Une video de mon ex copine à la plage et seins nus, elle avait de bons gros seins c'est dommage. Quelle coquine !!!
Salut Juju,
Bravo pour ton blog je le kiffe grave !!! Voici ma petite contribution. C'est la video que j'ai prise avec mon portable un jour ou Sandy (une amie de ma soeur) dormait à la maison.
Elles sont rentrées complétement bourrées de boite au petit matin et grace à la canicule elles avaient super chaud et vu qu'elles croyaient qu'elles étaient seules à la maison et elles se sont chauffé sur le lit !!!
Au fait j'en ai une deuxieme donc laissez moi vos coms pour que je vous en envoie une autre
-Bonjour madame, je viens voir Lulu, elle est là ?
-Non, elle est partie avec son père faire des courses, ils seront de retour dans une heure environ... Tu voulais la voir pourquoi ?
-J'étais absent la semaine dernière, il me manque un cours...
-Entre, tu peux l'attendre ici...
-Merci madame...
-Dis moi, tu es bien bronzé, tu as passé tes vacances au soleil ?
-Chez ma grand-mère qui habite Agde, j'étais à la plage tous les jours...
-Alors tu es Michel ?
-Lulu vous à parlé de moi ?
-Oui, c'est toi qui lui à fait ce beau cadeau pour son anniversaire, mais tu n'étais pas là...
-Je n'ai pas pu venir. Je fais partie de l'équipe de hand, nous avions un match à Toulouse...
-C'est bien de faire du sport, Lulu devrait en faire aussi...
-Elle fait de la danse, c'est du sport...
-Dis moi Michel, Lulu et toi, vous êtes copains ou...
-Cela ne fait que six mois que nous sortons ensemble...
-Je peux savoir ce que vous appelez ‘'sortir ensemble'' ?
-C'est-à-dire...
-Vous flirtez, c'est ça ?
-Disons que c'est ma petite amie...
-Michel, je ne suis pas contre, rassure toi, elle va sur ses 18 ans... et toi ?
-18 au mois de février...
-Tu n'es pas obligé de répondre, mais je voudrais savoir si vous couchez ensemble...
-Madame, cela me gêne de vous répondre, vous devriez lui poser la question...
-Excuse moi, je suis maladroite, cela ne me regarde pas...
-Si, cela vous regarde, vous êtes sa mère...
-Si tes parents te posaient la même question, tu répondrais ?
-Bien sur... Je ne leur cache rien, d'ailleurs ils savent tout de moi...
-Ils savent tout quoi ?
-Tout ce que je fais...
-Même si tu couches avec des filles ?
-Oui...
-Tu as des parents sympas...
-Ils sont jeunes, ma mère à 38 ans et mon père 39...
-Nous ne sommes pas beaucoup plus vieux le père de Lulu et moi... Michel, quel âge me donnes-tu ?
-Alors ça, je suis bien incapable de le dire...
-Tu me trouves plus vieille que ta mère ?
-Non, c'est justement pour ça, vous venez de me dire que...
-C'est gentil... J'ai 39 ans et mon mari 40...
-Vous ne parlez jamais avec Lulu ?
-Si pourquoi ?
-Vous ne savez rien de ce qu'elle fait ?
-Mais si, la preuve, je savais que tu existais, mais pas que vous ‘'sortiez'' ensemble... Michel, tu sembles énervé, ce sont mes questions que te gênent ?
-Non madame... Pas vos questions...
-Alors quoi ?
-Vous madame...
-Comment ça moi ?
-Depuis que vous êtes en face de moi, je vois vos cuisses...
-Et bien toi, tu ne perds pas le nord ! Voir mes cuisses ça t'énerve ?
-Énervé, ce n'est pas le mot...
-J'ai compris, ça t'excite... Oh, mais je vois ça ! Et bien mon garçon, il ne t'en faut pas beaucoup...
-Je ne vois pas que vos cuisses...
-Michel, j'apprécie ta franchise et je te prie de m'excuser, ce n'était pas volontaire... J'espère que ce n'est pas la première fois que tu vois ça...
-Non... Mais j'aime quand une femme se dévoile comme vous le faites...
-Tu parles bien Michel, c'est rare pour un garçon de ton âge... Je vais être franche avec toi, moi aussi je suis excitée de te voir en érection... Et si j'en juge pas la taille de la bosse...
-Madame...
-Ne te défends pas, c'est normal... Tu peux te lever s'il te plait ? Avance plus près de moi... Je te propose un marché, je te montre mon sexe et tu me montres le tien... Regarde...
Elle se lève, remonte sa jupe et se rassoie les cuisses écartées...
-Elle te plait ma chatte ? Je commence à mouiller, regarde mon clitoris comme il est gros... Aller, sors ta queue...
Je défais ma ceinture et baisse la fermeture, mon pantalon tombe sur mes pieds...
-Le slip aussi Michel, je veux tout voir...
Mon slip rejoint mon pantalon, je me déchausse et me dégage en relevant mon t-shirt.
-Quelle belle bite ! Ma fille ne doit pas s'ennuyer avec toi...
-Madame, s'ils revenaient ?
-Nous avons encore le temps, approche, je voudrais te sucer...
Je fais un petit pas, ma queue raide se trouve au niveau de sa bouche, elle l'enfourne et me pompe en me tenant, une main sur chaque fesse...
Je me laisse sucer sans bouger, ma bite s'enfonce dans sa bouche jusque dans sa gorge, je connais bien cette sensation, Lulu me le fait souvent.
Ses mains sur mes fesses me maintiennent plaqué contre son visage, ma queue disparaît à chaque fois qu'elle avance la tête...
Maintenant, je sais contrôler mon excitation afin de ne pas décharger trop vite.
Elle recule sa tête et lève les yeux.
-C'est bien Michel, tu es endurant... Mais si tu veux jouir, ne te gêne pas...
-Non, je sais me retenir...
-Tu aimerais me baiser ?
-Oui madame...
-Cesse de m'appeler madame, je suis Sylvie... Viens avec moi...
Je ramasse mes vêtements et je la suis jusque dans leur chambre...
-Ici, nous serons mieux... Excuse le désordre...
La chambre n'est pas faite, une serviette traîne au milieu du lit ouvert, elle l'attrape et découvre un beau gode, copie conforme d'une pine de belle taille, qu'elle laisse en place...
-Allonge toi Michel... Tu aimes bouffer la chatte d'une femme ?
-Oh oui...
-Tu aimerais me le faire ?
-Oui Sylvie...
-Il faut que je te prévienne, mon mari m'a baisée ce matin, et je ne me suis pas lavée...
-Je préfère...
-Alors tu vas me bouffer la chatte, il est même possible que tu puisses récupérer un peu de son sperme... Attend, je me mets sur toi...
Elle m'enjambe et pose sa chatte sur ma bouche, effectivement, je retrouve le goût de quelqu'un qui vient de se faire prendre...
Mon nez, au niveau de son cul, récupère une bonne odeur que j'affectionne aussi...
Elle me suce le gland en vrillant sa main autour de ma pine, un doigt titille ma rosette...
Sa mouille me coule dans la bouche, ma langue cherche quelques résidus de sperme marital, je me délecte du goût et de l'odeur...
Sans me prévenir, elle se relève et s'agenouille au milieu du lit...
-Michel, maintenant tu vas me baiser... Fourre ta belle queue dans ma chatte et fais moi jouir...
Je m'enfonce dans son vagin inondé dont je ne touche pas les parois...
En la cramponnant par la taille, je la pistonne le plus rapidement que je peux, n'ayant aucune sensation, je ne jouirais pas...
Je sens arriver les prémices de son orgasme, je ne me désunis pas et je la baise jusqu'à ce qu'elle jouisse...
-Michel, tu me fais jouir, n'arrête pas, je sens ta queue... Bourre moi encore !
Mon excitation monte, mais pour jouir il va falloir que je change de trou, son cul me semble très accueillant, je sors de sa chatte pour poser mon gland sur sa rosette et je m'enfonce d'un coup.
-Oh le salaud, il m'encule ! Oui bourre moi le cul maintenant...
Une main cherche le gode en tâtonnant puis elle disparaît sous son ventre, l'engin s'enfonce dans sa chatte et comprime un peu ma bite, ce n'est que mieux.
Au bord de la jouissance, j'attends qu'elle démarre et je lâche un torrent de foutre dans son cul.
-Oui Michel, c'est bon, jouis dans mon cul...
Mon gland est allé buter contre la matière, en sortant, je fais attention à ne rien toucher, il est légèrement maculé...
Son cul reste ouvert, elle sort le gode de sa chatte et l'enfonce dans son cul d'un seul coup...
-Michel, prend le gode et encule moi encore... N'aie pas peur de me faire mal, bourre moi, éclate moi le cul...
J'entame un pistonnage impressionnant, j'enfonce le gode jusqu'à la garde et le sort en entier pour le remettre aussitôt.
Ce n'est plus un cul que je défonce mais un véritable gouffre, un nouvel orgasme la fait trembler, je reçois une coulée translucide sur la main qui branlait son clitoris.
Repue, elle s'effondre sur le ventre, je laisse le gode enfoncé dont ne dépasse que la base, matérialisée par une paire de couilles.
Je prends la serviette pour m'essuyer et je m'allonge, elle ne bouge plus pendant un petit moment.
-Michel, tu viens de me baiser comme j'aime... Je croyais ne pouvoir faire ça qu'avec mon mari...
-Sylvie, je ne voudrais pas jouer les troubles fête, mais ils risquent de revenir...
-Et alors, ou est le problème ?
-Mais, s'ils nous voient dans cet état...
-Et bien, ils viendront nous rejoindre voilà tout...
