La video de mon ex copine qui adorait me sucer. J'ai trop la haine qu'elle soit partie
Je m'appelle Sandra, j'ai 31 ans, je suis infirmière indépendante.
Un matin, je fus appelée par une dame pour lui donner un traitement par injections (des piqûres quoi) à faire chaque jour à son domicile pendant un mois. Dès le lendemain je me rendis donc chez cette personne. Elle habitait dans un complexe de plusieurs immeubles, un peu vieillot, et surtout mal entretenu comme l'on peut en trouver en périphérie de toutes nos grandes villes. Une fois garée au milieu de dizaines de voitures sur un parking délabré où quelques carcasses en ruines ou brûlées décoraient le paysage avec une certaine harmonie, je me dirigeais vers l'allée où résidait ma patiente : la C. Sur l'escalier qu'il fallait emprunter pour accéder à l'entrée, étaient assis cinq jeunes d'une vingtaine d'années.
- "Bonjour !"
Deux seulement me répondirent.
- "Excusez moi c'est bien l'allée C ?"
- "Oui m'dame vous voulez passer ?"
- "S'il vous plait oui"
L'un d'eux se leva et je me glissa entre les autres.
- "Merci"
- "Mais c'est normal de laisser passer une jolie femme"
- "Je vous remercie"
Ma mission accomplie je ressortis de l'immeuble et me retrouvai de nouveau confrontée aux même personnages.
- "Pardon"
- "Ah revoilà notre belle inconnue ! passez"
Le jeune homme écarta ses bras autour de moi et descendit les marches avec moi.
- "N'ayez pas peur si vous tombez je vous rattrape !"
- "Oh merci quelle élégance !"
- "C'est normal vous êtes tellement jolie qu'il ne faudrait pas que vous tombiez"
Je savais bien que tout ceci n'était qu'un jeu mais cela avait au moins eu l'avantage de m'amuser.
Afin d'organiser au mieux l'ensemble de mes rendez-vous quotidiens, je planifiai mes visites chez cette dame toujours en début d'après-midi. Aussi, très vite, mes entrées et sorties de l'allée C furent remarquées et je crois même attendues, car je finis par retrouver chaque jour les cinq même jeunes, toujours sur l'escalier de l'allée C. Un jour, cela devait être le quatrième, je fis tomber involontairement mes clefs juste devant eux au bas des marches, je me penchai pour les ramasser.
- "Oooh je voudrais bien des airbags comme ça dans ma voiture put... !"
J'avais oublié l'échancrure de mon chemisier qui leur dévoila mon soutien-gorge noir.
- C'est vrai ? Mais vous savez ceux-là ne vous protègeraient pas beaucoup".
- "Si parce que si je les avais dans ma voiture je ne roulerai plus je passerais mon temps à les déclencher pour les recevoir dans la figure".
Je me mis à rire.
- "Hé madame pourquoi vous venez ici tous les jours ?"
Je leur expliquai donc la raison de mes visites et montai justement faire mon travail.
Le lendemain, à mon arrivée, ils étaient encore là, le plus entreprenant des cinq (que j'appellerai Jean), celui avec qui je discutais toujours un peu et qui me faisait sans cesse du charme, lança devant les marches un trousseau de clefs.
- "Ah zut mes clefs ! Excusez-moi madame vous pourriez me redonner mes clefs s'il vous plait, je me suis foulé la cheville et je peux pas bien descendre les marches ?"
Bien sûr et pourquoi pas la jambe cassée aussi pendant qu'il y était.
- "Et vos amis ils peuvent pas descendre eux ?"
- "Oui mais comme vous passez juste devant..."
En réalité cela m'amusa et je ramassai les clefs comme demandé. Malheureusement n'ayant pas la tenue adéquate, ils furent un peu déçus.
- "Ah bin non on n'a rien vu !!".
Finissant par trouver ce personnage amusant, sympathique et je dois le reconnaître plutôt mignon, je me surpris à lui répondre :
- "Demain peut-être !"
- "Ah oui ? hé m'dame vous allez venir encore combien de fois!!".
Il me restait encore trois semaines de traitement mais je ne voulais pas leur dire.
- "Ha encore quelques fois...".
Chose promise chose due, le lendemain matin, sortant de ma douche, je décidais de lui faire une surprise en laissant mes seins libres sous une chemise très large et optai pour une jupe mi-longue fendue généreusement sur le devant. Arrivée sur le parking je fis sauter le second bouton de ma chemise en ouvrant un peu plus le col. Devant l'allée C mes petits amis étaient au rendez-vous, je marchai jusqu'à l'escalier et là je fis tomber (mais cette fois volontairement), un mon sac que j'avais pris soin de laisser ouvert. Mon petit bazar personnel s'en échappa et se répandit par terre.
- "Ah zut qu'est-ce que je suis maladroite alors !"
Une fois accroupie au-dessus de mes affaires, je me pencha en avant pour les ramasser. J'eus le droit à quelques compliments allant même jusqu'à de l'aide.
- "Attendez je vais vous aider !".
Mon charmant Don-Juan se précipita devant moi pour m'aider.
- C'est gentil d'avoir pensé à moi"
En le regardant je constatai que son regard était plongé dans ma chemise. Je décidais de l'allumer.
- "Non c'est normal t'es si charmant avec moi"
A ces mots j'écartai légèrement les jambes, cela ouvrit la fente de ma jupe qui lui offrit ainsi une vue imprenable sur mon entrejambe.
- "Oh pas mal, mais je suis pas très dessous, je préfère la liberté, comme eux là".
Il fit un petit geste de la tête pour désigner ma poitrine.
- "A bon ! moi qui pensais te faire plaisir"
- "A ouais ! C'est sympa merci, mais je suis un peu déçu parce que j'ai toujours entendu dire que les infirmières étaient nues sous leurs blouses ?".
- "Je sais mais ce n'est qu'une légende à mon avis et en plus cela ne concerne que les infirmières qui travaillent dans les hôpitaux"
- "C'est c... parce avec une jupe comme ça ce serait plutôt cool. Et ça vous arrive jamais de vous habiller sans rien dessous ?"
Cela m'arrivait en effet mais je ne voulais pas le lui avouer de façon trop directe.
- "Peut-être"
- "Ah ça ça me ferait plaisir !"
Toutes mes affaires étaient retournées dans mon sac à l'exception d'un stylo. Je tendis la main vers lui pour qu'il me le rende mais il se releva et se recula.
- "Vous viendrez comme ça demain ?"
- "Je sais pas"
Je me relevai et voulus lui prendre le stylo des mains mais il le retint.
- "Alors ?"
- "On verra, s'il fait beau, et si j'ai envie, enfin je vais y réfléchir allez lâche mon stylo ma patiente doit m'attendre !".
Il lâcha prise et me laissa passer.
Lorsque je redescendis, ils étaient tous assis sur les marches ne laissant pas de place pour descendre.
- "Excusez-moi vous pourriez vous écarter un peu ?"
Jean s'allongea sur les marches et me lança.
- "Si vous voulez descendre il faudra me passer sur le corps !"
Il prononça cette phrase d'un ton très théâtral et je pensais qu'il plaisantait, mais ce n'était pas le cas.
- "Ah bon, et je te marche dessus ?".
Il poussa alors les cuisses de son voisin qui ne bougea que de dix centimètres environ.
- "Voilà de la place pour tes pieds !".
Comme je n'étais pas particulièrement en avance, et je n'avais pas le temps de m'amuser ou de discuter alors je m'avançai et descendis les marches en lui passant au-dessus. Ma jupe étant fendue, il put tout à loisir profiter de l'ouverture généreuse qu'elle lui offrait pour se rincer l'œil.
- "Alors satisfait ?"
- "Mais non je t'ai dit que je n'aimais pas les dessous ! je pensais que tu avais compris et que tu aurais fait ce qu'il fallait"
- "Chez ma cliente !? C'était difficile ! Bon allez je suis en retard".
Je me mis à courir...
Le soir même la dame de l'allée C m'appela pour annuler la visite du lendemain car elle devait s'absenter. Bizarrement, pensant à ce jeune homme qui prenait de plus en plus de liberté en vers moi, je ressentis comme un léger regret. Aussi deux jours plus tard, et dans la perspective de ma nouvelle rencontre avec la bande de copain du C, je m'habillai de nouveau en jupe, mais si je laissai de nouveau mes seins en liberté, j'enfilai tout de même après avoir hésité un string. Cette décision me fit remplacer la jupe que je portais par une autre beaucoup plus courte, fendue à l'arrière pensant compenser ainsi la déception que j'allais sans doute donner à Jean.
Arrivée devant l'allée C, mes acolytes étaient là.
- "Alors je t'ai attendu hier tu as eu peur ?"
- "Non ma visite a été annulée !"
- "Bon tu veux passer je suppose ?"
- "Evidemment !"
Il se coucha de nouveau sur les marches.
- "Cette fois j'espère que tu as pensé à ce que je t'ai dit !"
Le jeu m'amusait et puis j'avais bien prévu ce petit exercice en m'habillant ce matin, alors je m'avançai et commençai mon ascension. Deux d'entre eux se levèrent et se placèrent juste après la tête de Jean, et me barrèrent le chemin. Je fus donc obligée de m'arrêter juste au-dessus du visage de Jean.
- "Alors elle en a ou pas ?"
- "Oui mais pas pour longtemps !"
Les deux mecs m'attrapèrent par les bras, les deux autres de chaque côté de Jean me prirent les pieds, et Jean glissa ses mains sous ma jupe.
- "Hé qu'est-ce que vous faites !!?"
Jean se saisit de mon string et le fit glisser jusqu'à mes chevilles, là ses deux voisins me soulevèrent les pieds l'un après l'autre afin que Jean puisse dégager entièrement ma culotte. Cela s'est passé si vite que je n'ai même pas eu le temps de ma débattre.
- "Voilà maintenant t'es une vraie infirmière"
Jean profita de la vue quelques secondes avant que ses amis ne me lâchent. Je me précipitai alors jusqu'à la porte de l'allée.
- "Put... t'es c... non !? Allez rends-moi ça !"
- "Va travailler d'abord je te la rendrais quand tu redescendras"
- "Ca va pas non je ne vais aller chez ma patiente comme ça ! Avec la jupe que j'ai !?"
- "T'auras qu'à rester debout ! Allez on t'attend !!"
Voyant qu'il ne changerait pas d'avis je me résignai et entrai dans l'allée.
Vingt minutes plus tard je ressortis de chez ma cliente et attendis devant l'ascenseur que ce dernier se libère. Soudain je le vis arriver, je me reculai pour laisser sortir les personnes qui l'occupaient mais je fus alors surprise car il s'agissait de Jean et de l'un de ses copains (que je nommerai Georges).
- "L'ascenseur de madame l'infirmière est arrivé, quel étage ?"
Je trouvai cela un peu bizarre mais entrai tout de même avec eux.
- "C'est gentil de venir me chercher vous aviez peur que je me perde ?"
- "Oui on sait jamais"
Jean appuya sur le bouton du rez-de-chaussée, puis, après deux étages enfonça le bouton d'arrêt.
- "Tu veux récupérer ton string ?"
- "Hé qu'est ce que tu fais ?"
- "Tu veux le récupérer ou pas ?"
- "Oui bien sûr"
- "Alors montre-nous tes seins"
- "Non mais ça va pas non, et puis tu les as déjà vus !"
- "Aperçu seulement, alors je voudrais les voir complètement maintenant, tu vas pas me dire que ça te gène quand même ,"
- "Mais si ! J'ai pas l'habitude de m'exhiber sur demande !"
- "Bon allez on va pas rester là cent dix ans !"
Georges me prit par la taille.
- "Allez ouvre ta chemise ou c'est Jean qui te l'arrache, après tu ne pourras plus la fermer et pour tes autres visites tu seras bien emmer..."
