Jusqu'à aujourd'hui je n'avais jamais été infidèle à ma femme. Je ne veux pas dire que nous soyons un couple parfait, mais mes infidélités c'étaient mes branlettes. Ma femme me fait tout ce qu'on peut imaginer et quand on fait l'amour elle dit que j'aime être soumis. La plupart du temps elle s'asseoit sur moi et me fait l'amour, mais elle aime aussi que je la prenne en levrette. Les positions que nous prenions -aidés en cela par une lecture du kamasuthra lorsque nous étions fiancés- on ne les pratique plus. Il nous faut aller au plus vite, de peur que je ne débande et parfois ça rate parce que je panique de plus en plus.
J'ai 60 ans ainsi que ma femme. Nous nous sommes mariés quand nous avions 25 ans après deux ans de fiançailles. Que du très classique donc, les tripotages ayant été l'ordinaire de notre fréquentation. Nous habitions dans le quartier, presque voisins. Elle me plaisait mais je n'osais pas lui en parler. A l'en croire, je lui plaisais aussi et elle attendait que je me décide.
Il a fallu que nos parents s'en mêlent pour qu'on se marie. Ça peut paraître incroyable. Résultat, nous étions encore vierges. Mais ça a été superbement bien. Le temps de nous découvrir sexuellement, quelques malentendus, le plaisir de savoir que c'était ce que voulait chacun de nous.
Je ne dirais pas que c'est l'amour fou. Non. Juste que physiquement nous sommes l'un pour l'autre ce que nous avons besoin.
J'ai toujours été disponible. Ma femme ne s'est jamais refusée. Si ça pèche maintenant, c'est de ma faute, à cause de ma faiblesse à bander quand il faut. Mais ça ne fait rien. Ma femme est compréhensive et si elle en avait vraiment besoin, elle se masturbe à côté de moi dans le lit.
Je me branlais quand j'étais ado mais je ne le faisais que quand je ne pouvais plus tenir parce que j'avais honte de le faire et que j'avais peur que ça me rende sourd!
Je crois que c'était ma défense. Je n'arrivais pas à bander quand une copine s'occupait de mon vit, tout ça parce que nous n'étions pas mariés. Combien de fois je me suis fait largué, et traité d'impuissant. De vicieux parce que j'aimais leur tripoter la poitrine.
"Tu me feras ce que tu veux après le mariage!" m'avait dit ma fiancée et moi je lui avais promis en retour de la laisser faire tout ce qu'elle voudra. Pour le sexe, elle n'était pas farouche et quand nous parlions de certaines choses... elle disait qu'elle avait toujours eu envie de faire ça.
On savait bien comment ça allait se passer. Ma bite dans sa main, elle me disait qu'il faudrait que je la lui mette dans le ventre. Et cette "saleté" qui sortait de mon gland quand j'arrivais à mes fins, c'était ça qui faisait les enfants.
Je n'ai jamais eu l'idée de chercher un bouquin pour en savoir plus. Tout ce que j'en entendait me suffisait. Ainsi donc, le con -ma fiancée m'ouvrait de plus en plus ses cuisses et du bout des doigts je m'en faisais une idée- et la bite. A quoi donc pouvaient servir les seins? A nourrir les bébés. Ma mère racontait qu'elle n'avait jamais donné le sein à aucun de ses enfants. Alors, à quoi donc servaient les seins énormes qu'elle avait!
Petit dernier dans la famille, fait par accident, j'ai dix ans de plus que mes soeurs. Elles, je les ai vues donner le sein. Tant que j'étais un gamin ça ne les gênait pas mais le jour où j'ai été pubère, j'en ai été privé.
"Je n'ai pas envie d'allaiter!" C'est ce qu'avait dit mon épouse, enceinte, et j'ai dû argumenter pour la convaincre du contraire. Pour le premier bébé, ça a duré un an. Pour le second, ça a duré deux ans. Ce n'était pas exclusif. Quand elle en avait besoin, elle lui donnait le sein. Elle le donnait aussi au premier, un garçon qui allait sur ses quatre ans et venait prendre sa becquée, sans se gêner, à sa mère, avachie dans le fauteuil et moi, il me fallait quémander pour obtenir ma ration.
Ce fut une très belle période mais nous étions si gourmands que les seins en furent asséchés, vidés et se retrouvèrent replets. Ma femme ne s'était jamais vraiment occupé de sa poitrine. Elle s'en occupa encore moins. Les soutifs furent abandonnés. A quoi bon! Il n'y avait rien à soutenir. Pourtant, j'aimais bien ses dentelles, la façon dont sa poitrine était soulevée, maintenue, le vallon étroit entre ses deux seins et mieux même ses aréoles si larges. Ne restent plus que ses jarretelles et ses bas pare qu'elle n'a jamais voulu mettre de collants, ses petites culottes.
"Mets des strings!", lui avais-je dit.
- Des strings? Tu es fou! m'avait-elle répondu. Ça ne protège rien. Déjà que pour les gamines...
- Justement, nos filles en portent!, avais-je ajouté.
- Comment ça! Tu les espionnes?
J'ai menti en disant que j'avais vu, dans le linge, ces petits bouts de tissu... Ma femme n'a rien répondu. Elle savait bien comme moi que nos filles lavaient leur petit linge dans le lavabos de leur chambre et qu'en dix minutes c'est sec.
J'avais vu ma fille aînée monter un escalier devant moi. Ça m'avait fait un choc. Je jure que je ne l'avais pas fait exprès, mais la courbe des mollets, les cuisses blanches, la culotte... Mais il n'y avait pas de culotte. Je n'en revenais pas et je n'ai pas cessé de regarder en montant l'escalier. Les cuisses croisaient l'une contre l'autre et je ne voyais pas de poils. Ma femme et mes filles sont brunes et ont une chevelure abondante. Donc, comme leur mère, leur minou doit bien être poilu!