-Sylvie... Ils viendraient nous rejoindre ?
-Bien sur... Tu m'aimerais pas ?
-Je ne sais pas... Peut-être... Et Lulu ?
-Ludivine ne dira rien rassure toi...
-Parce qu'elle...
-Oui Michel, ça lui arrive de venir nous retrouver... Tu es choqué ?
-Oh non... Ce serait même le contraire...
-Ça ne te dérangerait pas de la baiser devant son père et moi ?
-Pas du tout... Surtout si vous en faites autant...
-Michel, tu peux m'en dire plus tu sais... Tu es coutumier du fait ?
-Oui... Je le fais aussi avec mes parents...
-Tu m'en diras tant ! Et Ludivine, elle l'à fait aussi avec vous ?
-Oui... Plusieurs fois...
-Je comprends mieux maintenant... Donne moi des détails...
-Disons que nous faisons ça tous les quatre quand elle est à la maison...
-Vous échangez ?
-Oui... Elle baise avec mon père et je baise ma mère... Elles se touchent aussi...
-Et toi, tu touches ton père ?
-Oui... Et il me touche aussi...
-Toucher... Toucher ? Ou plus que toucher ?
-Plus que toucher...
-Michel, tu te fais enculer ?
-Oui... Et j'encule aussi...
-Ta mère à bien de la chance d'avoir deux hommes...
-Mais tu as ton gode...
-Rien à voir, ça ne remplacera jamais une belle et bonne grosse pine qui décharge...
-Ma mère a deux godes mais elle ne s'en sert presque jamais...
-Évidement, avec deux bites pour elle toute seule... Michel, j'entends du bruit, ils arrivent...
-On reste comme ça ?
-Bien sur... Ils vont venir, rassure toi... Je suppose que mon mari doit être excité comme une puce...
-Ah bon, pourquoi ?
-Ils étaient chez une amie qui tient un magasin de fringues pour femmes...
-Je ne comprends pas...
-Tu demanderas à Lulu, elle t'expliquera...
Je regarde vers la porte de la chambre, Lulu est dans l'encadrement, son père derrière elle.
-Entrez, on ne va pas vous manger... Alors chérie, ça s'est bien passé ?
-Très bien... Papa à été formidable...
Elle s'avance et s'allonge près de moi...
-Je vois que vous ne nous avez pas attendu...
-Pourquoi, on aurait dû ?
-Non, vous avez bien fait... C'était bien maman ?
-Très bien ma chérie... Jean, approche, je suppose que tu es dans tous tes états ?
-Tu as raison...
-Racontez nous ça...
Ludivine se débarrasse de ses vêtements, son père en fait autant et viens s'allonger entre sa femme et moi, sa queue raide dans la main...
Le voir bander me provoque immédiatement une érection, Lulu me prend la pine et la caresse doucement sa tête posée sur mon ventre, elle embouche mon gland...
-Super le goût... Maman, tu as du t'en prendre plein le cul dis donc...
-Pour ça, tu as raison... Michel est un bon baiseur, mais je crois que tu le sais... Alors, ça s'est passé comment ? Il y avait du monde ?
-Trois personnes, dont une femme âgée...
-Et dans la réserve ?
-Quatre, deux femmes et un couple...
-Attendez, je ne comprends rien de ce que vous dites...
-Michel, le magasin est truqué... Dans une cabine d'essayage, il y à une glace sans tain, on peut tout voir depuis la réserve...
-Les femmes qui l'utilisent le savent ?
-Pas toutes... Seulement les initiées...
-Et vous allez derrière pour mater les femmes qui essayent des fringues, c'est ça ?
-Oui et non... Certaines, comme moi, font le spectacle...
-Et quel spectacle ! Lulu s'est surpassée aujourd'hui...
-Et vous Jean, vous faisiez quoi ?
-Il a fait le spectacle avec moi au début, puis il est passé derrière...
-Vous faites quoi dans cette cabine ?
-Je me suis foutue à poil, il me passait les fringues puis il est venu m'aider, pas à les mettre, mais les enlever...
-Je savais que derrière la glace, le type venait pour la première fois alors que sa femme est une habituée, Ludivine m'a fait bander et j'ai montré ma bite...
-Dans le magasin, personne ne remarque qu'il se passe des choses dans la cabine ?
-En général non, elle est à l'écart des autres... La femme âgée voulait essayer une robe, les autres cabines étant occupées, elle est venue dans la notre...
-Papa était en train de se branler, le choc que ça lui a fait !
-Elle n'a rien dit ?
-Étonnée dans un premier temps, elle s'est vite remise de son émotion...
-Elle ne savait vraiment rien ?
-Si, elle savait, sinon elle serait partie en criant au loup ! Papa lui a présenté sa bite, elle s'est jetée dessus...
-Pendant qu'elle me suçait, je lui ai mis une main entre les fesses... Une véritable fontaine lui coulait entre les cuisses... Elle s'est retournée et je l'ai enculée... Ce qui est sur c'est que je n'étais pas le premier...
-Moi, je suis sortie pour qu'ils aient plus de place, et je suis passée dans la réserve... Papa, tu lui as démoli le cul...
-Je n'ai même pas pu jouir tant elle était ouverte, par contre, elle s'est prise un pied d'enfer... Comme je bandais toujours, elle a voulu me faire jouir dans sa bouche, ma queue n'était pas très nette, ça ne l'a pas dérangée le moins du monde !
-Et toi ma puce, tu faisais quoi dans la réserve ?
-Je me suis branlée en même temps que les femmes, tu connais le stock de godes... Une d'elles se prenait le cul avec le plus gros, une vraie furie ! Heureusement que c'est insonorisé... Le mari baisait sa femme, et moi je lui touchais le cul, lui aussi doit se faire défoncer, j'y mettais trois doigts sans forcer...
-Jean, tu as joui dans la bouche de la femme ?
-Non, rien à faire, pourtant, elle suçait bien la salope ! Au fait, j'ai son numéro de portable...
-Quel âge cette femme ?
-La soixantaine, peut-être un peu moins...
-Et Corine ?
-Oh elle... Du moment que le tiroir caisse fonctionne, elle s'en fout...
-Elle n'est pas venue baiser dans la réserve ?
-Il n'y avait qu'un homme, et papa n'a pas voulu...
-Sylvie, j'en ai marre de sauter Corinne, elle ne me fait plus bander... Par contre, sa fille...
-C'est vrai qu'elle est au magasin maintenant... Et alors ?
-Alors rien... Elle s'excite, et ça se voit, mais elle ne passe pas à l'acte...
-Papa, je l'ai déjà attrapée la semaine dernière, Corine l'a bien éduquée... Il faut lui laisser un peu de temps...
-Dites moi, pour les gens qui vont dans la réserve, c'est gratuit ?
-Non Michel, qu'est ce que tu crois ? Ce serait trop facile... Ils entrent par la boutique, paient et vont derrière... Pour sortir, ils passent par le couloir, ni vu ni connu...
-C'est dingue ce truc ! Ça fait longtemps que ça existe ?
-Deux ans... Et il en est passé du monde dans la réserve, certains jours, c'est plein à craquer et ça baise partout... La semaine dernière, deux hommes seuls sont venus, j'étais passée dans la réserve croyant que j'allais me faire baiser dans tous les trous... Zéro pointé ! Ils se sont enculés à tour de rôle, il y a des jours comme ça...
-Sylvie, tu n'y vas jamais dans cette boutique ?
-Mai si j'y vais... En général, avec Jean...
-La réserve, elle est aménagée ?
-Au début, il n'y avait que les portants avec les fringues en stock, ce n'était pas très pratique... Puis le monde est venu, heureusement que Corine à pu acheter un réduit attenant, maintenant, il y à deux canapés un fauteuil et deux tables... Et la clim depuis cet été...
-Michel, si tu veux, je t'y emmènerais... Tu verras le nombre de salopes qui viennent se faire baiser, certaines le font à même le sol c'est pour te dire... Maman, j'ai remarquée que, depuis quelques temps, les femmes se font de plus en plus enculer, et directement, sans passer par la chatte !
-Phénomène de mode... Tu as vu les films pornos, pas une scène de cul sans sodomie ni double pénétration...
-Mes parents ont un DVD ou les femmes se font enculer par deux bites à la fois...
-Maman, tu as été copiée ! Michel, maman le fait depuis longtemps, soit avec papa et un gode ou avec deux hommes ce qui est encore mieux, n'est ce pas ?
-Ludivine, rien ne t'empêche de le faire...
-Si maman, mon cul... Déjà qu'avec Michel tout seul ce n'est pas évident, si je devais les prendre tous les deux papa et lui, je vais direct à l'hosto, comme ta copine !
-Ludivine, Carole ne s'est pas rendue compte de ce qui l'attendait, c'est une bêtise d'avoir voulu se mettre cet énorme gode...
-Attend, le type est entré aussi, quand même...
-Il a du avoir mal, vu la vitesse avec laquelle il s'est retiré... Il faut dire que la pine en latex est une énormité on dirait un sexe de cheval !
-Tu sais que c'est son fantasme de se faire prendre par un cheval ?
-C'est possible ça ?
-J'en doute... En tous cas, moi, je n'essaierais pas...
-Maman, tu t'es servie de ce truc tout à l'heure ?
-Oui... Dans la chatte d'abord puis dans le cul après que Michel soit sorti...
Ludivine tient le gode et le regarde avec concupiscence, elle le porte à sa bouche et suce le gland...
-Chérie, n'essaie pas avec celui-ci...
-Mais je ne veux pas... On peut rêver quand même ! La pine de Michel me suffit amplement...
-Et la mienne, elle compte pour du beurre ?
-Papa, tu ne m'encules jamais...
