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Histoires Coquines

Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 21:40
Mon ex copine Kornelia











Par Em - Publié dans : Histoires Coquines
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Samedi 13 janvier 6 13 /01 /Jan 16:35

A cette époque je vivais encore avec mon mari dans un lotissement et chaque année nous fêtions le nouvel an entre voisins. Cette année le réveillon avait lieu chez nous. Nous étions une vingtaine de convives. Parmi nos voisins, un certain Georges de plus de quinze ans mon ainé, sa femme et un de ses fils, Gilles qui n' avait pas encore dix huit ans. Georges portait sur moi, en permanence un regard plein d'envie, mais pour rien au monde je n'aurai fait quoique ce soit avec cet homme. Chaque fois que nous organisions des fêtes, il s' arrangeait pour danser avec moi et dans les slows je sentais son désir pressait sur mon ventre. Je suis loin d'être une bimbo, brune, 1,55 m, 43 kg, des seins discrets mais bien plein et un petit cul. Ce soir-là, je portais une jupe mi-mollet avec un bustier assorti, j'avais retiré mon soutien-gorge sur demande de mon mari, car les bretelles se voyait de trop et pour lui faire plaisir, j'avais mis des bas coutures soutenus par un porte-jarretelles noir et un slip de même couleur. J' étais assez sexe tout de même. Nous avons commencé la soirée de bonne heure et certains convives ayant pris un peu de retard, les apéros furent plus nombreux. Nous allions enfin passer à la première entrée que mon mari demanda à Gilles de venir nous donner un coup de main tout en demandant aux autres personnes de patienter que nous en avions pour quelques minutes. J'étais pompette, j'ai suivi mon mari et Gilles au garage. (nous y avions mis les plats)
A peine dans le garage, mon mari se mit dans mon dos, je faisais face à Gilles, il fit tomber les bretelles de mon bustier dévoilant à Gilles ma poitrine.
Ils ne sont pas beau ses seins lui dit-il ?
Gilles bredouilla des mots incompréhensibles et mon mari lui proposa de les toucher. Il ne se fit pas prier et ses mains se posèrent sur mes seins, les malaxants sans douceur. Cela dura quelques instants et mon mari lui fit une autre proposition.
Mets toi à genoux !
Il s'exécuta, mon mari retroussa lentement ma jupe jusqu'à la lisière de mes bas. J' étais sans réactions, l'alcool me berçait doucement et je subissais sans réagir. Remonte tes mains le long de ses jambes et Gilles fit glisser celle-ci sur la soie de mes bas. Arrivé à la hauteur du bas de ma jupe il s'immobilisa attendant que mon mari l'autorise a aller plus haut. Continue !, ses mains passèrent du soyeux des bas aux nues de mes cuisses, puis continuèrent jusqu' a ce qu'il me touche les fesses. Il me palpa celle-ci mais il n'osait pas faire plus. A présent, devant ses yeux il voyait à la fois les jarretières de ma ceinture, le bas de ma culotte très transparente et au travers de celle-ci ma toison brune. Mon mari me retroussa jusqu' a la taille et dit à Gilles : retire lui sa culotte ! Il baissa la fine dentelle et ses yeux se posèrent sur ma chatte, il me fit lever un pied puis l'autre de façon à m' en libérer et il s'empressa de la mettre dans sa poche. Il avança sa main sur mon sexe et sans même que mon mari me le demande j'ouvrais le compas de mes cuisses pour qu' il puisse poser ses doigts sur le renflement de mes lèvres intimes. Il était maladroit, je me savais humide du traitement que mon mari m'infligeait, du coup j' ai saisi son index et je l'ai posé sur mon clitoris l'invitant à me caresser. Je ne fus pas longue à avoir une courte mais très bonne jouissance. Mon mari mit fin à notre jeu en disant : il faut en garder pour tout à l' heure. Ma jupe retomba, de me savoir sans culotte m'excita d' avantage. Nous étions à consommer la première entrée et l' ambiance allait bon train. Nous étions relativement serrés les uns aux autres et dans un mouvement Georges qui était à mes cotés vint à me toucher la cuisse avec le revers de sa main. Je vis de suite qu'il avait compris que je portais des bas et sa main revint sur ma cuisse. Discrètement pour ne pas éveiller les autres, il chercha à avoir confirmation de ce qu' il pensait.


Pendant ce temps mon mari était retourné au garage pour allumer le four. Je lui dis à voix basse de retirer sa main mais il n' en avait que faire et celle-ci glissait sur le tissu de ma jupe jusqu'au moment où il se saisit de la bretelle de la jarretière. Je tentais de le repousser sans trop y parvenir. Il finit tout de même par remettre sa main sur la table et me glissa à l' oreille : tu es très coquine, tu m' en montreras plus dans la soirée. Je n' ai pas répondu à son propos et nous passèrent à la seconde entrée. Je me suis levée ainsi que Gilles et nous avons rejoint mon mari. A peine dans le garage mon mari qui ne savait pas ce qui venait de se passer me dit : relève ta jupe et ouvres tes cuisses, je veux que Gilles te bouffe la chatte ! Nous avions mis le canapé dans la garage et je m' y suis allongée. Celui-ci ne se fit pas prier et dès que je me suis exécutée, sa bouche est venue sur ma chatte. Sur les conseils avisés de mon mari il fit glisser sa langue à l' intérieur de mon nid d' amour. Mon mari l' encourageait me faisant relever les jambes le plus haut qu' il me soit possible de façon à m' offrir entièrement à sa caresse buccale. Il lui demanda d' insister sur mon bourgeon et comme tout à l' heure je fus emporter par un orgasme. Les moules étaient prêtes à consommer et la mienne était à vif. Gilles et mon mari prirent deux plats chacun pour les emporter à table me demandant d'en faire autant après avoir toutefois recharger le four avec les quatre plats qui attendaient d' être enfournés. Seule dans le garage, je mis les plats dans le four, je prie les deux autres qui m'attendaient. Je m'apprètais à sortir lorsque Georges fit son entré. Les mains occupées il se mit devant moi et d' un geste rapide me retroussa jusqu' a la taille. Ses yeux s' écarquillèrent en découvrant mes jambes gainées et l' absence de culotte qui exposait ma chatte à son regard. Petite salope me dit-il c' est encore mieux que je ne l' imaginais, et sa main plongea entre mes cuisses. Ouvres toi plus m' intima-t-il, son doigt fouilla ma chatte sans ménagement, tu es toute trempée, toi tu as envie de te faire bourrer. Je ne savais que dire et que faire. Pendant qu' une de ses mains fouillait mon entre jambe, l'autre s' infiltra dans mon bustier et il m' écrasa les seins tout en pinçant fortement mes tétons. Il m' infligea se traitement quelques minutes, assez pour que je jouisse une nouvelle fois. Il posa sa bouche sur la mienne pour étouffer mon râle. Nous n' avons pas trop le temps mais tu ne perds rien pour attendre qu' il me chuchota et je suis sur que tu n' attends que cela ? il répéta la question afin de m' entendre lui dire : Oui ! Oui, quoi qu' il me dit : Oui j' ai envie de toi. J' ai emporté les deux plats qui par miracle dans la tourmente avaient réussi à ne pas tomber et Georges arriva quelques secondes après. Mon mari discutait avec les autres convives et ne me vit même pas m' asseoir, par contre Gilles lui me regarda avec un sourire plein d' envie. La soirée avançait, nous étions passés au plat principal et mis a part le fait que Georges me caressait les cuisses sous la table dès qu' il le pouvait il ne se passa plus rien jusqu' a minuit. Après les embrassades traditionnelles de nouvelle année, mon mari mit plus de musique afin que les gens puissent danser en attendant de passer au fromage. C' est ce moment que profita Georges pour m'empoigner le bras et me conduisit jusqu' a notre chambre à coucher. A peine à l' intérieur, il me jeta sur le lit, il ouvrit son pantalon qui tomba à ses pieds. Je dois reconnaître que la situation depuis le début de la soirée m' enflammait les sens et que je ne maitrisais plus mes envies. Il baissa son slip et son sexe pointa en avant. J' étais sur le dos, sans qu' il me dise quoique se soit, j'ai relevé ma jupe, il s'est allongé sur moi, j 'ai légèrement écarté mes cuisses et sa bite vint se lover contre ma chatte.


Dis moi qu tu as envie de ma queue me glissa-til à l' oreille, Oui j' en ai envie Georges. Il remonta mon bustier de façon à bien dégager mes seins, sa bouche se posa sur la mienne et nous avons échangé un long baiser. Sa bite glissait sur mes lèvres, il était prêt à me posséder. Tu as des préservatifs me demanda-t-il ? Non. Puis son sexe me pénétra de toute sa longueur. Pour la première fois le sexe d' un autre homme emplissait le mien. Sa bite était courte mais épaisse, dilatant mon vagin, écrasant mon clitoris. Nous entendions les autres et Georges me possédait, moi qui n' en voulait pas de cet homme, je gémissais sous les assauts de sa bite dans mon ventre, j' aurai voulu que mon mari soit à nos côtés. Il me traitait de salope, de chienne et cela décuplait mes sens. A présent tu seras ma chienne et je te baiserai chaque fois que je le voudrais. Au lieu de me rebeller je m' entendais lui dire : Oui, je serai ta chienne, prends moi. Il m' écrasait de tout son poids, ses mains meurtrissaient mes seins, sa bite s' activait de plus en plus dans mon ventre, je sentais qu' il allait venir. Pour ma part, plusieurs vagues de plaisir m' avaient submergé. Il me dit : il faut que je me retire je vais jouir. Non, reste je veux te sentir dans mon ventre, viens me souiller et il se déversa dans ma chatte, j' ai senti les soubresauts de sa bite dans mon utérus ce qui me cloua sur le matelas. Il resta en moi encore un long moment, m' embrassant délicatement me demandant si j' avais aimé. Oh oui, Georges j' ai aimé. Son sexe quitta le mien. Lorsqu' il se redressa, celle-ci pendait et avant qu' il ne remonte son pantalon j' ai posé mes lèvres sur cette verge qui venait de cocufier mon mari. J' ai recueilli les dernières gouttes qui s' en échappaient, puis j' ai englouti l' intégralité de ce pieu au fond de ma gorge. Je me suis mise à le sucer voulant lui redonner de la vigueur, j' aurai souhaité qu' il me possède une fois de plus, il m' interrompit me disant : ils vont s' inquieter, tout à l' heure peut-être. Il quitta la chambre discrètement, notre accouplement avait duré presque cinq minutes, le bruit de la musique ne s' était pas arrêté heureusement pour nous ! Pour ma part je suis passée par la salle de bain pour rafraîchir mon entrejambe.


