au mois de février...
-Tu n'es pas obligé de répondre, mais je voudrais savoir si vous couchez ensemble...
-Madame, cela me gêne de vous répondre, vous devriez lui poser la question...
-Excuse moi, je suis maladroite, cela ne me regarde pas...
-Si, cela vous regarde, vous êtes sa mère...
-Si tes parents te posaient la même question, tu répondrais ?
-Bien sur... Je ne leur cache rien, d'ailleurs ils savent tout de moi...
-Ils savent tout quoi ?
-Tout ce que je fais...
-Même si tu couches avec des filles ?
-Oui...
-Tu as des parents sympas...
-Ils sont jeunes, ma mère à 38 ans et mon père 39...
-Nous ne sommes pas beaucoup plus vieux le père de Lulu et moi... Michel, quel âge me donnes-tu ?
-Alors ça, je suis bien incapable de le dire...
-Tu me trouves plus vieille que ta mère ?
-Non, c'est justement pour ça, vous venez de me dire que...
-C'est gentil... J'ai 39 ans et mon mari 40...
-Vous ne parlez jamais avec Lulu ?
-Si pourquoi ?
-Vous ne savez rien de ce qu'elle fait ?
-Mais si, la preuve, je savais que tu existais, mais pas que vous ‘'sortiez'' ensemble... Michel, tu sembles énervé, ce sont mes questions que te gênent ?
-Non madame... Pas vos questions...
-Alors quoi ?
-Vous madame...
-Comment ça moi ?
-Depuis que vous êtes en face de moi, je vois vos cuisses...
-Et bien toi, tu ne perds pas le nord ! Voir mes cuisses ça t'énerve ?
-Énervé, ce n'est pas le mot...
-J'ai compris, ça t'excite... Oh, mais je vois ça ! Et bien mon garçon, il ne t'en faut pas beaucoup...
-Je ne vois pas que vos cuisses...
-Michel, j'apprécie ta franchise et je te prie de m'excuser, ce n'était pas volontaire... J'espère que ce n'est pas la première fois que tu vois ça...
-Non... Mais j'aime quand une femme se dévoile comme vous le faites...
-Tu parles bien Michel, c'est rare pour un garçon de ton âge... Je vais être franche avec toi, moi aussi je suis excitée de te voir en érection... Et si j'en juge pas la taille de la bosse...
-Madame...
-Ne te défends pas, c'est normal... Tu peux te lever s'il te plait ? Avance plus près de moi... Je te propose un marché, je te montre mon sexe et tu me montres le tien... Regarde...

Elle se lève, remonte sa jupe et se rassoie les cuisses écartées...

-Elle te plait ma chatte ? Je commence à mouiller, regarde mon clitoris comme il est gros... Aller, sors ta queue...

Je défais ma ceinture et baisse la fermeture, mon pantalon tombe sur mes pieds...

-Le slip aussi Michel, je veux tout voir...

Mon slip rejoint mon pantalon, je me déchausse et me dégage en relevant mon t-shirt.

-Quelle belle bite ! Ma fille ne doit pas s'ennuyer avec toi...
-Madame, s'ils revenaient ?
-Nous avons encore le temps, approche, je voudrais te sucer...

Je fais un petit pas, ma queue raide se trouve au niveau de sa bouche, elle l'enfourne et me pompe en me tenant, une main sur chaque fesse...
Je me laisse sucer sans bouger, ma bite s'enfonce dans sa bouche jusque dans sa gorge, je connais bien cette sensation, Lulu me le fait souvent.
Ses mains sur mes fesses me maintiennent plaqué contre son visage, ma queue disparaît à chaque fois qu'elle avance la tête...
Maintenant, je sais contrôler mon excitation afin de ne pas décharger trop vite.
Elle recule sa tête et lève les yeux.

-C'est bien Michel, tu es endurant... Mais si tu veux jouir, ne te gêne pas...
-Non, je sais me retenir...
-Tu aimerais me baiser ?
-Oui madame...
-Cesse de m'appeler madame, je suis Sylvie... Viens avec moi...

Je ramasse mes vêtements et je la suis jusque dans leur chambre...

-Ici, nous serons mieux... Excuse le désordre...

La chambre n'est pas faite, une serviette traîne au milieu du lit ouvert, elle l'attrape et découvre un beau gode, copie conforme d'une pine de belle taille, qu'elle laisse en place...

-Allonge toi Michel... Tu aimes bouffer la chatte d'une femme ?
-Oh oui...
-Tu aimerais me le faire ?
-Oui Sylvie...
-Il faut que je te prévienne, mon mari m'a baisée ce matin, et je ne me suis pas lavée...
-Je préfère...
-Alors tu vas me bouffer la chatte, il est même possible que tu puisses récupérer un peu de son sperme... Attend, je me mets sur toi...

Elle m'enjambe et pose sa chatte sur ma bouche, effectivement, je retrouve le goût de quelqu'un qui vient de se faire prendre...
Mon nez, au niveau de son cul, récupère une bonne odeur que j'affectionne aussi...
Elle me suce le gland en vrillant sa main autour de ma pine, un doigt titille ma rosette...
Sa mouille me coule dans la bouche, ma langue cherche quelques résidus de sperme marital, je me délecte du goût et de l'odeur...
Sans me prévenir, elle se relève et s'agenouille au milieu du lit...

-Michel, maintenant tu vas me baiser... Fourre ta belle queue dans ma chatte et fais moi jouir...

Je m'enfonce dans son vagin inondé dont je ne touche pas les parois...
En la cramponnant par la taille, je la pistonne le plus rapidement que je peux, n'ayant aucune sensation, je ne jouirais pas...
Je sens arriver les prémices de son orgasme, je ne me désunis pas et je la baise jusqu'à ce qu'elle jouisse...

-Michel, tu me fais jouir, n'arrête pas, je sens ta queue... Bourre moi encore !

Mon excitation monte, mais pour jouir il va falloir que je change de trou, son cul me semble très accueillant, je sors de sa chatte pour poser mon gland sur sa rosette et je m'enfonce d'un coup.

-Oh le salaud, il m'encule ! Oui bourre moi le cul maintenant...

Une main cherche le gode en tâtonnant puis elle disparaît sous son ventre, l'engin s'enfonce dans sa chatte et comprime un peu ma bite, ce n'est que mieux.
Au bord de la jouissance, j'attends qu'elle démarre et je lâche un torrent de foutre dans son cul.

-Oui Michel, c'est bon, jouis dans mon cul...

Mon gland est allé buter contre la matière, en sortant, je fais attention à ne rien toucher, il est légèrement maculé...
Son cul reste ouvert, elle sort le gode de sa chatte et l'enfonce dans son cul d'un seul coup...

-Michel, prend le gode et encule moi encore... N'aie pas peur de me faire mal, bourre moi, éclate moi le cul...

J'entame un pistonnage impressionnant, j'enfonce le gode jusqu'à la garde et le sort en entier pour le remettre aussitôt.
Ce n'est plus un cul que je défonce mais un véritable gouffre, un nouvel orgasme la fait trembler, je reçois une coulée translucide sur la main qui branlait son clitoris.
Repue, elle s'effondre sur le ventre, je laisse le gode enfoncé dont ne dépasse que la base, matérialisée par une paire de couilles.
Je prends la serviette pour m'essuyer et je m'allonge, elle ne bouge plus pendant un petit moment.

-Michel, tu viens de me baiser comme j'aime... Je croyais ne pouvoir faire ça qu'avec mon mari...
-Sylvie, je ne voudrais pas jouer les troubles fête, mais ils risquent de revenir...
-Et alors, ou est le problème ?
-Mais, s'ils nous voient dans cet état...
-Et bien, ils viendront nous rejoindre voilà tout...
-Sylvie... Ils viendraient nous rejoindre ?
-Bien sur... Tu m'aimerais pas ?
-Je ne sais pas... Peut-être... Et Lulu ?
-Ludivine ne dira rien rassure toi...
-Parce qu'elle...
-Oui Michel, ça lui arrive de venir nous retrouver... Tu es choqué ?
-Oh non... Ce serait même le contraire...
-Ça ne te dérangerait pas de la baiser devant son père et moi ?
-Pas du tout... Surtout si vous en faites autant...
-Michel, tu peux m'en dire plus tu sais... Tu es coutumier du fait ?
-Oui... Je le fais aussi avec mes parents...
-Tu m'en diras tant ! Et Ludivine, elle l'à fait aussi avec vous ?
-Oui... Plusieurs fois...
-Je comprends mieux maintenant... Donne moi des détails...
-Disons que nous faisons ça tous les quatre quand elle est à la maison...
-Vous échangez ?
-Oui... Elle baise avec mon père et je baise ma mère... Elles se touchent aussi...
-Et toi, tu touches ton père ?
-Oui... Et il me touche aussi...
-Toucher... Toucher ? Ou plus que toucher ?
-Plus que toucher...
-Michel, tu te fais enculer ?
-Oui... Et j'encule aussi...
-Ta mère à bien de la chance d'avoir deux hommes...
-Mais tu as ton gode...
-Rien à voir, ça ne remplacera jamais une belle et bonne grosse pine qui décharge...
-Ma mère a deux godes mais elle ne s'en sert presque jamais...
-Évidement, avec deux bites pour elle toute seule... Michel, j'entends du bruit, ils arrivent...
-On reste comme ça ?
-Bien sur... Ils vont venir, rassure toi... Je suppose que mon mari doit être excité comme une puce...
-Ah bon, pourquoi ?
-Ils étaient chez une amie qui tient un magasin de fringues pour femmes...
-Je ne comprends pas...
-Tu demanderas à Lulu, elle t'expliquera...

Je regarde vers la porte de la chambre, Lulu est dans l'encadrement, son père derrière elle.

-Entrez, on ne va pas vous manger... Alors chérie, ça s'est bien passé ?
-Très bien... Papa à été formidable...

Elle s'avance et s'allonge près de moi...

-Je vois que vous ne nous avez pas attendu...
-Pourquoi, on aurait dû ?
-Non, vous avez bien fait... C'était bien maman ?
-Très bien ma chérie... Jean, approche, je suppose que tu es dans tous tes états ?
-Tu as raison...
-Racontez nous ça...

Ludivine se débarrasse de ses vêtements, son père en fait autant et viens s'allonger entre sa femme et moi, sa queue raide dans la main...
Le voir bander me provoque immédiatement une érection, Lulu me prend la pine et la caresse doucement sa tête posée sur mon ventre, elle embouche mon gland...

-Super le goût... Maman, tu as du t'en prendre plein le cul dis donc...
-Pour ça, tu as raison... Michel est un bon baiseur, mais je crois que tu le sais... Alors, ça s'est passé comment ? Il y avait du monde ?
-Trois personnes, dont une femme âgée...
-Et dans la réserve ?
-Quatre, deux femmes et un couple...
-Attendez, je ne comprends rien de ce que vous dites...
-Michel, le magasin est truqué... Dans une cabine d'essayage, il y à une glace sans tain, on peut tout voir depuis la réserve...
-Les femmes qui l'utilisent le savent ?
-Pas toutes... Seulement les initiées...
-Et vous allez derrière pour mater les femmes qui essayent des fringues, c'est ça ?
-Oui et non... Certaines, comme moi, font le spectacle...
-Et quel spectacle ! Lulu s'est surpassée aujourd'hui...
-Et vous Jean, vous faisiez quoi ?
-Il a fait le spectacle avec moi au début, puis il est passé derrière...
-Vous faites quoi dans cette cabine ?
-Je me suis foutue à poil, il me passait les fringues puis il est venu m'aider, pas à les mettre, mais les enlever...
-Je savais que derrière la glace, le type venait pour la première fois alors que sa femme est une habituée, Ludivine m'a fait bander et j'ai montré ma bite...
-Dans le magasin, personne ne remarque qu'il se passe des choses dans la cabine ?
-En général non, elle est à l'écart des autres... La femme âgée voulait essayer une robe, les autres cabines étant occupées, elle est venue dans la notre...
-Papa était en train de se branler, le choc que ça lui a fait !
-Elle n'a rien dit ?
-Étonnée dans un premier temps, elle s'est vite remise de son émotion...
-Elle ne savait vraiment rien ?
-Si, elle savait, sinon elle serait partie en criant au loup ! Papa lui a présenté sa bite, elle s'est jetée dessus...
-Pendant qu'elle me suçait, je lui ai mis une main entre les fesses... Une véritable fontaine lui coulait entre les cuisses... Elle s'est retournée et je l'ai enculée... Ce qui est sur c'est que je n'étais pas le premier...
-Moi, je suis sortie pour qu'ils aient plus de place, et je suis passée dans la réserve... Papa, tu lui as démoli le cul...
-Je n'ai même pas pu jouir tant elle était ouverte, par contre, elle s'est prise un pied d'enfer... Comme je bandais toujours, elle a voulu me faire jouir dans sa bouche, ma queue n'était pas très nette, ça ne l'a pas dérangée le moins du monde !
-Et toi ma puce, tu faisais quoi dans la réserve ?
-Je me suis branlée en même temps que les femmes, tu connais le stock de godes... Une d'elles se prenait le cul avec le plus gros, une vraie furie ! Heureusement que c'est insonorisé... Le mari baisait sa femme, et moi je lui touchais le cul, lui aussi doit se faire défoncer, j'y mettais trois doigts sans forcer...
-Jean, tu as joui dans la bouche de la femme ?
-Non, rien à faire, pourtant, elle suçait bien la salope ! Au fait, j'ai son numéro de portable...
-Quel âge cette femme ?
-La soixantaine, peut-être un peu moins...
-Et Corine ?
-Oh elle... Du moment que le tiroir caisse fonctionne, elle s'en fout...
-Elle n'est pas venue baiser dans la réserve ?
-Il n'y avait qu'un homme, et papa n'a pas voulu...
-Sylvie, j'en ai marre de sauter Corinne, elle ne me fait plus bander... Par contre, sa fille...
-C'est vrai qu'elle est au magasin maintenant... Et alors ?
-Alors rien... Elle s'excite, et ça se voit, mais elle ne passe pas à l'acte...
-Papa, je l'ai déjà attrapée la semaine dernière, Corine l'a bien éduquée... Il faut lui laisser un peu de temps...
-Dites moi, pour les gens qui vont dans la réserve, c'est gratuit ?
-Non Michel, qu'est ce que tu crois ? Ce serait trop facile... Ils entrent par la boutique, paient et vont derrière... Pour sortir, ils passent par le couloir, ni vu ni connu...
-C'est dingue ce truc ! Ça fait longtemps que ça existe ?
-Deux ans... Et il en est passé du monde dans la réserve, certains jours, c'est plein à craquer et ça baise partout... La semaine dernière, deux hommes seuls sont venus, j'étais passée dans la réserve croyant que j'allais me faire baiser dans tous les trous... Zéro pointé ! Ils se sont enculés à tour de rôle, il y a des jours comme ça...
-Sylvie, tu n'y vas jamais dans cette boutique ?
-Mai si j'y vais... En général, avec Jean...
-La réserve, elle est aménagée ?
-Au début, il n'y avait que les portants avec les fringues en stock, ce n'était pas très pratique... Puis le monde est venu, heureusement que Corine à pu acheter un réduit attenant, maintenant, il y à deux canapés un fauteuil et deux tables... Et la clim depuis cet été...
-Michel, si tu veux, je t'y emmènerais... Tu verras le nombre de salopes qui viennent se faire baiser, certaines le font à même le sol c'est pour te dire... Maman, j'ai remarquée que, depuis quelques temps, les femmes se font de plus en plus enculer, et directement, sans passer par la chatte !
-Phénomène de mode... Tu as vu les films pornos, pas une scène de cul sans sodomie ni double pénétration...
-Mes parents ont un DVD ou les femmes se font enculer par deux bites à la fois...
-Maman, tu as été copiée ! Michel, maman le fait depuis longtemps, soit avec papa et un gode ou avec deux hommes ce qui est encore mieux, n'est ce pas ?
-Ludivine, rien ne t'empêche de le faire...
-Si maman, mon cul... Déjà qu'avec Michel tout seul ce n'est pas évident, si je devais les prendre tous les deux papa et lui, je vais direct à l'hosto, comme ta copine !
-Ludivine, Carole ne s'est pas rendue compte de ce qui l'attendait, c'est une bêtise d'avoir voulu se mettre cet énorme gode...
-Attend, le type est entré aussi, quand même...
-Il a du avoir mal, vu la vitesse avec laquelle il s'est retiré... Il faut dire que la pine en latex est une énormité on dirait un sexe de cheval !
-Tu sais que c'est son fantasme de se faire prendre par un cheval ?
-C'est possible ça ?
-J'en doute... En tous cas, moi, je n'essaierais pas...
-Maman, tu t'es servie de ce truc tout à l'heure ?
-Oui... Dans la chatte d'abord puis dans le cul après que Michel soit sorti...