Quand elle a tourné en haut de l'escalier, ma fille a écarté les jambes et j'ai vu dans la raie de ses fesses un minuscule cordon de tissu, puis un soupçon tout en haut des cuisses...
- C'est ridicule! Regarde!
Nous allions nous coucher et ma femme sortait de la salle de bains. Je me suis retourné et j'ai vu. D'abord je n'ai vu que le mince cordon autour de sa taille et puis j'ai bu le bout qui descendait et disparaissait dans la raie de ses fesses. et quand elle s'est retournée, j'ai vu le minuscule triangle qui apparaissait au milieu de sa toison.
C'est vrai que c'était ridicule. Jusque-là, ma femme se faisait faire épiler le maillot pour que pas trop de poils ne sortent de son maillot de bain. D'autant plus que ce petit triangle de tissu a disparu entre les lèvres de son con.
- C'est ridicule! Je ne vais pas mettre ça!
C'était moche. Elle avait raison. Mais comme seule réponse je n'avais que ça :
- Fais-toi épiler complètement!
- Mon dieu! Tu es fou!
- Non! Je suis sûr que ça te va bien.
- Mais où vais-je faire ça?
- Lorraine... Tu n'as qu'à aller chez Lorraine, c'est chez elle que tu te fais épiler d'habitude.
Ma femme resta songeuse. Lorraine, c'est une copine que nous avons depuis la petite école et ses parents sont des... Lorrains réfugiés pendant la dernière guerre, ce qui explique le prénom. Elle est esthéticienne.
- Lorraine? Mais elle va pas comprendre...
- Je crois que si, au contraire. C'est son métier et tu ne seras pas la seule...
- Tu vas pas te moquer de moi?
Je la rassurais. Cela ne se fit pas tout de suite. Il fallait que ma femme réfléchisse, se décide. Un soir, elle est sortie de la salle de bains et j'ai vu. J'ai vu combien ça lui allait bien, ce petit bout de tissu qui ne cachait rien mais mettait plutôt en valeur son minou parce qu'au bout de quelques instants le tissu a disparu entre ses lèvres.
S'en est suivi une dispute. J'ai toujours soupçonné Lorraine d'être une gouine, d'abord parce qu'elle n'est pas mariée et n'a aucun homme dans sa vie. Mais je n'ai jamais cherché. J'ai demandé comment ça s'était passé et ma femme s'est énervée pour me dire que je voyais du mal surtout là où il n'y en a pas. Je les imaginais toutes les deux. Quand on épile à cet endroit, surtout entièrement, il faut bien que les doigts ou je ne sais quoi, finissent par toucher les parties génitales. Je les imaginais, toutes les deux...
- Qu'est-ce que tu imagines? Lorraine m'a épilée...
- Raconte!
- Je n'ai rien vu. Euh! Elle m'a d'abord tondue puis elle m'a enduite de crème dépilatoire et je suis restée dix minutes. Ça commençait à me piquer et elle a raclé mes poils.
- Elle t'a mise une crème après ça?
- Oui!
-T'es sûre qu'elle ne t'a pas touchée?
Ma femme est restée un moment sans rien dire puis a ajouté :
- Je t'ai déjà dit qu'elle m'a fait des propositions. Déjà avant qu'on ne soit fiancés. Je ne sais pas si c'est une vraie gouine...
- C'est une gouine, tu le sais bien! Alors, elle t'a touchée!
Ma femme s'était assise sur le lit, un peu déprimée :
- Oui!
- Tu as joui?
- Oui!
- Tu as eu un orgasme?
- Oui! Enfin, je ne sais pas. Ce n'était pas ça, mais ça m'a fait du bien. On ne peut pas parler d'autre chose?
Ma femme a retiré son string et a enfilé sa nuisette avant de se mettre sous le drap. Je l'ai suivie dans le lit mais ça me travaillait.
- Laisse-moi te regarder!
- Quoi!
- Tu me dois bien ça! Laisse-moi te regarder!
- Il est tard. J'ai sommeil!
Ma femme a fini par dire oui. Je me suis levé et j'ai allumé la grande lumière et quand je lui ai demandé de me montrer ses fesses, elle s'est mise sur le ventre puis a ramené ses genoux, ce qui lui a soulevé les fesses. Je ne l'avais jamais vue aussi nue. Plus un poil dans la raie, plus un poil sur le con. Plus un poil sur le ventre. Je promenais mes doigts.
Faire un 69 faisait partie de nos préludes mais je n'aimais pas ça d'avoir des poils dans la bouche parce qu'il y en a toujours qui se détachent et ma femme trouvait que je n'étais pas très doué pour faire ça. Pour elle, c'était facile. Elle n'avait qu'a avaler ma bite et ne s'en privait pas. Deep Throat faisait partie de notre vidéothèque cachée et j'ai toujours pensé qu'elle aurait pu jouer le rôle. En érection, mon vit ne fait que 12 centimètres mais ma femme arrive toujours a avaler mes couilles en surplus, dans sa bouche.
Entièrement épilé. Je trouve que ça rend les cons plus beaux, les chairs plus tendres et plus sexy. Et plus attirantes. J'ai tendu la langue et j'ai commencé à lécher.
La garce, elle n'a rien dit et m'a laissé faire. J'ai enfoncé ma langue dans son vagin et j'ai sucé son clito. Au bout d'un moment elle m'a supplié de lui prendre les seins. Alors, j'ai tendu la main et je lui ai tripoté la poitrine. Chaque fois qu'on fait l'amour, elle ne peut pas s'en passer. Quand elle me baise, assise sur mon vit, elle se penche et me fourre un sein dans la bouche. Elle l'a toujours fait et le fait toujours.