Je savais que la soirée était loin d' être fini côté sexe puisqu'outre mon mari qui allait à coup sûr me faire l' amour au petit matin, je savais qu' il voulait voir Gilles me posseder. J' en ai profité pour mettre un peu de crème sur les lèvres de mon sexe pour calmer les échauffements auxquels elles étaient soumises. Quelques heures plus tard, mes ovaires frissonnaient encore. J'ai glissé à l' oreille de Georges : je vais au garage je t' attends. Cinq minutes plus tard il entra et ferma la porte. J' étais pliée de dos sur le canapé, la jupe retroussée, les jambes ouvertes. Il s' approcha, j' ai entendu le zip de son pantalon puis il se colla à moi son sexe était droit comme une lance et il me prit debout sans préliminaire. Je ne te savais pas aussi salope, moi non plus que je lui répondis et il me baisa tout en m' insultant ce qui augmenta encore plus mon plaisir. Au moment, pour lui de jouir il se retira, me demanda de le prendre en bouche et après quelques coups de langue il se déversa au fond de ma gorge. J' ai dégluti toute sa semence. Nous nous sommes rajustés et nous sommes retournés avec les autres convives. J' ai perçu le regard de sa femme qui semblait me dire : salope. Vers les six heures du matin alors que la plupart des gens étaient partis, mon mari s' adressa à Gilles : tu restes avec nous pour débarrasser. Sa réponse fut : Oui. Quelques minutes plus tard nous étions plus que tous les trois. Mon mari me dit : allons dans la chambre nous serons mieux. Je suis montée avec Gilles, lorsque mon mari arriva un poil plus tard, j' étais en porte jarretelle et bas et Gilles entièrement nu, son sexe dans ma bouche, je lui prodiguais sa première félation. Vous ne perdez pas de temps à ce que je vois, il se déshabilla en un tour de main et s' approcha pour que je puisse oeuvrer sur les deux sexes qui se frottaient contre mes joues. Avant qu' il n' explose dans ma bouche, on s' installa sur le lit et sur les conseils de mon mari quatre mains caressèrent mon corps sur toutes les coutures, elles fouillaient tour à tour mes fesses, mes seins, ma chatte, par moment un où plusieurs doigts possédaient mes orifices, mon mari lui dit : elle est sacrement mouillée. J' en profitais pour flatter leurs deux queues qui n' allaient par tarder à prendre possession de mon ventre. C' était extraordinaire de subir deux hommes ensemble. Gilles eu la primeur de me prendre le premier après que mon mari lui fasse avouer que j' étais sa première femme.


Il ignorait que quelques heures plutôt son père m'avait prise sur se même lit. Je me suis offerte entièrement et il pointa sa queue sur mes lèvres qui s' ouvrirent pour l' absorber. Je lui dis : va lentement, pour bien apprécier cette grande première . Sa bite vint frapper mon utérus, il resta un moment, puis il se retira pour mieux me réinvestir, ses allers retour dans mon ventre augmentèrent et j' ai senti sa queue grossir, élargissant tout comme son père les parois de mon vagin, me donnant des frissons dans tout le corps, je savais qu' il ne tiendrait pas longtemps et je l' encourageais avec quelques mots crus, ne pouvant se retenir d' avantage, son sperme fusa dans ma chatte et il tomba sur moi secoué par sa première jouissance. Il se mit sur le côté et mon mari vint à son tour me posséder, baignant dans le sperme de l' adolescent et du père tout en m'insultant comme l' avait fait Georges. Lui n' était pas pressé de jouir et me prenait avec ardeur, heureux sans doute de ma conduite. Nous avons pris de nombreuses positions, tour à tour lui dessus et moi dessous. Je jouissais à chaque fois que son sexe cognait au fond de mon ventre, c' était une jouissance quasi permanente. Gilles finit par reprendre des forces et mon mari me proposa de me prendre en sandwich ! J' ai accepté à condition de le faire avec délicatesse et de s' arrêter si j' avais mal. J' ai sucé Gilles afin de lui donner la dureté requise pendant que mon mari commençait à me sodomiser, il le fit avec tant de douceur que je me suis ouverte sans problèmes. Gilles enfin prêt, je me suis installée sur lui et l' ai guidé vers mon intimité, puis me suis empalée dessus, exposant à mon mari mes fesses pour qu' il reprenne possession de mon oeillet. Chaque fois que depuis cette soirée mémorable je me prête à une partie avec deux hommes, je me souviens de cette sensation qu' ils m' ont procuré, leurs deux sexes en moi. Ce fut un final époustouflant, mes deux hommes explosèrent dans mes orifices, me donnant un orgasme que je n' ai jamais plus ressenti depuis.


Nous nous sommes endormis ensemble. Au réveil, Gilles était couché contre mon dos, je percevais son érection, mon mari de l'autre coté dormait profondement, j' ai saisi son sexe le guidant vers mon nid d' amour puis d' un coup de rein il me penètra une nouvelle fois, il m' a fait l' amour avec plus de douceur et nous avons jouis ensemble. Après avoir éjaculé, il resta en moi de longues minutes faisant quelques vas et viens pour maintenir son érection. Plus tard dans la journée, Georges passa à la maison et profitant que nous soyons seuls quelques instants me rappela ma promesse de la nuit. Je lui dis qu' il fallait oublier, que j' avais un peu bu, que je ne regrettais rien, mais que nous en resterions là, un secret entre lui et moi en sorte. D' accord à une seule condition me dit-il : tu me donnes un après-midi prochainement. Deux semaines plus tard je me retrouvais dans un Formule 1 avec lui. J' avais à sa demande mis des dessous très sexy. Nous avons fait l' amour tout l' après-midi. Nous sommes restés amants durant plusieurs années, même après mon divorce.

Chantal.