Ludivine tient le gode et le regarde avec concupiscence, elle le porte à sa bouche et suce le gland...

-Chérie, n'essaie pas avec celui-ci...
-Mais je ne veux pas... On peut rêver quand même ! La pine de Michel me suffit amplement...
-Et la mienne, elle compte pour du beurre ?
-Papa, tu ne m'encules jamais...
-Je ne suis pas une machine, ta mère me pompe toute mon énergie...
-On dirait que tu le déplores !
-Mais non, que vas-tu chercher ? J'aime bien faire l'amour avec toi...
-Michel, tu étais venu chercher les cours qui te manquent, viens avec moi...

Nous partons dans sa chambre, au passage je récupère mes affaires...

-Alors Michel, comment trouves tu mes parents ?
-Super...
-Les tiens le sont aussi...
-Pourquoi ne m'as-tu jamais rien dit ?
-Bof... Je savais que ça se ferait un jour ou l'autre, alors j'attendais... Si tu venais coucher ici de temps en temps, il y a longtemps que tu saurais...
-Lulu, tu habites trop loin de chez moi...
-Maintenant, tu as un scooter...
-Il n'y a pas longtemps que je l'ai...
-J'espère que tu viendras souvent maintenant... Au fait, tu diras à ton père que j'ai trouvé ce qu'il cherchait... Regarde...
-Tu as trouvé ça où ?
-Tu ne me croiras jamais, dans une brocante...
-Tu te fiches de moi...
-Mais non, je te le jure... Je fouillais dans un stock de vieux livres, mais il n'y avait rien de vraiment intéressant... Le patron du magasin m'a demandé ce que je cherchais, je ne pouvais pas lui dire que je cherchais un bouquin de cul très spécial... Alors j'ai parlé par périphrases sans lui dire exactement ce que je voulais, mais il à très bien compris. Il m'a dit avoir encore quelques livres chez lui, dans un grenier et que si je voulais, je pourrais fouiller dans les panières, il allait les descendre. A la fermeture, il m'attendait et nous sommes allé chez lui. Je comprends pourquoi il ne les mettait pas sous les yeux de tout le monde, un stock incroyable de bouquin de cul du début du siècle dernier, dont certains avec des dessins superbes... J'ai fouillé et je lisais quelques passages au hasard, au bout du cinquième livre, j'étais excitée comme un puce, à deux doigts de me branler. Il est venu me voir, j'étais assise par terre, les bouquins étalés autour de moi, je continuais ma recherche, et je suis tombé sur ce livre que cherchait ton père. Le type a tout compris, visiblement, il savait ce qu'il contenait.
-Sans indiscrétion, tu l'as payé combien ?
-Rien Michel, il m'en a fait cadeau... Avant de partir, j'ai encore fouillé un peu, on ne sait jamais... Il y avait des textes incroyables dans ces bouquins, plus je lisais plus j'étais excitée. Assis, il me regardait sans rien dire, juste avant que je parte, il m'a demandé si je reviendrais sinon il remontrait les panières au grenier. J'avais dans la main un autre livre avec des gravures fantastiques, des photos n'auraient pas été meilleures, il m'a pris le livre des mains et l'a feuilleté un peu...

-Tu aimes ce genre de littérature ? Il me semble que tu es bien excitée...
-Je ne savais pas quoi lui répondre... Ce que je voulais c'est qu'il me vende ces livres et partir... J'ai décelée un peu de lubricité dans ses yeux, et sa braguette ressemblait à un vrai chapiteau de cirque ! Il s'est levé, c'était pire encore, je lui ai demandé combien je devais, il m'a fait signe que je ne devais rien en passant sa main sur la bosse de son pantalon...
-Je me doutais bien qu'il n'allait pas t'en faire cadeau...
-Attend... Tu penses bien que j'avais tout compris, mais je me suis dirigée vers la porte l'air dégagé, quand je me suis retournée pour le saluer, il avait sortie sa queue et se branlait... Trop excitée, je n'ai pas pu résister, je me suis mise à genoux pour le sucer mais ça n'a pas duré longtemps, il a joui presque tout de suite... Une petite bite et pas beaucoup de foutre, je suis rentrée à la maison dans un état, je ne t'en parle pas...
-Ce bouquin tu l'as ici ?
-Bien sur, le voilà... Regarde les gravures...
-Et celui pour mon père ?
-Dans ce paquet cadeau... Michel, je te prête celui-ci, tu vas t'éclater... Attention, c'est hard, mais bon, ce n'est que ce nous faisons après tout, sauf que certains protagonistes sont un peu plus jeunes que nous... Cette littérature était vendue sous le manteau, mais il fallait bien qu'elle soit imprimée. Je voudrais savoir dans quel état étaient ceux qui composaient, ça se faisait encore à la lino...
-Comme toi, excités je suppose... Lulu, je vais devoir partir, mais si tu veux, je viens passer le week-end ici avec toi. Mes parents s'en vont voir une tante malade, ça me gonfle au possible d'aller dans un hôpital...
-Ça baigne ! Tu viens vendredi soir, nous aurons plus de temps. Ne te branle pas trop, tu risques d'avoir besoin de tout ton tonus !
-Pas de problème...
-Tu ne veux pas que je te suce un peu avant de partir, j'adore le goût du cul de ma mère...
-Lulu, je m'habille et je me sauve...
-Heureusement, tu ne vas pas t'en aller à poil !
-Ne te fiche pas de moi... Bisous Lulu, salue tes parents, je ne vais pas les déranger...
-Ils doivent se reposer un peu... Ce soir je serais sage...

Je suis rentré chez moi, mes parents m'attendaient, j'avais oublié de leur dire où j'allais...

-Michel, nous étions inquiets...
-Ah bon ? Mais il n'est pas tard, j'étais chez Lulu pour mes cours...
-Tu pourrais fermer ta braguette quand tu sors...
-J'ai un problème elle est coincée...
-Je t'ai déjà expliquée comment faire... Enlève ton pantalon que je te fasse voir. Michel, que t'arrive t'il ?
-Pourquoi ?
-Ne me dis pas que tu ne te rends pas compte que tu...
-Maman, je ne bande pas...
-Je le vois bien, mais quelle est cette odeur ?
-C'est ma queue...
-Fais moi sentir de plus prés... Toi, tu viens de baiser Ludivine !
-Heu...
-Ça sent le cul...
-C'est normal... Mais ce n'est pas le sien...
-Comment ça pas le sien ?
-C'est celui de sa mère...
-Tu as enculé sa mère ?
-Oui maman...
-Et tu ne t'es pas lavé... Bande mon chéri, je vais te sucer...
-Maman, je n'en peux plus, j'ai baisé tout l'après midi...
-Salaud ! Maintenant que je suis excitée, tu vas me laisser tomber ?
-Papa n'est pas là ?
-Non, il est chez les voisins, André à des problèmes avec sa tondeuse. Tu vois que tu peux bander, ta pine est de plus en plus belle tu sais... Baise moi chéri...
-Je bande mais je ne suis pas très excité...
-Ben mon cochon, si tu l'étais alors qu'est ce que ce serait !
-J'aimerais mieux que papa soi là...
-Je sais mais en attendant... Tu veux que je te fasse quelque chose de particulier ? Attend, je crois qu'il arrive...

Mon père passe dans la cuisine pour se laver les mains et entre dans le salon...

-Dites donc, on ne s'ennuie pas !
-Marc, viens voir... Ce petit salaud s'est tapé la mère de Ludivine... Sent sa queue...
-Bonne odeur ma foi...
-Il l'a enculée et il ne s'est pas lavé...
-Bouffe lui la pine chérie, tu adores ça... Pendant que tu le suces je vais...
-Non, approche, je vais vous sucer tous les deux... Mais ta queue aussi pue le
cul... Tu es sur de n'avoir bricolé que la tondeuse ?
-Je l'ai fait... Mais Claudine est venue nous voir dans le garage...
-Et vous l'avez baisée...
-C'est pas facile de résister...
-Ben voyons ! Elle t'a violé peut-être ?
-Presque... Je ne l'avais jamais vu aussi excitée. Tu sais qu'ils ont chez eux le fils de leurs amis de Grenoble...
-Oui et alors ?
-Il est entré dans la salle de bain pendant qu'elle prenait sa douche... A travers la porte vitrée, il l'a surprise en train de pisser, ça lui a foutu la gaule et il s'est branlé...
-Je l'ai vu ce gamin, pas mal mais un peu gringalet... Michel, tu lui as parlé, il est sympa ?
-Très, et pas bête ! Il est en fac de droit depuis la rentrée. Il doit venir demain après midi, je veux lui montrer mon nouvel ordinateur...
-Teste le un peu, on ne sait jamais...
-Jamais quoi maman ?
-S'il est branché cul...
-Je ne sais pas s'il est branché comme tu dis, mais il en parle...
-Vous avez parlé de quoi ?
-De sa copine qu'il vient de plaquer, elle ne voulait pas baiser avec lui, mais il l'a vu sucer un de ses copains...
-Michel, sucer, c'est pas baiser...
-Tu as raison mais, même ça, elle ne voulait pas lui faire...
-Peut-être qu'il a une petite bite !
-Sylvie, ne dit pas de bêtises...

Quelqu'un frappe à la porte, nous reprenons une tenue décente et je vais ouvrir.
Quand on parle du loup, on en voir la queue, c'est Jérémy qui me rapporte un bouquin.

-Excuse moi, mais tu m'avais dit que tu en avais besoin...
-Ça pouvait attendre demain tu sais...
-Demain je ne serais pas là, nous partons voir leur fille, elle a appelé...
-Tu es obligé d'y aller ?
-Non mais j'ai bien envie de la revoir...
-Tu la connais depuis longtemps ?
-Une douzaine d'années... C'était elle qui me gardait quand ses parents habitaient Grenoble.
-Entre, tu veux boire quelque chose... Je vais prendre une bière, la moitié avec moi ?
-Ok...

Mes parents ne sont plus dans le salon, en ramenant la bière, je vois sur le canapé, bien étalée le fond en l'air, la culotte de ma mère, Jérémy ne peut l'ignorer, il est assis juste a côté mais semble ne pas l'avoir remarquée.
En versant la bière dans son verre la mousse déborde, je vais chercher un sopalin dans la cuisine, a mon retour, la culotte n'est plus au même endroit.

-Jérémy, si tu veux voir mon ordinateur, nous pouvons y aller maintenant... Prend ton verre...

Je vais jeter la canette et le papier, dans une glace, je le vois prendre la culotte et la sentir, en revenant, son pantalon est gonflé...

-Suis moi...

Nous entrons dans ma chambre, mes parents doivent être dans la leur...

-Super ton portable...
-J'avais une vielle machine, je ne pouvais plus rien faire avec...
-Tu joues beaucoup ?
-Pas mal... Mais surtout, c'est internet qui m'intéresse... Alors tant qu'à faire, toutes mes économies y sont passées... 1400 euros...

Je le fais asseoir, la bosse de sa braguette n'a pas diminuée au contraire, il faut dire que sur mon bureau, j'ai une photo de femme nue les jambes écartées et la chatte béante...