-Je ne suis pas une machine, ta mère me pompe toute mon énergie...
-On dirait que tu le déplores !
-Mais non, que vas-tu chercher ? J'aime bien faire l'amour avec toi...
-Michel, tu étais venu chercher les cours qui te manquent, viens avec moi...
Nous partons dans sa chambre, au passage je récupère mes affaires...
-Alors Michel, comment trouves tu mes parents ?
-Super...
-Les tiens le sont aussi...
-Pourquoi ne m'as-tu jamais rien dit ?
-Bof... Je savais que ça se ferait un jour ou l'autre, alors j'attendais... Si tu venais coucher ici de temps en temps, il y a longtemps que tu saurais...
-Lulu, tu habites trop loin de chez moi...
-Maintenant, tu as un scooter...
-Il n'y a pas longtemps que je l'ai...
-J'espère que tu viendras souvent maintenant... Au fait, tu diras à ton père que j'ai trouvé ce qu'il cherchait... Regarde...
-Tu as trouvé ça où ?
-Tu ne me croiras jamais, dans une brocante...
-Tu te fiches de moi...
-Mais non, je te le jure... Je fouillais dans un stock de vieux livres, mais il n'y avait rien de vraiment intéressant... Le patron du magasin m'a demandé ce que je cherchais, je ne pouvais pas lui dire que je cherchais un bouquin de cul très spécial... Alors j'ai parlé par périphrases sans lui dire exactement ce que je voulais, mais il à très bien compris. Il m'a dit avoir encore quelques livres chez lui, dans un grenier et que si je voulais, je pourrais fouiller dans les panières, il allait les descendre. A la fermeture, il m'attendait et nous sommes allé chez lui. Je comprends pourquoi il ne les mettait pas sous les yeux de tout le monde, un stock incroyable de bouquin de cul du début du siècle dernier, dont certains avec des dessins superbes... J'ai fouillé et je lisais quelques passages au hasard, au bout du cinquième livre, j'étais excitée comme un puce, à deux doigts de me branler. Il est venu me voir, j'étais assise par terre, les bouquins étalés autour de moi, je continuais ma recherche, et je suis tombé sur ce livre que cherchait ton père. Le type a tout compris, visiblement, il savait ce qu'il contenait.
-Sans indiscrétion, tu l'as payé combien ?
-Rien Michel, il m'en a fait cadeau... Avant de partir, j'ai encore fouillé un peu, on ne sait jamais... Il y avait des textes incroyables dans ces bouquins, plus je lisais plus j'étais excitée. Assis, il me regardait sans rien dire, juste avant que je parte, il m'a demandé si je reviendrais sinon il remontrait les panières au grenier. J'avais dans la main un autre livre avec des gravures fantastiques, des photos n'auraient pas été meilleures, il m'a pris le livre des mains et l'a feuilleté un peu...
-Tu aimes ce genre de littérature ? Il me semble que tu es bien excitée...
-Je ne savais pas quoi lui répondre... Ce que je voulais c'est qu'il me vende ces livres et partir... J'ai décelée un peu de lubricité dans ses yeux, et sa braguette ressemblait à un vrai chapiteau de cirque ! Il s'est levé, c'était pire encore, je lui ai demandé combien je devais, il m'a fait signe que je ne devais rien en passant sa main sur la bosse de son pantalon...
-Je me doutais bien qu'il n'allait pas t'en faire cadeau...
-Attend... Tu penses bien que j'avais tout compris, mais je me suis dirigée vers la porte l'air dégagé, quand je me suis retournée pour le saluer, il avait sortie sa queue et se branlait... Trop excitée, je n'ai pas pu résister, je me suis mise à genoux pour le sucer mais ça n'a pas duré longtemps, il a joui presque tout de suite... Une petite bite et pas beaucoup de foutre, je suis rentrée à la maison dans un état, je ne t'en parle pas...
-Ce bouquin tu l'as ici ?
-Bien sur, le voilà... Regarde les gravures...
-Et celui pour mon père ?
-Dans ce paquet cadeau... Michel, je te prête celui-ci, tu vas t'éclater... Attention, c'est hard, mais bon, ce n'est que ce nous faisons après tout, sauf que certains protagonistes sont un peu plus jeunes que nous... Cette littérature était vendue sous le manteau, mais il fallait bien qu'elle soit imprimée. Je voudrais savoir dans quel état étaient ceux qui composaient, ça se faisait encore à la lino...
-Comme toi, excités je suppose... Lulu, je vais devoir partir, mais si tu veux, je viens passer le week-end ici avec toi. Mes parents s'en vont voir une tante malade, ça me gonfle au possible d'aller dans un hôpital...
-Ça baigne ! Tu viens vendredi soir, nous aurons plus de temps. Ne te branle pas trop, tu risques d'avoir besoin de tout ton tonus !
-Pas de problème...
-Tu ne veux pas que je te suce un peu avant de partir, j'adore le goût du cul de ma mère...
-Lulu, je m'habille et je me sauve...
-Heureusement, tu ne vas pas t'en aller à poil !
-Ne te fiche pas de moi... Bisous Lulu, salue tes parents, je ne vais pas les déranger...
-Ils doivent se reposer un peu... Ce soir je serais sage...
Je suis rentré chez moi, mes parents m'attendaient, j'avais oublié de leur dire où j'allais...
-Michel, nous étions inquiets...
-Ah bon ? Mais il n'est pas tard, j'étais chez Lulu pour mes cours...
-Tu pourrais fermer ta braguette quand tu sors...
-J'ai un problème elle est coincée...
-Je t'ai déjà expliquée comment faire... Enlève ton pantalon que je te fasse voir. Michel, que t'arrive t'il ?
-Pourquoi ?
-Ne me dis pas que tu ne te rends pas compte que tu...
-Maman, je ne bande pas...
-Je le vois bien, mais quelle est cette odeur ?
-C'est ma queue...
-Fais moi sentir de plus prés... Toi, tu viens de baiser Ludivine !
-Heu...
-Ça sent le cul...
-C'est normal... Mais ce n'est pas le sien...
-Comment ça pas le sien ?
-C'est celui de sa mère...
-Tu as enculé sa mère ?
-Oui maman...
-Et tu ne t'es pas lavé... Bande mon chéri, je vais te sucer...
-Maman, je n'en peux plus, j'ai baisé tout l'après midi...
-Salaud ! Maintenant que je suis excitée, tu vas me laisser tomber ?
-Papa n'est pas là ?
-Non, il est chez les voisins, André à des problèmes avec sa tondeuse. Tu vois que tu peux bander, ta pine est de plus en plus belle tu sais... Baise moi chéri...
-Je bande mais je ne suis pas très excité...
-Ben mon cochon, si tu l'étais alors qu'est ce que ce serait !
-J'aimerais mieux que papa soi là...
-Je sais mais en attendant... Tu veux que je te fasse quelque chose de particulier ? Attend, je crois qu'il arrive...
Mon père passe dans la cuisine pour se laver les mains et entre dans le salon...
-Dites donc, on ne s'ennuie pas !
-Marc, viens voir... Ce petit salaud s'est tapé la mère de Ludivine... Sent sa queue...
-Bonne odeur ma foi...
-Il l'a enculée et il ne s'est pas lavé...
-Bouffe lui la pine chérie, tu adores ça... Pendant que tu le suces je vais...
-Non, approche, je vais vous sucer tous les deux... Mais ta queue aussi pue le
cul... Tu es sur de n'avoir bricolé que la tondeuse ?
-Je l'ai fait... Mais Claudine est venue nous voir dans le garage...
-Et vous l'avez baisée...
-C'est pas facile de résister...
-Ben voyons ! Elle t'a violé peut-être ?
-Presque... Je ne l'avais jamais vu aussi excitée. Tu sais qu'ils ont chez eux le fils de leurs amis de Grenoble...
-Oui et alors ?
-Il est entré dans la salle de bain pendant qu'elle prenait sa douche... A travers la porte vitrée, il l'a surprise en train de pisser, ça lui a foutu la gaule et il s'est branlé...
-Je l'ai vu ce gamin, pas mal mais un peu gringalet... Michel, tu lui as parlé, il est sympa ?
-Très, et pas bête ! Il est en fac de droit depuis la rentrée. Il doit venir demain après midi, je veux lui montrer mon nouvel ordinateur...
-Teste le un peu, on ne sait jamais...
-Jamais quoi maman ?
-S'il est branché cul...
-Je ne sais pas s'il est branché comme tu dis, mais il en parle...
-Vous avez parlé de quoi ?
-De sa copine qu'il vient de plaquer, elle ne voulait pas baiser avec lui, mais il l'a vu sucer un de ses copains...
-Michel, sucer, c'est pas baiser...
-Tu as raison mais, même ça, elle ne voulait pas lui faire...
-Peut-être qu'il a une petite bite !
-Sylvie, ne dit pas de bêtises...
Quelqu'un frappe à la porte, nous reprenons une tenue décente et je vais ouvrir.
Quand on parle du loup, on en voir la queue, c'est Jérémy qui me rapporte un bouquin.
-Excuse moi, mais tu m'avais dit que tu en avais besoin...
-Ça pouvait attendre demain tu sais...
-Demain je ne serais pas là, nous partons voir leur fille, elle a appelé...
-Tu es obligé d'y aller ?
-Non mais j'ai bien envie de la revoir...
-Tu la connais depuis longtemps ?
-Une douzaine d'années... C'était elle qui me gardait quand ses parents habitaient Grenoble.
-Entre, tu veux boire quelque chose... Je vais prendre une bière, la moitié avec moi ?
-Ok...