Le ton était monté d'un cran et je les sentis soudain un peu agités. Curieusement cette situation me plaisait et je finis par céder.
- "Ok ok !!"
Je fis sauter les deux boutons du haut de mon chemisier et en écartai les pans afin de dévoiler ma poitrine.
- "Ouvre le complètement !"
- "Mais vous les voyez suffisamment comme ça non !"
- "Justement non allez ouvre !"
Je tirais alors dessus afin de le faire sortir de ma jupe et le déboutonnai entièrement. Georges l'attrapa par le col et le fit descendre jusqu'à mes coudes. Jean s'approcha et commença à me peloter, Georges remonta ses mains jusqu'à mes seins et les caressa également. Satisfaite de ces actions et désireuse d'en finir, je les laissa faire. Mais petit à petit je me fis prendre au jeu et commençai à aimer ça, Georges s'était serré contre moi et me pencha ma tête en arrière contre son épaule, il en profita pour m'embrasser dans le cou, je fermai les yeux et laissai faire. Jean avait échangé ses mains contre sa bouche et plus particulièrement sa langue qui me massait les tétons. Ses mains quant à elles s'étaient posées sur le haut de mes cuisses et remontèrent jusqu'à mon sexe en relevant ma jupe. Ses doigts entreprirent immédiatement de me pénétrer. Ce contact très intime aurait du me faire tout arrêter, mais j'étais déjà envahie par un doux sentiment de plaisir alors... au contraire je cambrai les reins. Georges que j'avais sentis remuer derrière moi se colla contre mes fesses, je sentis son sexe se caler dans ma raie car il était gonflé et très dur. J'eus alors un doute car je le sentais vraiment très bien et je me demandai s'il ne l'avait pas sortie de son pantalon, je voulus me retourner pour vérifier mais Jean me retint et m'enfonça davantage ses doigts dans mon ventre, cela fit son effet et je renonçai. D'autant plus que ma question eut rapidement une réponse. Georges releva l'arrière ma jupe et une fois mes fesses entièrement dénudées, je sentis cette fois sans aucun doute que son sexe était bel et bien à l'air. Il le frotta contre mon cul puis le glissa entre mes cuisses, et commença de petits va et viens. Jean se baissa devant moi et sa langue qui avait déjà remplacé une fois ses mains, prit de nouveau leur place et commença à le lécher. Très vite elle s'introduisit entre mes lèvres. Un tel traitement m'avait amenée à mouiller et je sentais et le sexe de Georges glissait sans aucune difficulté. Ayant libéré ses mains, Jean m'attrapa les chevilles et exerça une telle pression que je ne pus l'empêcher de les écarter. Aussitôt Georges présenta son membre contre mon sexe et le poussa à l'intérieur.
- "Où tu vas c'est ma place ?"
- "Eh bin alors viens !"
Georges se retira et plaça son sexe contre mon anus.
- "Non pas là, chacun votre tour si vous voulez mais pas en même temps !"
- "On va se gêner !"
Jean se releva, j'aperçus furtivement son sexe qu'il avait lui aussi sorti, il se plaqua contre mon ventre me le glissa entre les jambes. Georges appuya de plus en plus contre mon cul et finit par s'y enfoncer, et Jean me pénétra de toute sa longueur.
- "Ah non put... vous me faites mal !!"
- "Laisse toi faire et ça va passer"
- "Non Georges attend ton tour !!"
- "Trop tard !"
- "Ouais laisse toi aller tu va voir tu va prendre ton pied après"
Je savais qu'il avait raison mais en attendant j'avais l'impression que l'on me déchirait l'anus. Petit à petit, ayant tous les deux commencé leurs va et viens, ma douleur s'estompa et disparue rapidement pour ne laisser que du plaisir. Rapidement en effet, sentant ces deux membres sortir et entrer en moi, j'arriva au plaisir suprême de la jouissance. Georges soudain me donna de grands coups de reins entre les fesses et je sentis une ondée de chaleur pénétrer mon cul.
- "Put.. ça y est j'lui fait son compte..."
- "Moi aussi je viens je viens oui..."
Jean éjacula sans arrêter ses coups de boutoir, aussi je sentis son breuvage couler sur mes cuisses, il continua pourtant encore et encore jusqu'à que son sexe soit presque totalement débandé. Georges se retira doucement, cette sensation me donna un dernier frisson de plaisir, son sperme dégoulina également entre mes fesses et le long de mes jambes.
Afin de reprendre mes esprits, je m'appuya contre la paroi de l'ascenseur que Jean débloqua une fois rhabillé. Une fois en bas, je réalisai que moi je n'avais pas pris le temps de mettre de l'ordre dans ma tenue. Jean ouvrit la porte.
- "Attends !!!"
Mais là quelle surprise, nous n'étions pas au rez-de-chaussée mais au sous-sol. Georges remonta mon chemisier sur mes épaules et me poussa à l'extérieur.
- "Put... vous en avez mis du temps !!"
Les trois autres amis de Jean étaient là à nous attendre.
- "Ouais mais on vous l'a préparée elle est bien chaude maintenant"
- "Hé non ça va pas vous tous là, j'ai eu mon compte pour les autres ce sera une autre fois !!!"
- "Hé ça va pas l'infirmière !? tu crois qu'on a attendu si longtemps pour pas nous amuser nous aussi ?"
Georges me poussa en avant et Jean s'approcha de moi.
- "Vous allez voir les seins qu'elle a"
- "Non laisse elle va nous les montrer elle-même !! N'est ce pas l'infirmière ?"
- "Ah non ça va recommencer !? Ecoutez si vous voulez on remet ça demain avec vous mais pas maintenant !"
- "Pourquoi puisque t'es chaude ?"
- "Ouais bin justement j'ai eu ma dose de chauffage"
- "Montre nous tes nichons on verra après !"
- "Ok mais vous me laisser partir après ok ?"
- "Vas-y montre !!"
J'ouvris alors mon chemisier en grand.
- "Ouais pas mal put... c'est vrai qui sont beaux !"
- "Et sa chatte comme elle bonne !"
- "Ah ouais, et bien on va goûter !"
- "Non allez soyez sympa je me suis laissée faire par eux je me laisserais faire par vous mais demain allez..."
- "Bon ok mais moi je veux d'abord goutter ta chatte et on te laisse partir"
Jean me prit par le bras et me tira en avant. Je me suis retrouvée dans un grand local plein de vélos de scooters et autres pièces mécaniques. Contre un mur se trouvait une banquette arrière de voiture où Jean m'assis. Paul, je vais l'appeler ainsi, s'avança et se mis à genoux devant moi et m'écarta les jambes entre lesquelles il glissa sa tête. Au premier contact avec sa bouche je sursautai, sa langue me lécha tout d'abord les lèvres, puis s'enfonça légèrement afin de jouer un peu avec mon clito. La délicatesse et la douceur avec laquelle il le léchait me surprit, et mon appréhension disparut rapidement.
- "Alors Paul c'est bon ?"
- "Attend faut qu'elle mouille un peu, que je goûte son jus"
Cette réponse me fit comprendre que cela allez durer plus longtemps que ce que je pensais, mais il s'y prenait tellement bien que je me laissais aller.
- "Ca y est elle me coule dessus ! humm elle est bonne put..."
Quelques minutes plus tard en effet je retrouvai un certain plaisir que je laissai échapper entre mes cuisses.
- "Laisse-moi y goutter aussi Paul !!"
Un autre se plaça à côté de moi et continua l'action de paul. Sa langue le lécha rapidement les poils avant de s'enfoncer en moi mais plus profondément que ne l'avais fait paul. Le cinquième de la bande ne voulu être en reste et se mit de l'autre côté pour me sucer les seins. Aussi, sous l'action de tout ce petit monde, le plaisir m'envahit de nouveau, je pris la tête de Paul et l'appuya contre mon sexe. Tout en ayant sa langue dans ma chatte, je sentis que des doigts l'accompagnaient. Ces derniers s'enfoncèrent loin en moi et commencèrent leur manège dans un rythme assez soutenu.
Soudain mes deux voisins se relevèrent, m'attrapèrent pour me relever, Paul se coucha sur la banquette et l'on me mit au-dessus lui. Paul se déboutonna et baissa son pantalon, son sexe était dressé comme un menhir et l'on m'appuya sur les épaules afin que je m'accroupisse. Je n'avais pas bien le choix et finalement j'en avais envie. Je m'empalai donc doucement sur cette colonne de chair jusqu'à m'asseoir complètement. Paul me prit par les épaules et me coucha sur lui, l'un de mes voisins de tout à l'heure se mit à genoux au-dessus de mes seins et me présenta son sexe, lui aussi en grande forme. Jean et Georges se placèrent derrière moi pour me tenir la tête et les épaules légèrement soulevés afin que je puisse plus facilement prendre en bouche leur compagnon, et c'est ce que je fis. Les va et viens de Paul commencèrent à m'exciter de plus en plus fortement, cela motiva mon action sur la queue que je suçais. Soudain, je sentis le cinquième de la bande se placer entre mes jambes, je m'attendais donc à ce que Paul se retire pour laisser la place à son pot, mais pas du tout, ce nouvel arrivant présenta son sexe contre le mien et celui de Paul, et doucement appuyer contre mes lèvres, petit à petit ces dernières s'écartèrent un peu plus et lorsque Paul ressortit son membre jusqu'au gland, celui de son ami pénétra finalement à l'intérieur. Je n'y croyais pas, ils voulaient me prendre ensemble.
- "Non attendez pas en même temps non vous allez me déchirer la chatte !!!"
Jean me prit la tête et me força à reprendre en bouche la queue que je venais d'abandonner.
- "Suce et t'occupe pas du reste !"
Paul et son ami s'enfoncèrent en moi en même temps et jusqu'au bourses, curieusement je n'eus pas mal, au contraire, je pris un réel plaisir à sentir ces deux sexes en moi. De plus en plus vite ils entraient et sortaient de mon intimité, je me sentais fondre de jus tellement je prenais du plaisir, à chaque fois qu'ils me pénétraient ils allaient tout au fond de ma grotte à jouir, et du coup je suçais de plus en plus fortement le sexe de mon cavalier.
- "Ah put... je vais jouir"
- "Moi aussi viens viens on va lui en mettre plein la bouche à cette cochonne !!"
L'ami de Paul se retira et se plaça juste au-dessus de ma bouche que j'ouvris grand en laissant quelques instants le sexe qui l'occupait. De longues giclées de foutre m'arriva tout d'abord sur le visage, je m'avançai, ainsi les autres se déposèrent directement sur ma langue, je voulus le prendre en bouche mais son copain me tourna la tête afin de présenter ma bouche en face de sa queue qui m'envoya sa semence. Lui avait carrément posé son sexe sur ma langue et déchargea la totalité de son sperme dans ma bouche.
- "Allez bois tout salope !!"
Je refermai mes lèvres sur son sexe et avalai son jus entièrement, puis je me remis à le sucer quelques secondes.
- "Viens faire le ménage aussi ici"
Je laissai la queue du premier pour avaler celle du second et lui lécher jusqu'à qu'il n'y est plus aucune trace de sperme. Paul éjacula presque en même temps et son foutre était si chaud que l'intérieur de mon sexe était en feu, heureusement il se retira rapidement.
- "Hé moi aussi je veux qu'elle me nettoie amenez la moi ici !"
Jean et Georges me leva et me coucha sur les jambes de Paul, je pris son sexe en bouche et le suça généreusement. Une fois tout le monde nettoyé, Jean me releva et me présenta mon string.
- "Tiens tu l'as vraiment mérité, mais la prochaine fois ne met rien sous ta jupe si non on recommence".
Nous nous sommes tous rhabillés et je suis rentrée chez moi directement pour prendre une bonne douche et téléphoner à mes patients pour m'excuser de mon absence.