Pour la première fois ma femme m'a dit de ne pas arrêter et j'ai continué jusqu'à ce qu'elle m'explose sur la figure, quelques gouttes bienvenues mais sous ma langue, son con était inondé.
Je me suis levé et je l'ai lavée. Ma femme ne peut pas s'endormir sans s'être lavée, surtout s'étre débarrassée de mon foutre. J'essuyais son joli cul qui pointait encore vers le haut et quand je suis revenu, il s'était affaissé. Je me suis glissé sous les draps.
- Tu veux jouir, m'a-t-elle dit.
- Ça ta plu?
- Coquin! Tu le sais bien.
Elle s'est mise sur le dos et j'ai passé les doigts sur son ventre.
- Ça va repousser?
- Oui, forcément. Faudrait une épilation électrique, mais Lorraine ne fait pas ça.
Je caressais son minou et c'était presque aussi doux que ses seins.
- Fais pas ça! J'ai sommeil.
Alors j'ai laissé ma main sur son ventre et elle a attrapé mon vit qu'elle a commencé à branler, mais il ne s'est rien passé. On s'est endormis.
Hier après-midi, ma femme a pris la voiture et est allée garder nos petits-enfants que ma fille aînée et mon gendre ont lâchement abandonnés pour faire un voyage. Je me demande... Un jour que j'avais accompagné ma femme, j'avais fouillé les tiroirs et j'avais trouvé des photos de... nudistes! Il n'y a rien d'officiel car ils n'en ont jamais rien dit. Un homme, ma fille, une femme, mon gendre, tous les quatre se tenant par la main. Les deux femmes se tenant par l'épaule. Ma fille, entourée des deux hommes. Mon gendre, entouré des deux femmes. Oh! rien de vraiment excitant. Juste une pose pour faire des photos. Quelque chose de plus probant: ma fille, enceinte, ventre à ventre, avec l'autre femme, enceinte elle aussi. Ça n'allait pas plus loin que d'être nus tous les quatre.
J'ai épluché toutes les boîtes, craignant que ma femme me surprenne et je n'ai rien trouvé de plus excitant... Il y avait bien cette cassette, tout au fond, sans rien de marqué dessus. Il fallait que je sois seul pour la visionner. Et là j'ai vu que ma fille faisait des partouses avec son mari et ce couple. Je bandais. Etait-ce sans raison? Non, car ma fille semblait sublimée et pliée en deux, recevait mon gendre son mari dans le con et son ami dans la bouche. La femme devait filmer. Je regardais ma fille et je me rendais compte comme elle prenait bien les deux bites. La femme est venue lui tâter al poitrine puis a continué de filmer.
J'ai dû tout arrêter car ma femme entrait dans la maison. La cassette était restée dans le magnétoscope et je ne pouvais la retirer pour l'instant. Je le fis un peu plus tard, furtivement et retournais la ranger au fond du tiroir. Le soir même, ma fille est rentrée et nous sommes partis. En conduisant, je me demandais s'ils s'apercevrait que la cassette n'était pas rembobinée... puis je me mis à fantasmer qu'ils s'en apercevaient et pensaient que c'étaient nous, les parents, qui l'avions regardée.
Pour sûr, ma fille et son mari étaient partis s'offrir une petite semaine améliorée. Peut-être avec ce couple. Ils avaient dit Amsterdam. Je rêvais qu'ils allaient acheter des godes et des vibros.
Je ne pouvais pas partir. Quand on a un jardin, l'été, c'est la mauvaise saison. Il faut toujours être là pour cueillir les fruits et ramasser les légumes et faire les conserves. Je préparais tout. J'étais à quatre pattes dans mes haricots quand la voix de la voisine à retentit :
- Alors? On se sacrifie!
Je me suis retourné et je l'ai vue. Il manque un tuyha dans la haie et depuis des années je me dis qu'il faudra que je le remplace. Elle était là. Elle devait me trouver ridicule. Je me suis levé et je suis venu vers elle. De ces haricots, j'en ai marre. On en a déjà des tonnes de boîtes d'avance...
- Vous en voulez?
- Oui, après tout, pourquoi pas! Mon mari n'est plus en état de faire le jardin. Il est hospitalisé depuis lundi dernier...
Je prenais de ses nouvelles. Il était incapable de se lever...
- Attendez, je vais chercher un panier!
Elle s'est éloignée dans l'allée. Je ne l'avais jamais regardée autant. Elle marchait à petits pas et sa jupe descendait jusqu'à ses pieds, bordée de dentelles. Une adorable petite vieille. Quel âge pouvait-elle avoir? On les croisait parfois sur le trottoir mais la plupart du temps on s'ignorait par manque de temps.
Bon sang! Elle a un joli petit cul! C'est ce que j'ai pensé. Et quand elle est revenue, je n'avais pas bougé de place. Je remplis son panier qu'elle posa sur le sol et on continua à parler de son mari.
- Il y a très longtemps qu'il ne peut plus faire grand chose. Il est tout de suite fatigué. Vous avez de la chance, avec votre femme. Vous êtes jeunes...
- Oh! n'exagérez pas! On a atteint la soixantaine tous les deux...
- Ah! J'ai raison. Vous êtes jeunes!
- Quel âge a votre mari?
-72! Il est plus jeune que moi. Vous savez, ça jasait quand on s'est mariés. Je suis plus âgée que lui. J'en ai 78!
- 78! Vous ne les faites pas.
Elle est restée sans rien dire mais avait un joli sourire. Elle a bien quelques rides, mais sa peau est lisse. Je voyais les veines sous sa peau et dans l'échancrure de sa robe j'ai vu le dessus de ses seins, le sillon merveilleux si étroit.
- Qu'est-ce que vous regardez?
J'ai bafouillé quelque chose et elle a continué, sans que je lui demande :
- Il y a si longtemps que je n'ai pas fait l'amour! Et pourtant, j'aimais ça!