-Alors Jérémy, ton séjour se passe bien ?
-Très bien... Dis moi, ta mère ne vient jamais dans ta chambre ?
-Si, pourquoi...
-Cette photo... Chez moi, je ne pourrais pas en avoir une comme ça, pas sur mon bureau en tout cas...
-Tu n'as plus 15 ans... C'est normal à notre âge non ? Tes parents sont si coincés que ça ?
-Pas coincés, mais...
-Essaie, tu verras bien leur réaction ! C'est cette photo qui te fait bander ou la culotte de ma mère ?
-Heu... Les deux... Tu m'as vu la sentir ?
-Oui, dans la glace de la cheminée... Tu aimes sentir ces bonnes odeurs ?
-J'aime bien... Je le fais avec celles de ma mère...
-Et tu te branles dedans...
-Oui... Tu le fais aussi ?
-Ça m'a passé mon vieux, mais je le faisais... Je le faisais aussi dans les slips de mon père d'ailleurs...
-Moi aussi... Mais je me suis fait gauler...
-Par ton père ?
-Oui... J'ai eu la trouille de ma vie...
-Et alors, ça c'est terminé par un rouste ?
-Pas du tout... Venant de se doucher, il m'a donné son slip sale...
-Cool ton père... Et alors, tu t'es branlé devant lui ?
-Je n'ai pas osé le faire, je l'ai regardé se doucher puis je suis parti...
-Tu avais déjà vu ton père à poil ?
-Oui, ça lui arrive de se balader dans la maison entièrement nu...
-Ta mère aussi ?
-Moins souvent, mais ça lui arrive aussi...
-Dis moi, tes parents, tu les as déjà vu baiser ?
-Non... Ce n'est pas l'envie qui me manque, mais je ne sais pas comment faire...
-Ils ne baisent que dans leur chambre ?
-Ça je n'en sais rien. Quelques fois je les entends mais c'est vachement frustrant... Et toi, tu les as déjà vu ?
-Oh moi... Tu as quel âge Jérémy ?
-18 le mois prochain...
-Tu as une copine ?
-J'en ai même deux depuis que je ne vois plus l'autre...
-Ouah, super !
-C'est des jumelles...
-Alors ça, c'est le pied total... Tu les baises au moins ?
-Oui...
-Ensemble ou séparément ?
-Ensemble depuis deux mois...
-Tu arrives à fournir ?
-Elles m'aident bien... Je voudrais te demander quelque chose... Elles adorent se faire prendre par derrière, au point que je les prends plus que comme ça, tu trouves ça normal ?
-Jérémy, visiblement, tu n'es pas au courant des choses du sexe... Pourtant, il me semble que cela ne devrait pas te rebuter si tu aimes certaines bonnes odeurs...
-Mais ça ne me rebute pas, au contraire, je prends bien mon pied...
-Je ne vois pas où est le problème alors...
-Elles ont juste 18 ans... C'est pour cette raison...
-Elles étaient vierges quand tu les as connu ?
-Oh non !
-Tu regrettes ?
-J'ai déjà dépucelé une fille, ça s'est bien passé pour elle mais pas pour moi...
-Comment ça ?
-J'ai eu beaucoup plus mal qu'elle tant sa chatte était serrée...
-Tu étais peut-être trop gros...
-Je n'en sais rien... En tout cas, je n'ai pas pu jouir dedans, j'ai du me branler...
-Tu baises avec des capotes au moins ?
-Bien sur... Même avec les jumelles, je sais que je ne suis pas le seul sur le coup.
-Avec les autres, elles restent aussi toutes les deux ensemble ?
-Je ne tiens pas la bougie, mais je crois...
-Vos petites orgies, vous les faites à quel endroit ?
-Chez elles, leurs parents sont souvent absents, ils sont forains... Chez moi, je ne pourrais pas...
-C'est toi qui ne veux pas ou tu as peur de tes parents ?
-J'ai déjà amené une fille chez moi, mes parents n'ont rien dit, mais des jumelles...
-Si j'étais le père d'un garçon qui se tape deux nanas ensemble, je crois que je serais fier de lui... Elles sont belles ?
-Oui... Tous les copains le disent, même les filles sont jalouses d'elles...
-Tes copains, ils ne sont pas jaloux de toi ?
-Pas que je sache, ils ont leur chance... Les jumelles, la fidélité, ce n'est pas leur point fort ! Elles ont même fait des photos de charme pour un magazine. Je les ai vues ces photos, je ne vois pas où est le charme ! C'est plus du porno qu'autre chose...
-Elles seront publiées ?
-Elles le sont déjà...
-Tu ne vois pas que le père tombe ‘'accidentellement'' sur ces photos...
-C'est possible, mais il faudrait qu'il achète cette revue et pas une autre, vu le nombre de parutions qui encombrent les rayons des marchands de journaux, le risque est minime...
-Elles ont été payées pour ça ?
-Et très bien payées... 4500 euros pour trois jours de travail... Le type leur a même proposé de faire des films pornos... Il parait que des vraies jumelles, c'est très demandé...
-Elles vont le faire ?
-Je n'en sais rien... Ce qui est sur, c'est qu'elles n'ont pas dit non tout de suite...
-Toi, tu en penses quoi ?
-Oh moi, je m'en fiche ! Elles font ce qu'elles veulent avec leurs culs... De toutes façon, elles veulent se tirer de chez leurs parents... Leur mère est sympa, mais le père est un gros pervers, con comme un balais... Il n'y a qu'une chose qui l'intéresse, voir les culottes des filles sur son manége...
-Sa femme ne réagit pas ?
-Elle fait ce quelle veut de son côté... C'est une très belle femme, ancienne reine des forains, à 43 ans, tous les hommes sont à ses pieds...
-Tu as l'air bien renseigné dis donc... Tu n'aurais pas des vues sur elle par hasard ?
-Il me semble que je pourrais l'avoir, mais elle n'est jamais seule... Si ce n'est pas son mari, c'est les filles... Il faudrait que j'aille dans la ville où ils travaillent, c'est toujours lui qui est aux commandes du manége, pendant ce temps, elle est libre...
-Alors tu n'as qu'a y aller...
-La plupart du temps, je ne sais pas où ils sont, et je n'ai qu'un scooter, si c'est loin...
-Évidement, vu comme ça... Si j'ai bien compris les filles ne les accompagnent jamais...
-Jamais... Leur père ne veut pas qu'elles viennent traîner dans les foires aux plaisirs, même quand ils travaillent sur Grenoble... Dans le fond, ça les arrange bien, elles sont libres de leurs mouvements...
-Si tu penses pouvoir attraper la mère, file lui rendez vous discrètement sous un prétexte futile, si elle est d'accord, ça se fera ou ça ne se fera pas, mais tu seras renseigné...
-J'y ai pensé... Dans quinze jours, il va en Allemagne pour voir les nouveaux ‘'métiers'' qui sortent...
-Pourquoi en Allemagne ?
-C'est eux qui détiennent le monopole de la fabrication des grands manèges en Europe, le salon est à Francfort, il sera absent une semaine...
-Et les filles ?
-Je verrais au bon moment... Si je peux lui parler seul à seul, je crois que j'ai mes chances...
-Tu es sur d'arriver à tes fins ?
-Un après midi, j'ai pu la toucher... Je venais voir les jumelles, mais elles n'étaient pas arrivées... La mère était en train de repasser seulement habillée d'un kimono court... Je lui voyais la naissance des fesses quand elle se penchait, je n'ai pu résister et je lui ai mis la main aux fesses...
-Elle n'a rien dit ?
-Elle ne s'est même pas retournée alors j'ai continué, mais les filles sont revenues ! Depuis, je ne l'ai jamais revue seule...
-Ça ne t'avait pas fait bander de la toucher ?
-Oh si ! Mais les filles n'ont rien vu, j'ai pris ce que je venais chercher et je suis parti... Chez moi, je me suis branlé dans une culotte de ma mère, mes doigts sentaient encore la bonne odeur de sa raie...
-Tu lui mettais les doigts au cul ?
-J'ai touché son petit trou, c'est tout...
-Ça, c'est un signe Jérémy, la prochaine fois tu vas la baiser, c'est sur... Si c'est une bonne baiseuse, il faudra que tu assures...
-J'assurerais ! Avec les filles, je suis à la bonne école, quand j'en baise une ça excite l'autre et vice et versa... Une fois, je les ai tellement baisées que je jouissais sans décharger, j'étais à sec !
-Elles se touchent ?
-Ça leur arrive, mais pas toutes les fois...
-Tu aimes les voir se toucher ?
-Au début, ça ne me plaisait pas trop, mais maintenant ça me fait bander. Elles sont salopes comme tu ne peux pas l'imaginer... Je les ai même vu se pisser dessus...
-Tu dois aimer ça, non ?
-J'adore tu veux dire... J'ai baisé une fille qui pissait quand je la prenais...
-Jérémy, j'entends du bruit, mes parents sont levés...
-Ils dormaient ?
-Une petite sieste tout au plus...

J'entends gratter à ma porte, c'est ma mère qui vient me voir...

-Bonjour Jérémy, nous ne t'avons pas entendu arriver...
-Bonjour madame. Je suis venu rapporter un bouquin...
-Alors Jérémy, ça doit te changer de Grenoble...
-Je me repose avant de reprendre le collier...

Ma mère n'est vêtue que d'un peignoir en éponge fermé par une ceinture, elle est pieds nus...

-Michel, ton père et moi allons au restaurant, tu viens avec nous ?
-Non maman, je vais rester un peu avec Jérémy... Les grosses bouffes c'est pas mon truc...
-Comme tu veux mon chéri, mais Mia sera déçue...
-Mia, je la vois deux fois par semaine à la gym... C'est ta copine maman, pas la mienne...
-Comme tu veux mon chéri... Tu as tout ce qu'il faut dan le frigo...
-Ok...
-Bon, je vous laisse, bisous les garçons...
-Michel, elle est super ta mère... Elle doit avoir une de ces paires de seins !
-Tu as vu ça toi !
-Tu sais, je ne regarde que ce que je peux voir...
-Tu aimerais les voir en vrai ?
-Tu es sérieux ?
-Bien sur ! Viens avec moi, je suppose qu'elle va se doucher, la porte de la douche est vitrée, tu verras tout...
-Mais si je la vois, elle aussi me verra...
-Jérémy, tu la regardes et tu fais ce que tu veux, si tu veux te branler, ne te gêne pas...
-Mais elle va me voir !
-Et alors, tu crois que les femmes n'aiment pas voir les hommes se branler ?
-Je ne sais pas...
-Tu y vas oui ou non ?
-Accompagne moi... Je ne sais même pas où se trouve la salle de bain...
-Tu ne peux pas te tromper, la porte sera ouverte...
-Ah bon, elle ne ferme jamais quand elle se douche ?
-C'est à cause de la buée sur la glace, la fenêtre de la salle de bain est gonflée par l'humidité, on ne peut plus l'ouvrir, magne toi, sinon elle aura fini...

Je le laisse partir, je sais comment réagira ma mère si elle le voit se masturber.
Je ne sais pas où se trouve mon père, en train de se préparer je suppose, il utilise la salle de bain de leur chambre et ne viendra pas les déranger...
Je mets un peu d'ordre dans ma chambre, ça m'arrange bien qu'ils aillent au resto, je vais pouvoir me reposer...
Cinq minutes passent et je vois revenir Jérémy, rouge comme une pivoine....

-Alors Jérémy, tu as vu ce que tu voulais ?
-Pour ça oui... Dis moi, j'ai vu ta mère se mettre un truc derrière, tu sais ce que c'est ?
-Oui... C'est un plug... Un gode spécial anal...
-Ça sert à quoi ?
-Jérémy, tu es vraiment naïf... Qu'est ce que tu fais, tu reste manger avec moi ?
-Il faut que je les prévienne...
-Voici mon portable...

Il passe son coup de fil, tout es OK, mes parents viennent nous saluer...

-Maman, Jérémy mange avec moi...
-Il y à tout ce qu'il faut... Débrouillez vous... Bonsoir...

Dès qu'ils sont partis, Jérémy se détend...

-Michel, je n'ai rien compris, ça sert à quoi ce gode qu'elle s'est mise derrière ?
-Ça dépend... Pour certaines, ou pour certain aussi, c'est pour assouplir le sphincter, tu comprends pourquoi... Pour d'autres, et c'est le cas de ma mère, c'est uniquement parce qu'elle aime...
-Elle va le garder toute la soirée ?
-Bien sur...
-C'est dingue ça...
-Ne cherche pas à comprendre...
-Il y à des hommes qui s'en mettent aussi ?
-Tu as certainement remarqué que nous n'avons qu'un trou... Les homos entre eux, ils s'enculent mon vieux... Tu ne le savais pas ?
-Attend, je ne suis pas idiot, je sais ce que c'est...
-Tu as déjà pratiqué ?
-J'ai fait trois ans de pensionnat en tant qu'interne...
-Tu t'es déjà fait enculer ?
-Plusieurs fois... J'ai enculé aussi...
-Ça ne te posait pas de problème ?
-Au début si... La première fois, le type avait un gros chibre, c'était notre pion...
-Et maintenant, tu le fais encore ?
-De temps en temps... J'ai un copain qui organise des soirées mixtes. En général, tous les garçons présents son ‘'bi''...
-Mixtes... Il y à des filles aussi ?
-Bien sur, autant que de garçons... Elles aussi sont toutes ‘'bi''...
-Vous en faites souvent des soirées comme ça ?
-Environ une fois par mois...
-Tu te fais enculer à chaque fois ?
-Pratiquement... Moi, je n'ai pas besoin de gode pour me dilater le cul...
-Tes copines sont au courant ?
-Bien sur, elles sont déjà venues...
-Jérémy, tu caches bien ton jeu... On te donnerait le bon dieu sans confession, tu sais...
-Je ne suis pas très démonstratif...
-Mais tu aimes le cul !
-Pour ça oui...
-Tu ne m'as pas dit ce que tu as fait en matant ma mère ?
-Je me suis branlé... Sur ses fesses...
-Et bien tu vois, je te l'avais dit !
-C'est un canon ta mère...
-C'est vrai qu'elle est très belle... Tu n'as pas vu mon père pendant que tu...
-Non, il n'est pas venu... Dis moi, tu as l'air très libre avec tes parents...
-Et ils le sont avec moi... Chez toi, si j'ai bien compris, avec les tiens ce n'est pas la même chose...
-Pas vraiment...
-Tu aimerais avoir plus de liberté avec eux ?
-Bien sur... Ils m'en laissent, mais pas comme je voudrais...
-Tu voudrais quoi en fin de compte ?
-Je ne sais pas... Chez moi, on ne parle jamais de sexe par exemple...
-Ils ne te posent jamais de questions sur ta vie sexuelle ?
-Pas mon père en tout cas... Avec ma mère, je suis un peu plus libre, elle sait pour les jumelles...
-Un garçon est toujours plus près de sa mère, c'est normal... Tu lui as dit pour ta bisexualité ?
-Je ne lui ai jamais dit que je me faisais enculer, mais elle sait que je le fais...
-Comment l'a-t-elle su ?
-Par hasard... Une copine m'a donné un des ses godes, et je l'ai oublié dans mon lit...
-Parce que tu te sers d'un gode ?
-Ça m'arrive !
-Toi alors, tu me la coupes !
-Si je suis excité, j'aime me branler en mettant quelque chose dans le cul...
-Il est gros ?
-Normal... De la taille de ma bite... Les jumelles en ont un plus gros, mais elles ne veulent pas me le prêter...
-Avec elles, tu t'en sers ?
-Elles s'en servent, pas moi... Je ne peux pas baiser les deux en même temps !
-Ok... Je vois le tableau ! Et alors, ta mère ?
-Elle a été surprise... Je lui ai raconté une histoire à dormir debout, ça l'a plutôt faite rire... Après, j'ai bien été obligé de lui avouer la vérité...
-Elle l'a pris comment ?
-Mieux que je croyais... Elle ne m'a pas engueulé en tout cas, c'est ce que je craignais le plus...
-Finalement, elle est peut-être plus ouverte que tu crois ?
-C'est possible... Michel, quand elle est venue m'en parler, elle l'avait dans la main... J'ai eu l'impression que ça l'excitait de toucher cette pine en latex...
-Une question... Ton gode, tu l'as senti après qu'elle te l'ai rendu ?
-Oui...
-Et alors, il sentait quoi ?
-Maintenant que tu m'en parles... Il ne sentait plus l'odeur de mon cul, j'en suis sur...
-Jérémy, ta mère s'en était servie, voilà l'explication...
-Tu crois ?
-Réfléchi un peu... Si ça l'excitait de le toucher devant toi, qu'est ce que ça devait être si tu n'étais pas là... A ta place, je ferais fait un test...
-En faisant quoi ?
-Tu le ranges, après l'avoir nettoyé, dans un endroit ou elle peut le trouver facilement sans fouiller partout... Il faut que tu le mettes d'une certaine façon et tu vérifies s'il a changé de place ou d'orientation par exemple, ça serait bien le diable si elle le remet exactement dans la même position au même endroit... Mais admettons qu'elle le fasse, tu peux aussi coller un cheveu, avec ta salive, sur le gland par exemple, s'il n'y est plus tu sauras qu'elle s'en est servie, et puis, il sentira peut-être encore
-Je sais qu'elle s'en sert... Un après midi, je suis rentré plus tôt que prévu, il n'était pas à sa place, une demie heure après, il était revenu comme par enchantement !
-Jérémy, puisque tu sais... Met lui le marché en main, propose lui de s'en servir devant toi...
-Ouah ! J'aimerais bien... C'est ce que tu ferais, toi ?
-Il y a des chances... De toute façon, qu'est ce que tu risques ? Qu'elle refuse tout au plus, mais si elle accepte, tu as gagné !
-Et je fais quoi pendant qu'elle s'occupe avec mon gode ?
-Ce que tu veux Jérémy, dans ce cas, c'est la porte ouverte à tout... Surtout si tu lui montres ta bite... A moins d'être idiote, choisir entre une pine en latex et une vraie, il n'y a pas photo, je sais ce qu'elle choisira...
-Mais c'est ma mère...
-Jérémy, j'ai dit seulement dans le cas ou elle accepte, tu ne vas pas la violer !
-Bien sur... Tu sais que j'ai fantasmé sur elle très longtemps...
-Tu ne vas pas nous refaire le complexe d'Œdipe tout de même, tous les garçons ou presque on fait ça...
-Toi aussi ?
-Bien sur, je suis tout à fait normal...
-Bon, admettons que ça marche, et mon père ?
-Quoi ton père ? Vous irez lui raconter ?
-Non... Enfin pas moi, mais elle peut le faire...
-Si elle le fait Jérémy, c'est que tes parents ne sont pas comme tu les vois... Mais fais attention quand même, il peut avoir des réactions à l'opposée de celles que vous souhaitez... La jalousie ça existe tu sais...
-Je ne crois pas... Dans le fond, j'ai le sentiment que mes parents sont assez cool... Ils ne le montrent pas c'est tout, mais j'ai des indices qui peuvent accréditer ma thèse...
-Des indices ?
-Je sais qu'ils regardent des films pornos tous les deux... J'en ai trouvé un dans un boîtier de DVD alors que j'avais le film dans ma chambre...
-Tu l'as regardé ?
-Bien sur... Le porno, c'est pas ma tasse de thé, mais celui là, je l'ai regardé jusqu'au bout... Un film Allemand d'une série spéciale...
-Mais encore ?
-C'était l'histoire d'une famille... Un couple, leurs deux filles et un garçon... Une vraie famille tuyau de poêle... Tu vois ce que je veux dire ?
-Bien sur... Donc, si tu pousses un peu le bouchon, tu devrais les mettre devant le fait accompli, après, tu gères ou tu ne gères pas, mais bon, au moins, tu sauras...
-Je ne sais pas si je pourrais ‘'gérer'' comme tu dis, mais je crois que ça me plairait bien...
-Alors la balle est dans ton camp ! Tu n'as trouvé qu'un film ?
-J'avoue que je n'ai pas cherché... J'ai remis le bon DVD dans son boîtier et leur porno bien en vue sur l'étagère, le lendemain il n'y était plus... Personne ne m'en a parlé...
-C'est récent cette histoire ?
-Un mois... Non trois semaines...
-A ton retour, tu devrais avoir des nouvelles... Ils auront eus le temps d'en parler...
-C'est ce que je pensais... En me mettant au train, ma mère m'a dit que nous partirons en week-end tous les trois, à mon retour...
-N'en déduis rien Jérémy...
-Ce sera la première fois, c'est ce qui m'étonne... Michel, tu es très au courant de ces choses...
-Oui Jérémy, tu sais en général, je ne parle que de ce que je connais...
-Tu veux dire que toi et tes parents ?
-Jérémy, j'ai une grande liberté avec mes parents, cela ne me perturbe pas et ils ne sont pas perturbés non plus... Mais rassures-toi, je ne suis pas le seul dans ce cas. Si tu veux, nous allons manger, j'ai faim...