Mes visites chez ma patiente de l'allée C se sont naturellement poursuivies jusqu'à la dernière, et à chaque fois, il fallait que je montre à Jean, suivant sa demande, soit mes seins, soit ma chatte, soit les deux, et j'ai été prise encore deux autres fois par Jean, et une fois par Georges et Paul en même temps. Cette expérience m'a tellement donné du plaisir que je n'exclus pas retourner les voir un jour.
Il y a cinq ans maintenant, cette aventure m'est arrivée, alors que je travaillais à LYON. Célibataire à l'époque, je profitais de mon temps libre le soir, pour m'amuser avec des amis et pratiquer mes loisirs préférés comme le tennis.
Dans mon entreprise, est arrivé un jour, une jeune femme en CDD pour des travaux dans le service comptabilité. Travaillant au service informatique, nous avions quelques contacts, lorsque notamment elle venait chercher des états comptables ou nous demander certaines informations. Elle était âgée de 25 ans à l'époque, environ 1m70, les cheveux châtains clairs et coupés au carré. Elle avait des petits yeux noisette pétillant de malice.
J'avais remarqué tout cela, comme mes collègues, car cette beauté attirait tous les regards sur son passage. Cependant elle ne discutait pas beaucoup et paraissait distante.
Un jour pourtant, alors que je disais à un de mes collègues que j'apprendrais bien à jouer au billard, elle nous a entendus. Elle est alors venue me voir en me disant qu'elle aussi avait envie d'essayer et que si je le voulais, on pourrait essayer de trouver des cours tous les deux.
Imaginez ma surprise. Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion et j'ai accepté tout de suite. Nous avons visité les salles de billard de Lyon et en avons trouvé une où l'on voulait bien nous donner des cours. En plus, ce sont d'autres très bons joueurs qui nous donnaient les cours, sans se faire payer, hormis un apéro. On pouvait venir tous les mercredis soir et jouer avec un des joueurs présents, jusqu'à 22h30 heures de fermeture de la salle.
Nous avons donc commencé à apprendre le billard, tous les mercredis. J'amenais Sophie à la salle, car elle ne possédait pas encore de voiture. Nous devenions meilleurs de semaine en semaine.
Un jour, Sophie est arrivée vêtue d'un tailleur composé d'une jupe courte, bien au-dessus du genou, et d'un chemiser clair assez échancré. Quand elle a vu mon regard, elle m'a informé qu'elle avait un entretien. Le soir, elle était plutôt satisfaite de son entretien. Nous sommes arrivés au club vers 19h00. Il y avait une bonne ambiance. Un membre du club fêtait son nouveau contrat de travail et nous a conviés à sa fête.
Nous avons bu plusieurs pastis avant de commencer à jouer. Jacques, notre prof habituel, profitait un peu de la situation. En lui indiquant les positions à prendre pour jouer un coup, il se frottait contre elle et essayait de la caresser. J'ai averti Sophie de ce petit jeu. Elle m'a souri en me disant de ne pas m'inquiéter, qu'elle avait très bien vu son manège et que cela l'amusait.
Vers 21h00, notre cours terminé, Jacques a proposé de retourner avec le groupe faisant toujours la fête. Il y avait encore une dizaine de personnes ayant visiblement déjà pas mal bu. Nous avons commandé un pastis, puis un autre. Sophie m'a dit qu'elle avait un peu chaud et qu'elle allait aux toilettes. Elle est revenue, avec, pendant de sa main sur toute sa longueur, son soutien-gorge noir, qu'elle a déposé bien en vue, sur son sac. Elle nous a tous regardés et s'est assise. Une nouvelle tournée à été lancée.
Quelques joueurs, dont Jacques se sont lancés un défi sur une partie de snooker. Sophie s'est approchée de Jacques et lui a dit quelque chose à l'oreille. Il a souri et a dit à l'assemblée.
- "Sophie se propose de me tailler une pipe si je gagne ! Je lui demande d'accorder cela au vainqueur de la partie. Sophie acceptes-tu ?"
- "Oh le salaud ! Euh. Bon c'est d'accord. Mais j'espère que tu vas gagner Jacques."
J'étais sur le cul ! Elle, si distante, qui accepte de se donner en public comme cela. A ce moment là, tous les joueurs voulaient participer à cette partie.
Sophie en riait.
La partie a été acharnée. Finalement, ce n'est pas Jacques qui gagna mais Alain.
C'était un personnage assez petit et fluet, mais excellent joueur. Dés la fin de la partie, il s'est dirigé vers Sophie et lui a dit :
- "Je crois que tu as une promesse à tenir !"
Sophie s'agenouille alors et commence à lui descendre la braguette. Il la relève avant qu'elle ait fini et dit :
- "D'abord, il faut que tout le monde admire ce joli corps !"
Et en disant cela, il lui arrache le chemisier. Celui-ci se déchire en deux dans le dos et retombe, encore accroché à la jupe, dévoilant les seins de Sophie, ronds et fermes, pointes fièrement dressées. On entend quelques sifflements admiratifs et des "ouais !" d'encouragement. Il commence alors à vouloir lui retirer sa jupe, se bat avec le bouton. N'y tenant plus, il tire sur le tissu de la ceinture d'un coup sec. Les coutures craquent et la jupe se divise en deux parties. Sophie apparaît alors, juste vêtue d'un string noir. Aussitôt, il le lui arrache. On entend à nouveau craquer le tissu et le dos du slip se déchire.
Sophie est alors nue, devant une dizaine d'homme. Cela ne m'avait pas encore frappé, mais c'est la seule femme de l'assemblée.
- "Et les gars, elle s'est bien préparée à la soirée." lance quelqu'un
On peut voir désormais que le sexe de Sophie est tiré à quatre épingles. Il est rasé et bien épilé, avec juste une petite touffe de poil sur le pubis, dessinant un cœur. L'effeuillage brutal de ses vêtements a laissé ses hanches marquées au rouge.
- "Suce le" crie un des joueurs.
Au même moment, Sophie s'agenouille, ayant eu sans doute la même inspiration. Nous nous rapprochons, formant un cercle autour des deux protagonistes. Sophie défait le bouton du pantalon d'Alain et celui-ci tombe sur ses chevilles. Son slip forme une bosse sur l'avant, que Sophie s'empresse de caresser. De son autre main, elle abaisse son slip dans le dos et le tire vers le bas. Elle embrasse ce sexe à travers le tissu. Soudain, l'élastique du slip, tendu par la traction exercée dans le dos, glisse vers le bas, relâchant la verge d'Alain, qui, libérée, vient claquer sur les joues de Sophie.
Un "Ooooh ! " parcourt l'assemblée. En effet, le sexe ainsi mis à jour est imposant et doit bien faire dans les 20 à 25 centimètres de long en érection, ce qui nous surprend tous, vu la taille d'Alain.. Sophie le regarde longuement, prends les bourses dans sa main, puis avec l'autre amène la queue jusqu'à sa bouche. Le prépuce recouvre toujours le gland, preuve que l'érection n'est pas encore maximale. Elle tire sur la peau, dégageant un gland rouge presque bordeaux. Elle approche ses lèvres, sort sa langue et commence à le lécher. Puis, d'un mouvement sec, elle gobe le gland et commence sa fellation.
Je vois du coin de l'œil, Jacques qui se déshabille. Il arrive alors, complètement nu et s'approche d'Alain et Sophie.
- "Tu voulais me sucer ? Et bien vas-y. Suces bien ma bite, fais la grossir dans ta bouche !"
La bite à la main, il s'approche du visage de Sophie. Elle tourne un peu la tête, sans lâcher la queue qu'elle a en bouche et attrape la bite d'Alain avec sa main. Elle est là, accroupie, une pine dans la main gauche en train de la sucer, et une dans la main droite, en train de la branler. Tout le monde commence à se mettre à poil. Sophie a maintenant la bite de Jacques dans la bouche. Alain en profite pour retirer ses vêtements et se dégager de son slip et de son pantalon.
Jacques donne des coups de rein, enfonçant sa queue dans la gorge de Sophie.
Marc, le seul noir de l'équipe, s'approche, la queue dressée, imposante aussi.
- "Tu goutteras bien un noir ma beauté. Tu verras, c'est bon, l'ébène. Et c'est dur !"
- "Ouais, vas-y ! Après ça, je vais te fourrer la mienne dans la chatte !" dit Alain.
Sophie est la, au milieu de toutes ces bites tendues, allant de l'une à l'autre, la bouche toujours remplie et les mains occupées.
Alain l'attrape alors sous les aisselles, la relève et la porte jusqu'à la table de billard. Il l'allonge sur le dos. Sophie écarte instantanément les jambes et dévoile sa chatte. Alain approche sa bite et pose le gland sur sa chatte. Il l'enfonce un peu. Nous voyons son pieu disparaître un peu, écartant les lèvres gonflées de plaisir. D'un coup sec, il s'enfonce presque totalement dans la chatte béante et déjà bien mouillée. Sophie pousse des "Aaahh" qui en disent long sur l'effet que cela lui fait. Il s'active en elle. Nous voyons entrer et disparaître ce morceau de chair, tout en produisant des bruits humides, des "flocs" et des "flacs".
- "Venez les gars, faites le tour. J'ai besoin de quelque chose à sucer !" dit-elle.
Ils sont trois à faire le tour de la table et à lui présenter leurs queues. Elle les avale à tour de rôle, tout en les branlant. L'un d'eux se redresse alors et râle. Sophie retire sa queue de sa bouche et le branle énergiquement. Il jouit, son sperme giclant de sa queue par longs jets, s'écrasant sur les seins et le ventre de Sophie, mais aussi, sur les bras d'Alain toujours à l'ouvrage.
Une autre bite prend alors sa place dans la bouche de Sophie. Alain crie, sort sa bite et jute sur son ventre. De grands jets vont eux aussi s'écraser sur les seins et le ventre. Il jouit abondamment et longtemps. De longues traînées de sperme vont maintenant de sa chatte à son cou. Marc approche alors et dit :
- "Et maintenant une grosse bite noire dans cette chatte blanche !"
Il approche sa verge. Sophie se libère une main, laissant le joueur se branler seul, attrape cette queue noire et gonflée et la place à l'entrée de sa chatte.
Elle commence à se la mettre. Marc pousse alors un grand coup et la rentre en entier. Elle crie de plaisir et reprend une des pines qu'elle branlait. L'un des mecs qu'elle branlait décharge lui aussi, arrosant à nouveau Sophie.
Ils la couvrent de sperme, les uns après les autres. Certains jouissent sur son visage, d'autres sur son ventre, sur ses seins, dans ses cheveux. Aucun ne jouit en elle. Au fur et à mesure qu'ils ont craché leur foutre, ils se rhabillent et quittent la salle. Je vois partir quatorze personnes.
Quand le dernier a joui, Sophie reste un moment allongée sur la table. Puis elle soupire un peu et se relève. Elle me voit, et sans aucune gêne me dit :
- "Ouf, c'était bon ! Maintenant si on y allait ?" me dit-elle
Cela semble tellement naturel que je n'ai même pas la force de protester. Elle regarde partout et ne voit plus ses vêtements. Même son soutif a disparu. De toute façon, ses fringues avaient été déchiquetées par Alain.
- "Oui, mais tu n'as plus de vêtements ! Comment allons-nous faire ?"
- "Eh, j'ai bien des fringues ici. Mais j'aimerais que cette salope me suce gentiment !" nous dit le patron de derrière son bar.
Malgré mes protestations, Sophie passe derrière le comptoir. Je la vois lui sortir la bite, le caresser et enfin la sucer. Il lui prend les seins, lui appuie sur la tête, l'obligeant à avaler complètement sa bite, jusqu'aux couilles. Quand il crache enfin son foutre, il lui décharge dans la bouche et sur le visage. Elle se remet debout et lui demande les vêtements promis.