Et elle s'est penchée pour ramasser son panier et j'ai vu sa poitrine qui se pressait sur l'échancrure de la robe, fragile, tressaillante, émouvante, séduisante. Mais le panier était trop lourd pour elle, alors, je me suis proposé de le lui porter.
Elle accepta et je l'ai suivie à la vitesse de ses pas. Elle avait une ceinture et ça faisait ressortir ses fesses et ça lui faisait un joli petit cul. Elle monta les marches du perron et me fit entrer dans sa maison. C'était la première fois que j'y posais mes pas. C'était resté très vieux, un genre de décor que ma femme n'aimerait pas. Je posais le panier sur la table de la cuisine. Ma voisine m'offrit de boire quelque chose et elle se pencha pour prendre une bouteille sous l'évier.
Le tissu de sa robe se coinça dans la raie de son cul. Je ne pouvais pas faire autrement et c'était plus fort que moi. Je posais ma main sur ses fesses et elle ne réagit pas, restait penchée, puis j'ai retiré ma main. Elle s'est relevée et se retrouvait face à moi. Elle ne souriait pas mais elle m'a dit :
- Si vous voulez de moi, on va le faire dans ma chambre.
Je l'ai suivie jusqu'à sa chambre. Comme le reste de la maison c'était vieillot, des napperons sur les meubles et des rideaux. Elle a ouvert le lit puis a retiré sa robe. Elle avait ni culotte ni soutif et j'avais devant moi le plus joli bibelot de la maison, avec de longues jambes et de très jolis seins qui tombaient vu son âge mais restaient bien gonflés.
- J'espère qu'on ne fait pas une bêtise! Ne tombez pas amoureux!
Elle était toute de délicatesse et chaque geste qu'elle faisait était attendrissant. Elle s'approcha de moi et m'aida à retirer mes vêtements et elle finit en soupesant mon vit dans sa main. Puis elle me regarda dans les yeux :
- On va d'abord se laver!
Quand elle sortit de la salle de bains, elle avait les poils tout collés. Avec un gant de toilette, elle me lava soigneusement et tout en le faisant, elle me dit qu'elle avait été prostituée. Et sans me laisser parler elle continua :
- Je faisais les paies, les quinzaines. Des clients par dizaines mais ça ne m'a jamais gênée.
- C'est vrai? Je croyais que c'était une légende...
- Non, ils faisaient la queue dans la chambre. A peine un avait fini qu'un autre arrivait.
Elle se releva et me souria :
- Ça ne m'a jamais enrichie! Avec vous, c'est pas pareil. J'ai eu envie de vous!
- Après tout ce temps!
Cela faisait bien 20 ans qu'ils habitaient auprès de chez nous. Je me souvenais que lui était docteur, ou spécialiste dans je ne sais plus quoi.
- Oui! Elle souriait. Ça ne se commande pas! Vous avez envie vous aussi! Je le vois bien!
Ça oui! Elle voyait bien que je bandais. Ça arrivait plus facilement qu'avec ma femme. Je bandais et ça me faisait mal. Elle commença à me décalotter puis me recalotta.
- Vous me prenez tout de suite ou je vous suce? Non! Prenez-moi! Il sera toujours le temps de faire des bêtises.
Elle s'allongea sur le lit et m'ouvrit les cuisses, mais avant que je n'arrive, elle se mit sur le côté et remonta sa jambe droite :
- Prenez-moi par derrière! Comme ça, vous pourrez me prendre les seins!
Je l'ai prise par derrière et j'ai agrippé sa poitrine. Je pouvais l'écraser entièrement dans mes doigts tellement elle était souple, diaphane, inexistante et n'avait de forme que quand sa propriétaire était debout et que les chairs de ses seins se ramassaient tout en bas.
- Allez-y! N'hésitez pas! Faites-moi jouir!
J'ai passé mon autre bras sous son torse et j'ai agrippé l'autre sein et j'ai commencé à pomper. Ça me semblait plus facile. Comme ma femme était loin! J'y ai juste pensé un instant puis je suis retourné avec ma petite vieille qui me plantait ses ongles dans les fesses.
Il n'y avait aucun autre bruit que nous deux, nos gémissements et nos cris. Nos cris de plus en plus forts et nos gémissements de plus en plus étouffés. Elle éclata :
- Je vais jouir...
C'est à ce moment-là que j'ai joui, que je lui en ai mis plein le vagin et chaque éjaculation me faisait mal. Nous sommes restés sans bouger, l'un dans l'autre. Puis on s'est séparés. Elle s'est assise sur le bord du lit en me disant qu'elle allait me laver. Et puis elle s'est levée, la main entre ses cuisses, au bas de son ventre, mais mon foutre coulait quand même le long de ses cuisses.
Elle s'est rassise et a dit que ce n'était plus de son âge. Alors, je me suis assis derrière elle, l'entourant de mes jambes et j'ai pris sa poitrine dans mes mains.
Je ne mentais pas quand je lui ai dit que c'était le plus beau coup que j'ai jamais eu, n'ayant jamais trompé ma femme. Elle sentait bon. Je lui ai collé plein de baiser dans le cou, sur les épaules. Je me suis laissé tomber sur le dos et elle est tombée avec moi. Bon sang! Je rebandais déjà. Elle devait bien me sentir entre ses cuisses. Je passais mes mains sous ses bras et je la bloquais par les seins.
- Masturbez-vous!
- Vous êtes fou!
- Alors, c'est moi qui vais vous masturber!
J'ai laché un sein et j'ai porté ma main à sa coupe et j'ai commencé à la caresser. Elle était encore pleine de sperme et je pataugeais dans les plis de sa chatte. Mais j'ai vite repéré son clito que j'ai astiqué à une vitesse folle. Et rapidement, elle a joui. Elle disait sans arrêt que j'étais fou.
On resta sans bouger puis mon amie dit qu'on devait se laver.