En passant dans le salon, la culotte de ma mère est toujours sur le canapé, Jérémy y jette un oeil distrait, nous passons dans la cuisine...
Le repas terminé, nous revenons au salon, je l'invite à s'asseoir ses yeux ne quittent plus la culotte...

-Tu peux la prendre...

Il s'en saisit et la passe sous son nez, aussitôt une bosse gonfle son pantalon...

-Tu peux te branler dedans si tu veux...
-C'est vrai, je peux ?
-Bien sur... Regarde le fond, tu vois ces traces de mouille...
-Comment sais tu que c'est de la mouille ?
-L'expérience Jérémy... Le pipi laisse des traces jaunes, comme celles au milieu du fond...

Il se lève, défait sa ceinture, enlève son pantalon et son slip, sa queue raide est tendue devant lui, je suis étonné par la taille de l'engin...
Il se rassoie et entame une masturbation avec la culotte sous son nez puis il serre sa queue avec le bout de tissu et décharge...
Plusieurs jets fusent et atterrissent sur la table basse, le dernier dans la culotte qu'il porte à sa bouche et la mâchonne...
Assis au bord du siège, il relève les genoux et se fourre deux doigts dans le cul, l'autre main continuant la masturbation sur sa queue qui ne débande pas...
Sa main s'agite dans son derrière avec trois doigts maintenant, ce spectacle me met dans tous mes états, je bande et j'ai bien envie de faire comme lui...

-Michel, si tu veux m'enculer...

La proposition est tentante, je retire tous mes vêtements et je m'avance la queue en main...

-Encule moi, défonce moi le cul... Je vais encore jouir...

Pendant que je l'encule, il se branle à toute vitesse, son gland mouille et il jouit.
Sa décharge m'arrive sur le ventre, je me démène dans son cul et je me bloque au moment de décharger...
Je balance mon foutre dans son boyau et je me retire, mon gland n'est pas très net.
Il regarde ma queue qui ne débande pas, sa tête avance et il embouche mon chibre pour me faire un nettoyage complet.
Sa queue est toujours raide, je l'enjambe en la guidant et je m'assoie sur ses cuisses sa belle pine enfoncée dans mon cul.
C'est moi qui monte et descend, sa bite me ravage le fondement, je me branle en même temps.
Je ne sais pas s'il va jouir mais moi je suis prêt, j'accélère ma masturbation et je décharge de nouveau.
Lui aussi vide ses couilles dans mon cul, je sens sa décharge arriver et je ne bouge plus pour le laisser finir et je me lève.
Son gland est maculé, je l'invite à me suivre dans la salle de bain...

-Si tu veux te doucher...
-Avec toi...

Séchés, nous revenons au salon, nos queues sont flasques...

-Jérémy, c'était super...
-Pour moi aussi... Excuse moi, mais je vais devoir y aller, demain nous partons de bonne heure...
-Bonne nuit Jérémy... Si tu as le temps reviens me voir avant de partir...
-Je n'y manquerais pas... Salut Michel...

Je ne vais pas attendre mes parents, ils risquent de rentrer tard, une bonne nuit de sommeil me fera du bien.
Avant de m'endormir, je jette un oeil sur le bouquin que m'a prêté Ludivine, en commençant par les illustrations, c'est vrai qu'il n'est pas à mettre en toutes les mains.
Les chapitres sont explicites au niveau des titres, aucune ambiguïté sur leurs contenus.
Mon téléphone me sort de mes rêveries, c'est Ludivine qui veut savoir si j'ai commencé la lecture.
Je lui dis que j'ai parcouru un chapitre ou deux, que je suis en érection, et que je me branle en lui parlant.
En riant, elle me souhaite bonne nuit et raccroche.
Plusieurs planches, superbement dessinées, sont en rapport avec un chapitre, il m'a semblé comprendre que toute une famille allait se retrouver, dans la maison des grands parents, à la campagne.
Je reprends dès le début du chapitre sans sauter une ligne, la situation est très bien décrite, je me laisse emporter par le récit.
La queue dressée, je me touche de temps en temps et j'étale les gouttes qui perlent au bout de mon gland.
En avançant dans le récit, mon excitation monte, mais je ne me branle pas, ma queue devient de plus en plus dure, ma mouille dégouline jusque sur mes couilles.
Il me vient l'idée de tenter une expérience, je sors de sous mon oreiller, le gode avec lequel je m'encule en me branlant et je le pousse dans mon cul.
La sensation est divine, je m'encule doucement, le gode glisse bien, je le pousse le plus loin que je peux.
Il me semble que je vais jouir sans toucher ma pine, ce sera la première fois, mais je fais encore durer le plaisir.
Absorbé par le récit de l'orgie qui se prépare, je n'entends arriver mes parents que quand ils passent devant ma porte.
Ma mère remarque tout haut qu'il y à de la lumière dans ma chambre, trop excité, je continue ma lecture, l'orgie familiale bat son plein.
Un grattement me fait tourner la tête vers la porte de ma chambre, la poignée tourne et mon père pousse la porte...

-Michel, tu ne dors pas ?
-Non papa, je lis un bouquin que m'a prêté Lulu...
-Et bien dis donc, je ne sais pas ce que c'est comme livre, mais il à l'air de te faire de l'effet !

Il est nu au bord de mon lit et regarde ma pine dressée, sa queue grossit et se dresse par saccade, d'une main il décalotte son gland et se caresse doucement.
Ma mère s'encadre dans la porte, nue elle aussi, un peu étonnée de nous voir en érection...

-Michel, on dirait que tu te faisais plaisir...
-C'est son bouquin qui l'excite on dirait... Fait voir...

Je lui tends mon livre qu'il feuillette rapidement...

-Vu les planches de dessins, ce n'est pas étonnant...

Ma mère s'avance et s'assoie sur mon lit en suivant du regard mon bras passé sous ma cuisse.

-Marc, viens voir... Il s'est mis une gode dans le cul...

Mon père pose le bouquin et avance au pied du lit, je relève les genoux pour qu'il puisse bien voir le gode enfoncé jusqu'à la base.

-Dis donc Michel, c'est un des godes de ta mère ça !
-Non papa, c'est le mien, c'est Lulu qui me l'a offert...

Il se branle en me regardant, le gland près de la bouche de ma mère qui s'avance pour le sucer.
Tout en le suçant elle empoigne ma queue et me branle doucement, je reprends mon enculade en sortant complètement le gode et en le remettant d'un coup.
Je dois arrêter sinon je vais jouir, j'extrais le gode et le laisse tomber sur la descente de lit.
Ma mère lâche ma queue et celle de mon père, lentement, en rampant sur moi, les cuisses écartées, elle présente ma pine et se laisse tomber, j'entre dans sa chatte jusqu'aux couilles.

-Prend moi le cul Marc, vous allez me faire jouir mes deux hommes...

Je sens la queue de mon père qui coulisse sur la mienne, je ne peux presque pas bouger, je le laisse faire le travail.
Les seins de ma mère sont écrasés sur ma poitrine, la tête dans mon cou elle me parle à l'oreille...

-Baise moi mon grand, je veux jouir avec ta belle queue pendant que ton père m'encule... Bouge chéri, je vais venir...
Je sens arriver son orgasme, le mien n'est pas loin, mon père accélère son mouvement puis il se bloque, nous jouissons tous les trois...
Après quelques instants, mon père se recule et sort, ma queue libérée de la pression nage dans la chatte engluée de cyprine.
Avant de débander, je fais encore quelques mouvements, ce qui semble provoquer un nouvel orgasme à ma mère.

-Je jouis encore chéri, baise moi...

Effondrée sur moi, elle ne bouge plus, je débande sans sortir de sa chatte, la mouille et mon sperme dégoulinent sur mes couilles.
Mon père est sorti de ma chambre, certainement pour aller se laver, ma mère se relève et, doucement s'allonge à côté de moi.

-C'était fabuleux chéri... Porter ce plug toute la soirée m'a excitée, au restaurant, je me suis masturbée sous la table...
-Personne ne t'a vue ?
-Oh non ! Nous étions dans un coin...
-Tu as joui ?
-Non chéri, mais j'aime ça...
-Je croyais que vous alliez rentrer plus tard...
-Tu le regrettes ?
-Non...
-Nous sommes passés au jardin botanique, mais il n'y avait personne à cause des travaux...
-Vous y allez souvent ?
-Moins depuis quelques temps, la preuve, nous ne savions pas pour les travaux.
-S'il n'y à plus personne, le gens doivent bien aller ailleurs...
-Peut-être, mais nous ne savons pas à quel endroit...
-Mois je sais, enfin je crois savoir... C'est sur la route du parc des expos, derrière l'ancienne usine de plastiques...
-Comment tu sais ça toi ?
-Parce que j'y passe en rentrant du sport...
-Et tu t'y arrêtes ?
-Non maman, j'ai pas envie de me faire tire

Publié dans : Histoires Coquines
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Mardi 15 août 2 15 /08 /Août 09:17
llo ! Allo !
La voix était troublée au téléphone Bonjour Vous êtes bien chez Cathy, je ne suis pas là pour l'instant mais vous...

- Cathy décroche Bon sang, c'est Marie-Claire !!!

- Allo Marie-Claire ! Que se passe-t-il ??

- Je viens encore de recevoir une lettre de menace !

- Et qu'en pense ton mari… !

- Il est pas là, il est en voyage d'affaires. Cette fois j'ai vraiment peur...

- Sais-tu qui peut te l'avoir écrite ?

- Aucune idée mais çà viens du bureau de mon époux et je sais qu'une de ses collègues a le béguin pour lui.

- Une histoire de cul quoi.

- Sans doute.

- Et tu ne vois pas qui cela peut-être ?

- Elle ne sont que trois : il y a Annabelle qui n'est pas très jolie, peut-être qu'elle fantasme, ou Pauline mais elle a cinquante ans passés, peut-être un retour d'hormone ou alors Marie-Claude.

- Marie-Claude c'est cette femme que l'on a croisée l'autre jours au bassin ! Cette jolie brune aux formes éloquentes.

- Oui oui c'est elle.

- Elle a un de ces cul, un peu gros mais du genre qui excite les homme un max et puis ses seins ne manquent pas non plus de présence, tu peux la retirer de la liste crois-moi, cette femme n'a qu'à se baisser pour ramasser les hommes
- Tu crois ?

- Bien sûr un mec ça pense avec sa bite et cette Marie-Claude là elle en lève plus d'une c'est certain.

- Tu pourrais pas venir ?

- J'arrive je vais demander à Frank de venir me rejoindre chez toi, tu sais il est de la police et son avis ne sera pas peu intéressant.

- Je t'attends.
Le temps passe et Cathy sonne à la porte et c'est une Marie-Claire à moitié dévêtue qui vient lui ouvrir la porte. Elle semble gênée comme si quelque chose se passait dans le coin de la pièce.

- Alors, quoi de neuf ? s'enquit Cathy..