Par Chantal - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 10 janvier 3 10 /01 /Jan 16:33
Bonjour je m'appelle Karine, j'ai 26 ans, j'habite Strasbourg et j'étais marié à Patrick .F ....Gardien de la Paix nulle comme mec nulle comme baiseur. Je suis brune aux yeux bleus, mesure 1 m72 plutôt mignonne et assez menue (mais je fais quand même du 95D).Je suis une bonne grosse salope et tous les moyens sont bons pour se fourrer une bonne bite dans la chagatte.Lors d'un recyclage comptabilité pour ma boite, je suis descendu dans un hôtel près de Belfort qui s'appelait les 3 chênes.
Apres avoir installé mes affaires dans ma chambre, je suis allée boire un verre au bar .j'étais habillé très sexy et je n'hésitais pas à croiser et décroiser mes jambes gainées de jolies bas Dim-up noir.Un homme chauve et grassouillet se présente en m'offrant un verre avec tous le baratin qui s'en suit.Il est marié avec Lucette mais qu'on appelle Lulu mais avec elle ,il ne bande plus...Il est père de famille ,deux jolies mômes qui me montre en photo,le gamin ressemble à Frankenstein et sa fillette à Alice Sapritch jeune,c'est dire le beau métissage...Il m'annonce également qu'il descend souvent aux trois chênes avec sa femme car ils aiment bien la région et qu'il est bien connu des employés de l'hôtel mais aujourd'hui il est là pour affaire.je lui fait encore deux minutes de conversation et lui annonce Franco que j'ai envie de baiser dans les chiottes avec lui.Le petit chauve est abasourdi et me suit au toilette des mecs tous en regardant que personne ne le voit rentrer avec moi dans cette endroit incongru ,.
Des lors je saute sur sa braguette et lui sort sa bite, mon dieu elle est énorme, une grosse tête violacée, des grosses veines apparentes et des grosses baloches pendantes.je luis dis : "t'as vraiment une sale gueule mais t'as une sacré grosse bite, tu pourrais juste la laver un peu de temps en temps, mais bon elle est tellement grosse"
Il me répond que c'est pour les grosses salopes comme moi.Je le branle un peu, me met à genoux et commence à le pomper comme une pute, je suis experte en la matière, tantôt les regards de chiennes, les branlettes rapides, avec la langue, travaille en profondeur, massage des couilles, le type est sur le point de venir, les râles de plaisir sont plus forts, dans un gros soupir il me demande d'ouvrir mon chemisier et là sa mâchoire manque de traîner par terre :
" Oh putain les gros lolos, pour les bonnes branlettes espagnoles".
Le vicieux les sort du balconnet,les malaxent ,mord les tétons tourne autours avec sa langue râpeuse de quadra bedonnant,et après les avoir tripoté,celui-ci s'arrête net car un homme est entré pour uriner.Pendant que le mec pisse je continue de sucer le petit gros stressé par le fait d'entendre l'autre à coté de nous et la peur d'être reconnu ,il pense à sa femme Lulu ,au divorce et tous le reste ,il transpire à grosse gouttes,je sors ma langue et tapote son gland sur ma langue tendue,des petits râles s'échappent et des spasmes se libèrent du corps disgracieux,la porte d'entrée claque ,le type est parti.Roger on va l'appeler comme ça, retire sa monstrueuse bite et me gifle violement en me traitant de pute :
" Tu vas me le payer, Je vais me branler dans tes loches et je t'enverrai ma sauce dans ta petite gueule de pute !
-comme tu veux j'adore la crème d'homme "
Il se mit en place et commença les va et viens refermant mes gros nibards sur son vier, pinçant en même temps les tétons très forts.
" Oh c'est bon t'aime que je te baisse les seins jeune pute?
-Ohh oui continues gros bâtard, vielle baderne, vieux chien, plus vite "
Quand je pouvais je mettais des coups de langues quand la bite de "dudule" arrivait en bout de course.
" Oh salope ! je vais venir !
L'hideux bonhomme sort son noeud de mon écrin et commence à s'astiquer, j'ouvre la bouche prends la pause et sors la langue en proférant des obscénités :
" Balance le fromage Léon, jute sur ma petite gueule !
-ohhhhh, ouhhhhhhhh pute, je viens !!!! "
Je ne voyais plus son gros gland tellement il se branlait vite, joignant le geste à la parole, le premier jet viens dans ma bouche, une très grosse quantité de foutre épais et gras, la moitié retombe dans mes balconnets de soustif et mon chemisier entrouvert le souillant par la même occasion, fermant la bouche le deuxième jet ricoche sur mon menton et tombe sur mes seins, deux autres jets moins puissants arrivent, le gros con les a orientés sur mes nibards :
" T'es un porc je suis toutes dégueulasse "
Il s'essuie la bite dans les vêtements et me gifle par deux fois violemment.
" Maintenant tu vas m'écouter, tu remets tes frusques de pute et tu vas venir manger avec moi comme tu es, souillé de mon foutre "
je lui répondis une insulte qui me valut un autre aller retours de baffe, et je finis par écouter ses directives.
Je remis mes seins dans les balconnets du soutien-gorge, y avait plein de foutre dedans c'était désagréable, odorant, reboutonna le chemisier avec ses alvéoles de sperme du vieux vicieux, je raclai le gros sur mon visage et suivit mon amant dominateur jusqu'à sa voiture.Je monte dans sa caisse et nous voilà parti en quête d'un restaurant dans la Haute-Saône profonde loin de son fief.pendant le trajet il écarte mon string :
" Putain t'es une pelouse raide, t'es aussi chauve que moi par là, ça m'excite que tu sois rasée salope "
Il me doigta un long moment.Nous arrivâmes enfin dans une cargotte minable, idéale pour une pute comme moi comme le dit si bien ce con de Roger, il n'y avait pas grand monde heureusement pour moi, j'étais vraiment la souillon de service, les seins qui barbotaient dans la jute de ce pervers, la tronche grasse, et l'haleine qui puaient le sperme enfin tout pour plaire.
Il commanda une table et tout de suite le serveur compris le topo, il nous installa dans un coin retranché du restaurant .Roger fouille dans mon sac à main et retire une de mes cartes de visites et me la montre :
" Avec ça je peux tous raconter à ton cocu de mari alors tu vas être très gentille avec moi, enlèves ton string et donne le moi que je sente "
J'enlève et lui pressente ce petit bout de tissus mouillé de mes sécrétions .Il le prend ,le hume et le fait disparaître sous la table,il me dis d'enlever mes escarpins, et de tendre mes jambes dans sa direction.il prend mes pieds et les relie à sa bite et se met à faire aller mes pieds de haut en bas ,je sentais son noeud grossir au contact du nylon recouvrant mes pieds ,après quelques minutes il utilise mon string et juta comme un porc,en jurant et soufflant comme un buffle,les yeux révulsés .Le repas s'en suit normalement ,bon j'avais plus de culotte et je ne savais pas à quelle sauce j'allais être manger mais au moment du dessert devant ma tarte ,Robert prends l'assiette et sort de dessous la table le string avec un gros paquet de liqueur de chêne et le voila qui déverse le tout sur mon dessert."Voilà mange le comme une salope" ce que je fis quand tous à coup je manque de m'étouffer ce con à foutus des poils et je manque de vomir et lui ce gros con se marre, fils de pute.
Ensuite nous sommes monté dans sa chambre et il me dit de me foutre à poils, il sort sa bite et s'astique pendant mon strip, il me donne plein d'ordre : " Mets toi sur le lit, à plat ventre, écartes les fesses, montres moi ton trou qui pue " puis il se dirige vers mon nunuse pour m'enculer à sec :
" Non pitié pas par là t'es trop gros !
-t'as voulu faire la chienne et ben faut assurer connasse "
Il présente son gland :
" "ohhhhhhhhhhhhh ça fait mal "
Je beuglais comme jamais, le casque passe puis le reste et là je jouis comme jamais, malgré son physique il était doué pour le sexe :
" Vas y c'est bon j'aime, oh mon amour, ramones moi le conduit, éclates moi les boyaux"
-T'es contente de te faire défoncer la turbine à chocolat"
-Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii oh je viens c'est bonnnnn ! "
Roger ressort et de suite ,rapidement je gobe sa queue monstrueusement magnifique,elle pue ma merde sa bite mais que c'est bon ,Roger hurle comme un goret et gicle de nouveau dans ma gorge sur mes seins même les draps du lit sont souillé de sperme gluant.
Il reste allongé sur le lit avec moi il me galoche à merveille et son sperme ne l'écoeure pas, puis il me saisit le bras et m'emmène dans la douche me fait mettre à genoux :
" "Ouvres la bouche salope " et il me pisse dans la bouche.c'est chaud, c'est bon je me sens chienne, perverse comme jamais.
La tempête terminé, nous nous sommes douchés sans nous dire un mot. J'étais à poil dans un fauteuil quand mon portable sonna, c'était Patrick mon mari, rapidement je dis à Roger"c'est mon mari il est flic, il est jaloux comme un poux il pourrait te crever pour ça" Roger acquiesça de la tête.
Je décroche le portable :
" Allo !
- allo ma chérie, alors ça va pas trop chiant la compta ?
-Ben ça va le prof est un petit chauve gros et moche et con comme un manche mais bon ça va !!
Roger était vert de rage, il commence à se branler, écarte mes jambes et tapa fortement sur mon bouton, des grands coups comme le professeur qui punit un élève avec la fameuse règle de fer.
"ohaohannn s'échappe de ma bouche "
-Que se passe t il ma chérie?
-Oh Patrick j'aimerais tant que tu sois là, je suis obligée de me masturber comme une pucelle en pensant à toi.
-Karine moi aussi j'ai envie de toi !
-oh ta queue Patrick, j'aimerais qu'elle me rentre dans le con
et la Roger comprends le message et ses yeux sont étincelants de perversité
-Voua chérie comme tu y vas ça m'excite aussi, attends deux secondes tu la sens qui rentre dans ta connasse. (j'entendis le zip de son pantalon)
Oh oui, Patrick fais moi jouir limes moi comme une salope ! "
Pendant que mon cocu de mari se branle de l'autre coté, Roger s'en donne à coeur joie retenant ses soupirs ses râles il joue le jeu, accélérant la cadence, je jouissais comme une chienne de cette situation me faisant limer par un inconnu pendant que je téléphone à mon mari :
" Karine je vais jouir sur tes gros nénés !
-non mon chéri dans ma bouche je veux ton jus d'homme, ta sauce, balance ton foutre au fond de mon palais !! "
Roger sort de ma chatte et jute sur ma tronche j'en reçois partout mais ce con de Roger crie :
- " ahhhhhhhhhh,"oh putain c'est bon pfuuuuiuiui !!! "
- assez fort pour que mon mari entende :
- " Chérie j'ai entendu une voix d'homme qui c'esttttttt ??????
-un mec que j'ai rencontré aujourd'hui dans un bar.
Patrick raccrocha.je savais à ce moment là que j'étais redevenu célibataire.
Je regarde Roger et je lui dis :
- " si on sortait en boite, je n'ai jamais été prise en sandwiche et je n'ai jamais eu de gang bang, tu es prêts à m'accompagner ?? "
- Roger hocha la tête mais ça c'est une autre histoire.
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 16:20
Quand cette histoire est arrivée, nous étions mariés, Evelyne et moi, depuis 8 ans. J’ai toujours été très excité par l’idée de ma femme baisant avec un autre, ce fantasme est né à l’époque ou nous étions fiancés. Quelques mois avant de nous marier, nous nous sommes disputés et nous avons rompus. Peu de temps après je l’ai croisée dans une boite au bras d’un type, j’ai noté dans son attitude de la provocation mais en même temps qu’un peu de jalousie j’ai ressenti une certaine excitation.

J’ai fait celui qui l’ignorait mais je ne l’ai pas perdu de vue, de plus en plus excité par le fait de voir mon ex-fiancée flirter avec cet homme, cela était sans équivoque et à la voir collée à lui j’imaginais qu’ils avaient déjà baisé ensemble. Quand ils sont sortis je les ai suivis le plus discrètement possible, la nuit était mon alliée, ils sont allés vers les voitures. L’endroit était isolé, je devinais leurs silhouettes, enlacées, ils s’embrassaient fougueusement, j’ai deviné ce qu’elle allait faire quand elle a disparu de ma vue, le type a commencé à gémir lui disant au passage qu’elle suçait divinement...

Ensuite il l’a relevé et l’a plaqué sur le capot de la voiture, relevant sa mini robe il lui a arraché sa culotte et l’a pénétré brusquement. Je ne voyais pas grand chose mais ce que j’entendais me faisait parfaitement comprendre qu’elle aimait beaucoup ça, au bout de dix minutes ses gémissements s’étaient transformés en cris et en suppliques pour qu’il décharge en elle, ce qu’il fit peu après... Ils quittèrent ensuite le parking et je ne les revis plus jamais ensemble.

Quelques semaines après je me réconciliais avec Evelyne et nous avons bien sur parlé de son aventure, elle a vite compris que je n’étais pas jaloux et que ça m’excitait d’en parler. Je ne lui ai pas tout avoué, notamment le fait que je l’ai vu sur le parking mais je lui ai raconté, peu à peu, certains de mes rêves où je la mettais en scène avec lui...

Après notre mariage nous avons souvent reparlé de cette aventure, surtout au cours de nos soirées amoureuses, c’est moi qui en parlait le premier. Ces fois là nous ne faisions pas l’amour de la même façon, il y avait plus d’excitation dans nos rapports et elle s’enhardit aussi, me demandant parfois ce que je ressentais à l’idée qu’elle ai couché avec un autre, les mots qu’elle employait alors étaient plus crus.

A partir de ce moment, ses parties de jambes en l’air avec lui sont devenus un thème récurent dans notre vie sexuelle, j’ai réussi à ce qu’elle me raconte tout dans les moindres détails, quand elle se laissait mettre la main entre les cuisses en discothèque, quand elle lui sortait la queue et le suçait alors qu’il conduisait, quand elle s’asseyait sur sa verge dressée ou quand elle ouvrait les cuisses sur le siège arrière de sa voiture en suppliant qu’il la baise...