- J'ai honte!
- Moi aussi!
Elle revint avec une serviette et m'essuya puis elle retourna se laver. Je me levais et regardais dans la chambre. Sur un meuble une photo. Un nu artistique comme on dit. Je reconnus son visage. Mon dieu! Elle avait été si belle et je me demandais si c'était vrai qu'elle avait été une putain. Puis un album de photos. Elle avec des filles, sûrement dans un bordel, toutes avec leur poitrine découverte. C'est là qu'elle est arrivée derrière moi. J'ai refermé l'album.
- Vous pouvez regarder! Je n'ai rien à cacher! Vous êtes le seul, avec mon mari...
Je feuilletais l'album. Elle commentait. Mais elle commença par le début :
- J'ai commencé très jeune. Je ne vous dis pas à quel âge parce que vous seriez horrifié. Je savais ce que je valais. Vous savez, les hommes donneraient leur fortune pour ce trou qu'on a entre les cuisses!
Sur les photos, elle offrait ses fesses, ou s'offrait cuisses ouvertes. Elle écrasait ses seins entre ses mains. Elle n'avait jamais eu de gros seins. Des seins en forme d'obus, presque pas d'aréole. Avec le temps, sa poitrine s'était allongée. Mon coude toucha un de ses seins. Je me mis à trembler.
- Vous pouvez rester pour la nuit si vous voulez. Ça m'a beaucoup plu!
Je pensais soudain que ma femme me téléphonait tous les soirs à 8 heures.
- Non! Venez chez moi...
En disant ça j'avais tourné une page et là, vue de trois quarts, elle prenait un vit dans l'anus. Je tournais une autre page. Elle était assise sur un homme et en prenait un aussi dans l'anus et en avait un dans la bouche. Je fermais l'album.
- Vous n'avez jamais fait ça avec votre femme?
- Quoi?
- L'enculer! Lui mettre votre sexe dans l'anus?
J'étais stupéfait d'entendre ces mots dans sa bouche, elle à qui on aurait donné le bon dieu sans confession.
- Excusez-moi! Il faut appeler les choses par leur nom. J'ai tout fait, même l'amour avec des femmes!
- Venez!
- Je vais mettre une robe!
- Non! Jusqu'à demain matin, on va rester tout nus! Vous n'aviez pas de culotte tout à l'heure!
- Non! Il y a bien longtemps que je n'en mets plus!
- De soutien-gorge non plus?
- Non plus! C'était plutôt un déguisement pour faire la putain...
- Pour moi, vous n'êtes pas une putain! Vous êtes la plus belle femme que je connais. Gardez ça pour vous, je vais vous montrer des photos de ma femme... et de moi!
La nuit commençait à tomber. On a traversé le jardin. A peine arrivés, le téléphone a sonné. C'était mon épouse. Je lui racontais ma journée... au jardin. La voisine était assise dans le fauteuil, désirable. Ma femme raccrocha.
- Vous avez faim?
- Faim? Non! Vous n'avez pas un cognac?
Un cognac? Je sortis les petits verres et je le lui servi. Elle prit son verre, s'approcha de moi et me trempa le gland dans le cognac avant de reposer le verre et de me sucer. Elle savait y faire. Sa langue se glissait sous mon vit et me donnait des trémolos. Mais à ma grande surprise, quand je lui dis que j'allais jouir, elle m'a dégorgé et m'a fait jouir dans son verre et m'a essoré le reste de mon sperme dans le mien.
Ça faisait d'étranges poissons, si blanc dans le cognac si roux. Elle m'a tendu mon verre :
- Buvez!
J'ai avalé d'un coup. Et elle a délicatement avalé le sien. Puis elle m'a poussé sur le fauteuil et m'a dit de l'attendre. Je n'avais pas eu le temps de ranger les légumes du jardin et je la voyais qui avait pris un concombre dans sa main. Elle se tourna vers moi et passa le concombre entre ses seins, sous ses seins, puis s'en caressa l'entrecuisse. Elle sortit un torchon et l'essuya soigneusement. Puis elle revint vers moi et s'assit à côté de moi.
- Vous n'avez pas envie de vous amuser?
- ?!?
Elle a ouvert les cuisses et s'est écarté les lèvres. C'était une invite. Je commençais avec le petit bout. Elle sourit :
- Vous ne l'avez jamais fait à votre femme?
- Jamais!
- Enfoncez-le par le gros bout!
- Mais ça va vous faire mal...
- Ne vous inquiétez pas! Si vous saviez tout ce que j'ai pu y faire entrer!
Son chat avait perdu l'habitude parce que c'était difficile quand même mais quand ses lèvres furent dilatées, le concombre s'enfonça. Il s'enfonça tellement qu'il disparut si bien qu'on aurait pu croire qu'il n'y était pas. Elle se leva et se mit à se tortiller devant moi. Elle avait le concombre dans le vagin et se masturbait. Puis elle se pencha vers moi et j'ai pu jouer avec sa poitrine. Par moment, le petit bout du concombre réapparaissait mais disparaissait tout aussi rapidement. Je décidais de lui faire visiter la maison. Dans la chambre, elle a vu le tableau qu'on a au-dessus de notre lit, peint d'après une photo, avec ma femme qui offre ses fesses et montre ses seins qui pendent. Puis j'ai ouvert notre album.
Elle était entre mes bras et je tournais les pages. Je savais bien que cela ne devait pas trop l'étonner. Des femmes et des hommes nus, elle en avait vu plus que nous. J'ai pris sa poitrine dans mes mains et je lui ai dit que je ne pourrais plus me passer d'elle. Elle a ri. Et m'a dit que je me lasserai assez vite.
- Non! je ne pense pas!
- Oh! si!
On resta tous les deux sans bouger. Je la caressais.
- Tu pourras m'enculer si tu veux!