Mes parents ne sont plus dans le salon, en ramenant la bière, je vois sur le canapé, bien étalée le fond en l'air, la culotte de ma mère, Jérémy ne peut l'ignorer, il est assis juste a côté mais semble ne pas l'avoir remarquée.
En versant la bière dans son verre la mousse déborde, je vais chercher un sopalin dans la cuisine, a mon retour, la culotte n'est plus au même endroit.
-Jérémy, si tu veux voir mon ordinateur, nous pouvons y aller maintenant... Prend ton verre...
Je vais jeter la canette et le papier, dans une glace, je le vois prendre la culotte et la sentir, en revenant, son pantalon est gonflé...
-Suis moi...
Nous entrons dans ma chambre, mes parents doivent être dans la leur...
-Super ton portable...
-J'avais une vielle machine, je ne pouvais plus rien faire avec...
-Tu joues beaucoup ?
-Pas mal... Mais surtout, c'est internet qui m'intéresse... Alors tant qu'à faire, toutes mes économies y sont passées... 1400 euros...
Je le fais asseoir, la bosse de sa braguette n'a pas diminuée au contraire, il faut dire que sur mon bureau, j'ai une photo de femme nue les jambes écartées et la chatte béante...
-Alors Jérémy, ton séjour se passe bien ?
-Très bien... Dis moi, ta mère ne vient jamais dans ta chambre ?
-Si, pourquoi...
-Cette photo... Chez moi, je ne pourrais pas en avoir une comme ça, pas sur mon bureau en tout cas...
-Tu n'as plus 15 ans... C'est normal à notre âge non ? Tes parents sont si coincés que ça ?
-Pas coincés, mais...
-Essaie, tu verras bien leur réaction ! C'est cette photo qui te fait bander ou la culotte de ma mère ?
-Heu... Les deux... Tu m'as vu la sentir ?
-Oui, dans la glace de la cheminée... Tu aimes sentir ces bonnes odeurs ?
-J'aime bien... Je le fais avec celles de ma mère...
-Et tu te branles dedans...
-Oui... Tu le fais aussi ?
-Ça m'a passé mon vieux, mais je le faisais... Je le faisais aussi dans les slips de mon père d'ailleurs...
-Moi aussi... Mais je me suis fait gauler...
-Par ton père ?
-Oui... J'ai eu la trouille de ma vie...
-Et alors, ça c'est terminé par un rouste ?
-Pas du tout... Venant de se doucher, il m'a donné son slip sale...
-Cool ton père... Et alors, tu t'es branlé devant lui ?
-Je n'ai pas osé le faire, je l'ai regardé se doucher puis je suis parti...
-Tu avais déjà vu ton père à poil ?
-Oui, ça lui arrive de se balader dans la maison entièrement nu...
-Ta mère aussi ?
-Moins souvent, mais ça lui arrive aussi...
-Dis moi, tes parents, tu les as déjà vu baiser ?
-Non... Ce n'est pas l'envie qui me manque, mais je ne sais pas comment faire...
-Ils ne baisent que dans leur chambre ?
-Ça je n'en sais rien. Quelques fois je les entends mais c'est vachement frustrant... Et toi, tu les as déjà vu ?
-Oh moi... Tu as quel âge Jérémy ?
-18 le mois prochain...
-Tu as une copine ?
-J'en ai même deux depuis que je ne vois plus l'autre...
-Ouah, super !
-C'est des jumelles...
-Alors ça, c'est le pied total... Tu les baises au moins ?
-Oui...
-Ensemble ou séparément ?
-Ensemble depuis deux mois...
-Tu arrives à fournir ?
-Elles m'aident bien... Je voudrais te demander quelque chose... Elles adorent se faire prendre par derrière, au point que je les prends plus que comme ça, tu trouves ça normal ?
-Jérémy, visiblement, tu n'es pas au courant des choses du sexe... Pourtant, il me semble que cela ne devrait pas te rebuter si tu aimes certaines bonnes odeurs...
-Mais ça ne me rebute pas, au contraire, je prends bien mon pied...
-Je ne vois pas où est le problème alors...
-Elles ont juste 18 ans... C'est pour cette raison...
-Elles étaient vierges quand tu les as connu ?
-Oh non !
-Tu regrettes ?
-J'ai déjà dépucelé une fille, ça s'est bien passé pour elle mais pas pour moi...
-Comment ça ?
-J'ai eu beaucoup plus mal qu'elle tant sa chatte était serrée...
-Tu étais peut-être trop gros...
-Je n'en sais rien... En tout cas, je n'ai pas pu jouir dedans, j'ai du me branler...
-Tu baises avec des capotes au moins ?
-Bien sur... Même avec les jumelles, je sais que je ne suis pas le seul sur le coup.
-Avec les autres, elles restent aussi toutes les deux ensemble ?
-Je ne tiens pas la bougie, mais je crois...
-Vos petites orgies, vous les faites à quel endroit ?
-Chez elles, leurs parents sont souvent absents, ils sont forains... Chez moi, je ne pourrais pas...
-C'est toi qui ne veux pas ou tu as peur de tes parents ?
-J'ai déjà amené une fille chez moi, mes parents n'ont rien dit, mais des jumelles...
-Si j'étais le père d'un garçon qui se tape deux nanas ensemble, je crois que je serais fier de lui... Elles sont belles ?
-Oui... Tous les copains le disent, même les filles sont jalouses d'elles...
-Tes copains, ils ne sont pas jaloux de toi ?
-Pas que je sache, ils ont leur chance... Les jumelles, la fidélité, ce n'est pas leur point fort ! Elles ont même fait des photos de charme pour un magazine. Je les ai vues ces photos, je ne vois pas où est le charme ! C'est plus du porno qu'autre chose...
-Elles seront publiées ?
-Elles le sont déjà...
-Tu ne vois pas que le père tombe ‘'accidentellement'' sur ces photos...
-C'est possible, mais il faudrait qu'il achète cette revue et pas une autre, vu le nombre de parutions qui encombrent les rayons des marchands de journaux, le risque est minime...
-Elles ont été payées pour ça ?
-Et très bien payées... 4500 euros pour trois jours de travail... Le type leur a même proposé de faire des films pornos... Il parait que des vraies jumelles, c'est très demandé...
-Elles vont le faire ?
-Je n'en sais rien... Ce qui est sur, c'est qu'elles n'ont pas dit non tout de suite...
-Toi, tu en penses quoi ?
-Oh moi, je m'en fiche ! Elles font ce qu'elles veulent avec leurs culs... De toutes façon, elles veulent se tirer de chez leurs parents... Leur mère est sympa, mais le père est un gros pervers, con comme un balais... Il n'y a qu'une chose qui l'intéresse, voir les culottes des filles sur son manége...
-Sa femme ne réagit pas ?
-Elle fait ce quelle veut de son côté... C'est une très belle femme, ancienne reine des forains, à 43 ans, tous les hommes sont à ses pieds...
-Tu as l'air bien renseigné dis donc... Tu n'aurais pas des vues sur elle par hasard ?
-Il me semble que je pourrais l'avoir, mais elle n'est jamais seule... Si ce n'est pas son mari, c'est les filles... Il faudrait que j'aille dans la ville où ils travaillent, c'est toujours lui qui est aux commandes du manége, pendant ce temps, elle est libre...
-Alors tu n'as qu'a y aller...
-La plupart du temps, je ne sais pas où ils sont, et je n'ai qu'un scooter, si c'est loin...
-Évidement, vu comme ça... Si j'ai bien compris les filles ne les accompagnent jamais...
-Jamais... Leur père ne veut pas qu'elles viennent traîner dans les foires aux plaisirs, même quand ils travaillent sur Grenoble... Dans le fond, ça les arrange bien, elles sont libres de leurs mouvements...
-Si tu penses pouvoir attraper la mère, file lui rendez vous discrètement sous un prétexte futile, si elle est d'accord, ça se fera ou ça ne se fera pas, mais tu seras renseigné...
-J'y ai pensé... Dans quinze jours, il va en Allemagne pour voir les nouveaux ‘'métiers'' qui sortent...
-Pourquoi en Allemagne ?
-C'est eux qui détiennent le monopole de la fabrication des grands manèges en Europe, le salon est à Francfort, il sera absent une semaine...
-Et les filles ?
-Je verrais au bon moment... Si je peux lui parler seul à seul, je crois que j'ai mes chances...
-Tu es sur d'arriver à tes fins ?
-Un après midi, j'ai pu la toucher... Je venais voir les jumelles, mais elles n'étaient pas arrivées... La mère était en train de repasser seulement habillée d'un kimono court... Je lui voyais la naissance des fesses quand elle se penchait, je n'ai pu résister et je lui ai mis la main aux fesses...
-Elle n'a rien dit ?
-Elle ne s'est même pas retournée alors j'ai continué, mais les filles sont revenues ! Depuis, je ne l'ai jamais revue seule...
-Ça ne t'avait pas fait bander de la toucher ?
-Oh si ! Mais les filles n'ont rien vu, j'ai pris ce que je venais chercher et je suis parti... Chez moi, je me suis branlé dans une culotte de ma mère, mes doigts sentaient encore la bonne odeur de sa raie...
-Tu lui mettais les doigts au cul ?
-J'ai touché son petit trou, c'est tout...
-Ça, c'est un signe Jérémy, la prochaine fois tu vas la baiser, c'est sur... Si c'est une bonne baiseuse, il faudra que tu assures...
-J'assurerais ! Avec les filles, je suis à la bonne école, quand j'en baise une ça excite l'autre et vice et versa... Une fois, je les ai tellement baisées que je jouissais sans décharger, j'étais à sec !
-Elles se touchent ?
-Ça leur arrive, mais pas toutes les fois...
-Tu aimes les voir se toucher ?