- "Tu rigoles ! Tu t'imagines que je vais filer des fringues à une salope comme toi. Cassez-vous maintenant ou j'appelle les flics !"
Ce salaud sort une arme de sous son comptoir.
- "Et, toi le petit con, déshabilles toi tout de suite !" dit-il en me menaçant.
Je le regarde sans comprendre. Il arme le chien de son revolver et me répète son ordre. Je retire alors mes vêtements. Il exige que je retire aussi mon slip. Une fois totalement nu, il ramasse mes affaires et nous fout dehors.
Sophie et moi sommes à poil, elle avec son sac, moi avec ma pochette. Elle me regarde et me dit :
- "Tu veux bien me ramener en voiture chez toi ce soir ! Demain tu me passeras des fringues ?"
- "OK Sophie. Et tu m'expliqueras pourquoi tu as fait ça ?"
- "Oui. On y va ? Tu peux aller chercher la voiture ?"
Nous sommes à l'étage, devant la porte du club. Nous descendons ensemble dans l'entrée de l'immeuble. J'entrouvre la porte d'entrée et je regarde dehors. A priori personne. Je dis à Sophie :
- "Attends-moi ici. Je vais chercher la voiture derrière l'immeuble et j'arrive. Ne sors pas avant que je sois devant, d'accord ?"
- "Ouais, pas de problème, je t'attends."
Je pars alors en courant, nu dans les rues de Lyon. Par chance, je ne croise personne jusqu'à l'angle de l'immeuble. Je jette un œil de l'autre coté. Personne. Je repars en courant. A mi-chemin entre les deux coins de l'immeuble, je vois arriver une voiture. Je me précipite alors dans l'entrée la plus proche. J'attends que la voiture passe et je ressors. Je suis obligé de recommencer ce jeu de cache-cache deux autres fois. Enfin, j'arrive à la voiture. Je l'ouvre et je monte. Je démarre et je fonce chercher Sophie. En arrivant dans la rue du club, je vois une 205 comme la mienne, au milieu de la rue. Sur le trottoir, devant l'entrée de l'immeuble, deux types sont debout, les fesses à l'air. J'arrive derrière la voiture et je descends. L'un des types se retourne et me dit.
- "Attends un peu. Cette salope nous taille une pipe et on repart."
Sophie est à genoux devant eux, en train de les sucer. Cela ne dure pas très longtemps. Ils jouissent rapidement, mais abondamment, répandant eux aussi, leur sperme sur ses seins et son visage Puis, l'un rentre dans l'immeuble et monte dans les étages tandis que l'autre remonte dans sa voiture en me disant :
- "On te la laisse. On sait pas qui c'est, mais elle est sortie à poil de l'immeuble et s'est précipitée vers nous. Alors, comme on voulait la baiser, elle nous a proposé de nous sucer. On ne pouvait pas refuser."
Puis il démarre et s'en va. Sophie me regarde, le sperme coulant de son visage.
Je lui dis alors de monter dans la voiture. Je remonte aussi, et je démarre. Nous roulons dans Lyon, sans trop de soucis. J'angoisse un peu à chaque feu rouge.
J'habitais au sud de Lyon, à Gerland, pas très loin du stade de football. J'avais oublié que ce soir là, il y avait une rencontre entre l'équipe de Lyon et celle de Saint-Etienne. Ces rencontres, toujours sujettes à des bagarres entre supporters, sont bien encadrées par la police. En débouchant dans la route de Vienne, je vois au loin, des flics qui font la circulation. Pas de rues transversales permettant de choisir une autre trajectoire. Je dis à Sophie.
- "Fais-toi la plus petite possible. Il y a des flics au fond. J'espère qu'ils ne vont pas nous arrêter."
Arrivé à hauteur des flics, je devais tourner à droite pour rejoindre mon immeuble, 200 mètres plus loin. Je mets mon clignotant et prudemment, je commence à tourner. Je vois alors, garé sur la droite, un flic assis dans la fourgonnette. Nous passons alors dans la lumière d'un réverbère. J'entends aussitôt le coup de sifflet et je le vois descendre de son fourgon.
Il s'approche de la voiture et frappe au carreau de mon coté.
- "Dites donc, vous roulez souvent à poil ?" demande-t-il
- "Excusez-nous, mais on s'est fait voler nos habits. On rentrait à la maison, qui est à 200 mètres."
- "On ? " Il passe la tête à l'intérieur du véhicule et voit alors Sophie. "Eh ! Elle aussi est à poil. Oh putain, ça sent le sperme là dedans !"
Il fait le tour de la voiture et va frapper à la vitre de Sophie. Elle descend le carreau et lui dit :
- "Qu'est-ce qu'il y a monsieur l'agent ? Mon copain vient de vous expliquer ce qui nous est arrivé. S'il vous plaît, laissez nous y aller !"
- "Dis donc toi, c'est quoi ce que je vois dans tes cheveux ? Et ce que je sens ? Du sperme non ?"
- "Écoutez " dis-je "la soirée à été rude. Sophie s'est fait agresser. Soyez sympa."
- "Agresser ? Et vous ne portez pas plainte ? Bizarre !"
Il se tourne vers ses collègues, va pour les appeler, puis se ravise et se retourne. Il baisse alors sa braguette et dit :
- "Fais-moi ça bien et je ne dis rien."
Sophie me regarde, puis avale sa salive. Elle hausse les épaules. Elle avance ses mains, et lui sort la queue de son pantalon. Elle le branle un peu, puis se penche en avant. Je l'entends le sucer. Un de ses collègues a du se demander ce qui se passait, car il approche. On l'entend dire :
- "Georges, t'es un salaud. Tu voulais la garder pour toi tout seul. Pousses-toi un peu."
Il se plante lui aussi devant Sophie. Elle lui sort aussi la bite et le suces.
Le fameux Georges ne doit pas trop avoir l'habitude des fellations, car il éjacule rapidement. Il répand son foutre sur Sophie, mais aussi dans la voiture, sur la porte et le tableau de bord. Il dit alors :
- "Je vais chercher les copains."
Je vois alors revenir 5 hommes en uniforme. Ils sortent leur outillage et se présente devant Sophie. Elle les suce consciencieusement, les faisant tous jouir. L'odeur de sperme devient insoutenable dans la voiture. Il y en a sur les sièges, sur le pare-brise. J'en reçois même sur moi. Lorsqu'ils ont tous joui, Sophie se rassied en arrière et remonte sa vitre. Elle se tourne vers moi et me dit que l'on peut y aller.
Je repars et nous arrivons à la maison. Sophie sort sans vérification préalable. Je lui dis de vérifier avant. Elle me répond :
- "Que peut-il m'arriver ce soir après tout ça ? Allez viens."
Nous entrons dans l'immeuble et arrivons devant la porte de l'ascenseur. Il fonctionne. Je lui dis :
- "Par l'escalier."
Dans l'escalier, nous tombons sur un couple en train de baiser. Ils sont encore plus surpris que nous. Nous passons en leur disant de continuer. Je reconnais la fille de la voisine. Elle a du me reconnaître aussi. Nous arrivons enfin devant l'appartement. J'ouvre la porte et nous entrons. J'emmène alors Sophie dans la salle de bain. Je fais couler la douche. Elle me demande alors :
- "Tu ne m'as pas baisée ? Pourquoi ? Je te dégoûte ?"
- "Oui et Non. Je ne sais pas. Moi, je veux te prendre, mais pas comme cela. Et puis, je suis si surpris. Je ne pensais pas que tu sois comme cela."
- "Voudrais-tu me nettoyer ? Me laver de partout ?"
- "Si tu veux."
Je l'ai nettoyée complètement, le visage, les cheveux, le corps, le sexe et le cul. Elle s'est laissée faire, s'abandonnant totalement. Je l'ai alors conduite dans la chambre d'amis. Elle m'a dit :
- "Non, c'est dans ton lit que je veux dormir, avec toi."
Nous sommes allés dans ma chambre. On s'est couchés, nus. Sophie est venue se blottir dans mes bras Le sommeil nous a cueillis assez rapidement.
Le lendemain, Sophie m'a réveillé de la manière la plus délicieuse. Elle était en train de me sucer. Elle m'a fait jouir avec sa bouche et a longuement avalé mon sperme. Puis elle s'est couché sur moi et m'a embrassé. Elle était d'une tendresse infinie.
- "Qu'est ce que cela signifie Sophie ? Pourquoi cette pipe ?
- "Parce que j'en avais envie, que tu es le plus gentil et que je t'aime. Hier, j'ai enterré ma vie de jeune fille, devant tes yeux. Je me suis donnée à tous, mais maintenant, je n'appartiens qu'à toi. Demandes moi ce que tu veux et je te l'accorderai. Maintenant, je suis ta femme, si tu veux de moi."
Devinez alors quelle fut ma réponse...
Mes voisins du dessus...
Je suis une jeune femme de 29 ans, assez jolie, bien faite de ma personne. J'aime la vie, mais la vie ne semblait pas m'aimer. Je vivais seule, simplement parce que je me sentais un peu "bloquée" coté sexe. J'ignore pourquoi, mais je culpabilisais... je n'osais pas. Il faut dire que, depuis mon adolescence, je n'ai jamais pu parler avec qui que ce soit de tout ce qui est relatif au sexe. Ma famille était très pudique, très religieuse, et ma mère me houspillait chaque fois que des petits secrets difficilement dissimulables semblaient animer mes relations avec mes petites copines. Mes nuits étaient parfois longues, peuplées de nombreux points d'interrogation. Heureusement, depuis l'âge de 16 ans, j'ai appris à me faire plaisir, toujours seule bien sûr, le soir dans mon lit, ou bien quand mes parents étaient absents. C'est mon jardin secret, jardin que j'aurais bien voulu partager avec quelqu'un...
J'avais trouvé une fois dans leurs affaires des revues cochonnes, et cela m'excitait particulièrement. En fait j'avais hâte de rencontrer un jour quelqu'un de suffisamment sûr pour recevoir mes confidences. Car j'avais des questions, des secrets, et personne avec qui les partager. A 22 ans, je dus partir à l'étranger, dans un pays très religieux. L'équipe de travail était peu sympa et pendant deux ans, il ne s'est rien passé. Les hommes qui travaillaient avec moi étaient grossiers, peu amusants et le soir, buvaient beaucoup. Quant aux autres femmes, soit elles étaient moches, soit elles étaient mariées et dans ces pays-là, il ne faut jamais donner le bâton pour se faire battre. Rentrant en France, c'était la déprime, la solitude, les longues soirées sans rien : pas d'amis, pas de tendresse... Et je devais satisfaire mes pulsions toute seule, un peu honteuse à chaque fois.
Et puis tout a changé quand, à l'occasion d'un déménagement pour un nouveau job, j'ai rencontré des voisins super sympa, Françoise et Marc. Françoise était un joli petit bout de femme, environ mon âge, brune, cheveux coupés très courts. Elle était gaie, dynamique. Marc était posé, calme, semblant ne pas louper une occasion de se délecter des bienfaits de la vie. Tolérant, ayant une vue très libérale des choses de la vie, ils semblaient, tous les deux, réellement complices de leur existence. Et leur vitalité éclairait facilement leur entourage : moi en particulier dont la vie avait jusqu'ici été si sombre. Nous fîmes plusieurs sorties ensembles, les week-end, et Françoise venait me voir souvent dans mon appartement, quand Marc partait en tournée. Elle était douce, gentille, prévenante. Le contact passait très bien et nos cœurs ne tardèrent pas s'ouvrir. Elle me confia un après midi qu'elle était réellement heureuse avec Marc, car il était très attentionné avec elle, et surtout... et elle gloussa en riant :
- Il me fait très bien l'amour... et très souvent, rajouta-t-elle
- Ha bon ! Et c'est quoi souvent ? Demandai-je, surprise par l'allusion
- Eh presque tous les jours... mais tu sais... précisa-t-elle sur le ton de la confidence, les jours que je préfère, c'est quand il revient après trois ou quatre jours de tournée. Car là, en rentrant, il est en pleine forme, prêt à toutes les excentricités. C'est génial ! Et toi, où en es-tu ? Tu as un ami ?