Je l'ai enculée dans le lit conjugal. Au matin, le concombre était dans les draps. J'ai serré ma voisine dans mes bras et j'ai à nouveau broyé sa poitrine dans mes mains.
- Tu aimes bien faire ça!
- Tu préférerais que ce soit ma femme?
- Oh! je ne suis pas sûre qu'elle le veuille.
- Oui, mais toi, tu le veux?
- On s'est bien amusés... Ce soir peut-être...
« Vos goûts sont raffinés : du 1er choix, pour environ deux cents euros. » Je procédai à un rapide calcul mental. « Deux cent dix-huit très exactement. Vous comptez user de la carte bleue ou vous passer de ces colifichets ? » Elle minauda « Je .... je suis vraiment à découvert en ce moment. J'ai eu une pulsion incontrôlable devant ces jolis objets. - En plus je soupçonne qu'ils doivent faire beaucoup d'effet sur vous... » Elle rougit, faisant saillir ses pommettes. Aucun de nous deux n'avait élevé la voix, ma collègue Danièle qui achevait de classer le stock dans les réserves fut surprise en découvrant la jolie blonde au sortir de son antre à rangements. Je me levai pour remettre en place le produit du larcin. Danièle ajusta son blouson en jean, empoigna un parapluie, me salua avant d 'affronter la bruine. « Suis à la bourre pour récupérer le gamin chez la nounou. Désolée. - No problem, c'était convenu. A demain. »
Derrière moi, la chipeuse manipulait nerveusement sa besace. Je pivotai, frusques toujours en main. Nous nous dévisageâmes en chats de faïence. « Ces fringues vous ont plu au point de prendre un tel risque ? » Elle hocha la tête. « Vous en avez tellement envie ? » Mouvement de nuque affirmatif. Je la fixai dans les yeux « Vous seriez prête à tout pour les avoir ? » Re hochement du chef, sans le moindre battement de cil. « Je vais être plus explicite. Accepteriez vous un troc sous-vêtements contre acquittement en nature ? Même si votre alliance me laisse deviner qu'un bonhomme a accès à vos charmes indéniables. » Un bref temps d'arrêt précéda son acquiescement délicieusement ambigu, presque murmuré : « Oui. J'ai tellement d'envies. - OK, vous devrez mériter chaque vêture, sans rechigner à la tâche... » Son regard oscillait entre timidité et détermination. Je verrouillai le sas de l'échoppe, éteignis l'éclairage de la devanture, indiquai à la belle la cabine d'essayage en fond de boutique, y poussai un fauteuil à roulettes. Je disposai les « achats » sur un petite carton.
Je passais l'index sur l'échancrure de son bustier, les muscles fins de ses épaules. Son blouson en peau d'agneau, légèrement élimé, chut dans un froissement mat de cuir. Un à un je dégrafais les boutons de son haut, fis jaillir son buste en décrochant son soutien-gorge. Ses lèvres purpurines, délicatement soulignées d'un trait discret de rouge-baiser, tremblotaient. Son ventre souple et musclé frissonna lorsque mes paumes presque glacées enveloppèrent les sphères de seins si tendrement fermes, explorèrent ses charmes – flancs, croupe, haut des cuisses enserrées par de fins bas aux motifs abstraits. Je glissais le string par dessus ses bottines à talons aiguilles, plaquais tout contre moi son bronzage intégral aux tessitures pain d'épices, massais ses fesses, enchâssais par l'arrière le majeur dans le creux de sa c oupe de Vénus. Elle léchait mes lippes à petit coups, souffle court mouvant le doux velours de sa poitrine, dardait sa langue dans ma bouche, lèvres scellées aux miennes, reins avançant et reculant au rythme de ma tendre branlette. Je pivotais lentement, la guidai comme en une danse sans musique, la plaçai sur le fauteuil, cuisses écartées, substituant mes babines au majeur fureteur.
Serrant possessivement ses fesses, je la suçais de tout mon saoul, dégustais ses saveurs en profondes lichées, plongeais ma langue en elle, la léchais puis déposai sa mouille sur ses cuisses, son abdomen avant de me gorger à nouveau de son suc. Les trémolos des gémissements de cette voluptueuse catin escortaient chaque variation de mon cunnilinctus. Me redressant, je posais sa dextre sur son minou, guidant ses doigts en elle. Délaissant groles, chaussettes, futal et slip, couvrant mon érection d'un condom, je la pris par les hanches, faisant balancer son fion sur la surface en tissu pour empaler sa chatte sirupeuse sur ma gaule tumescente. Cambrée de plaisir, yeux mis-clos, elle arc-boutait ses mollets à mes fesses. Nous forniquions avec une lubricité du meilleur aloi plus que nous ne faisions l'amour, baladant d'avant en arrière le fauteuil. Le rideau frôlait mon postérieur. Tempo débridé – deux coups de bambou énergique, une glissade lente dans la moiteur fondante de son con, pilonnages rapprochés, pause, douce pénétration de l'ampleur de mon vit, coups de râbles endiablés... Corps réchauffés, épiderme couverts de suée, souffles raccourcis en râles d'amants. Surexcité par cette créature si chaude, je bloquais les muscles de ses cuisses pour l'immobiliser et régenter à ma guise mes assauts de plus en plus effrénés, reculant mon braquemard pour la saillir au plus profond de sa chatte. De plus en plus vite, prenant mon élan, ouïssant mes burnes qui claquaient son fion, jusqu'à exploser dans l'étui de latex. Sa jouissance débridée ne me sembla pas feinte...