- Entrez ! gronde une voix féminine derrière la porte. Et ne vous avisez pas de crier ou je lui fait sauter la cervelle ! Et toi, ferme ta gueule ! Cathy entre à petits pas, et découvre une femme, un pistolet à la main, pointant directement sur la tête de Marie-Claire. La femme a l'air tendue, stressée.

- Alors comme ça, c'est toi la petite pute qui vient en aide à notre amie ?

- Je vous en prie, formule doucement Marie-Claire...

- Ta gueule salope ! Je t'ai déjà dit de la fermer !
Elle leva le pistolet et l'abattit, crosse en avant, sur la mâchoire de Marie-Claire.
Bing !
Marie-Claire tomba lourdement, presque assommée.
Sa robe de chambre était tirée sur le côté et laissait apparaître sa toison.
Cathy se baissa pour l'aider à se couvrir et à se relever.

- Stop ! Relève-toi, toi ! Laisse-là par terre... elle le mérite bien !

- Mais que nous voulez-vous ? Pourquoi cette violence ? demanda Cathy, implorante.
Elle était au bord des larmes, ses mains tremblaient.

- Ah ! Parce que tu as l'air de ne pas le savoir ! Coquine ! répondit la femme.
Toi par terre, explique-lui ! Tu es le personnage principal de l'histoire, non ?
Crache le morceau, chienne ! On verra si ton amie veut toujours te porter secours après ça !
Sur le moment Cathy n'avait pas reconnu la femme au revolver, mais lorsque son visage sortit de l'ombre elle reconnu Marie-Claude.
Marie-Claire dit à Cathy que Marie-Claude était folle de rage parce qu'elle était sortie avec son mari à l'époque du lycée et qu'elle pensait avoir un droit sur son amour, elle ne voulait pas croire qu'elle n'était qu'un cul de plus dans une galerie qui en comptait beaucoup.
Marie-Claude s'énerva :

- Attention j'en ai tué d'autre pour moins que ça !
Puis elle demanda aux deux jeunes femmes de se mettre nues et porta une main masturbatoire vers son clitoris.
Cathy s'exécuta rapidement et glissa à l'oreille de Marie-Claire qu'il fallait tenter de gagner du temps, Frank ne saurait tarder.
Marie-Claude menotta les deux femmes et commença à son tour à se déshabiller.
Elle se tourna d'un coup et leur fit admirer son beau gros postérieur nu...
Marie-Claire, à qui le postérieur, bien que très plaisant au regard, ne plaisait pas tant que ça, détourna la tête... ce ne fut pas le cas de Cathy, chez qui des tendances lesbiennes lui laissaient toujours apprécier les belles choses.
Marie-Claude s'en aperçut et lança :

- Toi, la blonde, approche-toi !
A genoux et les mains attachées dans le dos, Cathy s'avança lentement, en titubant. Lorsqu'elle arriva à la hauteur du fameux cul, Marie-Claude recula d'un coup pour faire rebondir le visage de Cathy dessus... ce qui fit son effet... faisant basculer Cathy sur le dos. A cet instant précis, Marie-Claude s'assit sur elle, et écartant les cuisses se frotta vigoureusement le minou sur le visage de Cathy.
Cette dernière, obéissante, se laissa faire, sortant la langue et fermant les yeux.
Marie-Claude poussait des râles de plaisir... se tortillant au-dessus de la langue qui la pénétrait. Elle fouettait doucement le haut des cuisses de Cathy qui se prolongeaient devant son ventre.
Marie-Claire, à qui le spectacle ne plaisait pas du tout, cria :

- Mais laissez-là tranquille ! Elle ne vous a rien fait !
Marie-Claude, fâchée la fouetta à son tour.

- Tais-toi, salope ! Elle reprit ses mouvements de plus belle, empêchant presque sa soumise de respirer...
Marie-Claire qui avait réussit à se défaire des menottes s'approcha de Marie-Claude qui ne l'avait pas vue et elle la menotta à son tour :

- Ma salope maintenant tu vas parler ! S'exclama Marie-Claire.
Cathy reprit :

- On va te faire avouer tes crimes et te faire jouir jusqu'à que tu demandes grâce !

- Détachez-moi tout de suite ! Les seins de Marie-Claude pointaient et étaient durs.
Cathy fit mettre Marie-Claude cul en bombe et pour s'amuser s'empara d'un cactus à la forme oblongue.

- Tu ne trouves pas qu'il ressemble étrangement à une bite ! S'amusa-t-elle et elle l'approcha lentement vers le cul nu et offert de Marie-Claude
- Ne fait pas ça malheureuse !! Les pics de ce cactus sont mortels !
Cathy reposa directement le cactus sur le sol
- On n'a pas idée de garder cela chez soi !!!

- Je vais penser à le jeter bientôt… Pendant ce temps Marie-Claude était tout en sueur.
Cathy demanda à Marie-Claire si elle n'avait pas un godemichet. Marie-Claire lui donna et le jeu pu recommencer.

- Ah ce cul m'excite ! reprit Cathy et elle leva le godemiché comme s'il s'agissait d'une bite attachée à son corps et pénétra Marie-Claude.
Même si peu surprise par cette pénétration, Marie-Claude poussa un cri que l'on ne pouvait ni classer dans le registre de la douleur, ni dans celui de la jouissance. Derrière elle, Cathy donnait de grands coups de bassin, tenant bien serré l'ustensile qui disparaissait dans le vagin de la soumise.
A côté d'elles, Marie-Claire rigolait : le spectacle était trop comique.
Marie-Claude était accroupie, les mains attachées dans le dos et grimaçait de tous les visages possibles, et Cathy était à genoux derrière elle, lui balançant de grands coups de hanches en tenant l'engin dans sa main. De temps à autre, elle donnait une grande claque sur le cul de sa 'chose', et cette dernière gémissait.

- Arrêtez ! Arrêtez tout de suite ! Lançait Marie-Claude entre deux gémissements.

- Mais non, pas tout de suite ! On va te faire jouir d'abord ! Et comme il faut!
Cathy attrapa les poignets de Marie-Claude et les tira vers elle.
Marie-Claude se cambra d'un coup. Cathy la tenait prisonnière.
Marie-Claire en profita pour remplacer Cathy dans le rôle du marteau-piqueur.
Elle attacha le gode-ceinture à sa taille, bien serré pour qu'il tienne bien, et les aller-retour reprirent de plus belle.

- Qu'est-ce qu'on s'amuse ! Lança Cathy en se glissant devant Marie-Claude.
Tout à coup, on frappa à la porte. Cathy s'empressa d'aller voir : c'était Frank qui arrivait.

- Vite, mets-toi à poil ! Lui lança-t-elle.
Frank obtempéra.
Elle le tira jusque devant Marie-Claude et la lui présenta :

- Frank : je te présente Marie-Claude. Elle attendait impatiemment que tu arrives. Marie-Claude, je te présente Frank, je le connais bien et suis sûr qu'il aimerait que tu le suces. Par contre, tu n'as pas intérêt à lui faire mal, ça se passerait très mal pour toi.
Marie-Claude hocha la tête, montrant qu'elle avait bien compris.
Frank passa devant elle et lui présenta son énorme verge. Impressionnée, Marie-Claude roulait de gros yeux. Elle ouvrit lentement la bouche et dès que ce fut possible, Frank s'enfonça violemment dedans. Marie-Claude faillit s'étouffer. L'homme donnait de grand coups de bite dans la bouche de Marie-Claude, Marie-Claire lui donnait aussi de grands coups de gode, et Cathy mirait la scène, souriante (et très excitée). Que n'aurait-elle pas donné pour qu'un autre homme entre dans la pièce à ce moment précis !
Frank bourrait la tête de Marie-Claude comme s'il s'agissait d'un cul c'est alors qu'Alberto le coéquipier de franc fit son apparition et s'étonna de la scène.

- Merde que se passe-t-il ici ?!
Cathy qui n'en pouvait plus lui dit qu'elle n'attendait plus que lui.

- Ok, mais pas longtemps parce que j'ai garé une voiture bourrée de Nitro devant la maison, il faut que j'apporte cela au poste au plus tôt.
Frank lui demanda :

- Tu as arrêté toute la bande ?
Ouais, sauf leur chef y parait que c'est une femme, une nommée Marie-Claude, une polonaise avec un beau gros cul.
A ce moment Marie-Claude s'extirpe des griffes de Frank, démenottée, et tente de se sauver.
Cathy pendant ce temps a englouti la bite d'Alberto...

- Holà ! Vous êtes bien rapide, Madame...

- Mademoiselle, s'il te plaît, glissa-t-elle entre deux 'bouchées'.
Elle était accroupie à ses genoux et tétait le gland avec ardeur, d'une main en coupe sous ses testicules elle les caressait du bout des ongles.

- Mais... Frank...

- Tais-toi, il est déjà bien occupé !...
En effet, Frank avait attrapé Marie-Claude par le poignet, l'empêchant de s'enfuir et l'avait rabattue par terre.

- Alors comme ça, c'est toi le boss de cette ridicule organisation de malfaiteurs ? Tu es fière de toi j'espère ! Esclavagiste !
Tombant à plat ventre, sa tête percuta le sol avec fracas. Elle resta inconsciente une seconde, le temps que Frank lui relève les hanches et la pénètre sauvagement.
A côté, Cathy avalait consciencieusement le gros membre d'Alberto, dont le visage rougissait de plus en plus... Savante fellatrice, Cathy le maintenait au bord de l'orgasme.
Marie-Claire, pour sa part s'était approchée d'eux, et s'accroupit à genoux à côté de Cathy. Elle attendait qu'elle lui 'passe la main', si l'on peut dire.
Remarquant la demande, Cathy aida le chibre à pénétrer Marie-Claire, tout en se masturbant. Alberto, d'habitude fidèle monogame et catholique pratiquant, il n'y croyait pas à ce que les deux femmes lui faisaient subir : l'une lui avait offert sa bouche, se délectant, et l'autre son cul, en miaulant. Il donnait de grands coups de butoir, et Marie-Claire s'extasiait.
De son côté, Frank (sans arrêter ses mouvements de bassin) usait maintenant du godemiché, l'introduisant petit à petit, et très lentement, dans l'anus dilaté de Marie-Claude. Cette dernière criait, refusait, s'exclamait, de toutes ses forces. Elle se cambrait vers le bas, puis remontait, essayant de faciliter le passage de l'engin. Elle se débattait, mais ses poignets étaient bien tenus derrière son dos par la main de Frank. Tout à coup, elle arriva à en extraire un de la solide étreinte, et le passa directement entre ses jambes. Amusé, Frank prit ce geste comme masturbatoire...mais Marie-Claude était plus vicieuse que cela. Sa main ouverte ne s'arrêta pas à son con, comme on aurait pu le croire, mais passa cette frontière et attrapa les couilles du mâle et les pressa furieusement, les secouant de tous les côtés.
Criant de douleur, Frank se jeta en arrière, et Marie-Claude lâcha prise. Elle se trouva projetée face en avant... et profita de l'élan pour avancer (à genoux, et un gode dans le cul, ne l'oublions pas) brinquebalant du cul, vers la fenêtre, sur laquelle elle se hissa. Avant de s'y laisser glisser, elle lança à l'assemblée :

- Vous ne m'aurez pas comme ça !
Frank, dont les réflexes étaient les plus aiguisés (même lorsqu’il avait les couilles en pâle état) avait pris le temps de s'élancer vers la fenêtre... et tendant le bras pour attraper Marie-Claude, il glissa et frappa main à plat dans le godemiché qui se planta au plus profond du cul de Marie-Claude qui se jetait en avant.
Elle tomba de la fenêtre en hurlant, projetée plus loin que ce qu’elle n’aurait voulu, et dans un cri ultime s'écrasa, la tronche effarée, toute nue trois étages plus bas sur la voiture d'Alberto... qui, bourrée de Nitro explosa dans une immense gerbe de flammes.
C'est à ce moment précis que Marie-Claire et Alberto s'envolaient dans un orgasme commun, de force décuplée par l'explosion.
Des flammes montèrent jusqu'à leur niveau, tous quatre les regardaient lécher le montant de la fenêtre.

- Mon Dieu ! Quelle fin sordide et toute nue en plus ! S'exclama Marie-Claire !

- Oh ! Ce n'est rien ! Ca finit toujours dans une grande explosion... Mais, je trouve ça plutôt bien ! répondit Cathy, sourire en coin.
En direction de Frank :

- Et pour toi, chéri, ça va ?
Frank, dont les parties génitales n'avaient pas été sérieusement endommagées, les massait doucement...

- Hum… j'ai failli exploser aussi !
Tous quatre éclatèrent de rire... et se rapprochèrent, s'épiant les uns les autres. Ils s'allongèrent à même le sol, et chacun cajola ses voisins de douces caresses...
Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 14 août 1 14 /08 /Août 10:19

Salut Juju!!

 


 

Bravo pour ton site, c'est génial, il y a plein de "belles choses" à voir!!

 


 

J'apporte donc ma contribution avec deux photos d'une de mes ex, on filait le parfait amour et elle m'a laissé tomber du jour au lendemain, je n'ai jamais su pourquoi...

 


 

Mais ce n'est pas pour me venger que je met en ligne ces photos, je trouve qu'elle a un très joli corps (que de bon momments passés avec elle!!!) et j'en laisse profiter les autres qui peuvent laisser leur avis du momment que ça reste sympa.