Ma femme savait que j’avais très envie qu’elle ai une autre expérience mais cela demeurait un jeu entre nous car elle n’était pas prête à faire ce pas. Quand notre dernier enfant est entré à l’école primaire, elle a décidé de retravailler et a finalement trouvé une place de vendeuse dans la boutique d’un photographe. Au bout d’une semaine je notais que ma femme était plus attentive à sa tenue et soignait beaucoup son maquillage. Mon imagination commença à faire des siennes et je lui demandais ce qui se passait mais pour elle s’était juste parce qu’elle devait être soignée dans son travail, face au public. J’admis son explication jusqu’au jour où je rencontrais son employeur, Pierre, un type de 53 ans, divorcé, pas mal de sa personne mais quand je vis le regard de cet homme sur ma femme je sus tout de suite qu’elle lui plaisait.

Le soir j’en parlais à Evelyne qui ne me démentit pas, elle aussi avait compris que son patron la désirait...Je lui redis une fois encore mon fantasme et ce soir là nous fîmes l’amour intensément. Pierre était en train de prendre la place de son ex-amant dans nos fantasmes amoureux. Quelques semaines plus tard, Evelyne revint du travail assez excitée, elle ne voulut rien me dire avant que les enfants soient couchés.

Ce n’est que dans notre lit qu’Evelyne me montra une photo où l’on pouvait voir Pierre, son patron, posant nu sur une photo, elle l’avait trouvé en faisant du rangement. Evidemment ce qui l’avait troublé et me troubla aussi c’est la taille du sexe de cet homme, 20 à 23 cm à vue de nez et assez épaisse, ce qui était remarquable à côté de la mienne. Evelyne se laissa entraîner dans mon fantasme et elle reconnut que ça devait être génial de se laisser glisser sur un tel engin... Après que nous ayons fait l’amour elle me demanda si j’avais toujours envie d’être cocu, ce que je lui confirmais tendrement.

Le lendemain matin elle se leva plus tôt que d’habitude et s’enferma dans la salle de bain. Je m’occupais des enfants puis nous déjeunâmes tous les quatre. Quand ils furent partis ma femme m’entraîna dans la chambre, ôtant son peignoir elle m’apparut portant des bas fumés, un soutien gorge à balconnets, un porte-jarretelles et une culotte noire assortie, elle me dit en souriant,

- Crois tu que ça plaira à Marc ?

- Tu vas le rendre fou, répondis-je très excité...

- Tu sais ce que je vais faire... pour te satisfaire, toi... mais aussi pour mon plaisir, c’est bien ce que tu veux, non ?

Je lui confirmais mon désir et elle m’avoua qu’elle avait très envie de le séduire, et plus encore depuis qu’elle avait vu cette photo. Elle savait que lui était attiré ce dont je ne doutais pas un instant, à 30 ans Evelyne était une jeune femme très désirable et si ses seins n’étaient pas très gros elle avait d’autres arguments dévastateurs, ses jambes, ses fesses, une silhouette fine et nerveuse, une crinière brune frisée qui accentuait sa féminité... Je l’aidais ensuite à choisir un chemisier et une jupe courte, mais pas trop, sexy sans être provocatrice, elle était un peu nerveuse mais je la rassurais une nouvelle fois, lui faisant promettre de tout me raconter le soir...

Le soir elle m’apparut heureuse, rayonnante, mais elle ne voulut rien me raconter tant que nous ne serions pas tranquilles, seuls tous les deux au lit... Pourtant, profitant d’un moment où les enfants regardaient la télé, elle caressa mon sexe au travers du pantalon et me murmura avec un sourire radieux,

- Cocu... ça y est, tu es cocu mon chéri...

Cela m’excita et je trouvais le temps bien long, enfin les enfants furent couchés et ce soir là nous gagnâmes directement notre chambre. Nous déshabillâmes et je vis des traces de suçons dans son cou et sur ses seins, elle souriait, heureuse et s’allongea en m’ouvrant ses cuisses. Je ne me fis pas prier, je la goûtais, imaginant que son amant était là, quelques heures auparavant, et malgré la douche je sentais encore les effluves de ses secrétions amoureuses.

Elle commença à gémir sous mes caresses et nous fîmes l’amour, je sentais que j’aurai du mal à le faire longtemps car j’étais très excité mais Evelyne eut rapidement un orgasme et nous nous effondrâmes épuisés. Le sommeil la gagnait déjà mais j’insistais suffisamment pour qu’elle me fasse un résumé de sa journée.

Elle avait eu durant la matinée plusieurs fois l’occasion de lui faire entrevoir ses jambes, en cherchant dans des placards elle devait s’agenouiller, il voyait parfaitement la lisière de ses bas, il la frôla plusieurs fois et ma femme ne faisait rien pour l’éviter, elle avait aussi défait un autre bouton laissant ainsi son chemisier plus ouvert.

Il y eut aussi l’épisode de l’escabeau, il l’aida une première fois et elle ne protesta pas quand il frôla ses fesses, en redescendant il lui fit un compliment et elle lui sourit, lui montrant ainsi qu’elle était sensible è sa remarque. En fin de matinée, juste avant de fermer elle se retrouva encore sur l’escabeau et il vint à son secours soit disant pour la maintenir et éviter une chute, il avait posé ses mains un peu au dessus des genoux mais elle les sentit monter doucement et s’insinuer sous la jupe.

Elle lui dit d’arrêter mais avec un rire qui était plutôt un encouragement, elle redescendait et il laissa sa main glisser au dessus de la jupe, épousant ses fesses puis ses reins... quand elle se retourna, une fois en bas, elle se trouva collée à lui un instant, consentante, il allait l’embrasser mais un client entra et ils s’écartèrent.

Ce dernier client partit il ferma la grille et l’entraîna dans l’arrière boutique, il savait Evelyne consentante, il l’enlaça par derrière, plaquant son sexe déjà dur sur les fesses de ma femme et commença à la peloter avec force, il ouvrit le chemisier et fit glisser le soutien gorge, malaxant ses seins, faisant durcir ses tétons. Excitée Evelyne ne resta pas inactive, elle commença à onduler pour mieux sentir son érection puis n’y tenant plus elle glissa sa main entre eux, baissa la fermeture éclair, voyant qu’elle n’arrivait pas à extraire sa queue, il l’a retourna alors et la fit asseoir, il libéra lui même son sexe qu’il agita sous le nez de ma femme.

Elle ne se fit pas prier et commença à le sucer , il caressait ses cheveux et au bout de quelques minutes il explosa sans retenue, Evelyne en avala une partie mais du sperme s’échappa, elle en avait aux commissures des lèvres puis quelques gouttes étaient tombées tombèrent sur ses seins... Il s’agenouilla devant elle et lécha le sperme qui se trouvait sur son visage, elle me raconta que ça l’avait excitée énormément de voir son amant goutter ainsi son sperme, il l’avait embrasser partageant ainsi sa liqueur et il avait poursuivi ce petit jeu jusqu’au moment ou il n’y eut plus de traces sur elle.

Ils montèrent alors dans l’appartement qu’il possède au 1er étage, Evelyne avait encore sa jupe, lui avait ôté son pantalon et se trouvait déjà nu quand ils arrivèrent en haut. Il lui ôta la jupe et sa culotte avant de la pousser en travers du lit, l la regarda un instant et lui dit combien il la trouvait belle et se mit en devoir de lécher sa chatte. Evelyne le laissa faire, impudique, ouverte, avec ses bas et son porte-jarretelles, elle s’abandonna à son premier orgasme les yeux fermés, elle se sentit pénétrée et ses gémissements se transformèrent, elle cria son plaisir et se dressa sur ses coudes pour voir...

Ce soir là j’eus du mal à lui faire dire ce qu’elle avait ressenti d’avoir cette belle queue en elle, avec pudeur elle m’avoua tout de même qu’elle avait ressenti une forte sensation, elle se sentait plus rempli mais plus tard elle finit par m’avouer que ça l’avait rendue folle...

Pierre l’avait baisé pendant un long moment, au moins une demi heure selon elle, changeant de rythme, la retournant, variant les positions, elle eut un orgasme mais lui s’était retenu, continuant de la défoncer, le second fut intense et quand il explosa en elle, elle était en transe, hurlant comme une folle...

Ils déjeunèrent ensuite, nus, s’embrassant et se caressant entre chaque bouchées... vers la fin du repas elle vit que Pierre avait une nouvelle érection, elle repoussa sa chaise et s’assit sur lui, s’empalant sans précaution sur sa verge dressée, il restait près d’une heure avant de rouvrir la boutique...

Ils ont fini le repas comme ça, face à face, Evelyne bougeait peu au début mais ses sensations étaient intenses, elle se souleva pour offrir ses seins aux lèvres de son amant puis se laissait retomber, coulissant sur cette grosse queue pour l’embrasser furieusement... au bout de plusieurs minutes de ce petit jeu il la souleva, les jambes nouées autour de sa taille, elle se trouva plaquée contre le mur.