-Au début, ça ne me plaisait pas trop, mais maintenant ça me fait bander. Elles sont salopes comme tu ne peux pas l'imaginer... Je les ai même vu se pisser dessus...
-Tu dois aimer ça, non ?
-J'adore tu veux dire... J'ai baisé une fille qui pissait quand je la prenais...
-Jérémy, j'entends du bruit, mes parents sont levés...
-Ils dormaient ?
-Une petite sieste tout au plus...
J'entends gratter à ma porte, c'est ma mère qui vient me voir...
-Bonjour Jérémy, nous ne t'avons pas entendu arriver...
-Bonjour madame. Je suis venu rapporter un bouquin...
-Alors Jérémy, ça doit te changer de Grenoble...
-Je me repose avant de reprendre le collier...
Ma mère n'est vêtue que d'un peignoir en éponge fermé par une ceinture, elle est pieds nus...
-Michel, ton père et moi allons au restaurant, tu viens avec nous ?
-Non maman, je vais rester un peu avec Jérémy... Les grosses bouffes c'est pas mon truc...
-Comme tu veux mon chéri, mais Mia sera déçue...
-Mia, je la vois deux fois par semaine à la gym... C'est ta copine maman, pas la mienne...
-Comme tu veux mon chéri... Tu as tout ce qu'il faut dan le frigo...
-Ok...
-Bon, je vous laisse, bisous les garçons...
-Michel, elle est super ta mère... Elle doit avoir une de ces paires de seins !
-Tu as vu ça toi !
-Tu sais, je ne regarde que ce que je peux voir...
-Tu aimerais les voir en vrai ?
-Tu es sérieux ?
-Bien sur ! Viens avec moi, je suppose qu'elle va se doucher, la porte de la douche est vitrée, tu verras tout...
-Mais si je la vois, elle aussi me verra...
-Jérémy, tu la regardes et tu fais ce que tu veux, si tu veux te branler, ne te gêne pas...
-Mais elle va me voir !
-Et alors, tu crois que les femmes n'aiment pas voir les hommes se branler ?
-Je ne sais pas...
-Tu y vas oui ou non ?
-Accompagne moi... Je ne sais même pas où se trouve la salle de bain...
-Tu ne peux pas te tromper, la porte sera ouverte...
-Ah bon, elle ne ferme jamais quand elle se douche ?
-C'est à cause de la buée sur la glace, la fenêtre de la salle de bain est gonflée par l'humidité, on ne peut plus l'ouvrir, magne toi, sinon elle aura fini...
Je le laisse partir, je sais comment réagira ma mère si elle le voit se masturber.
Je ne sais pas où se trouve mon père, en train de se préparer je suppose, il utilise la salle de bain de leur chambre et ne viendra pas les déranger...
Je mets un peu d'ordre dans ma chambre, ça m'arrange bien qu'ils aillent au resto, je vais pouvoir me reposer...
Cinq minutes passent et je vois revenir Jérémy, rouge comme une pivoine....
-Alors Jérémy, tu as vu ce que tu voulais ?
-Pour ça oui... Dis moi, j'ai vu ta mère se mettre un truc derrière, tu sais ce que c'est ?
-Oui... C'est un plug... Un gode spécial anal...
-Ça sert à quoi ?
-Jérémy, tu es vraiment naïf... Qu'est ce que tu fais, tu reste manger avec moi ?
-Il faut que je les prévienne...
-Voici mon portable...
Il passe son coup de fil, tout es OK, mes parents viennent nous saluer...
-Maman, Jérémy mange avec moi...
-Il y à tout ce qu'il faut... Débrouillez vous... Bonsoir...
Dès qu'ils sont partis, Jérémy se détend...
-Michel, je n'ai rien compris, ça sert à quoi ce gode qu'elle s'est mise derrière ?
-Ça dépend... Pour certaines, ou pour certain aussi, c'est pour assouplir le sphincter, tu comprends pourquoi... Pour d'autres, et c'est le cas de ma mère, c'est uniquement parce qu'elle aime...
-Elle va le garder toute la soirée ?
-Bien sur...
-C'est dingue ça...
-Ne cherche pas à comprendre...
-Il y à des hommes qui s'en mettent aussi ?
-Tu as certainement remarqué que nous n'avons qu'un trou... Les homos entre eux, ils s'enculent mon vieux... Tu ne le savais pas ?
-Attend, je ne suis pas idiot, je sais ce que c'est...
-Tu as déjà pratiqué ?
-J'ai fait trois ans de pensionnat en tant qu'interne...
-Tu t'es déjà fait enculer ?
-Plusieurs fois... J'ai enculé aussi...
-Ça ne te posait pas de problème ?
-Au début si... La première fois, le type avait un gros chibre, c'était notre pion...
-Et maintenant, tu le fais encore ?
-De temps en temps... J'ai un copain qui organise des soirées mixtes. En général, tous les garçons présents son ‘'bi''...
-Mixtes... Il y à des filles aussi ?
-Bien sur, autant que de garçons... Elles aussi sont toutes ‘'bi''...
-Vous en faites souvent des soirées comme ça ?
-Environ une fois par mois...
-Tu te fais enculer à chaque fois ?
-Pratiquement... Moi, je n'ai pas besoin de gode pour me dilater le cul...
-Tes copines sont au courant ?
-Bien sur, elles sont déjà venues...
-Jérémy, tu caches bien ton jeu... On te donnerait le bon dieu sans confession, tu sais...
-Je ne suis pas très démonstratif...
-Mais tu aimes le cul !
-Pour ça oui...
-Tu ne m'as pas dit ce que tu as fait en matant ma mère ?
-Je me suis branlé... Sur ses fesses...
-Et bien tu vois, je te l'avais dit !
-C'est un canon ta mère...
-C'est vrai qu'elle est très belle... Tu n'as pas vu mon père pendant que tu...
-Non, il n'est pas venu... Dis moi, tu as l'air très libre avec tes parents...
-Et ils le sont avec moi... Chez toi, si j'ai bien compris, avec les tiens ce n'est pas la même chose...
-Pas vraiment...
-Tu aimerais avoir plus de liberté avec eux ?
-Bien sur... Ils m'en laissent, mais pas comme je voudrais...
-Tu voudrais quoi en fin de compte ?
-Je ne sais pas... Chez moi, on ne parle jamais de sexe par exemple...
-Ils ne te posent jamais de questions sur ta vie sexuelle ?
-Pas mon père en tout cas... Avec ma mère, je suis un peu plus libre, elle sait pour les jumelles...
-Un garçon est toujours plus près de sa mère, c'est normal... Tu lui as dit pour ta bisexualité ?
-Je ne lui ai jamais dit que je me faisais enculer, mais elle sait que je le fais...
-Comment l'a-t-elle su ?
-Par hasard... Une copine m'a donné un des ses godes, et je l'ai oublié dans mon lit...
-Parce que tu te sers d'un gode ?
-Ça m'arrive !
-Toi alors, tu me la coupes !
-Si je suis excité, j'aime me branler en mettant quelque chose dans le cul...
-Il est gros ?
-Normal... De la taille de ma bite... Les jumelles en ont un plus gros, mais elles ne veulent pas me le prêter...
-Avec elles, tu t'en sers ?
-Elles s'en servent, pas moi... Je ne peux pas baiser les deux en même temps !
-Ok... Je vois le tableau ! Et alors, ta mère ?
-Elle a été surprise... Je lui ai raconté une histoire à dormir debout, ça l'a plutôt faite rire... Après, j'ai bien été obligé de lui avouer la vérité...
-Elle l'a pris comment ?
-Mieux que je croyais... Elle ne m'a pas engueulé en tout cas, c'est ce que je craignais le plus...
-Finalement, elle est peut-être plus ouverte que tu crois ?
-C'est possible... Michel, quand elle est venue m'en parler, elle l'avait dans la main... J'ai eu l'impression que ça l'excitait de toucher cette pine en latex...
-Une question... Ton gode, tu l'as senti après qu'elle te l'ai rendu ?
-Oui...
-Et alors, il sentait quoi ?
-Maintenant que tu m'en parles... Il ne sentait plus l'odeur de mon cul, j'en suis sur...
-Jérémy, ta mère s'en était servie, voilà l'explication...
-Tu crois ?
-Réfléchi un peu... Si ça l'excitait de le toucher devant toi, qu'est ce que ça devait être si tu n'étais pas là... A ta place, je ferais fait un test...
-En faisant quoi ?
-Tu le ranges, après l'avoir nettoyé, dans un endroit ou elle peut le trouver facilement sans fouiller partout... Il faut que tu le mettes d'une certaine façon et tu vérifies s'il a changé de place ou d'orientation par exemple, ça serait bien le diable si elle le remet exactement dans la même position au même endroit... Mais admettons qu'elle le fasse, tu peux aussi coller un cheveu, avec ta salive, sur le gland par exemple, s'il n'y est plus tu sauras qu'elle s'en est servie, et puis, il sentira peut-être encore
-Je sais qu'elle s'en sert... Un après midi, je suis rentré plus tôt que prévu, il n'était pas à sa place, une demie heure après, il était revenu comme par enchantement !
-Jérémy, puisque tu sais... Met lui le marché en main, propose lui de s'en servir devant toi...
-Ouah ! J'aimerais bien... C'est ce que tu ferais, toi ?
-Il y a des chances... De toute façon, qu'est ce que tu risques ? Qu'elle refuse tout au plus, mais si elle accepte, tu as gagné !
-Et je fais quoi pendant qu'elle s'occupe avec mon gode ?
-Ce que tu veux Jérémy, dans ce cas, c'est la porte ouverte à tout... Surtout si tu lui montres ta bite... A moins d'être idiote, choisir entre une pine en latex et une vraie, il n'y a pas photo, je sais ce qu'elle choisira...