- Non malheureusement... avouai-je
- T'es pourtant pas mal, dit-elle en s'approchant. C'est étonnant qu'un homme ne te fasse pas de propositions...
- Si ! Il y en a eu, mais ce n'était pas comme je le vois dans ma tête...
- Et comment tu le vois dans ta tête ?
Là, je n'osais pas répondre. Car c'était tellement confus... Françoise s'approcha tout près, me fit un bisou sur le front :
- T'inquiète pas Agnès, la chance finit toujours par tourner. Ne te fais pas de soucis... Mais au fait... Il y a longtemps que tu es seule ?
- Oui, environ cinq mois...
- Cinq mois !! Et depuis cinq mois... tu n'as pas...
- Ben... non ! Avouai-je timidement. Enfin... il m'arrive de...
- De te masturber ? me dit-elle en se collant tout contre moi. Et cela te plaît ? J'étais presque pétrifiée par un tel propos. Cela ne m'était jamais arrivé. Elle s'en aperçut car elle me lança :
- Tu sais, Agnès, fait le saut, débloque toi, et tu verras le bien ce que cela fait. Il faut parler de ces choses-là, même si on t'a toujours appris à ne pas le faire... Cela fait partie des choses de la vie. Tu sais, avant de rencontrer Marc, j'étais un peu comme toi, et puis, on a grandi... Je n'ai plus honte de mon corps, ni avec Marc, ni avec quiconque. Tiens, regarde ! Il te plaît, mon corps ?
Et elle se mit à tournoyer devant moi dans une petite danse gentille. Je reconnus qu'elle était ravissante dans sa petite robe. Je ne savais quoi dire. S'en apercevant elle me mis à l'aise en m'embrassant gentiment, m'entraîna sur le divan, s'assit tout contre moi, cuisse contre cuisse et sur le ton de la confidence, en me regardant dans les yeux :
- Ecoute Agnès ! Si tu veux, je peux te confier moi aussi plein de trucs, et tu peux en faire autant. Je te jure que cela restera entre nous. Alors si tu as des choses très intimes à me confier, fais le maintenant, cela te fera du bien.
Je bredouillais, ne sachant dissimuler mon n trouble :
- Mais comment te dire des choses que... que je n'ai gardées que pour moi, et... qui sont... vraiment... très intimes ?
Elle posa sa main sur mon cou, attira doucement ma tête de la sienne, posa son front sur le mien. Elle sentait bon. Ses yeux dans les miens... elle me chuchota :
- Fais le saut ! N'aie plus peur... peur de dévoiler ton petit jardin secret. Regarde, moi, je n'ai pas peur... Je n'ai pas peur de te dire que moi aussi... j'aime me masturber... Je n'ai pas peur de t'avouer que j'adore cela, et que je le fais très souvent... et que cela me plaît beaucoup... de te le dire... et de le faire... Cela me plaisait de recevoir une telle confidence. Savourant le moment présent...
- Ne ferme pas les yeux... Si tu veux... Il me vient une envie... Je suis sûre que cela te plairait si je te montrais très simplement comment je le fais... Il y eut encore un silence... Je ne savais quoi dire... Mais j'avais là, à portée de main un fantasme qui me torturait souvent l'esprit : Voir une femme se masturber... En fait, voir le plaisir... me voir... Et elle continua :
- Et je suis certaine que tu as très envie de me voir me faire plaisir... N'est-ce pas ? ...C'est ça, t'as envie que je me branle devant toi ?
Mon front toujours posé contre le sien, je n'osais plus bouger. Mais elle dut sentir un acquiescement très timide de ma tête. Je baissais les yeux, et je la vis défaire un par un les boutons de sa petite robe, jusqu'en haut, dévoilant ses cuisses, une petite culotte bleue, son ventre et sa belle poitrine nue. Un silence torride régnait dans la pièce... Puis cette même main se caressa les seins, s'attardant sur les mamelons qui étaient gros. Elle mouilla ses doigts et les posa juste sur le bout des seins, les faisant tourner... J'étais fasciné, car je ressentais presque moi-même ces caresses que je connaissais si bien... Puis sa main se dirigea vers le ventre... Elle avait à son tour fermé les yeux, s'abandonnant tout doucement au plaisir.
- Regarde, souffla-t-elle.
Et du ventre, sa main s'insinua tout doucement dans le slip... Elle écarta doucement, puis très fortement ses cuisses et je vis sa main faire dans sa culotte, un geste que je connaissais bien, commençant à ressentir le plaisir qu'elle se donnait et que je me donnais depuis tant d'années. Mais c'était la première fois de ma vie que je le voyais faire. Elle gardait toujours les yeux fermés, sa respiration commençait à se modifier. Ses doigts sur ma nuque se crispèrent. Elle se branlait consciencieusement, se faisant bien pénétrer son ou ses doigts... que je ne voyais pas. Mais je voyais le plaisir monter, je voyais tout ce que l'on cache prendre de l'ampleur, sans pudeur, devant moi. Je voyais Françoise me montrer sans complexe son plaisir solitaire, son orgasme, cette chose si intime, si bonne... Elle gémit et sans s'interrompre, les yeux toujours fermés :
- Oh que c'est bon... Que c'est bon de te montrer ! Regarde, je vais exploser devant toi... Oh oui, ça ! Viens... Françoise ! Je vais jouir... oui... oui... ça te plaît ?
J'osais avouer :
- Oh oui, ca me plaît... ça me plaît de te voir faire... Continue...
Mais... Elle n'eut qu'à tendre ses lèvres, Les yeux toujours fermés... Elle attendait que je l'embrasse... et je ne pus résister. Mes lèvres se posèrent tout doucement sur les siennes, et ce fut un baiser extraordinaire, plein de douceur, de tendresse, et de promesses aussi. J'embrassais pour la première fois une femme qui sans complexe, s'envoyait en l'air pour me montrer et me faire plaisir. Elle n'était que plaisir, tout entière, si fragile et si persuasive à la fois. Je suivais le courant, j'avais plaisir à l'accompagner dans l'orgasme qu'elle me confiait. Sa main s'activait de plus en plus, sa respiration devint saccadée. Elle se mit à gémir et pour la première fois, je fus la spectatrice très privée d'un orgasme très solitaire qu'elle m'offrait, et qui se répandit aussi dans son bas ventre, comme une brève secousse, plus par pudeur qu'autre chose.
Je n'étais pas encore habituée... La soudaineté de la situation m'avait quelque peu effrayée. Reprenant doucement ses esprits, elle s'enfonça dans le fauteuil. Conservant les cuisses grandes ouvertes et la main dans le slip, elle m'attira à elle et me chuchota :
- Françoise ! Cela t'a plu de me voir faire ?
- Oui, beaucoup... Mais c'est tellement nouveau !
- Et toi, tu as eu envie ? Me demanda-t-elle.
- Oui, Françoise, beaucoup... Osai-je avouer. Mais allons doucement, c'est trop d'un coup pour moi. Laisse le temps au temps...
Et comme pour fuir, je lui proposais de la laisser et de retourner chez moi, au-dessus. Elle n'insista pas, m'embrassa encore tendrement. Je lui rendis ce baiser, comme pour la remercier... Je ressentis encore quelque chose me troubler, mais il me fallait arrêter pour aujourd'hui.
- Je peux en parler à Marc ? Me demanda-t-elle soudain... Je fus presque prise de panique... Mais quelque chose de flou dans ma tête...
- Oui, si tu veux !
Et je l'embrassais furtivement sur les lèvres avant de me sauver. Elle m'accompagna en me précédant jusqu'à la porte, uniquement vêtue de sa petite culotte. Elle était vraiment désirable avec ses petites fesses... d'autant plus que je savais que ce petit corps ne se refusait rien, et que je pouvais, si je le voulais, le toucher, le caresser, comme j'aurais pu le faire quelques minutes plus tôt. Mais je n'avais pas osé. Passant à sa hauteur pour sortir, je m'enhardis en guise d'adieu, et je passai furtivement ma main entre ses jambes, comme pour lui faire comprendre que ce n'était pas fini... Très vite, elle attira mon visage du sien et à la sauvette et me vola un baiser sur les lèvres...
- A bientôt ! Lança-t-elle avant de refermer la porte.
De retour chez moi, j'étais si excitée que dès mon arrivée, là, dans le salon, je me masturbais comme une folle, la tête pleine des images que je venais de voir, les idées pleines de projets que je n'osais m'avouer... Car Marc n'était pas encore rentré. Et je savais bien qu'après ce qui venait de se passer entre Françoise et moi, il allait bientôt se passer quelque chose entre nous trois. Mais j'en étais beaucoup moins effrayée que quelques minutes plus tôt. Laisser venir les choses... Ne pas les brusquer... Ma nuit fut très, très agitée. Les scènes les plus folles m'assaillaient et je ne pus, cette soirée-là trouver le sommeil qu'après m'être encore et encore caressée. Etais-je entrain de devenir grande ? Cela promettait !
Dès le lendemain matin, j'étais déjà transformée. Je commençais à voir les choses sous un autre angle, et ma petite rencontre avec Françoise m'avait laissé un petit goût de reviens-y. Je ne sais qui a dis un jour, qu'en Amour, les meilleurs moments ne sont pas les "pendant" ni les "après", mais les "avant"... Je commence à saisir que c'est très probablement vrai, car une porte s'ouvrait devant moi, pleine d'espoir. J'allais peut-être enfin pouvoir avoir avec d'autres, des relations totales, sans complexe ni tabou. Accepter les autres tels qu'ils sont, se montrer tel que l'on est, et savoir que sur ce plan là, aucun acte n'est répréhensible. Il suffit de ressentir le besoin de le faire... et de le faire... C'est tout. Deux ou trois jours après, je rencontrais Marc dans l'escalier. Il me fit la bise, m'exprima sa satisfaction d'être revenu, et m'invita à venir manger chez eux un de ces soirs. J'ignorais si Françoise lui avait dit quelque chose, mais il devait être au courant, car en me quittant, son baiser sur ma joue ne tomba pas loin de mes lèvres, et il fût un peu plus appuyé que d'habitude.
Le lendemain, rencontrant Françoise, elle me sauta au cou...
- Tu sais, j'en ai parlé à Marc... Il est emballé !
- Et tu lui as tout raconté ?
- Bien sûr ! Si tu savais dans quel état ça l'a mis... Le soir même, il avait une de ces formes... ! Un vrai régal ! Dis, on aimerait bien que tu viennes ce soir à la maison, tu veux bien ?
Déjà ! Pensais-je. Mais après tout !
- D'accord, à ce soir !
- Chouette ! S'exclama-t-elle... Je vais vite aller faire mes courses...
De retour chez moi, je me demandais comment j'allais me fringuer. Et puis finalement, mon choix s'orienta vers une petite robe sans rien dessous, deux petites bretelles, échancrée, ne dissimulant que ce qu'il fallait de ma poitrine sans trop la cacher.
A 20 heures je sonnais. Françoise vint m'ouvrir... Elle avait une super petite jupe très mini, très collante, des talons... mignonne à croquer... Derrière arriva Marc qui me prit gentiment dans ses bras, et après un profond regard, m'embrassa délicatement et furtivement sur les lèvres. Il était rassurant, doux. Françoise me tenait toujours par la taille et elle déposa sur mes lèvres un très doux baiser... et me félicita sur ma robe. A mon tour, je me mis à virevolter dans le séjour, appréciant les compliments sur ma tenue. Ce soir, tout semblait bon, beau, et j'étais à l'aise. Je me sentais bien avec eux, et je savais que je pouvais tout leur donner... tout leur demander... Le repas fût délicieux... Nous rions beaucoup. Mais j'étais un peu angoissée car j'ignorais totalement comment la soirée allait se poursuivre. Je me sentais bien.