Il avait repris le contrôle et la défonça littéralement, il la laissa encore jouir une fois seule avant de la rejoindre dans un second orgasme dévas
tateur. Il la porta sur le lit dans lequel elle se réveilla deux heures plus tard... Pierre était redescendu et avait ouvert la boutique à l’heure, la laissant récupérer de leur folle chevauchée...
Par Anonyme - Publié dans : Histoires Coquines
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Dimanche 7 janvier 7 07 /01 /Jan 16:19
Je m’appelle Julien Grimaud, et à l’heure où débute cette histoire, je ne suis qu’un simple étudiant en médecine désireux de m’informer sur l’exercice de mon futur métier. Mon cousin Damien Slétère exerce depuis quelques années et je suis venu nourrir mon enthousiasme aux fruits de son expérience. Il m’a consacré trois quarts d’heure de son temps pour répondre à mes questions et me raconter quelques anecdotes. A présent l’entretien s’achève car il doit déjeuner avec le représentant d’un laboratoire.
C’est alors que trois coups frappés à la porte interrompent l’échange. La secrétaire entre en s’excusant, elle s’adresse à Damien :
-« Docteur, mademoiselle Roulier demande si vous pouvez la recevoir ? »
-« Mademoiselle Roulier ? Mais elle n’avait pas rendez-vous ! »
-« Non, mais elle insiste, elle dit que c’est important. »
-« Mais je ne peux pas la voir maintenant, vous savez que j’ai rendez-vous avec Duroc des ‘laboratoires Guyot’ ! »
-« Je lui ai dit que vous n’étiez pas disponible ce matin, mais je sais que vous la suivez régulièrement et elle a tellement insisté. Dois-je lui dire de prendre rendez-vous ultérieurement ? »
Damien visiblement agacé, se tourne vers moi et explique rapidement :
-« Mademoiselle Roulier est convaincue d’attraper toutes les maladies qui traversent la ville et si toutefois aucune n’est signalée, elle vient régulièrement vérifier qu’un point douloureux ressenti dans le dos n’est pas le début d’un lumbago, où si son mal de crâne de la veille n’a pas une origine tumorale ou que sais-je encore. Véronique, je ne peux en aucun cas la recevoir maintenant, cependant il s’agit de ne pas la froisser. »
Par curiosité je demande :
-« Cette personne est jeune ? »
-« 25 ans je crois. »
-« Déjà hypocondriaque à cet âge ? »
-« Il n’y a pas d’âge, cela doit être génétique. Voyons Véronique, que lui avez-vous dit ? »
-« Que vous receviez un confrère ! »
-« Un futur confrère, Véronique, mon cousin est encore étudiant. A moins que... Veux-tu donner ta première consultation Julien ? Ca ne sera pas trop difficile, cette personne est satisfaite si on la prend au sérieux, tu as du temps devant toi je crois. Tu l’écoutes attentivement, tu l’auscultes et à l’occasion tu me fais un compte rendu, ça marche ? »
-« Vraiment, tu es sérieux ? »
-« Tout à fait ! Décide-toi, elle attend une réponse et je dois m’en aller. »
-« Mais je ne sais pas si je peux prendre ta place. »
-« Je sais que tu le peux, mais c’est à toi de décidé. »
Déjà Damien se lève, met de l’ordre rapidement sur son bureau et enfile sa veste. Il ajoute :
-« Tu lui rendrais service, car si elle est venue sans rendez-vous c’est qu’elle a besoin d’être rassurée. Tu m’arrangerais car je suis attendu et Véronique pourrait s’éclipser déjeuner, elle aussi. Tu n’auras qu’à fermer le cabinet à clef après la consultation et déposer les clefs dans la boite aux lettres du hall. »
Cette improvisation ne me plait guère mais je finis par accepter du bout des lèvres.
-« Bien, Véronique vous expliquez à mademoiselle Roulier que je suis déjà parti mais que le docteur Grimaud la recevra dans quelques minutes, je sortirai par la porte de derrière. »
La secrétaire disparaît en refermant la porte. Damien m’explique où trouver les accessoires nécessaires à une auscultation sérieuse puis m’ayant indiqué que l’usage est d’aller chercher la cliente dans la salle d’attente il s’éclipse à son tour. Un peu pris au dépourvu, je fais le tour du cabinet, installe un bloc note vierge au milieu du bureau, accroche ma veste au portemanteau puis très dubitatif, je vais chercher ma première patiente.
C’est une jeune femme brune au visage ovale, de longs cheveux relevés en queue de cheval, des yeux marron interrogateurs et très mobiles, semblant chercher dans le regard de son interlocuteur des réponses à des questions non formulées. Sa bouche est petite mais pulpeuse, son nez est droit, elle est de taille moyenne, pas excessivement belle au premier abord. Elle porte une jupe plutôt courte, des escarpins et une veste ample boutonnée sur un petit pull à col roulé. Elle prend place sur la chaise en face du bureau. Intimidé, j’inscris la date du jour sur mon bloc note puis je me présente et j’explique que je vais d’abord collecter les renseignements d’usages.
-« Quel est votre nom ? »
-« Vinciane Roulier. »
-« Votre âge ? »
-« 26 ans depuis trois jours. »
-« Etes vous mariée ? »
-« Non je suis célibataire. »
-« Avez vous eu des maladies infantiles autres que rougeole, varicelle ? »
-« Hé bien, j’ai été opérée de l’appendicite à 12ans, j’ai eu les oreillons à 13ans, de fréquents maux de ventre qui m’ont conduite à subir une coloscopie à 15ans. J’ai de fréquents maux de tête aussi. »
-« Bien, nous verrons cela Plutard, si vous le voulez bien. Outre l’appendicite, pas d’opération chirurgicale ? »
-« Hé bien la coloscopie. »
-« Oui, la coloscopie, mais sinon rien d’autre ? »
-« Non docteur, j’essaie d’éviter les opérations si cela est possible, je vois régulièrement un acuponcteur et un homéopathe pour me soulager. »
-« Bien, vous soufrez donc de maux divers à répétition ? »
-« Ho oui, le ventre je vous disais, la tête aussi et puis le dos. »
-« Vous faites du sport ? »
-« Je pratique la natation, le docteur Slétère me l’a conseillé pour mon dos et puis, je fais du vélo, mais pas très souvent. »
-« Combien de fois par semaine la natation ? »
-« Une fois, tous les lundis. »
-« Bien, l’acuponcture et l’homéopathie vous soulagent ? »
-« Hé bien, oui je crois, mais pas autant que je le souhaiterais ? »
-« Suivez-vous un traitement médical actuellement ? »
-« J’ai un traitement homéopathique pour dormir. »
-« Quoi d’autre ? »
-« Je prends des calmants pour mes migraines et mon dos. »
-« Quelle profession exercez-vous ? »
-« Je suis intérimaire dans la Bureautique. »
J’inscris scrupuleusement tous les renseignements qu’elle me donne, sans me presser. Elle suit les évolutions de ma plume sur le papier, comme pour vérifier que je ne me trompe pas. Elle est assise sur le bord de sa chaise, lorsque je lève les yeux vers elle pour l’interroger, elle se trémousse imperceptiblement avant de répondre. Sa voix est douce presque chuchotée. Elle s’exprime comme si elle devait répondre dans un temps donné, comme si elle craignait d’être interrompue, puis ses yeux se posent sur mon visage guettant une réaction.
-« Bien, venons en à ce qui vous amène ici aujourd’hui. »
-« C’est à dire que je pensais voir le docteur Slétère, parce qu’il me connaît bien. C’est au sujet de mes migraines, cette nuit j’ai eu l’impression que mon mal de tête et mon mal de dos étaient liés. »
-« Expliquez-moi. »
Elle s’agita sur son siège et accompagna ses explications de mimes avec ses mains.
-« Plusieurs fois, j’ai eu l’impression que la douleur partait du haut de la tête... »
Elle enserre le haut du crâne avec ses mains.
-« ...Puis descendait sur les cotés, derrière les oreilles... »
Ses mains descendent comme elle le décrit.
-« ... Ensuite, cela traversait la nuque, puis entre les omoplates... »
Elle passe les deux mains derrière elle en se cambrant en avant, les faisant suivre l’épine dorsale.
-« ... et cela descendait jusque dans le creux des reins. »
Après cette description, elle scrute attentivement mon visage.
-« Etait-ce la première fois que vous constatiez ce phénomène ? »
-« Oui docteur, est-ce que vous croyez que c’est grave ? »
-« Tout mal est à prendre en considération, et vous faites bien de venir consulter. Avez vous eu une activité physique dans les 3 jours précédents qui pourrait expliquer les symptômes que vous décrivez ? »
-« Non docteur, je n’ai pratiqué aucun sport. »
-« Vous êtes vous cognée quelque part ou bien avez vous fait une chute ? »
-« Non pas de chute, et si je me suis cognée, je ne m’en souviens pas. Mais d’habitude lorsque je me cogne même légèrement j’ai un bleu. »
-« Lorsque vous vous réveiller le matin, vous arrive-t-il de subir des torticolis ou d’avoir mal dans une épaule ? »
-« Ho oui, souvent, d’ailleurs le docteur Slétère m’a souvent prescrit des massages pour cela. »
-« L’acuponcture soigne très bien ce genre de douleur aussi. »
-« Je voulais vous dire aussi, que ce matin j’ai eu mal au ventre en me levant, à un tel point que j’ai du me rallonger une demi-heure. »
-« Et cela est passé ? »
-« Oui. »
-« Comment déjeunez-vous le matin ? »
-« Je commence toujours par un jus d’orange, puis, je mange des fruits frais et du fromage blanc suivi d’une tasse de café. »
-« Pas de céréales ? »
-« Non. »
-« Vous devriez prendre un aliment du type céréales, cela peut être du pain complet par exemple, et ne pas commencer par le jus d’orange, c’est un peu trop acide à jeun. »
-« Vous pensez que cela peut avoir un rapport avec mes problèmes ? »
-« Non, pas forcément, mais c’est un conseil que je vous donne. »
-« Merci. »
-« Pour votre dos, avez vous déjà fait des radios ? »
-« Oui, mais elles ne donnent rien. »
-« Avez-vous une posture debout qui serait la cause d’un traumatisme ? »
-« Oui, sûrement, je suis trop cambrée et mes seins sont trop gros ! »
Cette déclaration soudaine faite avec franchise et naïveté par cette jeune femme à l’allure si sage me trouble. Rien de déplacé pourtant, mais l’espace d’un instant, j’oublie ma condition de médecin. Cette révélation audacieuse, sortie de son contexte, est propice à toutes les rêveries. Il me faut pourtant continuer cet entretien.
-« Ha ! Et... heu, avez-vous fait de la rééducation ? »
-« Oui, j’en ai fait vers l’âge de 18 ans, mais je n’ai pas continué, c’était long et astreignant. Vous pensez que je devrais en refaire ? »
-« Hé bien, je ne sais pas, mais voyons voir ça, mettez-vous debout. »
-« Dois-je me déshabiller ? »
-« Retirer seulement votre veste. »
Elle se lève, déboutonne sa veste et c’est alors que je comprends vraiment ce qu’elle voulait dire en parlant de sa poitrine trop grosse. Je m’étonne de n’avoir rien remarqué jusque là d’un tel physique. Comment une simple veste, ample certes, avait pu masquer à ce point une telle opulence ? La jeune femme s’avance au milieu de la pièce et se tient de profil. Son physique n’a plus rien de banal, la silhouette tient plus du S que du I et j’ai du mal à voir en elle une patiente. Si les seins pointent largement sous l’étoffe du pull, les fesses tendent fortement aussi le tissu de la jupe. Je reprends mon rôle de docteur juge la forme des escarpins et lui demande de les retirer pour m’assurer qu’ils ne sont pas la cause de cette posture exagérée, mais la silhouette reste la même.
-« C’est dans cette position que vous vous sentez bien ? Je veux dire, vous n’exagérez pas la posture ? »
Tout en restant de profil, elle me jette un regard.
-« Bien sur que non, pourquoi me demandez-vous cela ? »
-« Essayez de rentrer le ventre. »
La jeune femme se concentre un instant, mais ne change guère son apparence.
Je m’approche d’elle lui appuie doucement mais fermement sur le ventre et le bas des reins pour l’aider à prendre une position moins traumatisante.
-« Voilà, maintenant, serrez les abdominaux et les muscles fessiers, et essayez de tenir comme cela. »
Comme c’est troublant d’être contre elle, les mains appuyées à des endroits que seule ma condition de médecin me permet de toucher ! Je sens son parfum, sa chaleur et je dois lutter pour rester concentré sur l’auscultation.
Je relâche lentement la pression de mes mains, la jeune femme fait de gros efforts pour se maintenir, puis abandonne au bout d’une minute.