Flageolant, je me retirai, fis choir la capote lestée de sperme. « Ma belle voleuse, tu viens de gagner ton premier accoutrement. Mais il y a un petit problème. - Heu lequel ? - Il me semble que te faire baiser ne te coûte pas grand chose, ce serait plutôt cadeau pour toi. Alors tu vas me solder ton compte en bonne petite pute, bien docile. - Oui. - Oui qui ? - Oui Monsieur, votre putain est aux ordres... » Je disposai mon séant sur le siège, l'attrapai par la nuque. « Suite du programme : taillage de pipe bien goulue. C'est dans tes cordes ? - Bien sur, je suis une très bonne suceuse, surtout quand je suis motivée par l'enjeu. Monsieur pourra en juger. » Adoptant la génuflexion elle mut délicatement de la boucle de ses doigts la tige ma foi ramollie. Mon gland violacé, encore visqueux gigotait tout près de ses naseaux au rythme lascif de cette branlette liminaire. Sa langue fouilla la fente de ma boule, me décapsula, spirala à moult reprises autour du chibre ainsi mis à nu. L'angle de la verge portait vers le bas mais mon dard se gonflait de plus en plus. Senestre maintenant le braquos dans l'axe, la pulpe de ses lèvres expertes voilait, dévoilait le bout de mon globe sommital, le barbouillait de sa salive, toute à la lente dégustation d'une gluante Chupa Chups.
Je lissais ses cheveux de mes doigts, glissant ver sa nuque, tirais peu à peu sa crinière pour guider les turpitudes affriolantes de son pompage de biroute. « Là, ma chaude. C'est bon, tellement bon ! Continue, enfonce bien cette queue dans ton gosier, que je sente que tu as VRAIMENT envie de ces fringues... » Sa main droite caressait mon ventre. Ailes du nez serrées, ses joues se creusèrent pour ingérer mon mandrin, entonnoir buccal progressant par à coups, refluant, regagnant le terrain perdu - et au-delà ; d'une traction explicite de sa crinière je fis redresser son buste afin que ma bandaison désormais flagrante s'extériorise à la verticale. Je prenais mon pied à soumettre cette tapineuse domestiquée au tempo de mon bon plaisir, contractant et décontractant les parois de ma gau le enfoui dans son fourreau buccal. J'admirais la chorégraphie friponne de son triple reflet sur les miroirs de la cabine. Sa poigne licencieuse astiquait vicieusement ma verge, faisait coulisser la peau autour de la raideur de mon érection, de bas en haut, de haut en bas, troussant et retroussant le chibre, synchrone avec ses sucées dont l'avidité s'accélérait. Je matais ma cime tumescente qui distendait les muscles de sa joue droite, gauche, droite, gauche... « Ouuui !!! On sent que tu en veux, petite salope ! Pompe moi le bout à fond, maintenant, que je voies comment tu avales mon jus. Oh, quelle pipeuse ! » Ses doigts me compressèrent le chibre, comme pour intensifier la puissance de mon éjaculation. Gémissant, vagissant, mes deux mains tractaient violemment les racines de sa crinière, je m'arquais, explosais dans sa bouche. Ses yeux magnifiques contemplaient ma jouissance, elle siphonna de toute sa vélocité le haut du noeud violet de fé licité, déglutit pour me savourer mais la vigueur de mes geysers de sauce blanche dégorgea le long de son menton puis sur ma pine.
« Recrache ma purée sur tes seins, TOUT DE SUITE ! Après tu lécheras mon foutre sur tes miches ! Exécution, PUTAIN !!! » Toujours aussi docile, elle étira ses poupes, y rétrocéda mon nectar, passa sa langue sur ses aréoles, yeux clos, mamelons durcis par l'excitation de mes directives salaces. Je l'embrassai à pleine bouche. Mes paumes palpaient, pétrissaient le velours de son buste souillé de ma glu puis étreignirent ces appâts, les serrèrent peu à peu. Un rictus endolori s'esquissa mais elle ne pipa mot. « Ta dernière acquisition est à conquérir. Il faut que je sois à nouveau d'attaque pour faire face à ton tempérament fougueux. Branle-moi le vit. Mais peut-être as tu ton compte ? - OH NON ! S'il vous plaît ! » Clignant de l'oeil elle massa mes burnes d'une pogne, enlaça le sommet du dard de l 'autre.
Toujours à mes pieds, une jambe dépliée en appui sur le talon déployait ses arômes de femelle en chaleur. « J'irai jusqu'au bout, Monsieur... Laissez-moi encore jouer l'esclave soumise à votre belle queue. - T'as vraiment le feu au cul. Une salope bien lubrique comme je sais les apprécier. » Elle imprima un tempo grivois à son activité manuelle, ponctuant chaque syllabe de sa réponse : « SALOPE, PUTE, NYMPHO, CHAUDASSE, CAGE A PINES : je me fous de l'étiquette ! L'important est de se faire sabrer, mon cher. » Etendant un bras je taquinais l'érection de son clito. Ma paume coiffa sa coupe vénusienne, berça ce tendre monticule, majeur emmailloté dans un con sirupeux de désirs, pouce taquinant l'entrée du rectum, adoptant comme elle un tempo de plus e n plus chaotique. Elle soupira d'aise.