Après le repas, Françoise mis de la musique, puis je l'aidais à débarrasser. Seules dans la cuisine, furtivement, elle m'enlaça, et m'embrassa très tendrement sur la bouche, se collant de tout son corps contre le mien... Je lui rendis copieusement son baiser, avec ma langue dans sa bouche, accentuant ma pression de mon corps sur le sien...
- Oh toi... me chuchota-t-elle...
Nous passâmes dans le salon. Marc se dirigea vers la bibliothèque et choisit un gros volume en cuir qu'il me tendit :
- Agnès, regarde où nous étions cet été... C'était super...
Et il s'installa sur le divan. Je m'assis dans le grand fauteuil à coté de lui, et il posa l'album sur mes genoux, me laissant le soin de tourner les pages. Les photos étaient soigneusement collées, montrant Marc et Françoise, nus, dans un camping, du coté de l'Ardèche. On les voyait sur la plage, au bronzing, ou à coté de leur caravane en train de prendre leurs repas. Marc se leva, pour servir à boire. Tournant une page de l'album, une photo non fixée tomba au sol. Je la ramassai, et je ne sus que faire... On y voyait Marc, allongé sur le lit de la caravane, nu, les jambes écartées, et Françoise allongée à coté de lui, en train de le sucer profondément, le sexe bien bandé dans la main. Ils regardaient tous les deux l'objectif. Marc vint se rasseoir à coté de moi, et au même moment, Françoise revint de la cuisine. Elle vit la première la photo que je tenais en main.
- T'as trouvé ça ! Marc ! Je t'ai déjà dis qu'il faut les ranger ailleurs, ces photos... Excuse-nous, Agnès, mais il ne fait jamais attention... Tu te rends compte, si c'était ma mère qui avait ouvert l'album !
- Cela te dérange ? Me demanda brutalement Marc sur le ton de la confidence...
- Ben... en fait non, mais c'est effectivement dangereux...
- Et elle te plaît cette photo ?
- C'est plutôt amusant, répondis-je, gênée, sentant une douce chaleur envahir mon bas ventre...
- Cela te plairait d'en voir d'autres ? Encore plus gênée : ...
- Ben... Oui... Je veux bien...
- Je vais t'en montrer d'autres, dit-il en se levant.
Et il sortit vers leur chambre. Françoise s'assit sur le divan.
- Tu vas voir, c'est amusant mais je te préviens, c'est du hard-hard...
- On verra bien répondis-je.
Marc revint avec un album tout rouge. Il le posa sur mes genoux et s'assit à coté de Françoise sur le divan. Il lui passa le bras derrière le cou et elle se blottit contre lui. L'album sur les genoux, je l'ouvris tout doucement, consciente qu'il allait me révéler des choses que jamais personne n'ose demander à autrui. Sur la première, Françoise était sur le dos sur un lit, les cuisses repliées sur la poitrine, ouvrant avec ses doigts sa chatte vers Marc, qui, à genoux devant elle, s'apprêtait à la lécher, se tenant lui-même le sexe dans une main. Les autres étaient du même genre. On y voyait Marc sur le divan que je reconnus, chevauché par Françoise qui lui tournait le dos. On voyait clairement le gros membre à moitié enfilé dans la chatte de Françoise, ouverte sans pudeur à l'objectif, et semblant visiblement prendre son pied. Toutes ces photos me fascinaient...
- Elles te plaisent ? Me demanda Marc Il me sortit de ma torpeur. Ils étaient là, tous les deux, amoureusement enlacés. Les mains se promenaient sur les rondeurs, sur les bosses, les lèvres se cherchaient, se collaient... Et j'étais là à les regarder...
- Approche ton fauteuil, Agnès, me dit Françoise, et tu vas pouvoir nous regarder de plus près. Car c'est bien ça, n'est-ce pas, tu voudrais nous voir faire l'amour... ?
- Heu... oui... j'aimerais bien...
J'approchais mon fauteuil tout près, à portée de main... Je m'y enfonçais, à l'aise, consciente que le spectacle que j'allais voir était assez exceptionnel pour moi... Ils étaient là, tout près, et s'apprêtaient à m'offrir ce que je souhaitais intimement voir depuis longtemps. Françoise était chaude comme une chatte. Elle n'arrêtait pas de ronronner, d'embrasser Marc à bouche que veux-tu, de passer la main sur la bosse de sa braguette en me faisant un clin d'œil complice. Bientôt, Marc passa sa main sur la hanche de Françoise et se dirigea vers ses cuisses. La mini jupe ne cachait pas grand chose. Françoise releva une jambe, posa le pied sur le divan, écartant fortement les cuisses, offrant son intimité sans culotte à la main de Marc, et à mon regard. J'avais les yeux fixés sur cette chatte que je n'avais jamais vue. Je vis les doigts de Marc y rechercher la fente et y pénétra un doigt. De suite le bassin de Françoise commença à onduler. Elle gémissait tout en l'embrassant, et je vis ses doigts s'activer avec beaucoup de précision sur la braguette de Marc. La main s'y enfila et je ne pus que deviner les caresses. Mais elles furent du goût de Marc, qui défit lui-même sa ceinture pour faciliter les choses. Effectivement, le pantalon s'ouvrit, et je vis un énorme gland dépasser du slip, presque au niveau du nombril, bien bandé. Françoise le prit à pleine main, le dégagea tout entier, et toujours en embrassant Marc, se mis à faire coulisser la peau. J'étais là, l'album sur mes genoux, à me délecter du spectacle. Ils se branlaient devant moi... sans complexe... Françoise arrêta d'embrasser son mari, me regarda en souriant :
- Regarde cette bitte qu'il a mon Marc !
Lui regardait sa femme faire, toujours la main entre les cuisses. Puis il me regardait avec beaucoup de douceur pendant que Françoise le branlait. Françoise me montrait ce moment d'intimité avec beaucoup d'application. Elle se mouilla la main et la caresse devint plus fluide... Puis elle se pencha, me regarda et me dit :
- Regarde...
Et elle posa sa bouche sur le gland de Marc, le lécha tout doucement, ouvrit les lèvres, et se l'enfonça dans la bouche. Sa caresse fut longue, douce. Marc, la tête renversée en arrière, grognait de plaisir. Elle suçait avec beaucoup d'application, tripotant les couilles... Je commençais vraiment à ressentir une forte démangeaison entre mes cuisses. Resserrant les genoux, je me surpris à appuyer d'une main sur mon pubis, comme je le fais parfois quand je ne veux pas que cela se voit... Elle le branlait, le suçait... C'était super de voir cette bouche déformée par le volume de ce braquemard qui coulissait entre les lèvres...
Soudain elle se dégagea du fauteuil, se leva, finit de lui enlever son pantalon, et s'assit sur ses genoux, lui faisant face. Passant une main derrière elle, elle saisit son énorme sexe, le positionna en se surélevant un peu, et s'empala tout doucement sur lui, se l'enfonçant jusqu'à la garde... Elle resta immobile quelques secondes, laissant le plaisir l'envahir, puis commença une danse du ventre d'avant en arrière à réveiller un mort : Elle tendait bien son petit cul en arrière, faisant apparaître la colonne de chair jusqu'au gland et renvoyait d'un coup de rein : la bitte disparaissait, avalée... Elle cambrait de nouveau avec lenteur son petit cul, laissant la colonne de chair coulisser devant mes yeux... puis se l'enfonçait brutalement d'un nouveau coup de rein, lui arrachant un râle de plaisir... Elle rentrait, sortait... c'était vraiment merveilleux, plein de tendresse, de douceur, d'un érotisme intense...
Avant tout je voudrais préciser que cette histoire s’est réellement déroulée même si les noms et les lieux ont été changés. Bruno, c’est moi, je forme avec mon amie Sophie un jeune couple (28 et 31 ans) et équilibré. Ce soir là, nous étions samedi 8 janvier 2000, nous avions rendez vous pour le repas chez Eric et Sylvie, un couple d’âge équivalent du notre, ils habitaient avant notre déménagement juste à coté de chez nous. Nous n’avons jamais eu de rapports intimes avec ce couple même si comme tous voyeurs je m‘étais exclamé devant la finesse des dessous de Sylvie lorsqu’elle les faisait sécher dehors en été. Pour ce qui est des rapports de ma femme je dois avouer qu’elle s’améliore de jour en jour. En effet au début de notre relation je la trouvais très coincée, à présent je dois avouer qu’elle m’étonne de jour en jour, il lui arrive de ne rien porter sous sa jupe et même de pratiquer une forme d’exhibition lorsqu’elle se glisse dans les cabines d’essayages des grands magasins.
Bref, revenons à cette soirée, après une cinquantaine de Km, nous sommes arrivés en retard chez Eric et Sylvie pour passer une soirée sympa. Je dois dire que je ne pensais pas être reçu de cette manière (champagne et compagnie…), lorsque nous nous sommes installés pour prendre l’apéritif je remarquai que ma femme avait particulièrement soigné son look : Elle portait une jupe noire assez courte, avec des bas ou des collants de même couleur, elle portait des bottes en cuir noir qui remontaient jusqu’au bas du genou (Il faut dire qu’il faisait froid en ce début de mois). Pour le haut, elle portait un pull en cachemire rose qui, quoique très sage, lui moulait correctement son 90b de poitrine. Pour ma part, étant en retard, j’étais en costume cravate et cela commençait à me peser. Eric, étant chez lui, était en jean, polo et était plus décontracté. Quant à Sylvie, elle portait une jupe bleu marine, des collants couleur chair et un chemisier qui me rappelait qu’elle avait une poitrine forte imposante.
Je dois avouer qu’après le champagne et le vin à table, je n’avais plus les idées toute fraîches, je laissai glisser de plus en plus ma main, sur les jambes de ma femme qui était assise à coté de moi, je remarquai d’ailleurs qu’elle portait des bas avec une jarretière en dentelle. Pour sa part elle restait très sage à discuter avec nos hôtes, elle m’avoua cependant après coup qu’elle était bien éméchée par l’alcool. La soirée se terminait et nous étions à court de conversation lorsque ma femme proposa de faire une partie de tarot. Je pense que nous étions alors tous fatigués et l’idée tomba à l’eau.
C’est Eric qui lança « J’ai mieux qu’un jeux de tarot, j’ai un trivial poursuit érotique », Sylvie « Nous n’avons jamais rien compris aux règles de ce jeu et puis je ne sais pas ce qu’on en a fait ». Ma femme Sophie « Ou avez eu ce jeu ? » Eric « C’était un cadeau lors de nos fiançailles pour les longues soirées d’hivers… »
Pour le moment je restais en dehors de tout cela, j’essayais de reprendre mes esprits, Eric se dirigea vers leur chambre et chercha dans les placards le jeu… Sylvie « Laisse tomber on a du le jeter… ». Eric « J’ai trouvé… » Il ramena un jeu de société banal.
Sophie ouvrit la boite et, après avoir rangé des cartes, trouva la règle du jeu : « Avant tout il va falloir que l’on change de place, il faut séparer les couples. » Moi, je n ai pas bougé, c’est Sylvie et Sophie qui ont permuté, elles semblaient désireuses de jouer au jeu. J’étais donc en face d’Eric et j’avais son amie à coté de moi.