-Mais c'est ma mère...
-Jérémy, j'ai dit seulement dans le cas ou elle accepte, tu ne vas pas la violer !
-Bien sur... Tu sais que j'ai fantasmé sur elle très longtemps...
-Tu ne vas pas nous refaire le complexe d'Œdipe tout de même, tous les garçons ou presque on fait ça...
-Toi aussi ?
-Bien sur, je suis tout à fait normal...
-Bon, admettons que ça marche, et mon père ?
-Quoi ton père ? Vous irez lui raconter ?
-Non... Enfin pas moi, mais elle peut le faire...
-Si elle le fait Jérémy, c'est que tes parents ne sont pas comme tu les vois... Mais fais attention quand même, il peut avoir des réactions à l'opposée de celles que vous souhaitez... La jalousie ça existe tu sais...
-Je ne crois pas... Dans le fond, j'ai le sentiment que mes parents sont assez cool... Ils ne le montrent pas c'est tout, mais j'ai des indices qui peuvent accréditer ma thèse...
-Des indices ?
-Je sais qu'ils regardent des films pornos tous les deux... J'en ai trouvé un dans un boîtier de DVD alors que j'avais le film dans ma chambre...
-Tu l'as regardé ?
-Bien sur... Le porno, c'est pas ma tasse de thé, mais celui là, je l'ai regardé jusqu'au bout... Un film Allemand d'une série spéciale...
-Mais encore ?
-C'était l'histoire d'une famille... Un couple, leurs deux filles et un garçon... Une vraie famille tuyau de poêle... Tu vois ce que je veux dire ?
-Bien sur... Donc, si tu pousses un peu le bouchon, tu devrais les mettre devant le fait accompli, après, tu gères ou tu ne gères pas, mais bon, au moins, tu sauras...
-Je ne sais pas si je pourrais ‘'gérer'' comme tu dis, mais je crois que ça me plairait bien...
-Alors la balle est dans ton camp ! Tu n'as trouvé qu'un film ?
-J'avoue que je n'ai pas cherché... J'ai remis le bon DVD dans son boîtier et leur porno bien en vue sur l'étagère, le lendemain il n'y était plus... Personne ne m'en a parlé...
-C'est récent cette histoire ?
-Un mois... Non trois semaines...
-A ton retour, tu devrais avoir des nouvelles... Ils auront eus le temps d'en parler...
-C'est ce que je pensais... En me mettant au train, ma mère m'a dit que nous partirons en week-end tous les trois, à mon retour...
-N'en déduis rien Jérémy...
-Ce sera la première fois, c'est ce qui m'étonne... Michel, tu es très au courant de ces choses...
-Oui Jérémy, tu sais en général, je ne parle que de ce que je connais...
-Tu veux dire que toi et tes parents ?
-Jérémy, j'ai une grande liberté avec mes parents, cela ne me perturbe pas et ils ne sont pas perturbés non plus... Mais rassures-toi, je ne suis pas le seul dans ce cas. Si tu veux, nous allons manger, j'ai faim...
En passant dans le salon, la culotte de ma mère est toujours sur le canapé, Jérémy y jette un oeil distrait, nous passons dans la cuisine...
Le repas terminé, nous revenons au salon, je l'invite à s'asseoir ses yeux ne quittent plus la culotte...
-Tu peux la prendre...
Il s'en saisit et la passe sous son nez, aussitôt une bosse gonfle son pantalon...
-Tu peux te branler dedans si tu veux...
-C'est vrai, je peux ?
-Bien sur... Regarde le fond, tu vois ces traces de mouille...
-Comment sais tu que c'est de la mouille ?
-L'expérience Jérémy... Le pipi laisse des traces jaunes, comme celles au milieu du fond...
Il se lève, défait sa ceinture, enlève son pantalon et son slip, sa queue raide est tendue devant lui, je suis étonné par la taille de l'engin...
Il se rassoie et entame une masturbation avec la culotte sous son nez puis il serre sa queue avec le bout de tissu et décharge...
Plusieurs jets fusent et atterrissent sur la table basse, le dernier dans la culotte qu'il porte à sa bouche et la mâchonne...
Assis au bord du siège, il relève les genoux et se fourre deux doigts dans le cul, l'autre main continuant la masturbation sur sa queue qui ne débande pas...
Sa main s'agite dans son derrière avec trois doigts maintenant, ce spectacle me met dans tous mes états, je bande et j'ai bien envie de faire comme lui...
-Michel, si tu veux m'enculer...
La proposition est tentante, je retire tous mes vêtements et je m'avance la queue en main...
-Encule moi, défonce moi le cul... Je vais encore jouir...
Pendant que je l'encule, il se branle à toute vitesse, son gland mouille et il jouit.
Sa décharge m'arrive sur le ventre, je me démène dans son cul et je me bloque au moment de décharger...
Je balance mon foutre dans son boyau et je me retire, mon gland n'est pas très net.
Il regarde ma queue qui ne débande pas, sa tête avance et il embouche mon chibre pour me faire un nettoyage complet.
Sa queue est toujours raide, je l'enjambe en la guidant et je m'assoie sur ses cuisses sa belle pine enfoncée dans mon cul.
C'est moi qui monte et descend, sa bite me ravage le fondement, je me branle en même temps.
Je ne sais pas s'il va jouir mais moi je suis prêt, j'accélère ma masturbation et je décharge de nouveau.
Lui aussi vide ses couilles dans mon cul, je sens sa décharge arriver et je ne bouge plus pour le laisser finir et je me lève.
Son gland est maculé, je l'invite à me suivre dans la salle de bain...
-Si tu veux te doucher...
-Avec toi...
Séchés, nous revenons au salon, nos queues sont flasques...
-Jérémy, c'était super...
-Pour moi aussi... Excuse moi, mais je vais devoir y aller, demain nous partons de bonne heure...
-Bonne nuit Jérémy... Si tu as le temps reviens me voir avant de partir...
-Je n'y manquerais pas... Salut Michel...
Je ne vais pas attendre mes parents, ils risquent de rentrer tard, une bonne nuit de sommeil me fera du bien.
Avant de m'endormir, je jette un oeil sur le bouquin que m'a prêté Ludivine, en commençant par les illustrations, c'est vrai qu'il n'est pas à mettre en toutes les mains.
Les chapitres sont explicites au niveau des titres, aucune ambiguïté sur leurs contenus.
Mon téléphone me sort de mes rêveries, c'est Ludivine qui veut savoir si j'ai commencé la lecture.
Je lui dis que j'ai parcouru un chapitre ou deux, que je suis en érection, et que je me branle en lui parlant.
En riant, elle me souhaite bonne nuit et raccroche.
Plusieurs planches, superbement dessinées, sont en rapport avec un chapitre, il m'a semblé comprendre que toute une famille allait se retrouver, dans la maison des grands parents, à la campagne.
Je reprends dès le début du chapitre sans sauter une ligne, la situation est très bien décrite, je me laisse emporter par le récit.
La queue dressée, je me touche de temps en temps et j'étale les gouttes qui perlent au bout de mon gland.
En avançant dans le récit, mon excitation monte, mais je ne me branle pas, ma queue devient de plus en plus dure, ma mouille dégouline jusque sur mes couilles.
Il me vient l'idée de tenter une expérience, je sors de sous mon oreiller, le gode avec lequel je m'encule en me branlant et je le pousse dans mon cul.
La sensation est divine, je m'encule doucement, le gode glisse bien, je le pousse le plus loin que je peux.
Il me semble que je vais jouir sans toucher ma pine, ce sera la première fois, mais je fais encore durer le plaisir.
Absorbé par le récit de l'orgie qui se prépare, je n'entends arriver mes parents que quand ils passent devant ma porte.
Ma mère remarque tout haut qu'il y à de la lumière dans ma chambre, trop excité, je continue ma lecture, l'orgie familiale bat son plein.
Un grattement me fait tourner la tête vers la porte de ma chambre, la poignée tourne et mon père pousse la porte...
-Michel, tu ne dors pas ?
-Non papa, je lis un bouquin que m'a prêté Lulu...
-Et bien dis donc, je ne sais pas ce que c'est comme livre, mais il à l'air de te faire de l'effet !
Il est nu au bord de mon lit et regarde ma pine dressée, sa queue grossit et se dresse par saccade, d'une main il décalotte son gland et se caresse doucement.
Ma mère s'encadre dans la porte, nue elle aussi, un peu étonnée de nous voir en érection...
-Michel, on dirait que tu te faisais plaisir...
-C'est son bouquin qui l'excite on dirait... Fait voir...
Je lui tends mon livre qu'il feuillette rapidement...
-Vu les planches de dessins, ce n'est pas étonnant...
Ma mère s'avance et s'assoie sur mon lit en suivant du regard mon bras passé sous ma cuisse.
-Marc, viens voir... Il s'est mis une gode dans le cul...
Mon père pose le bouquin et avance au pied du lit, je relève les genoux pour qu'il puisse bien voir le gode enfoncé jusqu'à la base.
-Dis donc Michel, c'est un des godes de ta mère ça !
-Non papa, c'est le mien, c'est Lulu qui me l'a offert...
Il se branle en me regardant, le gland près de la bouche de ma mère qui s'avance pour le sucer.
Tout en le suçant elle empoigne ma queue et me branle doucement, je reprends mon enculade en sortant complètement le gode et en le remettant d'un coup.
Je dois arrêter sinon je vais jouir, j'extrais le gode et le laisse tomber sur la descente de lit.
Ma mère lâche ma queue et celle de mon père, lentement, en rampant sur moi, les cuisses écartées, elle présente ma pine et se laisse tomber, j'entre dans sa chatte jusqu'aux couilles.