-« Bien ce n’est pas grave, maintenant vous allez joindre vos deux pieds et en vous penchant lentement en avant, sans plier les genoux, vous allez essayer de toucher vos chevilles. »
Elle essaie bravement, mais ses mains ne peuvent attraper que les mollets.
-« Mais c’est de la gymnastique que vous essayez de me faire faire ! »
Elle s’est redressée et me fait face. Je ne suis pas beaucoup plus grand qu’elle, elle semble troublée par cet exercice.
-« Je crois qu’un peu de gymnastique vous aiderait grandement en effet. Il vous faudrait raffermir vos abdominaux et vos fessiers pour mieux contrôler votre position debout et aussi assouplir vos muscles dorsaux, vous soulageriez ainsi beaucoup votre dos, on ne vous l’a jamais dit ? »
-« Non, docteur. Ho, mais j’ai la tête qui tourne ! »
Elle semble prise d’un malaise, je la prends par les épaules et l’accompagne jusqu’au lit d’auscultation.
-« Ce n’est rien, vous n’avez pas l’habitude, allongez vous je vais vous examiner. Mais vous devriez suivre mon conseil, vous avez besoin d’entretenir votre corps, considérez votre mal de dos comme un message somatique. Ne l’ignorez pas et faites ce qu’il faut pour y remédier. »
Elle est étendue sur la couchette, les yeux fermés, les bras le long du corps, elle respire profondément. Je remonte sa manche et lui mets le brassard pour prendre son pouls.
-« Détendez-vous, reposez-vous, tout cela n’est pas bien grave, si vous avez un peu de temps à me consacrer, je vais essayer de vous ausculter afin de faire un diagnostique complet. »
Elle ouvre les yeux et me remercie avec un sourire un peu crispé, puis referme les paupières. Je lui annonce sa tension, puis je palpe son visage et son cou lentement. Je sens une métamorphose s’opérer en moi. Cette fille, si appétissante, semble prête à me donner tous pouvoirs pour la rassurer sur son état. Je ressens une toute puissance exaltante, l’envie de profiter de l’auscultation pour découvrir son corps. Son cas n’inspire pas d’inquiétude, le docteur Slétère l’a confirmé. Je retrousse son pull pour dégager totalement le ventre, puis dégrafe lentement la jupe que je fais glisser avec précaution jusqu’en dessous des fesses.
En accomplissant ces quelques gestes, j’ai conscience de la dualité de mon comportement. Je peux être le docteur préparant sa patiente pour un examen médical, mais aussi un imposteur profitant de la situation pour abuser une plantureuse naïve. Ses deux perceptions de la réalité font naître en moi un vertige, comme si, en équilibre sur un sommet pointu, chacune de mes actions à venir allait me faire basculer sur un versant ou l’autre.
Je tire un peu sur l’élastique de la culotte de dentelles blanches et commence à lui palper le ventre. Sa peau est très douce. La jeune femme s’abandonne à mes mains et cela m’encourage. J’accompagne chaque palpation de l’abdomen par des commentaires rassurants, prononcés d’une voix apaisante. Je m’inquiète de manière régulière de ce qu’elle ressent. Elle me parle de ses règles douloureuses, je lui demande de retirer sa jupe.
Elle est de nouveau allongée sur le dos, j’attrape la fine culotte de part et d’autre de ses hanches et la descend jusqu’à mi-cuisse. Elle ne montre aucun étonnement à cela. Je ressens une grande émotion à dévoiler cette légère touffe brune plantée à la naissance du ventre, mais je dois masquer mon trouble. Je lui parle de la façon différente dont les femmes peuvent ressentir les inconvénients du flux menstruel, que cela peut évoluer avec le temps, que les grossesses peuvent aussi modifier la manière dont chacune le ressent. En lui parlant, je la palpe doucement, caressant son ventre d’un lent massage qui a commencé autour du nombril et qui, s’élargissant, englobe maintenant tout l’abdomen et le haut du pubis. Le frottement des poils pubien sous ma paume déclenche en moi des montées d’adrénaline qui me pousse sur la pente du vice. Il me faut garder le contrôle !
Je lui demande si elle prend la pilule et si elle a essayé de changer de marque, que cela peut être aussi une cause de maux de ventre. Et puis, soudainement, elle m’avoue que le massage lui fait du bien.
-« Je suis content que cela vous apaise, mais l’effet serait plus fort encore en état de relaxation et avec la musique adéquate. D’ailleurs vous devriez essayer la relaxation, c’est un bon moyen de combattre le stress et de prévenir les maux de ventre. »
En disant cela j’ai ôté mes mains de son corps, comme si son bien-être le rendait brûlant. J’ai conscience de lutter contre cet autre moi-même qui m’encourage à enhardir mes palpations, sans qu’il soit besoin qu’elle m’indique par-dessus le marché que cela lui convient ! L’espace d’un instant, je revois le diablotin et l’angelot se disputant la conscience du capitaine haddock au sujet d’une bouteille d’alcool dans je ne sais plus quel Tintin... Pourtant, presque malgré moi, je m’entends lui demander :
-« Vous allez vous mettre à quatre pattes s’il vous plaît. »
Docilement, Vinciane se met dans la position demandée, sans chercher à rajuster sa culotte, elle semble être en confiance. J’ai la bizarre impression d’être à la fois acteur et spectateur de cette scène. Cette jeune personne est dans une position d’un érotisme torride, qui ne semble lui poser aucun problème. Fasciné par sa généreuse croupe offerte, je pose d’abord ma main gauche dessus, sans réfléchir. Puis réalisant qu’il me faut continuer à être docteur, je mets la main droite sur ses reins et je lui demande de faire le gros dos. Je suis dans un état second, il me faut improviser quelque chose, elle doit forcément sentir mon regard sur ses formes, la fébrilité de mes mains.
Mes doigts ont trouvé le chemin, ils auscultent chaque vertèbre du coccyx au milieu du dos. Cet exercice minutieux, m’aide à me calmer. Je fais glisser mes paumes sous son ventre et lui demande de cambrer au maximum. Je touche alors son ventre en plusieurs endroits, attentif à produire des gestes professionnels pour donner le change, puis je remonte sur le dos, effleurant les cuisses et la croupe au passage. Je répète l’opération plusieurs fois, m’arrangeant toujours pour caresser une partie de ses fesses d’une ou des deux mains de façon très légère et en prenant soin de commenter mon examen.
-« Bien, maintenant, vous allez venir vous asseoir sur vos talons en soufflant, puis à l’inspiration, vous reprenez de nouveau la position à quatre pattes. Suivez le rythme de votre respiration. Bien, voilà ! Continuez jusqu’à ce que je vous demande de vous arrêter. »
Je la laisse s’installer tranquillement dans ce mouvement de balancier, puis me place derrière elle et pose mes paumes sur le gras des fesses prétextant un contrôle de son travail musculaire. Je l’encourage à continuer, mes mains accompagnent son mouvement. Je me délecte de la vision de sa vulve lorsqu’elle remonte les fesses. Cette culotte roulée autour des cuisses ajoute encore à l’érotisme de la scène.
-« Bien vous pouvez vous arrêter. Je vous confirme que vous avez tout intérêt à muscler vos fessiers. »
Elle s’est assise sur ses talons, je suis près d’elle, sur le coté de la couchette. Elle demande naïvement :
-« Vous trouver que mes fesses sont trop molles ? »
Je souris.
-« Rassurez vous elles sont superbes, mais vous diminuerez vos problèmes de dos en les musclant suffisamment. »
Elle me dévisage, semblant digérer l’ambiguïté de la phrase, mais j’enchaîne :
-« Voulez vous retirer votre pull et votre soutien-gorge à présent. »
Elle s’exécute avec des gestes lents, sans bouger de sa position. Je prends obligeamment ses vêtements et les dépose sur la chaise avec les autres. Elle en profite pour rajuster sa culotte. Elle me regarde, toujours assise sur les talons, sa grosse poitrine proéminente blottie entre ses bras qu’elle a ramenés devant elle le long de son corps. Ses mains sont posées sur ses cuisses.
Pour exorciser l’attraction visuelle de son buste, je déclare nonchalamment :
-« Vous avez effectivement de gros seins. »
Elle ne dit rien, cherchant dans mon regard la signification de cette déclaration.
-« Continuons, vous allez vous tenir bien droite, en rejetant vos épaules en arrière, mais sans exagération. Voilà, restez comme ça ! »
Je parcours son dos à la recherche d’un point douloureux. Je trouve sans peine.
-« Maintenant, vous allez mettre vos mains en coupe sous vos seins, et les soulever légèrement, de façon à soulager votre dos, voilà. »
Je lui masse longuement la partie douloureuse. Au bout de quelques minutes je l’entends souffler par la bouche puis elle m’avoue pour la deuxième fois que cela lui fait du bien.
-« Alors laissez-vous aller, reposez vos paumes sur vos cuisses et laissez tomber votre menton sur votre poitrine. »
Je continue mon massage en remontant sur les omoplates et les clavicules.
-« Soufflez doucement par la bouche, je vais vous montrer ce qu’un bon massage peut vous apporter. »
J’ai tellement envie de jouer avec ce corps superbe dont la situation me rend maître en toute impunité. Après lui avoir masser longuement les trapèzes, j’empoigne ses épaules et les manoeuvre doucement en leur faisant décrire des cercles de plus en plus large.