Par metzguill57 - Publié dans : Histoires Coquines
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Dimanche 13 août 7 13 /08 /Août 09:20
salut je me presente benjamin chatain 1.80 m 75 kilos yx bleus. cette histoire c'est passée il y a maintenant 7 ans, j'avais alors 18 ans ca fesait 1ans que je sortait avec ma copine lea et cela fesait a peine quelques semaines qu'elle m'avait permis de prendre son hymen (cool).
lea a une soeur qui se prenome Audrey elle avait a l'époque 2 ans de moins que moi, tres mignone comme fille et en avance sur son age, elle aimait se vetir court et aguiché les mecs mes avant le fameux jours je ne lui apporté aucune importance elle est brune, les yeux verts, une jolie paire de seins surement du 85 c pour ce que je m'en souvient, de taile moyenne.
un jours d'ete ma copine et moi etions entrain de faire l'amour quand nous entendimes audrey rentré dans sa chambre qui se trouve en face de celle de lea, nous continuames en essayant de faire le moin de bruit possible jusqu'au moment ou je la fit jouir comme a son habitude elle ne sait pas se taire quand il le faut et je suis obliger de mettre ma main devant sa bouche pour ne pas nous faire entendre dans toute la maison.ou fois calmer ma copine c enlever de moi et c mit a me faire une fellation du tonnerre , je ne fut pas long a venir et comme toute bonne éleve , elle avala tout, me remetant de mes emotions je remarqua qu'Audrey ete sur le pas de la porte entrain de nous regarder,puis quand elle a remarquer que je l'avais vue elle retourna dans sa chambre.
malheuresement pour moi ma copine devait partir pour son cours de danse, malheureusement car meme si j'avait jouit mon envie de baiser etait toujours la et d'avoir ete surpris par audrey n'aranger rien a cela.une fois parti lea me laissa seule dans sa chambre avec la promesse de reprendre ou on en etait apres son retour.ne sachant quoi faire je me suis allongé dans son lit pensant me reposer un peu, mais au bout d'une heure le desir etait trop fort et j'ai commencée a me carresser la verge, je me suis demandé a ce moment la si audrey etait toujours dans sa chambre et decide de regarder par le trou de la serrure pour voir ce qu'il en était.
qu'elle ne fut pas ma surprise de voir sa porte grande ouverte et elle completement nue entrain de se coiffer les cheveux, cela dura quelleques minutes puis je la vit se deplacer et s'asseoir sur son lit, de la ou j'été je la voyais tres bien et mon interet s'acrut quand je vit qu'elle commencer a ce carresser les seins puis descendre vers sa chatte elle ete toute rasée, je veut bien croire qu'elle été jeune, mais à 16 ans il devrait quand meme y avoir une belle toison (non?).mon envie de me caresser avais facilement doublé depuis quelque minutes ou depuis que je voyais audrey ce carresser le clito et de temps en temps se mettre un ou deux doigts dans sa grotte, je decida d'ouvrir la porte pour qu'elle me voit me branler, quand elle me vit elle ne fut pas du tout surpriselle continua avec un sourire malicieux aux levres
je le voyais aller de plus en plus vite avec ces doigts,je cru que mon gland allait exploser,elle se vit jouir , elle été merveilleuse avec ces spasmes et son rire d'adolescente, moi pedant ce temps la je continuer a me branler elle s'approcha de moi puis se mis a genoux devant moi et me carressa les couilles pendant que je mastiquer le manche.quand je fut sur le point de jouir elle mit ma bite dans sa bouche et avala tout mon foutre. une fois fi ni elle me dit qu'il aurait été dommage de salir la moquette. elle repartis dans sa chambre et je put la voir se rhabiller d'une jupe qui cachait a peine sa culotte et d'un petit top sans soutif (biensur). elle repassa devant moi et m'embrassa puis me dit a bientot. ma copine revint une demi heure apres je ne lui est rien dit mais malheuresement pour elle mon envie ette passé et c'ete sa soeur qui en avait profiter.

a bientot
Par Ben - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 10 août 4 10 /08 /Août 09:13
Cela faisait 3 ans que j'étais avec ma copine Karine une superbe femme de 23 ans pas très grande 1m65 des cheveux blond coupé au carré avec un superbe regard bleu vert, et aussi avec un superbe corps. En effet malgré sa taille moyenne elle avait une jolie paire de jambes longiligne comme je les aimes ; jambes qui des qu'il commence à faire froid elle gaine dans des bas et qu'elle recouvre d'une jupe courte de préférence avec des bottes. Ce genre de tenue même si elle fait clicher m'excite beaucoup. Au niveau de ses formes elle n'avait rien n'a enviait aux autres filles. Elle a une paire de fesses qui, lorsque qu'elle est moulée dans ses pantalons ou ses jupes fait retourné tous les mecs dans la rue. Surtout que depuis que je suis avec elle je ne les aie jamais vu dans autre chose que dans un string. En ce qui concerne sa poitrine elle est tout bonnement la plus jolie qu'il m'ai été donné de voire. Karine possède un magnifique 85B qui lorsqu'il n'est pas tenue par des soutient gorge se tiens magnifiquement bien. Elle possède de large aréole sombre avec ces tétons qui pointe fièrement au centre et qui sont très sensibles chez ma chérie. En ce qui me concerne à 23 ans également je ne suis pas mal non plus. D'après Karine je possède une belle paire de fesses musclés et un joli torse accompagné par des petites tablettes de chocolat. Sinon je ne suis pas très grand avec mon mètre soixante seize. Je suis brun les cheveux court et j'ai les yeux marrons vert.