-Prend moi le cul Marc, vous allez me faire jouir mes deux hommes...
Je sens la queue de mon père qui coulisse sur la mienne, je ne peux presque pas bouger, je le laisse faire le travail.
Les seins de ma mère sont écrasés sur ma poitrine, la tête dans mon cou elle me parle à l'oreille...
-Baise moi mon grand, je veux jouir avec ta belle queue pendant que ton père m'encule... Bouge chéri, je vais venir...
Je sens arriver son orgasme, le mien n'est pas loin, mon père accélère son mouvement puis il se bloque, nous jouissons tous les trois...
Après quelques instants, mon père se recule et sort, ma queue libérée de la pression nage dans la chatte engluée de cyprine.
Avant de débander, je fais encore quelques mouvements, ce qui semble provoquer un nouvel orgasme à ma mère.
-Je jouis encore chéri, baise moi...
Effondrée sur moi, elle ne bouge plus, je débande sans sortir de sa chatte, la mouille et mon sperme dégoulinent sur mes couilles.
Mon père est sorti de ma chambre, certainement pour aller se laver, ma mère se relève et, doucement s'allonge à côté de moi.
-C'était fabuleux chéri... Porter ce plug toute la soirée m'a excitée, au restaurant, je me suis masturbée sous la table...
-Personne ne t'a vue ?
-Oh non ! Nous étions dans un coin...
-Tu as joui ?
-Non chéri, mais j'aime ça...
-Je croyais que vous alliez rentrer plus tard...
-Tu le regrettes ?
-Non...
-Nous sommes passés au jardin botanique, mais il n'y avait personne à cause des travaux...
-Vous y allez souvent ?
-Moins depuis quelques temps, la preuve, nous ne savions pas pour les travaux.
-S'il n'y à plus personne, le gens doivent bien aller ailleurs...
-Peut-être, mais nous ne savons pas à quel endroit...
-Mois je sais, enfin je crois savoir... C'est sur la route du parc des expos, derrière l'ancienne usine de plastiques...
-Comment tu sais ça toi ?
-Parce que j'y passe en rentrant du sport...
-Et tu t'y arrêtes ?
-Non maman, j'ai pas envie de me faire tire
Salut Juju!!
Bravo pour ton site, c'est génial, il y a plein de "belles choses" à voir!!
J'apporte donc ma contribution avec deux photos d'une de mes ex, on filait le parfait amour et elle m'a laissé tomber du jour au lendemain, je n'ai jamais su pourquoi...
Mais ce n'est pas pour me venger que je met en ligne ces photos, je trouve qu'elle a un très joli corps (que de bon momments passés avec elle!!!) et j'en laisse profiter les autres qui peuvent laisser leur avis du momment que ça reste sympa.
Tant que je faisais mes études, au lycée ou à l'université, je faisais parfois du baby sitting pour me faire un peu d'argent de poche. Toutes les filles ou presque ont fait ça au moins une fois et, le plus souvent il n' y a rien de spécial à raconter, quelques heures de présence, un ou deux enfants à faire manger, parfois un bain à donner, souvent un pleurnichard à calmer, d'autres fois deux petits démons à mettre au lit, le reste de la soirée devant la télé et quand les parents sont revenus, un billet ou un chèque qui remonte les finances. Il y a quelques rares fois où les choses ne se passent pas comme habituellement, par exemple une fois où le bébé a été brutalement pris d'une crise d'étouffement ou bien cette fois.où la maison a été cambriolée pendant que je m'occupais du petit à l'étage. Mais ce sont des cas exceptionnels…
Je me souviens d'un jour, ou d'un soir, en fait, où ça ne s'est pas passé comme d'habitude, loin de là !. C'était une expérience terriblement gênante pour moi et pour mes patrons au début mais qui s'est terminée de la façon la plus inattendue et merveilleuse qui soit.
Ce soir là, je babysittais pour les M et Me Deshaye, mais je les appelle maintenant Olivier te Nicole étant donné ce qui s'est passé cette fois là. Ce n'était pas la première fois que je faisais ça pour eux tout s'était toujours bien passé. Et comme les deux enfants étaient gentils et que j'étais bien payée, tout allait pour le mieux.
Cette fois là, Olivier et Nicole allaient à une soirée plutôt chic et ne devaient rentrer que très tard dans la nuit. C'est pourquoi, il avait été prévu que je coucherais chez eux. En prévision d'une longue soirée seule, j'avais apporté mon bouquin de maths pour réviser.
J'arrive chez eux vers huit heures. Nicole vient de finir de baigner les enfants que je prends en charge maintenant. Elle a mis une robe ultra sexy, moulante et presque transparente. Je dis à Nicole que je la trouve vachement belle et, venant d'une fille de mon âge, elle trouve que c'est un beau compliment. Dernières recommandations, numéro de téléphone pour joindre les parents en cas d'urgence, et le couple s'en va. Je joue un peu avec les enfants puis, c'est l'heure pour eux d'aller au lit et l'heure pour moi de me retrouver seule.
Je m'installe dans le salon sur le canapé et j'attaque les maths mais j'ai du mal à me concentrer dessus. Non, vraiment, ce soir ça ne passe pas ! Au bout de quelques minutes, je laisse tomber, et j'allume la télé. Comme bien souvent, les programmes ne cassent pas trois pattes à un canard ; je zappe d'une chaîne à l'autre mais je ne trouve rien à mon goût. Heureusement, sous la télé il y a une pile de vidéos et un magnétoscope. Je voudrais bien y trouver un film pas trop tarte, sait-on jamais ! Je jette un œil sur les titres… bof ! de bons films, c'est vrai mais je les ai déjà vus dix fois.
"Tiens, celui là, c'est quoi ?"
'Vicieuses défoncées'. Avec un pareil titre, inutile de se poser des questions, on sait tout de suite de quoi il s'agit ! D'ailleurs les photos de la jaquette ne laisseraient aucun doute s'il cela était nécessaire.
Faute de mieux, je mets la cassette. Comme je m'y attendais, c'est du classique, du porno pur et dur, un film sans beaucoup d'inventivité. En moins de cinq minutes de film j'ai déjà eu droit à une pipe, une pénétration vaginale, une anale et une éjaculation sur les seins de la fille. Quant à la bande son, les dialogues se réduisent à des gémissements ou des respirations haletantes.
Même si c'est toujours la même chose dans les films porno, même s'ils manquent d'originalité, ça me fait quand même de l'effet de voir ce garçon et cette fille qui s'enfilent et ça commence à me démanger entre les jambe et l'envie de me masturber et de me faire jouir n'est pas longue à venir !
J'enlève ma chemise et mon jean, et je m'installe bien dans le canapé. A peine ma main est-elle entrée en contact avec mes seins que ça me chauffe encore plus dans le vente. Alors, les yeux fermés, je me caresse le sexe du plat de la main à travers mon slip. Puis, je passe la main son l'élastique pour pouvoir jouer plus facilement avec mon petit chat. Bientôt, ça ne me suffit plus, je dégrafe le soutien gorge et j'enlève mon slip. Me voilà nue sur le canapé, les jambes écartées, en position pour passer un bon moment…
Tout de suite, ma main descend sur ma chatte et un doigt ouvre la fente pendant que l'autre main joue avec mon sein droit - le plus sensible. Une sensation indicible ! Mes doigts sont déjà pleins de mouille et mon clito est durci et demande qu'on s'occupe de lui. Mon pouce fait des cercles dessus, et mon excitation augmente, ça me brûle encore plus dans la chatte qui se met à couler. Je sens le jus qui coule sur mes cuisses… Comme c'est bon ! Ca faisait longtemps que je ne m'étais pas donnée autant de plaisir ! Ma respiration s'accélère, et je me caresse le clito de plus en plus vite. Je sens que ça vient et que ça va être fort. Un frémissement et d'un coup, ça éclate. Je sens mon clito qui bat au rythme de mon cœur et, quand ça éclate dans ma chatte j'y fourre deux doigts bien à fond et je me branle fort. Ca me fait mal tellement c'est bon et en jouissant, je me mets à crier aussi fort que je l'ose, pour me libérer de ma tension et mon orgasme se prolonge ; ma main est crispée sur ma chatte et mon corps est arqué et tremble.
Un bruit dans la pièce, je tourne la tête et un coup de tonnerre s'abat sur moi ! Olivier et Nicole sont là à me regarder, debout dans l'embrasure de la porte, immobiles, les yeux exorbités. Je ne sais plus quoi faire ou quoi dire ! C'est affreux ! Je suis là, nue, exposée, en train de me masturber sous leurs yeux !
Le a seule chose qui me passe par la tête c'est de leur dire :
"Je ne voulais pas regarder ce film… Je l'ai trouvé par hasard… C'est parce qu'il n'y avait rien à la télé… " Comme s'il était question du film porno qui continue à passer à la télé! Je ne sais plus où me mettre, je ne pense même pas à me couvrir et je reste les jambes écartées, la main crispée sur ma chatte. Je dois être rouge comme une pivoine - enfin comprenez-moi, prise en pleine masturbation !!! C'est l'horreur…
Et brutalement, je craque. Je me mets à pleurer. De gros sanglots et je m'effondre sur le canapé. Je ne me souviens pas de ce qui se passe juste à ce moment. Quand je reprends mes esprits, Nicole est assise à côté de moi, elle m'a prise dans se bras et me parle doucement. Olivier, est debout face à moi, les bras ballants, et il semble ne pas savoir comment réagir.