« Il faut prendre chacun un camembert et le remplir en répondant aux questions (cela ne vous rappelle rien ?). Il y a 4 types de questions : vert sur les connaissances érotiques, bleu sur le couple, orange des questions personnelles et rouges des défis….(je vous passe sur le reste des règles du jeu et …)
A ce moment je pense que l’ambiance a changé ; tout le monde était à la fois détendu et nerveux, tout le monde regardait le premier lancé de dés. C’est Eric qui commença, il tomba sur une question orange et c’est ma femme qui lui posa : « A quel âge avez vous eu votre premier rapport sexuel ». On se tourna vers lui et il répondit sans pudeur « 16 ans ».
Ce fut alors mon tour et je me souviens encore de la question, question verte, que Sylvie m’a posée « Combien dure en moyenne la pénétration », « 30 minutes ». Elle me répondit « 18 minutes ».
C’était à son tour de lancer les dés et elle tomba sur une question défi rouge, je pris la carte pour lui lire. Sur la carte je pus lire à voix basse le défi « Prenez la main gauche de votre voisin et portez la sur votre poitrine ». Tous les 3 me regardaient et attendaient que je lise la question à haute voix, j’étais très mal à l’aise… Devant l’insistance, je pris mon courage et je lus la question « Prenez la main…. ». Tout le monde éclata de rire sauf Sylvie à coté de moi, c’est elle qui annonça « Je pense que l’on devrait enlever les questions rouges, car sinon on n’a pas fini… ». Eric « On voit que c’est parce que tu viens d’en avoir une... ». Mais en même temps je ne pense pas qu’il réalisait qu’il venait de me proposer de toucher les seins de sa femme.
Sophie « Je pense que l’on devrait voter à bulletin caché ». En même temps je savais que nous allions tous les 3 voter pour le maintien des défis, moi pour toucher les seins de Sylvie, Eric par opposition à sa femme qui voulait les supprimer et Sophie qui trouvait dans ce jeu du piment. Résultat des votes : 1 contre, 1 nul et 2 pour le maintien des défis. Je sus après que c’est ma copine qui avait voté nul, elle me laissait par ce geste le choix d’accepter ou de refuser.
Eric « Allez ma chérie il faut réaliser ton défi... » Elle était rouge de honte, moi j‘attendais la main gauche sur la table, Sophie « Dis toi que c’est ton médecin », rire de l’assemblée, Eric « Tu les montre bien sur la plage… » Soudain elle me prit la main et la posa sur son sein droit, par dessous je fus surpris, elle ne portait pas de soutien-gorge et je sentis de suite l’érection d’un téton ; cela ne dura que quelques secondes mais assez pour remettre un peu de tension dans l’assemblée, j’étais aussi assez gêné par la situation et je regardais alors Sophie de manière interrogative. Elle ne pouvait être jalouse car sinon elle aurait fait arrêter ce jeu par son vote, elle me lança un clin d’œil et jeta les dés. Entre deux je reposai mon regard sur ma voisine, elle était toute rouge et avait les seins tout pointus de chaque coté, elle croisa mon regard mais n’en dit pas un mot.
« Question orange, question perso » annonça Eric pour ma femme « Chère Sophie que portes-tu comme dessous ce soir ? ». De mon coté j espérais ce soir qu’elle portait quelque chose sinon je craignais le pire… Sans effort elle annonça « J ai un soutien gorge noir, et un string ». Sylvie « Et tu exagères, il nous faut des détails… » « OK j ai un porte jarretelle et un string noir en dentelle assortie au haut » Ouf je respire…
Eric lança les dés et tomba sur une question bleu, question couple, Sophie lui lit sa question « Quelle est votre position préférée ? » Eric « Il y en a tellement, si , si par derrière en levrette... »
A mon tour de lancer et je tombe sur une question rouge. Sylvie est morte de rire et prend la carte, la lit et éclate de rire. Je suis de plus en plus inquiet sur mon sort et j’entends « Approchez-vous de votre partenaire et embrassez-la de manière à ce que vos langues soient visibles par les autres joueurs ». Mon dieu quel défi et là je dois dire que ma copine me sauva la mise. Sophie « Cela tombe bien, cela faisait un bon moment que je voulais un baiser ». Je pris la balle au bond à toute vitesse. Je m’approchai et m’exécutai de manière passionnelle. Cela commençait à me chauffer les idées, embrasser ma femme sans pudeur devant des amis, le ton était monté.
Quand Sylvie lança les dés, je pense que tous le monde espérait quelle tombe sur un défi comme le coup précèdent mais non le sort avait décidé une question orange que je m’empressai de lire « Quel genre de mot dites-vous pendant l’amour ? ». « Je t’aime, c’est bon plus fort, voilà des choses normales » Pour se venger ma copine lui dit « Et… » Et Eric qui renchérit « C’est vrai mon amour, tu en oublies ». « OK, cela arrive. Bon, voyons, prend moi fort, je te sens bien » Au fur à mesure, elle prenait goût et continua en rigolant « Elle est bonne, elle est grosse, tu me défonce la chatte, elle est bonne ta bite…» Tout le monde éclata de rire. Intérieurement je fus surpris par son langage si cru par rapport à sa classe et son profil, ce petit jeu devenait de plus en plus excitant.
Ce fut au tour de ma copine. Quand Sophie lança les dés je pense que je souhaitais qu’elle tombe sur un défi pour la tester et ce fut ce qui se passa. Eric prit la question et me regarda en riant « Là je crois pas que l’on va pouvoir » Il me tendit la carte et je lis « Veuillez monter sur votre chaise et montrer vos sous-vêtements en tournant autour de vous-même » Elle me regardait en m’interrogeant. Je lui dis « Ca va, c’est pas trop dur, il faut te souvenir de nos vacances et de la plage » C’est Sylvie qui lui transmit le défi. Elle était radieuse que son amie soit aussi embarrassée. Sophie, en me regardant « Je peux pas faire cela ? ». Moi « C’est toi qui as eu l’idée du vote, fais ce que tu veux » En vérité, j’espérai qu’elle s’exécute. Eric chanta « Sur la chaise, les dessous... » Je vis alors ma femme monter sur sa chaise et elle commença à retrousser sa jupe. Je la détaillai, ses longues bottes, ses bas noirs, progressivement la jarretière le haut de ses cuisses. Elle s’arrêta et de nouveau Eric renchérit « Sur la chaise, les dessous… » Il ne loupait pas une miette du spectacle, Sylvie en rajoutait aussi pour la faire continuer. En un geste elle remonta sa jupe jusque en haut. Elle portait son ensemble noir que je lui avais offert, il était très excitant à mon goût ; le devant était quasiment transparent, je fixai mon regard et fus assez surpris qu’elle se soit épilée en totalité sa chatte car elle sait que j’apprécie ce traitement. Bref elle était presque nue et je pense que nos amies ont largement pu saisir ce détail. elle tourna ensuite et nous présenta ses fesses, le string séparait deux masses charnues à souhait. C’était vraiment un beau paysage et je dois dire qu’à ce moment je fus très fier de ma conquête. Sylvie « Elle ne nous a pas mentis sur ses dessous » Eric en me regardant « Elle est vraiment bien faite » Il fit alors un bond sur sa chaise, je pense que Sylvie venait de lui mettre un coup de pied royal.
Ma femme remis de l’ordre dans sa tenue et dit « Alors cela vous a plu, à qui de jeter les dés… » « Je pense que c’est à Eric » Eric lança et tomba sur une question verte, ma femme lut la question « Quel est votre plus grand fantasme ? ». Eric « Il y en a tellement, bon je dirais faire l’amour avec deux femmes ».
Je pris les dés et les lançai, mon camembert se posa sur une question rouge. Sylvie en riant s’empressa de prendre la carte « Tiens elle est toute dorée, c’est une carte joker, c’est un défi collectif. Olla... Ca à l’air compliqué, tout le monde doit participer. Alors tout le monde doit se lever, les femmes doivent se faire face » En rigolant tout le monde était maintenant au milieu de la pièce, Sophie et Sylvie étaient face à face, seins contre seins. « Les hommes doivent se mettre derrière en inversant les couples » Effectivement, cela se compliquait, j’étais donc derrière la femme d’Eric et face à ma femme et Eric était face à Sylvie et derrière ma femme. Sylvie continua de lire le défi « Chaque couple doit maintenant s’embrasser ». Nous étions tous très proches les uns des autres et nous devions encore nous rapprocher. Pour pouvoir atteindre les lèvres de ma femme je dus me coller au derrière de Sylvie, j’espérais qu’elle ne sente pas trop l’érection qui trahissait mon état d’excitation. Bientôt je sentis la langue de ma femme investir mon palais ce qui augmenta encore mon désir. En même temps, je pense qu’Eric devait être dans le même état que moi, j’imaginai son sexe contre le cul de ma femme et, au regard de l’excitation qu’elle me transmettait dans ses baisers, cela était flagrant... A la fin de ce baiser tout le monde voulut se séparer et à Sylvie de rajouter « C’est pas fini il y a en encore quelque chose, il est dit que les hommes ont libre caresse sur le corps juste devant eux » En gros, je devais embrasser ma femme et caresser celle de mon amie. Quand elle eut fini de lire la fin du défi, personne ne dit un mot. Je sentais la bouche de ma femme se coller à la mienne pour la seconde fois. J’ouvris les yeux et je voyais que Sylvie et Eric s’embrassaient aussi de la même manière. Puis je vis les mains d’Eric remonter et emprisonner les seins de ma femme à travers son pull. Il les pétrissait de manière plus que suggestive, celle ci redoubla l’érotisme de son baiser. Mes mains étaient posées sur les hanches de Sylvie pour que je puisse la coller davantage. Je les détachai et la glissai par devant sur son ventre. Puis, discrètement, je les remontai et attrapai ses seins pour la seconde fois de la journée. Elle ne protesta pas, au contraire, elle encastra ces fesses contre mon sexe. Ses seins étaient vraiment plus gros que ceux de ma femme, elle devait au moins faire du 95b, et je prenais plaisir à en mesurer tous les contours. Je regardai ma femme, celle-ci avait à présent les yeux ouverts et me regardait tout en se faisant peloter les seins par Eric. Elle ne dit pas un mot et regarda le traitement que je faisais à ceux de Sylvie. Si Eric avait pris le premier l’initiative pour la première caresse sur les seins de ma femme, je voulais à mon tour renchérir en passant mes mains sous le chemisier de Sylvie. Je dois dire que ce ne fut pas très facile, étant donné que nous étions très collés les uns aux autres. Mais, à force de persévérance, je réussis à ouvrir deux boutons au bas de son chemisier et bientôt je touchais la chair nue de son ventre et je remontais sur ses seins. Ils étaient doux et chaud, j’attrapai les pointes et les fis rouler dans mes doigts. Sylvie n’eut aucune réaction de refus, elle était complètement bloquée entre moi et ma femme. Je tenais dans mes mains deux seins tous chauds alors que j’embrassais ma femme, la situation était décidément très excitante. Il se passa alors quelque chose car Sylvie imprima à son corps un repli puis se replaça comme auparavant. Je m’interrogeai alors et j essayai de voir ce qui venait de se passer. Je regardait ma femme et rencontrai ses deux yeux brillants d’excitation. Je glissai mon regard plus bas et avec le corps de Sylvie devant moi je ne pouvais voir grand chose. Cependant je me rendis compte qu’Eric avait du glisser sa main sous la mini jupe de ma femme. Pour ma part j’étais un peu figé sur les seins de Sylvie. C’est Eric qui cassa ce silence en prononça vers sa femme cette phrase « Sylvie, tu devrais vraiment essayer de t’épiler la chatte, c’est vraiment tout doux et tout chaud » Mon sang ne fit qu’un tour, il était donc entrain de masturber ma femme sous sa jupe. Je pris alors l’initiative de descendre mes mains et de les glisser sous la jupe de Sylvie. Celle ci essaya de résister mais bientôt mes mains remontaient sa jupe de part et d’autre. Je sentais la douceur d’un collant et très vite ma main atterrit sur son entrejambes. Elle était trempée et chaude. Je devinais alors que Sylvie ne portait pas de dessous sous son collant. Je sentais déjà la naissance de son bourgeon sous mes doigts.