On vivait heureux avec Karine tantôt chez l'un tantôt chez l'autre. Et oui on vivait encore chez nos parents car nous avions décidé de faire des études longues. Ce week-end là on était chez Karine car sa soeur qui habite Paris avec son mari devait venir passer le week-end chez ses parents. La soeur de Karine qui s'appelle Stéphanie est très jolie et ce n'était pas la première fois que je la rencontrer car elle venait régulièrement voir ses parents. Cette fois là ils devaient venir passer le week-end entier ici, chose très rare car d'habitude ils ne venaient que pour la journée. J'aimée bien ces journées car je m'entendais bien avec tout le monde. Mais la vrai raison et que je pouvais en profiter pour mater Stéphanie. En effet pour ses 35 ans elle était vraiment très jolie et elle faisait attention a son corps qu'elle entretenait en faisant de la gym. Stéph comme je l'appelait, été un petit peu plus grande que sa petite soeur avec ses 1m70. Mais en ce qui concerne son corps il été taillé dans le même moule avec une poitrine plus importante pour Stéphanie quand même. Le jour de leur arrivée j'aidais ma belle mère à préparer le repas tandis que Karine se faisait belle. Ma belle mère était beaucoup plus petite que ses filles et avait beaucoup plus de formes, mais ce qui attirait les yeux au premier regard sur elle est son opulente poitrine. En effet par rapport a sa taille elle possédait un énorme paire de seins c'était un bon 95D. Je le sais car elle laisse négligemment son soutif posait dans la salle de bain, et comme je suis un fan de belle lingerie je ne pouvais qu'être attiré par ce dernier. Et j'aime quand je suis tout seule dans la salle de bain, porter a mon nez cet étoffe de dentelle. Ce jour là ma belle mère Christine était très en beauté avec un ensemble composée d'une grande jupe au ton de marron fendu assez haut, accompagné d'un petit haut pas trop décolleté mais assez ample pour, lorsqu'elle se penche, laisser admirer sa dentelle. C'est en aidant et en matant Christine que j'ai passée le début de soirée car on était vendredi soir. Le seul problème est que j'ai du essayer de cacher mon érection à Christine, chose pas facile étant en costume. Lorsque Karine sorti de la salle de bain j'en rester bouche baie. Elle était vraiment magnifique dans une mini jupe assez sage car elle arrivait juste au dessus des genoux, et avec comme haut un chemisier blanc pas transparent mais qui était rester assez ouvert pour deviner un jolie bustier noir et sa dentelle au niveau de la poitrine. Je connaissais bien ce bustier pour le lui avoir offert et je savais donc que ma chérie avait mis des bas attacher aux jarretelles de ce bustier.
K (Karine) ; M (moi)
K : Est bien comment me trouves tu ?
M : Tu es magnifique mon amour, je dirais même que tu es très excitante.
Et sur ce je m'approché d'elle pour lui donner un baiser fougueux qu'elle me rendit. Alors que nous étions en pleine effusion Christine sort de la cuisine et nous dit :
C : Et la doucement tout les deux calmer vos ardeurs, nos invités sont arrivés.
Nous sommes tous descendu accueillir les invités. Après avoir dis bonjour à Stéphanie, qui été enveloppée dans un grand manteau, ainsi qu'à son mari Sébastien, j'aidais à décharger leur valise que je montai dans la chambre d'amis. Pendant le temps que je m'occupais des bagages nos invités étaient montés dans la salle à manger et j'allais donc les rejoindre. Sébastien était en costume classique, alors que Stéphanie était dans une toute nouvelle tenue. Elle était splendide, elle portait une robe de soirée qui mettait magnifiquement en valeur. Cette robe était dos nue avec de fine bretelle et un large décolletée, mettant sa poitrine en avant et attirant l'oeil. En ce qui concerne ses jambes elles étaient cachées jusqu'en dessous du genoux par sa robe, qui était fendu assez haut. Part la fente on pouvais apercevoir des bas qui étaient auto fixant. Tout le monde la félicita pour sa beauté. Pendant ce temps mon beau-père servait l'appéro qui était un kir au champagne. On discutait de tout rien, Steph était placée dans le canapé à côté de Karine et Sébastien. Quand à moi j'étais dans un fauteuil en face, et mes beaux parents sur des chaises à mes côtés. De ma position je pouvais clairement voir l'entre jambe de Karine qui, par des croisements de jambes furtifs et des regards coquin, continuait de m'exciter. Après avoir vider quelques coupes on passa à table. Le repas se passa comme l'apéro très bien, et Karine qui était en face de moi en profita pour me faire du pied toute la soirée. Enfin arriva le café, Sébastien fatiguer par la longue route qu'ils avaient fait s'excusa et parti se coucher. Je proposais un petit digestif pour accompagner le café et me lever pour aller le chercher. Et là étant à peine debout j'entends Stéph dire :
S : Eh bien tu m'as l'air en forme beau frère !
Je suivais son regard pour voir qu'il s'était porter au niveau de mon entre jambe. Je fus un peu gêner et ma belle-mère qui ajoute :
C : Je ne savais pas que les baisers de ma fille pouvaient faire de l'effet même plusieurs heures après !
Et là tout le monde se mit à rire et moi avec. Sur ce je parti chercher les digestifs. Quand je reviens la discution en était au cadeau. Les filles parler des idées cadeaux pour une de leur amies qui aller se marier. Moi de mon côté je discuter voiture avec mon beau père tout en continuant de donner des coups d'oeil au décolleté de Stéph. Mon beau-père fatigué parti se coucher également. Il ne rester plus que moi entourais de trois superbe femme. Leur conversation avait dérivée sur la lingerie et qu'elle était le dernier cadeau qu'elles avaient reçus en lingerie.
C : Moi ça fait bien longtemps que l'on ne m'a rien offert. Et quand j'étais jeune la lingerie n'était pas aussi sexy que maintenant.
S : Cela ne t'empêche pas de t'en acheter quand même. Tu te fais plaisir parfois j'espère ?
C : Ca arrive mais c'est pas souvent, tu sais ton père n'y fait même pas attention donc ça sert pas à grand-chose.
K : Fais le pour toi. On ira faire les magasins demain toutes les trois d'accord ? Et puis tu es encore belle. T'en pense quoi mon chérie ? Elle est belle non ?
M : Oui bien sûre. Et puis c'est de famille telle mère, telle fille.
Je dis ça en regardant alternativement Christine et Karine, et je reste tout de même gêné.
S : C'est gentil beau-frère, tu essayes de marquer des points avec ta belle famille ?
C : Pas besoins ça fait longtemps qu'il en a marqué.
Christine me regarde et j'ai l'impression que c'est un regard un peu aguicheur. Je la remercie vivement. Stéph regarde Karine et lui dit de se méfier car avec Christine elle a de la concurrence et tout le monde éclate de rire. Les femmes se resservent en digestifs et l'ambiance change un peu. Christine a était éteindre la lumière pour mettre l'halogène en une lumière tamiser. Pendant un instant le silence se fait et c'est Stéph qui le brise :
S : Et toi Karine alors c'est quoi ton dernier cadeau ?
K : Ben je le porte justement regarde.
Et sur ce elle écarte son chemisier et finit même par l'enlever complètement, ce qui a pour effet de me faire bander un peu plus. Et là j'entends Christine dire à Karine de le montré entièrement en enlevant la jupe. Karine a se moment là s'exécute sous mes yeux ébahis. Karine monte sur la table et tourne sur elle-même pour montrer son ensemble et exhibe aux yeux de sa mère et de sa soeur son magnifique cul et sa silhouette. Et là je vois Christine poser sa main sur la cuisse de sa fille et dire :
C : tu es vraiment très jolie ma fille. Et toi Stéph tu as quoi comme dessous ce soir ?
S : Je n'ai qu'un string comme vous vous en doutez avec mon dos. Je te montrerais bien mais je suis assez gênée comme il y a olivier (moi).
M : Je t'en pris te gêne pas pour moi.
Et là je me mets à rigoler suivit de tout le monde.
K : Bon si on allait se coucher il se fait tard.
En disant cela Karine me regarda avec un regard que je connaissais bien et qui me promettais une bonne séance de sport avant de dormir.
Là tout le monde se leva et parti dans leur chambre respectives.
A peine rentrer dans la notre Karine me saute dessus, s'accroche a moi se mets à m'embrasser fougueusement. Nos langues se rejoignent dans un balai des plus érotiques. Une fois séparé je lui demande :
M : tu es l'air super excité ce soir mon amour. C'est l'alcool ou le fait de montrer ta lingerie et de savoir mon état ?
K : Les deux.
Là elle me déshabille et me fait allonger sur le lit. Alors qu'elle n'était plus qu'en lingerie, elle pose un pied sur le lit. Elle détache doucement son bas de la jarretelle et fait descendre très lascivement son bas tout en me fixant dans les yeux. Elle fait de même avec l'autre avant de me tourner le dos. Là elle défait la fermeture de son bustier et au moment ou celui-ci est prêt a tomber elle le retient. Karine se retourne et me demande de m'approcher. Alors que je m'apprête à lui retirer complètement son bustier et elle fait signe de plutôt m'occuper de son string. Je me place à genoux devant elle. J'écarte le string et je découvre un sexe vierge de tout poil. Je suis très excité car je voulais qu'elle le fasse depuis un moment mais jusqu'à présent elle refuser. Je commence donc par lui embrasser le sexe avant de sortir ma langue et d'essayer de la pénétrer avec. La réaction se fait vite entendre, avec de grand soupir de la part de Karine. Je finis par remonter sur son clitoris ce qui lui arrache carrément un cri. Finalement Karine envoie voler son bustier enlève son string. Elle me fait m'allonger sur le lit et vient littéralement s'empaler sur moi. Hum c'est vraiment génial. Karine se lâche totalement et quand arrive enfin l'orgasme elle ne peu se retenir et laisse sortir un grand cri qui ne peut pas ne pas avoir été entendu par tout le monde. Une fois son orgasme passer on change de position et c'est elle qui vient s'allonger sur le dos. Là alors que j'allais de nouveau rentrer en elle, Karine m'attire plus prés pour me permettre une branlette espagnole. Je suis aux anges car on ne le fait peut souvent. Elle comprime donc ses seins l'uns contre l'autre et je glisse mon engin dans ce fourreau improvisé. A chaque mouvement vers le haut Karine me gratifie de coup de langue. A ce rythme je ne tiens pas longtemps et j'éjacule en de longs jets sur son visage et ses seins. Finalement Karine file dans la salle de bain se nettoyer un et ne prends pas le temps de se passer quelques chose et y part nue. Alors qu'elle est dans la salle de bain j'entends quelqu'un d'autre se lever. Je me dis que c'est pour aller au toilette mais j'entends la porte de la salle de bain s'ouvrir. J'attends anxieux de savoir qui c'est et ce qui ce passe. Un moment après je vois Karine revenir. Je lui demande ce qui ce passe et elle me répond que c'était Steph qui n'a pu s'endormir à cause de nos cris.
M : Oups ! Et que lui as-tu dit ?
K : Ben je me suis excusé. Mais elle ma dit qu'il fallait pas et que comme Séb était endormis elle s'est donnée du plaisir toute seule. Ah oui, elle ma aussi dit de te féliciter de savoir donner du plaisir a sa petite soeur.
Pendant qu'elle me raconter tout ça mon sexe avait repris de la vigueur et pointé fièrement de nouveau.
M : Mais elle c'est levé juste pour te dire que tu avais de la chance ?
K : Non elle c'est fait une petite toilette aussi après s'être donner du plaisir. Mais dis donc ça t'excite on dirais ?
En disant cela elle avait poser sa main mon engin. Karine commença par une petite masturbation avec des mouvements lents et régulier avant de finalement accéléré et remplacer sa main par sa bouche. Je n'avais jamais vu Karine autant excité et je lui faisais remarqué. Elle laissa 30s mon phallus pour me dire qu'il n'y avait pas qu'a moi que ça faisait de l'effet de savoir quelqu'un excité par nos cris. Alors qu'elle recommencer la fellation je repenser à Steph qui devait de nouveau dans sa chambre nue et je gémis plus que d'habitude rien que pour elle. Et lorsque je sentis que j'allais de nouveau éjaculer je ne me retient pas poussa un grand râle de plaisir qu'elle dû forcément entendre alors que Karine avaler tout. J'attiré Karine à moi.
M : Je croyais que t'aimais pas quand je te préviens pas, d'habitude tu avales pas ?
K : Ca ta pas plus ? Et puis j'avais envie de te faire crier j'avais dit à Stéph que j'y arriverais.
M : Vous êtes bien coquines les frangines.
K : Ca te gênes peut être ?
Je finis par répondre non et après avoir embrasser une dernière fois Karine on s'endormi tout les deux et mes rêves fur peupler d'image de Karine et Stéph nue dans la salle de bain.
Le lendemain réveillé le premier j'en profiter pour me lever discrètement et laisser Karine se reposer. Je filais dans la salle de bain, comme il était tôt je pourrais prendre mon temps. Alors que j'entrais pensant être le premier lever je tombe nez à nez avec ma belle mère en soutient gorge et jupe. Christine avait un pied poser sur le rebords de la baignoire et elle attacher un bas à son porte jarretelle. Je bredouillais des excuses et je me retourner pour partir mais Christine me retins.
C : reste c'est pas grave regarde j'ai presque finit. Peut tu me passer mon chemisier qui est derrière la porte.
Je le pris et toujours dos à elle je lui tendais son vêtement. Et comme si je n'étais pas encore assez gêné en tendant le bras ma main arrive au niveau de ses seins.
M : excusez moi encore.
C : Ce n'est pas grave mais tu devrais regarder ce que tu fais retourne toi. Je suis si moche que ça ?
M : Non pas du tout bien au contraire.
C : Et bien profites en regarde moi.
Je me décidais et me retourner. Elle était vraiment splendide dans sa jupe qui arrivait juste au-dessus du genou, j'avais toujours la vision de ses bas. Elle avait enfiler son chemisier mais qui était très peu fermer et laisser apercevoir la dentelle de son soutif. Devant ce spectacle je ne pu rester de marbre et mon sexe réagit rapidement.
C : Ah oui effectivement tu me trouves a ton goût. Je ne savais pas que je te faisais cette effet là mon gendre.
M : Mais vous êtes vraiment magnifique et en plus habillée comme vous l'êtes je vous trouve encore plus sexy. Et je dois ajouter que j'adore les portes jarretelles.
C : Tu as quand même vu ça.
Moi je m'enhardi voyant qu'elle entre dans le jeu de la séduction et je lui répond :
M : aperçu seulement, malheureusement.
C : dis ne serait-ce pas une demande de le voir.
Elle n'attends pas ma réponse et commence à défaire la fermeture de sa jupe et la laisse glisser a terre. J'en reste bouche bé Christine à vraiment des jambes magnifiques et surtout je remarque qu'elle porte une culotte transparente. Je peu voir son sexe vierge de tout poil et ses lèvres intimes qui se dessine parfaitement.
C : Ca te plait ? C'est rasé de ce matin. Tu peux en profiter pour regarder toi mais moi alors ?!
Elle ne me laisse pas le temps de répondre s'approche de moi et fait descendre mon jogging et mon caleçon aux chevilles. Elle pose délicatement une main sur ma bitte et comme de lent et ample va et vient. J'ai cru décharger tout de suite tellement j'étais excité. Je n'en revenais pas l'objet de mes fantasmes les plus fous, ma belle-mère, la mère de la femme que j'aime été là son corps collé au mien, sa main autour de mon engin. Je reculais pour mieux me rapprocher et l'embrasser, mais ma belle-mère s'écarta et se mis à genoux. A peine avait-je eu le temps de réaliser que Christine avait glissé mon sexe dans sa bouche. Alors qu'elle alternait coup de langue sur mon gland et grand mouvement en mettant mon engin en entier dans sa bouche, ses mains me caresser. Une main me malaxer les bourses alors que l'autre était sur mes fesses. Je sentais que j'étais au bord de la jouissance et là ma belle-mère m'enfonça un doigt dans l'anus d'un seul coup. Surpris je déchargeai tout au fond de sa gorge. Elle continua à me pomper et elle leva les yeux vers moi et avala. Je la fis se relever et elle m'embrassa. Ce baiser fût très intense et je trouvais un goût particulier qui était celui de mon sperme. Pendant notre baiser j'en profiter pour lui caresser les fesses. Elle s'écarta et me dis
C : Humm ! C'était un délice.
Tout en disant cela elle se rhabillait.
C : J'espère que prochainement tu me feras crier comme tu as fait crier ma fille hier soir.
Et là elle s'en va. Je rester debout à moitié nue dans la salle de bain. Je me dépêché de faire ma toilette et aller déjeuner.
J'arrive dans la cuisine et voit que tout le monde est levé. Je vois ma chérie et steph en nuisette en satin très courte mais terriblement sexy. Mon beau frère et en tee-shirt jogging et mon beau-père et lui déjà habiller en tenue de ville. En effet il a été appelé par son boulot et comme il est d'astreinte ce week-end il doit y partir sur le champ. On ne le reverra que dimanche soir. C'est ma belle-mère qui l'amène et ils partent tout de suite. Je fais le tour pour dire bonjour à tout le monde et en profite quand c'est au tour de Stéph pour regarder dans son décolleté. Au tour de Karine, ma chérie me gratifie d'un baiser d'une telle fougue que ça en devient gênant à tel point que steph intervient :
S : Doucement tout les deux. Vous n'allez pas faire la même chose qu'hier soir vous êtes pas dans votre chambre...
Sur ces paroles on s'éloigne l'un de l'autre. Sébastien s'en va dans la salle suivit de prêts par Stéph qui va le rejoindre. On déjeune en tête à tête rapidement et quand Karine se mets à faire la vaisselle je m'approche d'elle par derrière et commence à la caresser. Je lui relève la nuisette et m'aperçoit qu'elle est nue dessous, je défet ma braguette et la pénètre d'un seul coup ce qui lui arrache un gémissement. Je ne fait que quelques va et vient lent et profond et Karine à un orgasme fulgurant. Alors que j'allais continuais j'entends de léger bruit derrière nous et je me retourne et voit Stéph qui nous regarde sa nuisette relevé et une main s'afférant sur son sexe. Ce sont ces gémissements que j'entendais et qui font se retourner Karine. Surprise elle fait un geste brusque et me voilà expulsé de sa grotte.
K : Et bien soeurette ça t'excite ? Tu veux en voir plus ?
Pour seule réponse Stéph émets des gémissements et continue de se caresser tout en fixant ma bite. Karine voyant cela enlève sa nuisette s'approche de sa soeur et fait de même avec sa nuisette. Je bande encore plus si c'est possible de voir les deux soeurs nues devant moi. Karine vient vers moi m'embrasse et se mets à genoux pour me gober le sexe. Je laisse échapper un long gémissement, pendant que Karine a ressorti mon chybre et donne des coups de langues sur le gland. Elle promène sa langue le long de ma hampe de bas en haut pour mieux regober le gland et l'aspire et pompe littéralement le gland. Elle s'arrête soudain et regarde sa soeur qui c'est rapproché pour mieux voir et qui à poser son pied sur une chaise et a son sexe largement ouvert impudiquement.
K : Si elle te fait envie qu'est-ce que t'attends pour me rejoindre ?
Je n'en reviens pas d'entendre Karine proposer ça à sa soeur, mais ma surprise n'en reste pas là quand je vois Stéph se mettre à genoux et rejoindre sa soeur. Elle se jette comme une mort de faim sur ma bitte pour la gober comme Karine tout à l'heure. Cette dernière vient lécher mes couilles alors que sa soeur s'occupe de mon gland. La langue de Karine remonte pour retrouver celle de Stéph autour de mon gland. J'ai cru devenir fou voir la femme que j'aime embrasser sa soeur tout en me faisant une pipe. Elles continuèrent à me prodiguer ces caresses et même elles s'embrassèrent et commencèrent à se caresser les seins entre elles. Je m'écarter pour les regarder et mes mains rejoignirent les leurs. A genoux à mon tour je palper leur deux poitrine et je me jeter sur celle de Stéph. Depuis le temps que j'en avais envie, enfin je pouvais la goutter. Je les gober et les téter. Je me mis à mordiller ses tétons alors que Karine faisait allonger sa soeur, lui écartant les cuisses et se plonge vers l'entre jambes. Stéph commence à gémir de plus en plus fort, je me mets sur elle et glisse mon sexe entre ses seins. Alors que je commence mes mouvements Stéph laisse échapper un cri et c'est sa soeur qui lui pénètre l'anus. A chaque mouvement elle me gratifie d'une léchouille sur le gland. Après 5minutes de ce traitement je m'écarte et fait mettre Stéph à 4 pattes et m'approche de sa croupe et sans la prévenir je l'encule. A ce moment elle cri de toute ces forces, un cri mêlé de jouissance et de douleur. Alors que je commence mes va et vient Sébastien arrive en courant attirer par les cris de sa compagne. Voyant le tableau alors qu'il est en peignoir il le laisse tomber à terre et s'approche. Je vois Karine se ruer vers sa verge et la pomper et voir ma chérie avec une autre queue que la mienne me fait bander encore plus. De mon côté j'amplifie mes mouvements et caresse et donne de petites tapes sur les fesses de Stéph. Une fois la bitte de Séb bien dure alors que je pensais que Karine allait lui présenter son sexe elle le guide vers Stéph. Séb ce place sous sa compagne et il la fait s'asseoir sur lui. De mon côté je suis resté figé en elle. C'est stéph qui commence les mouvements puis on prend le relais avec Seb. Je sans l'autre bitte derrière cette fine parois, Karine a présenter son sexe à la bouche de sa soeur qui entre deux cris se fait un plaisir de lécher. Sentant la jouissance arrivait je me retire et Seb fait de même. Les deux femmes se mettent à genoux et nous lèche de nouveau et nous masturbent en même temps. Je me retire de la bouche de Stéph pour lui éjaculer au visage et Karine se rapproche pour partager mon sperme. Voyant cela Seb décharge sur les deux soeurs qui étaient en train de s'embrassait. Alors que je lève les yeux je vois ma belle mère dans l'embrassure de la porte en train de regarder le spectacle.
C : Alors c'est bon au moins ?
Tout le monde surpris se retourne, reste sans rien dire.
C : Maintenant les gars monter comme vous êtes j'espère que vous récupérer vite car je veux y goutter moi aussi.
Cela promet une belle journée mais cela est une autre histoire....
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 3 août 4 03 /08 /Août 08:09

Tant que je faisais mes études, au lycée ou à l'université, je faisais parfois du baby sitting pour me faire un peu d'argent de poche. Toutes les filles ou presque ont fait ça au moins une fois et, le plus souvent il n' y a rien de spécial à raconter, quelques heures de présence, un ou deux enfants à faire manger, parfois un bain à donner, souvent un pleurnichard à calmer, d'autres fois deux petits démons à mettre au lit, le reste de la soirée devant la télé et quand les parents sont revenus, un billet ou un chèque qui remonte les finances. Il y a quelques rares fois où les choses ne se passent pas comme habituellement, par exemple une fois où le bébé a été brutalement pris d'une crise d'étouffement ou bien cette fois.où la maison a été cambriolée pendant que je m'occupais du petit à l'étage. Mais ce sont des cas exceptionnels…

Je me souviens d'un jour, ou d'un soir, en fait, où ça ne s'est pas passé comme d'habitude, loin de là !. C'était une expérience terriblement gênante pour moi et pour mes patrons au début mais qui s'est terminée de la façon la plus inattendue et merveilleuse qui soit.
Ce soir là, je babysittais pour les M et Me Deshaye, mais je les appelle maintenant Olivier te Nicole étant donné ce qui s'est passé cette fois là. Ce n'était pas la première fois que je faisais ça pour eux tout s'était toujours bien passé. Et comme les deux enfants étaient gentils et que j'étais bien payée, tout allait pour le mieux.

Cette fois là, Olivier et Nicole allaient à une soirée plutôt chic et ne devaient rentrer que très tard dans la nuit. C'est pourquoi, il avait été prévu que je coucherais chez eux. En prévision d'une longue soirée seule, j'avais apporté mon bouquin de maths pour réviser.

J'arrive chez eux vers huit heures. Nicole vient de finir de baigner les enfants que je prends en charge maintenant. Elle a mis une robe ultra sexy, moulante et presque transparente. Je dis à Nicole que je la trouve vachement belle et, venant d'une fille de mon âge, elle trouve que c'est un beau compliment. Dernières recommandations, numéro de téléphone pour joindre les parents en cas d'urgence, et le couple s'en va. Je joue un peu avec les enfants puis, c'est l'heure pour eux d'aller au lit et l'heure pour moi de me retrouver seule.

Je m'installe dans le salon sur le canapé et j'attaque les maths mais j'ai du mal à me concentrer dessus. Non, vraiment, ce soir ça ne passe pas ! Au bout de quelques minutes, je laisse tomber, et j'allume la télé. Comme bien souvent, les programmes ne cassent pas trois pattes à un canard ; je zappe d'une chaîne à l'autre mais je ne trouve rien à mon goût. Heureusement, sous la télé il y a une pile de vidéos et un magnétoscope. Je voudrais bien y trouver un film pas trop tarte, sait-on jamais ! Je jette un œil sur les titres… bof ! de bons films, c'est vrai mais je les ai déjà vus dix fois.
"Tiens, celui là, c'est quoi ?"
'Vicieuses défoncées'. Avec un pareil titre, inutile de se poser des questions, on sait tout de suite de quoi il s'agit ! D'ailleurs les photos de la jaquette ne laisseraient aucun doute s'il cela était nécessaire.
Faute de mieux, je mets la cassette. Comme je m'y attendais, c'est du classique, du porno pur et dur, un film sans beaucoup d'inventivité. En moins de cinq minutes de film j'ai déjà eu droit à une pipe, une pénétration vaginale, une anale et une éjaculation sur les seins de la fille. Quant à la bande son, les dialogues se réduisent à des gémissements ou des respirations haletantes.
Même si c'est toujours la même chose dans les films porno, même s'ils manquent d'originalité, ça me fait quand même de l'effet de voir ce garçon et cette fille qui s'enfilent et ça commence à me démanger entre les jambe et l'envie de me masturber et de me faire jouir n'est pas longue à venir !