-« Voilà, bien relâchée ! Vous sentez comme vos muscles se détendent ? »
-« Oui, ca me fait tellement de bien. »
-« Vous avez besoin de vous détendre, il existe des cassettes de relaxation dans le commerce qui pourrait tout à fait vous aider. A présent bouger vous-même vos épaules dans le même mouvement. »
Je laisse mes paumes effleurer sa peau au niveau des deltoïdes, elle accomplit des mouvements amples et lents. Je constate que sa peau prend l’aspect chair de poule, et cela me donne une idée.
-« Si vous commencez à vous détendre, vous ressentez peut-être une sensation de froid. »
-« Oui, c’est vrai. »
-« C’est tout à fait normal, mais cela peut être désagréable. Si vous souhaitez continuer l’exercice, je peux vous proposer un massage réchauffant avec une huile essentielle. »
Elle stoppe son élan et tourne la tête vers moi. Ses yeux expriment de la reconnaissance.
-« Ho oui, j’aimerai bien, si cela ne vous ennuie pas. Cela fait si longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien. »
-« Je vais vous demander de patientez un instant, juste le temps de préparer le produit. »
Je trouve ce que je cherche dans l’armoire à pharmacie du docteur Slétère. L’excitation me rend fébrile. J’ai l’impression de franchir des paliers à chaque nouvelle idée, mais jusqu’où ? Je m’agenouille sur le lit, derrière elle et m’enduit les mains du produit, puis je recommence les massages, que l’huile permet plus énergique. Je m’attarde sur les trapèzes et les épaules. Mon regard est irrésistiblement attiré par les gros seins blancs qui bougent lentement, aux grès des mouvements que je crée. Pour avoir une meilleure vision, je lui masse le devant des clavicules et des épaules, l’invitant à s’appuyer contre moi. Elle se laisse spontanément aller contre ma poitrine, et je lui explique tout en continuant mon travail, la façon dont les muscles sont organisés sur le haut du torse. Je décris chaque muscle et son rôle en le parcourant du bout des doigts. Enfin je lui parle des muscles pectoraux et pour les seins, du rôle de tendeur que joue la peau. Je lui demande de rejeter sa tête en arrière en l’appuyant sur mon épaule et lui fait remarquer, par ce simple geste l’action qu’il produit sur ses seins en tendant la peau davantage.
Je la sens attentive à mes propos. Mes massages sont efficaces, elle s’abandonne complètement. Je passe mes mains de chaque coté des épaules et entreprends de lui masser le haut des seins, puis n’y tenant plus, je les englobe par en dessous et les parcourt pleinement de toutes mes paumes. Je cherche à donner le change en me lançant dans une dissertation sur le thème de l’unité du corps humain, chaque partie étant liée avec sa voisine. Je possède longuement les grosses protubérances mammaires, jouant sans vergogne avec leur élasticité et me réjouissant de la réaction sans équivoque des mamelons.
Son attitude a changé, elle reste docile sous mes mains mais je sens une certaine retenue dans sa respiration. Craignant d’être allé trop loin, je lâche la superbe poitrine, empoigne ses épaules et lui demande de se replier doucement vers l’avant, jusqu’à venir reposer sa tête sur le matelas. Je lui conseille de ramener les bras sous elle en enserrant son buste, comme si elle voulait se bercer et de souffler longuement plusieurs fois.
Je descends du lit et vais me rincer les mains au lavabo. Quand je reviens près d’elle, elle a gardé la position. Je pose la main sur sa nuque et lui caresse la base du crâne.
-« Comment vous sentez-vous ? »
Elle se redresse doucement, me regarde avec une expression énigmatique, semblant chercher ses mots un instant, puis elle déclare :
-« C’est un peu comme si vous m’aviez envoûtée. Je me sentais partagée entre l’envie que cela ne s’arrête jamais, et l’envie de vous demander de cesser de me toucher. »
Elle me dévisage un instant, je reste impassible, m’attendant au pire. Elle me sourit et ajoute :
-« Mais je dois vous dire que je ne me suis jamais sentie aussi légère, apaisée. Cette sensation est à la fois agréable et troublante. »
J’esquisse un sourire à mon tour. Elle demande :
-« Que pensez-vous de mes problèmes docteur ? »
Je prends le temps de réfléchir, me demandant si je peux continuer à l’abuser ou si cela suffit. Est-elle vraiment envoûtée, prête à subir d’autres situations scabreuses ou bien doit-je m’arrêter là, sous peine d’être violemment démasqué. Je choisis de la tester.
-« Je pense que vos maux sont réels, mais qu’il vous serait assez facile d’en venir à bout, en appliquant les conseils que je vous ai donnés. Il doit y avoir aussi en vous quelques causes psychiques qui s’ajoutent aux causes somatiques. »
Elle reprend son attitude attentive, celle du patient avide de comprendre ce qui est la cause de ses tourments.
-« C’est à dire ? »
-« Rien de bien grave, rassurez-vous. Peut-être auriez vous besoin de quelques séances d’analyse avec un psychologue. C’est à dire quelqu’un qui pourrait situer votre rapport avec la douleur. »
-« Vous pouvez me l’expliquer ? »
-« Je crains de ne pas être tout à fait qualifier pour cela, je pourrais tout au plus effectuer quelques tests que vous connaissez peut-être. »
-« Non, lesquels ? »
-« Hé bien, par exemple, je pourrais vous soumettre un petit questionnaire tout en contrôlant votre pouls à chaque réponse; Je pourrais aussi vous faire comparer deux douleurs bénignes, une que vous ressentez habituellement et une autre inhabituelle et fugitive. »
-« Ha ! Non, on ne m’a jamais proposé cela. Pourrait-on essayer quelques tests ? »
-« Bien sur, je suis la pour vous aider. »
-« Merci, je vous trouve très patient avec moi et très consciencieux. »
Je souris, et lui demande de s’installer face à moi, assise au bord du lit. Je lui ajuste le brassard et le stéthoscope et lui demande de se relâcher à nouveau, jusqu'à obtenir un pouls stable. Puis je lui explique que je vais contrôler l’évolution de son pouls en fonction des mots que je vais lui dicter. Elle ne doit pas juger ces mots pour leur signification, puisque le coté provocant est voulu. Puis j’inscris rapidement une suite de mots ou de phrases sur le bloc note.
-« Si vous êtes prête nous pouvons commencer. Je marquerais une pose tous les cinq mots, afin de prendre des notes et vous laissez le temps de retrouver un pouls normal si cela s’avère nécessaire. On y va ? »
-« Oui docteur. »
Et il se passe une chose bizarre, les mots qu’elle vient de prononcer, ont provoqué un changement de pouls ! Je commence mon questionnaire.
-« Enfance ! »
J’attends quelques secondes.
-« J’aime mes parents ! ----- Mon père ! ----- Ma mère ! ----- J’ai mal ! »
J’annonce la fin de la première série, et prend quelques notes. Elle ne fait aucun commentaire.
-« Je continue. Sévère ! ----- C’est bien fait pour toi ! ----- Fessée ! ----- Je te plains ! ----- Adolescence ! »
Je reprends quelques notes.
-« Tu donnes le bâton pour te faire battre ! ----- Soigne-toi ! ----- Docteur ! ----- Consultation ! ----- Vous avez de gros seins ! »
Elle a fortement réagi à la dernière série et elle se trémousse sur la couchette semblant mal à l’aise. Je finis de noter mes observations.
-« Ca va ? »
-« Heu, oui ! J’ai l’impression d’avoir un problème avec les docteurs. »
-« Avec un docteur en particulier ou tous ceux que vous consultez ? »
-« En général je crois. »
-« Pourtant vous en voyez beaucoup, n’est-ce pas ? »
-« Je suis si inquiète pour ma santé ! »
J’ai envie de prendre l’ascendant sur elle et de la brusquer un peu.
-« Alors pourquoi vous en remettre aux autres sur ce sujet ? Pourquoi ne pas vous prendre en main ? »
-« Je ne sais pas, je suis si ... »
-« Oubliez ce que l’on vous a sûrement dit dans votre enfance au sujet de la souffrance. Non elle n’est pas nécessaire, on a le droit de vivre sans. »
J’ai dit cela en suivant une intuition et je vois que j’ai tapé juste. Elle ne répond pas et baisse la tête.
-« Vos parents étaient sévère n’est-ce pas ? Ils vous punissaient, ce que vous redoutiez, mais ensuite vous aviez l’impression de vous être amendée et d’en être plus aimée, c’est cela ? »
Elle fait oui de la tête.
-« Je crois qu’il n’est pas nécessaire de continuer les questions. »
Il y a un silence pendant lequel j’enlève le stéthoscope et repose le bloc note et le stylo.
-« Vous pensez que je dois consulter un psychologue ? »
-« C’est à vous de décider, mais les thérapies de ce genre ne sont jamais inutiles, vous savez ? »
Elle baisse la tête :
-« Alors vous croyez que mes problèmes viennent de mon passé ? »
-« C’est ce qu’il me semble avoir démontré en partie, mais vous savez c’est le cas pour tout le monde. »
Elle me regarde à nouveau et demande presque timidement :
-« Mais nous pourrions faire quelques tests quand même ? »
Je réfléchis un instant à la manière dont je vais procéder pour continuer à faire le docteur tout en assouvissant mon désir de jouer avec son corps :
-« Bien sur, je vais vous démontrer ce que je viens de vous révéler. »
Je lui enlève le brassard.
-« Il faut que vous me fassiez entièrement confiance ! Vous allez voir tout se passera bien. »
Elle hoche la tête affirmativement.