"Nous sommes désolés… Non, tu ne dois pas t'en vouloir, te sentir coupable… Tu étais seule et nous aurions dû…"
Par la suite, Olivier et Nicole m'ont expliqué que leur voiture était tombée en panne, qu'ils avaient dû se faire dépanner et qu'ils avaient préféré rentrer sans aller à la soirée. En arrivant, ils avaient entendu des gémissements, les bruits caractéristiques d'un couple faisant l'amour. Ils avaient même pensé que j'avais amené mon petit ami pour passer la soirée avec moi et que lui et moi étions en train de baiser. En fait, c'était la télé, mais c'est alors qu'ils étaient tombés sur le joli spectacle d'une fille se masturbant et jouissant tant qu'elle le pouvait. Olivier m'a alors avoué qu'il était là depuis quelques minutes, qu'il m'avait longuement regardé me masturber et qu'il avait été si fasciné et si excité par ce que je faisais qu'il en bandait encore et que la seule chose qu'il regrettait c'était ne pas avoir pu venir me rejoindre sur le canapé pour jouer un peu avec moi.
Pour le moment, je retrouve mon calme dans les bras de Nicole. Sa main, qui s'est posée sur ma poitrine, est chaude, et bientôt, je sens la pointe de mes seins durcir. Olivier vient de s'asseoir à côté de moi et lui aussi, me prend la main et la caresse doucement. Personne n'a eu l'idée de ma couvrir et je suis toujours nue entre les deux adultes.
Rapidement, je me sens mieux et même plus ! Entre Olivier et Nicole, entre leurs tendres caresses - innocentes probablement.j'ai envie de les sentir me tenir entre leur bras, envie de sentir leur chaleur, envie de sentir leur tendresse, envie d'être caressée, envie de me sentir leur petite fille adorée.En quelques secondes toutes ces envies grandissent, se transforment, et voilà que je recommence à avoir envie - non, besoin - de caresses plus précises, plus intimes, en un mot j'ai envie de sexe, de sexe, de sexe…
Je pose une main sur la braguette d'Olivier et je sens son sexe à demi bandant. Ma main posée dessus le presse doucement, m'attendant à ce qu'il m'enlève la main ou quelque chose de ce genre. Mais non, il ne bouge pas et, plus encore, au bout de quelques secondes, il écarte un peu les jambes. Je le prends comme un signe d'acquiescement te je me love un peu plus contre lui out en ouvrant largement les jambes pour lui donner accès à mon intimité, pour qu'il puisse me toucher lui aussi. C'est alors que Nicole se manifeste. C'est sa main à elle qui se pose sur mon ventre et descend immédiatement sur ma foufounette.
Nicole s'est penchée sur moi et je sens la chaleur de sa bouche entre mes jambes. Elle me lèche tout autour de mon sexe, puis, lentement, sa langue passe sur les lèvres, les parcourt et monte jusqu'à mon clitoris. Je pousse un gémissement de plaisir en me contractant et en poussant mon ventre contre sa bouche. C'est la première fois que je me fais lécher le chat par une femme : c'est super bon ; extra doux. Je me dis que j'ai manqué bien des plaisir et que j'ai du retard à rattraper.
Pendant que Nicole me caressait, Olivier s'est levé et s'est mis nu avant de revenir près de moi. Collé sur moi sa bouche cherche la mienne.Je l'entends me dire :
"Tue es si douce et si chaude…et tes seins ronds contre ma poitrine…Tu vas me faire exploser en un rien de temps….
Il m'embrasse sur le visage, picore mes lèvres, m'embrasse les yeux et le nez et revient sur mes lèvres. En me léchant, il quitte ma bouche et descend sur mes seins. Il sont déjà gonflés et n'attentent qu'on vienne s'occuper d'eux. Il les lèche l'un après l'autre puis donne des coups de langue sur les pointes. Mon coeur bat plus vite et accélère encore quand il me suce les pointes qui gonflent et durcissent s dans sa bouche.il les masse avec sa langue puis me mordille délicatement les pointes et joue avec. Mes gémissements l'encouragent à continuer : il me suce maintenant l'autre sein, lui donne le même traitement délicieux et me fait miauler de plaisir en me suçant, en me léchant ou en me mordillant.
Mais voilà qu'il arrête !
Il se lève à demi et pose sa bite sur ma bouche.. Je n'ai pas une grosse expérience de suceuse mais, évidemment, je comprends ce qu'il veut et ça ne me déplait pas du tout, loin de là Pas besoin qu'il fasse un dessin pour m'expliquer.
La bite d'Olivier se dresse juste sous mes yeux, et je n'ai qu'à allonger les lèvres pour en toucher le bout que je frôle deux ou trois fois.
Puis deux ou trois longues léchouilles sur toute la langueur de sa bite, du gland jusqu'aux couilles et enfin, ouvrant la bouche, j'avale le gland rougeâtre, chaud et doux comme de la soie. Oliver régit immédiatement par un gémissement et, ainsi encouragée, je tire la peau du gland bien a en arrière et commence en passant la langue tout autour, là où c'est le plus sensible, le plus jouissif.
Pendant que je me régale en bouffant la bonne grosse bite chaude d'Olivier, sa femme m'a abandonnée et ma chatte crie de solitude ! J'y mets un doigt qui rentre tout de suite tant elle est dégoulinante de cyprine. Ouah ! Ca fait du bien !!!! J'avais un gros besoin de ce côté là…
Du coin de l'oeil, je vois Nicole qui revient tenant quelque chose qu'elle cache derrière son dos. Elle revient sur moi, m'enlève la main que j'avais accrochée sur ma chatte et se met à me lécher les lèvres; rapidement elle les écarte et sa langue entre dans ma chatte. Délice !
"Ouiiii ! " je crie, et Nicole me donne un grand coup de langue du cul jusqu'au clito. A nouveau elle enfile sa langue le plus loin possible dans moi et caresse l'intérieur de ma chatte. Je crois que je ne vais pas tarder à jouir.Ca me chauffe terriblement dans la cramouille, ça me serre, ça me prend, je halète, j'ai des aiguilles de feu dans les seins et soudain je ne peux plus résister. C'est comme un coup de massue. Il y comme une explosion dans ma chatte. Arque boutée contre la bouche de Nicole, je jouis en lui écrasant la tête entre mes cuisses.
A peine remise de la tempête qui vient de m'ébranler, Olivier me rappelle que je suis théoriquement en train de le sucer et que je ne pense plus guère à lui ! Je me remets au travail avec plaisir. J'adore sucer une belle bite et celle d'Olivier est vraiment bien douce tout en étant extra dure.
Pour continuer la pipe à Olivier, je garde le gland dans ma bouche immobile et prenant le manche dans le creux de la main, j'entreprends de le branler. Je sais que comme çà il ne va durer longtemps, mais qu'il va apprécier. Tous les hommes adorent cette caresse ultra jouissive. Olivier régit à 100%, il me pelote les ses seins de plus belle et de l'autre main me maintient la tête sur sa bite. On croirait qu'il a peur que j'arrête le traitement ! Justement pas, car je sens qu'il va jouir à son tour. Facile à voir quand le mec commence à s'agiter d'une façon un peu désordonnée et à gémir ou même gueuler comme un fou. D'un coup un grand jet de foutre chaud me remplit la bouche. Je l'avale et sa bite m'arrose encore. Je suce Olivier et je le branle pour l'accompagner dans son orgasme et il gémit tout en m'enfonçant sa queue loin dans la bouche. Lentement sa bite dégonfle et, bien qu'il ait fini de juter, je le suce encore jusqu'à la fin. Les yeux à demi fermés, il me dit :
"C'était extra. Merci Clémence. "
J'entends soudain un bourdonnement s'élever. J'ai à peine le temps de me demander ce que c'est que Nicole me passe un vibromasseur devant les yeux en me disant : "Je crois que tu vas aimer. "
Avec le vibro réglé au maximum, elle me masse le clito. Ma réponse est immédiate et je me tortille de plaisir sur le canapé tout en poussant de petits cris. C'est un picotement perpétuel qui dure, qui s'accumule et qui enfle, le clito est comme en feu, il est gonflé et dur ; il lui faut encore plus de stimulation.
Nicole varie la pression du vibro sur mon clito, le frôlant à peine ou bien le posant en plein, et en appuyant bien.
Au bout d'un moment, je suis tellement excitée que ça devient presque douloureux et la chaleur envahit tout mon ventre. Mes seins sont plus durs que jamais. "Arrête, je ne peux plus," je crie.
Mais Nicole sait tout ce qu'on peut faire avec ce petit instrument. Sans y penser, j'écarte les jambes au maximum pour m'ouvrir la chatte. Le vibro me chatouille, me picote, me titille, et je gémis e plus en plus fort, la bouche ouverte pour respirer. Parfois, c'est si fort que je retombe inerte sur le canapé, parfois je crie. Et soudain, Nicole enfonce le vibro dans seul coup tout au fond de ma chatte. C'est en trop. Les hanches tendues en avant, je me sens partir. Une contraction, puis une autre traversent ma chatte l'étreignent, la broient. Je sens mon cul se contracter à son tour, mes hanches et tout mon corps. L'orgasme s'empare de moi, me tord et m'écrase. Ensuite, les contractions diminuent, je retrouve un peu de calme, amis Nicole continue à m'exciter avec son vibro qu'elle a enfoncé dans chatte. Une autre vague de jouissance me submerge et les contractions se font moins fortes mais plus rapides. Je tremble de tous mon corps et, incapable de respirer, je halète. Enfin la tension retombe dans ma chatte puis dans le reste de mon corps.
Je suis épuisée. Olivier et Nicole se serrent dans leurs bras et me réconfortent.
Quelle jouissance ! Pour un premier essai avec un vibro, c'est réussi. C'était… je ne trouve pas de mots…