J'enlève ma chemise et mon jean, et je m'installe bien dans le canapé. A peine ma main est-elle entrée en contact avec mes seins que ça me chauffe encore plus dans le vente. Alors, les yeux fermés, je me caresse le sexe du plat de la main à travers mon slip. Puis, je passe la main son l'élastique pour pouvoir jouer plus facilement avec mon petit chat. Bientôt, ça ne me suffit plus, je dégrafe le soutien gorge et j'enlève mon slip. Me voilà nue sur le canapé, les jambes écartées, en position pour passer un bon moment…
Tout de suite, ma main descend sur ma chatte et un doigt ouvre la fente pendant que l'autre main joue avec mon sein droit - le plus sensible. Une sensation indicible ! Mes doigts sont déjà pleins de mouille et mon clito est durci et demande qu'on s'occupe de lui. Mon pouce fait des cercles dessus, et mon excitation augmente, ça me brûle encore plus dans la chatte qui se met à couler. Je sens le jus qui coule sur mes cuisses… Comme c'est bon ! Ca faisait longtemps que je ne m'étais pas donnée autant de plaisir ! Ma respiration s'accélère, et je me caresse le clito de plus en plus vite. Je sens que ça vient et que ça va être fort. Un frémissement et d'un coup, ça éclate. Je sens mon clito qui bat au rythme de mon cœur et, quand ça éclate dans ma chatte j'y fourre deux doigts bien à fond et je me branle fort. Ca me fait mal tellement c'est bon et en jouissant, je me mets à crier aussi fort que je l'ose, pour me libérer de ma tension et mon orgasme se prolonge ; ma main est crispée sur ma chatte et mon corps est arqué et tremble.

Un bruit dans la pièce, je tourne la tête et un coup de tonnerre s'abat sur moi ! Olivier et Nicole sont là à me regarder, debout dans l'embrasure de la porte, immobiles, les yeux exorbités. Je ne sais plus quoi faire ou quoi dire ! C'est affreux ! Je suis là, nue, exposée, en train de me masturber sous leurs yeux !
Le a seule chose qui me passe par la tête c'est de leur dire :
"Je ne voulais pas regarder ce film… Je l'ai trouvé par hasard… C'est parce qu'il n'y avait rien à la télé… " Comme s'il était question du film porno qui continue à passer à la télé! Je ne sais plus où me mettre, je ne pense même pas à me couvrir et je reste les jambes écartées, la main crispée sur ma chatte. Je dois être rouge comme une pivoine - enfin comprenez-moi, prise en pleine masturbation !!! C'est l'horreur…
Et brutalement, je craque. Je me mets à pleurer. De gros sanglots et je m'effondre sur le canapé. Je ne me souviens pas de ce qui se passe juste à ce moment. Quand je reprends mes esprits, Nicole est assise à côté de moi, elle m'a prise dans se bras et me parle doucement. Olivier, est debout face à moi, les bras ballants, et il semble ne pas savoir comment réagir.
"Nous sommes désolés… Non, tu ne dois pas t'en vouloir, te sentir coupable… Tu étais seule et nous aurions dû…"

Par la suite, Olivier et Nicole m'ont expliqué que leur voiture était tombée en panne, qu'ils avaient dû se faire dépanner et qu'ils avaient préféré rentrer sans aller à la soirée. En arrivant, ils avaient entendu des gémissements, les bruits caractéristiques d'un couple faisant l'amour. Ils avaient même pensé que j'avais amené mon petit ami pour passer la soirée avec moi et que lui et moi étions en train de baiser. En fait, c'était la télé, mais c'est alors qu'ils étaient tombés sur le joli spectacle d'une fille se masturbant et jouissant tant qu'elle le pouvait. Olivier m'a alors avoué qu'il était là depuis quelques minutes, qu'il m'avait longuement regardé me masturber et qu'il avait été si fasciné et si excité par ce que je faisais qu'il en bandait encore et que la seule chose qu'il regrettait c'était ne pas avoir pu venir me rejoindre sur le canapé pour jouer un peu avec moi.

Pour le moment, je retrouve mon calme dans les bras de Nicole. Sa main, qui s'est posée sur ma poitrine, est chaude, et bientôt, je sens la pointe de mes seins durcir. Olivier vient de s'asseoir à côté de moi et lui aussi, me prend la main et la caresse doucement. Personne n'a eu l'idée de ma couvrir et je suis toujours nue entre les deux adultes.
Rapidement, je me sens mieux et même plus ! Entre Olivier et Nicole, entre leurs tendres caresses - innocentes probablement.j'ai envie de les sentir me tenir entre leur bras, envie de sentir leur chaleur, envie de sentir leur tendresse, envie d'être caressée, envie de me sentir leur petite fille adorée.En quelques secondes toutes ces envies grandissent, se transforment, et voilà que je recommence à avoir envie - non, besoin - de caresses plus précises, plus intimes, en un mot j'ai envie de sexe, de sexe, de sexe

Je pose une main sur la braguette d'Olivier et je sens son sexe à demi bandant. Ma main posée dessus le presse doucement, m'attendant à ce qu'il m'enlève la main ou quelque chose de ce genre. Mais non, il ne bouge pas et, plus encore, au bout de quelques secondes, il écarte un peu les jambes. Je le prends comme un signe d'acquiescement te je me love un peu plus contre lui out en ouvrant largement les jambes pour lui donner accès à mon intimité, pour qu'il puisse me toucher lui aussi. C'est alors que Nicole se manifeste. C'est sa main à elle qui se pose sur mon ventre et descend immédiatement sur ma foufounette.
Nicole s'est penchée sur moi et je sens la chaleur de sa bouche entre mes jambes. Elle me lèche tout autour de mon sexe, puis, lentement, sa langue passe sur les lèvres, les parcourt et monte jusqu'à mon clitoris. Je pousse un gémissement de plaisir en me contractant et en poussant mon ventre contre sa bouche. C'est la première fois que je me fais lécher le chat par une femme : c'est super bon ; extra doux. Je me dis que j'ai manqué bien des plaisir et que j'ai du retard à rattraper.

Pendant que Nicole me caressait, Olivier s'est levé et s'est mis nu avant de revenir près de moi. Collé sur moi sa bouche cherche la mienne.Je l'entends me dire :
"Tue es si douce et si chaude…et tes seins ronds contre ma poitrine…Tu vas me faire exploser en un rien de temps….
Il m'embrasse sur le visage, picore mes lèvres, m'embrasse les yeux et le nez et revient sur mes lèvres. En me léchant, il quitte ma bouche et descend sur mes seins. Il sont déjà gonflés et n'attentent qu'on vienne s'occuper d'eux. Il les lèche l'un après l'autre puis donne des coups de langue sur les pointes. Mon coeur bat plus vite et accélère encore quand il me suce les pointes qui gonflent et durcissent s dans sa bouche.il les masse avec sa langue puis me mordille délicatement les pointes et joue avec. Mes gémissements l'encouragent à continuer : il me suce maintenant l'autre sein, lui donne le même traitement délicieux et me fait miauler de plaisir en me suçant, en me léchant ou en me mordillant.
Mais voilà qu'il arrête !
Il se lève à demi et pose sa bite sur ma bouche.. Je n'ai pas une grosse expérience de suceuse mais, évidemment, je comprends ce qu'il veut et ça ne me déplait pas du tout, loin de là Pas besoin qu'il fasse un dessin pour m'expliquer.
La bite d'Olivier se dresse juste sous mes yeux, et je n'ai qu'à allonger les lèvres pour en toucher le bout que je frôle deux ou trois fois.
Puis deux ou trois longues léchouilles sur toute la langueur de sa bite, du gland jusqu'aux couilles et enfin, ouvrant la bouche, j'avale le gland rougeâtre, chaud et doux comme de la soie. Oliver régit immédiatement par un gémissement et, ainsi encouragée, je tire la peau du gland bien a en arrière et commence en passant la langue tout autour, là où c'est le plus sensible, le plus jouissif.
Pendant que je me régale en bouffant la bonne grosse bite chaude d'Olivier, sa femme m'a abandonnée et ma chatte crie de solitude ! J'y mets un doigt qui rentre tout de suite tant elle est dégoulinante de cyprine. Ouah ! Ca fait du bien !!!! J'avais un gros besoin de ce côté là…

Du coin de l'oeil, je vois Nicole qui revient tenant quelque chose qu'elle cache derrière son dos. Elle revient sur moi, m'enlève la main que j'avais accrochée sur ma chatte et se met à me lécher les lèvres; rapidement elle les écarte et sa langue entre dans ma chatte. Délice !
"Ouiiii ! " je crie, et Nicole me donne un grand coup de langue du cul jusqu'au clito. A nouveau elle enfile sa langue le plus loin possible dans moi et caresse l'intérieur de ma chatte. Je crois que je ne vais pas tarder à jouir.Ca me chauffe terriblement dans la cramouille, ça me serre, ça me prend, je halète, j'ai des aiguilles de feu dans les seins et soudain je ne peux plus résister. C'est comme un coup de massue. Il y comme une explosion dans ma chatte. Arque boutée contre la bouche de Nicole, je jouis en lui écrasant la tête entre mes cuisses.

A peine remise de la tempête qui vient de m'ébranler, Olivier me rappelle que je suis théoriquement en train de le sucer et que je ne pense plus guère à lui ! Je me remets au travail avec plaisir. J'adore sucer une belle bite et celle d'Olivier est vraiment bien douce tout en étant extra dure.
Pour continuer la pipe à Olivier, je garde le gland dans ma bouche immobile et prenant le manche dans le creux de la main, j'entreprends de le branler. Je sais que comme çà il ne va durer longtemps, mais qu'il va apprécier. Tous les hommes adorent cette caresse ultra jouissive. Olivier régit à 100%, il me pelote les ses seins de plus belle et de l'autre main me maintient la tête sur sa bite. On croirait qu'il a peur que j'arrête le traitement ! Justement pas, car je sens qu'il va jouir à son tour. Facile à voir quand le mec commence à s'agiter d'une façon un peu désordonnée et à gémir ou même gueuler comme un fou. D'un coup un grand jet de foutre chaud me remplit la bouche. Je l'avale et sa bite m'arrose encore. Je suce Olivier et je le branle pour l'accompagner dans son orgasme et il gémit tout en m'enfonçant sa queue loin dans la bouche. Lentement sa bite dégonfle et, bien qu'il ait fini de juter, je le suce encore jusqu'à la fin. Les yeux à demi fermés, il me dit :
"C'était extra. Merci Clémence. "

J'entends soudain un bourdonnement s'élever. J'ai à peine le temps de me demander ce que c'est que Nicole me passe un vibromasseur devant les yeux en me disant : "Je crois que tu vas aimer. "
Avec le vibro réglé au maximum, elle me masse le clito. Ma réponse est immédiate et je me tortille de plaisir sur le canapé tout en poussant de petits cris. C'est un picotement perpétuel qui dure, qui s'accumule et qui enfle, le clito est comme en feu, il est gonflé et dur ; il lui faut encore plus de stimulation.
Nicole varie la pression du vibro sur mon clito, le frôlant à peine ou bien le posant en plein, et en appuyant bien.

Au bout d'un moment, je suis tellement excitée que ça devient presque douloureux et la chaleur envahit tout mon ventre. Mes seins sont plus durs que jamais. "Arrête, je ne peux plus," je crie.
Mais Nicole sait tout ce qu'on peut faire avec ce petit instrument. Sans y penser, j'écarte les jambes au maximum pour m'ouvrir la chatte. Le vibro me chatouille, me picote, me titille, et je gémis e plus en plus fort, la bouche ouverte pour respirer. Parfois, c'est si fort que je retombe inerte sur le canapé, parfois je crie. Et soudain, Nicole enfonce le vibro dans seul coup tout au fond de ma chatte. C'est en trop. Les hanches tendues en avant, je me sens partir. Une contraction, puis une autre traversent ma chatte l'étreignent, la broient. Je sens mon cul se contracter à son tour, mes hanches et tout mon corps. L'orgasme s'empare de moi, me tord et m'écrase. Ensuite, les contractions diminuent, je retrouve un peu de calme, amis Nicole continue à m'exciter avec son vibro qu'elle a enfoncé dans chatte. Une autre vague de jouissance me submerge et les contractions se font moins fortes mais plus rapides. Je tremble de tous mon corps et, incapable de respirer, je halète. Enfin la tension retombe dans ma chatte puis dans le reste de mon corps.

Je suis épuisée. Olivier et Nicole se serrent dans leurs bras et me réconfortent.
Quelle jouissance ! Pour un premier essai avec un vibro, c'est réussi. C'était… je ne trouve pas de mots…

Je crois que je suis la baby-sitter qui a le plus chance au monde : un homme et une femme rien que pour moi.
Nicole et Olivier caressent tout mon corps, mes seins, mes cuisses, mon ventre, mon sexe. Puis il me prennent, par devant, par derrière, Olivier seul ou bien Nicole, ou bien à deux ; bite et vibro me remplissent complètement, la chatte dégoulinante de mouille est prise et reprise et, pour mon plus grand plaisir, ils ouvrent mon cul encore vierge et ils me font me jouir par là. J'orgasme presque sans arrêt tant ils m'excitent de partout. Allongée sur le canapé, je les laisse faire, je suis leur objet sexuel et j'aime ça! J'orgasme presque sans arrêt tant ils m'excitent de partout. Je sais que je ne serai plus la même quand la nui t sera finie, je serai devenue une salope à prendre dans tous les trous… Je crois que je vais adorer…. !!!

Par Cat - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 2 août 3 02 /08 /Août 12:00
Salut juju,

Voici la photo de la soeur de mon ex copine. J'ai souvent essayé de me la taper mais sans succès et vu que maintenant je ne vois plus ni l une ni l autre elle méritait d'etre sur le blog.

Biz

Micka

Par Micka - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 2 août 3 02 /08 /Août 01:27
Née le 17 février 1981, Paris est issue d’une riche famille, Paris est l’héritière de l’empire des hôtel Hilton. La fortune familiale est estimée à 300 millions de dollars. C’est pourquoi, elle peut se permettre de passer son temps dans les boutiques de Rodeo Drive !
Elle est occasionnellement mannequin, et fit quelques apparitions dans des films, comme dans « Zoolander » de et avec Ben Stiller .
On fit récemment parler d’elle en France, en avril 2004, elle fit son arrivée sur Canal + pour « Simple Life ». Pendant un mois, elle a vécu dans une ferme, loin des strass et des paillettes.
Elle releva ce défi avec Nicole Richie, fille de Lionel.
Les photos nues de Paris Hilton



Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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