Salut Julia,
Voici les photos de mon EX
Voici deux photos d'une amie avec qui je m'entendait super bien, un jour on a joué à un petit jeu coquin et ça a fini par ce qui suit. Quel pur momment de bonheur!!
Je vous laisse apprécier, en plus la fille est un pur canon!!
Dommage que je n'ai pas de photos avec une vue d'ensemble de son corps de rêve...
Arrivé sur place vers sept heures. Aussitôt, nous nous déshabillons ce qui fait immédiatement bander Patrick. Sa très belle queue se dresse droite devant lui. Il l'a empoigné et se masturbe lentement en se caressant les couilles.
Il faut dire que nous nous étions arrêtés en route pour nous taper une branlette, Patrick marchait derrière Laurence et Véronique qui avaient enlevé leurs culottes pour ne rester qu'en minijupe de tennis. Patrick ne pouvait supporter plus longtemps de voir devant lui ces chattes en mouvement, il bandait dur et avait sorti sa bitte pour se masturber en marchant, cela avait excité tout le monde, et d'un commun accord, nous nous sommes arrêtés pour nous taper une bonne branlette. Nous ne risquions rien puisque plus bas, le chemin était condamné par un premier portail. Le chemin ne nous permettant pas de nous regrouper en cercle, une moitié d'un côté et une moitié de l'autre de façon à nous voir tous et nous nous sommes masturbés. Après cela les hommes sont repartis avec la bitte sortie de leur short ou pantalon et les femmes avaient toutes enlevé les vêtements du bas et marchaient avec le cul à l'air, heureusement que Christine et son mari entretiennent bien le chemin, sinon les ronces auraient abîmé quelques chattes et quelques bittes. Mais comme nous étions intercalés femmes et hommes, ces derniers avaient une formidable vue sur les culs et ils bandaient raides comme du chêne. C'était très excitant de nous regarder marcher dans cette tenue, cela excitait aussi bien les hommes que les femmes. Nous avions tous envie de nous branler en marchant. Mais la pente aussi était trop raide.
Donc, nous finissons de nous déshabiller pendant que Patrick continue sa branlette puis nous décidons de nous asseoir en cercle et de nous masturber chacun individuellement avant de casser une petite croûte. Patrick éjacule par terre avant que nous ayons commencé et se propose de faire le café pendant que nous nous envoyons en l'air. OK. Sa branlette nous a mis en appétit. Mais Aude et Véronique sont déjà en train de s'exciter et d'exciter les autres par une petite partie de tétons.
- Décidément aujourd'hui c'est la réunion des grosses queues ! S'exclamait Laurence.
Il va sans dire que nous sommes tous bisexuels, mais pas homo. Voyeurs et exhibitionnistes, masturbateurs et masturbatrices, certainement, et très content de l'être sinon nous ne serions pas ensemble. Nous avons aussi une très forte libido. Maintenant nous sommes tous à poils, dans la position debout et en cercle, nous nous masturbons chacun soi-même en nous regardant, nous jouissons tous très fort, les hommes éjaculent dans l'herbe et les femmes écartent très largement les cuisses pour mieux nous exciter. Ce préambule terminé, nous rejoignons la cabane et attaquons le petit déjeuner, ce qui n'empêche pas les caresses et les petites branlettes pour entretenir l'excitation et les érections. La marche et le casse-croûte ont mis tout le monde en pleine forme, en bandant et bien excité nous rejoignons la clairière ombragée et commençons vraiment notre nature-sexe-partie. C'est, à qui se branle le mieux, qui suce le mieux une bitte ou une chatte, qui branle mieux le copain ou la copine, qui éjacule le plus loin. Assis ou couché sur des couvertures, c'est une profusion de fellation et de masturbation. Pierre et Patrick se branlent leur belle queue tout en se caressant les couilles et en s'embrassant, Pierre fait décharger Patrick sur son ventre pendant que celui-ci fait gicler la queue de Pierre sur son pubis. Aude est en train de masturber et de sucer Georges qui la branle avec la main entière plaquée sur la chatte. Les soupirs et les râles de plaisirs fusent de partout, fort heureusement ils ne s'entendent pas très loin à cause des arbres. Véronique se masturbe et se lèche avec Alice, Tandis que Laurence, Gilbert, Sophie et Jean-Jacques multiplient les combinaisons avec leurs chattes, leurs queues et leurs bouches. Des flots de sperme accompagnés de petits cris et de râles se répandent dans la nature. Passage au réservoir près de la source pour un brin de toilette, et direction la clairière, nous nous asseyons en demi-cercle pour voir Patrick et Pierre juchés sur le rocher et qui pour nous exciter vont se sucer, se masturber et se branler chacun leurs grosses et belles bittes. Nous nous branlerons en même temps. Ils bandent terriblement. Tous les deux, leurs bittes sont magnifiques. Ils s'enlacent pour s'embrasser tout en saisissant leurs queues qu'ils commencent à masturber lentement, ils ne sont pas avares de caresses sur les couilles, le pubis et le ventre. Ils sont très excités et se masturbent intensément. Puis Pierre engloutit la belle queue de Patrick pour lui faire un succulent pompier en se branlant lui-même. Leur excitation est communicative, car le reste du groupe est pris d'une incomparable frénésie masturbatoire et fellatrice. Chacun d'eux fait gicler le sperme de l'autre vers nous.
Dis-nous Aude ? "Quand deux femmes font l'amour ensemble, pourquoi dit-on - C'est normal elles veulent changer un peu - Et quand deux hommes se sucent ou se masturbent dit-on - ce sont des pédés.- ?"
"Parce que vous êtes toujours des machos, vous voulez rester le sexe dominant, vous avez peur pour votre virilité, puis les femmes qui font l'amour ensemble est un spectacle qui vous excite. Si l'amour entre femmes et homme est la norme, l'amour physique entre hommes ne me paraît pas du tout anormal. Personnellement, j'aime regarder des hommes qui se masturbent et se sucent, cela m'excite, par contre je n'aime pas regarder deux hommes qui pratiquent le coït anal. Mais je ne trouve pas ça anormal, question de goût. On se masturbe, on se suce, on s'embrasse, même entre hommes, et sans complexe, non pas parce qu'on s'aime, mais tout simplement parce qu'on est excité et qu'on veut jouir autrement.
Nous jouissons avec eux dans un déchaînement de sperme et de râles. Après cet orgasme collectif, nous recommençons une autre séance, mais cette fois ci c'est Aude qui monte sur le rocher pour nous charmer avec une magistrale branlette, car si quelqu'un sait bien se masturber, c'est bien Aude. Encore une fois, nous nous envoyons en l'air en nous masturbant et en nous suçant les uns les autres. Entre chaque orgasme nous continuons à nous caresser aussi bien celui ou celle qui se trouve à notre droite ou notre gauche, parfois nous changeons de place pour nous retrouver avec une nouvelle bitte ou chatte dans les mains. Nous remettons cela plusieurs fois jusqu'au petit déjeuner près de la cabane qui dure assez longtemps mais est il est accompagné de caresses, de branlettes et de pompiers à la confiture, à la crème de chocolat, vanille etc. Mais c'est surtout la fête des femmes qui se remplissent la fente de crème au chocolat et vanille avant de se faire copieusement sucer le sillon et le clitoris. Et elles y remettent une bonne portion avant de jouir, la confiture ne servant qu'à enduire le clitoris et les grosses lèvres des chattes. Les discussions aussi vont bon train ; Aude préconisait comme dessert que tous les hommes présents lui déchargent en même temps dans la bouche. Adopté à l'unanimité, tu auras ta ration lui dit Laurence. En effet, dès que nous sommes passé au dessert, les six hommes se sont levés pour aller se masturber face à Aude qui les aide tant qu'elle le peut. C'était un tableau très excitant, Aude les regardait faire en se branlant, les femmes se sont serrées entre elles pour se masturber en regardant ce spectacle paradisiaque. Pendant le temps de leur masturbation, les hommes s'étaient constamment concertés pour arriver à éjaculer ensemble. Dès qu'un d'eux avait atteint le point de non-retour il ralentissait les mouvements de sa main pour attendre les autres, ceux qui avait un peu de retard le disaient aussi. Puis lorsque tous les six étaient près de la jouissance, ils le faisaient savoir pour enfin parvenir une formidable éjaculation synchronisée. Le sperme giclait sur la langue et la bouche d'Aude qui se finissait avec sa main entièrement plaquée sur sa chatte. Les autres femmes de l'assistance participaient à cet orgasme collectif en soupirant et gémissaient.
Vers les quatorze heures, retour à la clairière jusqu'au soir pour plusieurs séances sexuelles non-stop, avec diverses combinaisons, femmes-hommes, femmes-femmes et hommes-hommes. Un déluge de masturbation, de pompier, et de minet déferle sur la clairière. Les chattes sont constamment ouvertes, les bouches prêtes à sucer, et les bittes en érection permanente. Les mains n'arrêtent pas de masturber et les bouches de sucer ou de lécher.
Entre deux orgasmes collectifs, nous continuons de nous embrasser, de nous tripoter les sexes, les seins. Nous jouissons individuellement, à deux, ou à plusieurs. C'est selon le partenaire qui se trouve à côté de vous. Ou alors on change de place et on recommence avec d'autres partenaires. Ici, nous ne relatons que les orgasmes collectifs, mais les autres sont bien plus nombreux et il faudrait des pages et des pages pour les raconter. Toutes ces grosses bittes et ces belles chattes ne connaissent pas le repos pendant toute la durée de la rencontre. Ce qui est le plus excitant, c'est de pouvoir se masturber nu en toute liberté et en pleine nature, sans se gêner devant les amis sur un terrain qu'on sait être l'abri de tous les regards.
C'est encore plus excitant de voir ses amis se promener nus en bandant ou en se masturbant la bitte ou la chatte. Ce sont des sensations merveilleuses qui ne se racontent pas mais qu'il faut vivre.
Avec combien d'éjaculation le sperme aura-t-il giclé, sur les corps, contre les arbres, dans l'herbe. Nul n'en a fait les comptes, mais pour la journée, c'est Alice qui tient le record des branlettes qu'elle s'est faites, ou fait faire ou qu'elle a fait aux autres. Elle a joui seize fois et à fait jouir au moins deux fois chacun et chacune de ses amis. Et dire qu'elle remettra ça le lendemain. Mais elle et son mari nous ont dits que la masturbation faisait partie intégrale de leur vie, que chez eux ils pratiquaient, le coït bien sûr, mais qu'ils se masturbaient dès qu'ils en avaient l'occasion.
Combien de fois au cours de cette journée aurons-nous peloté les seins, léché les chattes, sucé les bittes et masturbé les sexes. Nous n'en tiendrons pas la comptabilité, car personne ne nous croirait.
Avant de partir Sophie fait dans la clairière un magistral pompier à Daniel et notre excitation nous oblige à les accompagner dans leur orgasme en nous masturbant.
Nous aurons tous joui au moins une douzaine de fois, mais maintenant il faut descendre vers les véhicules en temps voulu pour ne pas être pris par la nuit. En altitude, les nuits sont encore assez fraîches pour camper avec un matériel de fortune.
Alice et Jean-Jacques nous invitent chez eux pour le lendemain. Pas de problème, nous y serons tous, Christine et Roger seront avec nous. La belle et grande Christine qui va encore, pour le plaisir de tous, vouloir sucer toutes les bittes en se faisant masturber par les femmes. Roger qui bande dès qu'on le touche et qui astique sa grosse bitte en permanence voudra sûrement se faire glouglouter le nœud par Patrick. Une bonne journée et soirée en perspective.