Je piochai un condom dans la poche arrière du pantalon étalé au sol. « Il est grand temps de conclure notre marché : mets toi à quatre pattes... » Mon index parcouru sa colonne vertébrale pendant qu'elle se plaçait dans la pose requise. Mes paumes flattèrent ses flancs, effleurèrent ses cuisses, massèrent son cul somptueux, ferme et souple en même temps. Son corps se déhanchait, ondulait, son souffle se raccourcissait. Je saisis son séant, jouais à écarter, rapprocher les globes de ses fesses, puis baladais langoureusement ma pine latexée le long de sa raie, vers son con, repassait vers l'arrière, bifurquais sur les lèvres sirupeuses de son clitoris, jouant l'incertitude quant à l'orifice que je me déciderai à poinçonner. J'empoignai ses hanches et d'une poussée administrai l'ampleur de mon ére ction dans la chair fondante de sa vulve. Je tirais sa chevelure pour la cambrer, la bloquais tout contre moi, croupion accolé à mon ventre, me repaissant de la dureté de ma colonne de chair enchâssée dans la fluidité moite de sa cramouille. « Tu la sens bien, ma queue, hein ! Mmmm !!! - YES ! Je ne suis qu'une chienne à tringler, votre humble pute à outrager ! - Qu'est ce que tu mouilles : avoues que tu aimes quand je te fourre la cage à pines ! Que tes vols ne sont que prétexte à passer à la casserole ! - Je suis votre chose, la domestique de votre bite !! BAISEZ-MOI, je vous en supplie, je ne mérite que cela ! »
Je replantais en elle mon dard, encore plus fort. M'arrêtais. Repris mon élan pour la composter, tenaillant ses nichons, les serrant avec perversité, très très fort. J'adoptais un rythme d'une régularité systématique, ma balistique érotique lui torpillait le vagin. Elle criait son plaisir, vagissait, modulait ses halètements à chaque impérative pression de mon mandrin, pouvant anticiper mes pénétrations si ponctuelles. J'avais vraiment l'impression de la posséder, d'être le démiurge absolu de ses sensations. Tout son corps mouvait de jouissance, tel un animal flexible mais sans la moindre mollesse. Je pilotais une véritable Rolls Royce du sexe, superbement carénée, réagissant à la moindre impulsion - toutefois bien plus bruyante par l'intensité indécente de ses clameurs !! Je truffais, carto nnais son con, lui injectais une bite en furie catapultée par une paillarde opiniâtreté. Comme un feu d'artifice liquide mon sperme déflagra contre son vagin. Tétanisé, en sueur, envoûté par l'orgasme je la sabrais gerbe après gerbe et bien au-delà, profitant de l'occasion superbement offerte par son tempérament torride pour la piner jusqu'à la dernière étincelle de mon érection emmitouflée en ses tréfonds, délaissant enfin ses mamelles lacérées de mes ongles. Lorsqu'elle fit mine de se relever, je choppais sa nuque, vidais le préservatif entre ses lèvres, forçai de mon braquos le sas de ses lèvres pulpeuses : « Il n'y a pas de raison que mon jus salisse la cabine. - Mais je ... - Chut ! Reste coite et rince-moi la queue, s'il te plaît, ma chapardeuse si superbement salope. Tu prendras tes cadeaux en sortant. »
Je doute que ce troc libertin ait eu le moindre effet dissuasif sur ses penchants kleptomanes. Qu'importe, elle rôde de temps en autre dans le magasin, comme par hasard lorsque je suis seul. Une cliente très fidèle, qui règle rubis sur l'ongle en CB - Carte Baise. « Sophia », car tel est son prénom, une nymphomane si éloignée de la « sagesse » ...
Nous en parlions de temps à autres, histoire de s'exciter mutuellement et puis un jour......
J'ai proposé a Marie de rencontrer deux hommes en ma présence. Elle était un peu génée, un peu inquiéte tout de même et puis après une courte reflexion elle me dit "Ok tentons le coup !"
J'ai donc donné rv a deux garcon d'une 30aine d'années que j'avais moi même selectionné sur le web (petites annonces)
Je les ai rencontré quelques jours avant le rv coquin. Nous avons parlé entres hommes, dans un bar autour d'un verre. Je leur est expliqué ce que nous attendions d'eux.
Marie voulais qu'ils soient tout de même complices le jour J.
Tout était ok, ils paraissaient sains de corps et d'esprit, plutôt cools et assez motivés.
Tv donc un soir de semaine dans un hotel tout prêt de la Garde de Lyon a Paris.
Nous sommes arrivé Marie et moi alors que les deux hommes attendaient dans la chambre avec une bouteille de champagne et 3 coupes (sympa !)
les présentations faites j'ai commencé a caresser Marie qui était assise sur le lit. Les seins, le ventre, les cuisses. Elle était en jupe noir et petit corsage léger.
Je me suis retiré a un moment et j'ai dis au 2 garcons, "Messieurs je vous laisse ma femme, donnez lui du plaisir !"
Ils sont intervenus très délicatement et on commencé à la caresser sur tout le corps. Marie paraissait déjà très excité par cette situation.
Ils ont commencé a la deshabiller doucement en continuant a la caressser. L'un d'entre eux lui a hoté sa petite cullotte et a commencé a lui toucher le sexe. Marie commencait a gémir et a etre prise de petites convultions. La connaissant par coeur je savais qu'a cette instant elle etait proche de la jouissance.
Ensuite ils l'ont prise ensemble au début.
Marie était a 4 pattes sur le lit, elle sucait un des garcons qui était debout devant elle pendant que son ami la prennait en levrette.
j'etais assi dans un gros fauteuil et je regardais la scène et l'evolution des choses en me masturbant. je me rappel encore ce bruit....comme des petites claquers, c'etait celui des fesses de Marie qui recevaient les assauts de l'homme qui la prennait par derriere.
A chaque va et viens je sentait Marie à la limite de la jouissance.
Et puis l'homme de derriere c'est mis a aller de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Marie qui s'occupait de sucer celui qui était devant gémissait la bouche pleine.
Elle a joui fort, en sucant un enorme sexe, (elle adore ca) je me rappellerai toujours du regard qu'elle m'a lancé au moment ou elle jouissait, elle ma regardé droit dans les yeux en râlant er en se caressant les seins.
les 2 hommes avaient joui en même temps que Marie. L'un dans sa bouche, l'autres dans son sexe.
Ensuite nous l'avons prise à tour de rôles.
Nous l'avons sodomisé chancun notre tour et l'avons fait jouir 5 ou 6 fois nous a t'elle avoué.
Bref, nous avons passé 2 heures à baiser comme des fous et Marie etait notre unique centre d'interêt.