-« Installez-vous sur le dos, en appuie sur les coudes, les jambes repliées de façon à ce que vos pieds soient à plat sur la couchette. Bien, maintenant vous allez tendre une jambe devant vous, la pointe du pied à peu près à la hauteur de vos yeux, voilà, maintenez la ainsi et cambrer vos reins au maximum en rejetant la tête en arrière. Restez ainsi. »
Je prends place derrière sa tête.
-« Dites moi ce qui se passe, ressentez-vous une douleur ? »
-« Oui, au creux des reins. »
-« Bien, restez encore comme ceci. Cette douleur ressemble-t-elle à ce que vous ressentez parfois ? »
-« Oui, il me semble bien. »
-« Parfait, gardez la position quoiqu’il arrive. »
J’avance les mains vers ses seins et les caresse doucement pendant quelques secondes. Elle reste docilement comme demandé.
-« Avez vous des douleurs mammaires quelquefois ? »
-« Oui, docteur, trop souvent. »
-« Très bien, surtout ne bouger pas. Vous avez de beaux seins, et vous savez que la beauté demande quelques sacrifices. »
Je continue à lui peloter tendrement la poitrine, mes pouces écrasent ses mamelons, jouant avec les pointes qui s’érigent en bourgeons.
-« Ses seins vous font peut-être souffrir, mais ils peuvent être source de plaisir. Vous avez une très belle paire de nichons et c’est très agréable de les palper comme je le fais maintenant. »
Dans un soupir qui semblent autant exprimer de la douleur que du plaisir elle chuchote :
-« Ho, docteur ! »
Je retire mes mains aussitôt en précisant :
-« Ne bougez pas encore. »
J’attends encore une ou deux minutes avant de demander :
-« La douleur est-elle revenue ? »
-« Oui, docteur ! »
-« Bien vous pouvez relâcher. »
Elle repose la jambe et se laisse retomber à plat sur le dos, scrutant aussitôt mon visage.
-« Je vous ai demandé si la douleur était revenue, parce qu’elle avait disparue pendant que je vous palpais la poitrine, n’est ce pas ? »
-« Oui, c’est exact. »
-« Que ressentiez-vous à cet instant ? »
-« Ho, mon dieu, c’est difficile à définir. »
Elle rougit, je suggère :
-« De la honte peut-être ? »
-« Oui, c’était cela. »
-« Et probablement aussi un peu de plaisir, qui induit d’ailleurs la honte ! »
-« Oui, je crois que c’était un peu des deux. »
Elle rougit à nouveau.
-« Je me suis montrer vulgaire à dessein, il s’agissait de provoquer ce sentiment de honte en vous. Et que remarquons-nous, lorsque vous avez commencé à éprouver du plaisir, la douleur était-elle encore présente ? »
-« Il me semble, mais je n’en suis pas sure ! »
-« Parce que vous fonctionnez de deux manières, la douleur ressentie dans vos reins vous autorisait à avoir du plaisir ou bien, la honte ressentie au cours de mes caresses vous autorisait à ne plus avoir mal. Cela est très intéressant et je peux vous proposer un dernier exercice, si vous le voulez, pour mettre en évidence lequel des deux stratagèmes l’emporte sur l’autre dans votre cas. »
Elle semble abasourdie, troublée, intéressée aussi, elle accepte de subir un autre test. Enivré par le pouvoir extraordinaire dont je jouis dans cette situation et encouragé par l’attitude passive dont elle a fait preuve jusqu’à maintenant, je décide de pousser l’expérience au-delà des limites que me dicte ma condition de praticien. Je sais que la séance ne peut plus se terminer normalement, mais je suis trop excité et m’en remets à ma capacité d’improvisation.
-« Il va falloir me faire à nouveau une totale confiance. Ne vous offusquez pas de ce qui va se passer, sauf si vous trouvez cela vraiment intolérable. »
Elle s’est remise assise, et secoue la tête affirmativement. Je considère un instant cette jeune femme docile en petite culotte de dentelle, qui m’était parfaitement inconnue une heure plutôt, et qui maintenant est en mon pouvoir de façon tout à fait volontaire.
-« Bien, on commence. Vous allez vous remettre à 4 pattes sur la couchette. »
Je la laisse s’installer tout en admirant la cambrure naturelle de ses reins, le renflement généreux des fesses et cette poitrine qui s’alourdit sous son torse. Je pose la main sur l’arrière de sa cuisse.
-« Détendez-vous ! »
Je caresse légèrement une petite partie de cette cuisse, puis je demande soudain :
-« Dites moi ce que vous aimez ! »
Elle tourne la tête vers moi :
-« Ce que j’aime ? »
-« Oui, ne réfléchissez pas, répondez ! »
-« oh! j’aime, que l’on me touche. »
-« Que l’on vous touche, où ça ? »
-« Non, je veux dire être touchée, enfin vous comprenez, être... »
Je l’interromps.
-« Vous aimez que je vous touche la cuisse ? »
-« Non, ce n’est pas cela, je... »
-« Vous préférez que je vous touche ici ? »
Je palpe son flanc droit, effleurant la base de son sein.
-« Non, non ! Je ne veux pas du tout cela... »
Je caresse sa joue, son oreille, puis déclare :
-« Vous aimez être émue, c’est cela que vous vouliez me dire. »
Elle regarde le matelas.
-« Oui, c’est cela. »
-« Mais reconnaissez que c’est ambigu. »
Elle ne répond pas. J’ajoute :
-« Vous aimez et vous recherchez l’émotion, mais vous employez spontanément le terme ‘être touchée’. Lors des consultations chez un docteur, vous vous faites toucher ! C’est intéressant, vous ne trouvez pas ? »
-« Oui, mais je ne vois pas sur quoi cela débouche. »
-« Ca ne fait rien, gardez le en mémoire. »
-« Vous croyez que cela m’aidera ? »
-« C’est à vous de croire, vous devez vous prendre en main. Ce corps vous appartient, personne ne peut vraiment vivre à votre place. Vous êtes responsable de vous-même, vous n’avez de compte à rendre qu’à vous-même. Vous n’avez plus à subir vos parents. »
Je m’écarte un peu de son champ de vision, la laissant mijoter dans son jus.
Puis je reprends :
-« Vinciane, où sont vos parents ? »
-« Ils vivent à la campagne. »
-« Loin de vous ? »
-« 400 kilomètres. »
-« Quand les avez vous vu pour la dernière fois ? »
-« C’était il y a 6 mois, pour l’anniversaire de mon père. »
-« 6 mois sans les voir, croyez-vous qu’ils apprécient de ne pas vous voir plus souvent ? »
-« Non, mais je leur téléphone toutes les semaines. »
-« Seulement le téléphone ne remplace pas une visite, et vous le savez. »
-« Oui, mais ce n’est pas facile. »
Je me rapproche d’elle, sur le coté gauche, mais en restant hors de son champ de vision.
-« Qu’est-ce qui est difficile Vinciane, de les rencontrer ou de vous libérer pour les rencontrer ? »
En disant cela, j’ai attrapé l’élastique de sa culotte de chaque coté des hanches et j’ai baissé brusquement le sous-vêtement sur le haut des cuisses. Elle se raidit, mais ne proteste pas. L’émotion suscitée se retrouve dans sa voix, une voix blanche qui bégaie un peu.
-« C’est de... de les rencontrer. »
-« Vous avez peur d’eux Vinciane. Vous savez que vous agissez mal en ne les visitant pas souvent, cela vous culpabilise, mais si vous y allez, vous les craignez »
-« Non, non je ne les crains pas. »
-« Vous les craignez d’autant plus qu’en votre fort intérieur, vous savez que si vous étiez encore en âge de vivre chez eux ils vous réprimanderaient pour votre conduite. »
-« Non je ne le sais pas. »
-« Vous le savez ! »
Je lui administre alors une forte claque sur les fesses, et je répète :
-« Vous le savez, Vinciane ! »
Elle proteste :
-« Non, c’est faux ! »
Je claque une seconde fois.
-« Si vous le savez ! »
Je frappe à nouveau.
-« Dites que vous le savez ! »
Je fesse encore.
-« Oui, c’est vrai, je le sais ! »
La fessée est maintenant régulière et forte.
-« Votre père vous le dirait sans détour. »
-« Oui, c’est vrai ! » Gémit-elle.
-« S’il en avait le pouvoir, il vous punirait. »
-« Oui, je le sais ! » Sanglote-t-elle.
-« Il vous fesserait ! »
-« Oui ! »
-« Et il aurait raison ! »
-« Ho oui ! »
Elle ne sanglote plus, mais la fessée continue. Je regarde ce cul rougir, ballotté par mes claques. Elle ne cherche pas à éviter les coups. Elle gémit :
-« Ho mon dieu ! »
Elle se cambre, s’offrant aux flagellations et les ponctuant de soupirs troublant. Dans la pièce, l’on entend plus que les claques et les gémissements de plus en plus rauques de Vinciane.
Je stoppe subitement la punition, savourant un peu penaud le plaisir intense que j’ai pris à la gifler ainsi. Elle s’écroule sur le coté, retombant de façon à tourner son visage vers moi. Nous nous dévisageons sans parler une longue minute, puis elle déclare d’une voix lointaine:
-« Vous m’avez percez à jour. Vous êtes fin psychologue. »
-« Cela fait partie de ma formation, mais vous m’avez bien aidé. »
Ses yeux sont brillants. Elle a pleuré bien sur, mais il y a quelque chose d’autre dans ce regard. Je la détaille encore, admirant ses formes. Je ne remarque qu’au bout de plusieurs secondes qu’elle me dévisage, semblant lire en moi comme dans un livre. J’essaie de reprendre mon rôle de docteur.
-« Comment vous sentez-vous ? »
-« Convoitée ! »
Je cille.
-« Vous voulez dire désirée ? »
-« Non, convoitée ! »
Je ne réponds rien.
-« Vous m’avez... »
Elle s’interrompt, regardant le sol un instant. Elle reprend :
-« Vous avez déclenché tant de chose. »
-« Je vous ai libéré ? »
-« Oui bien sur, mais vous m’avez... troublée ? »
-« Troublée ? »
-« Je me suis sentie si... offerte ! »
-« Il le fallait. »
-« Oui, mais je me sens si troublée... »
Elle regarde le sol à nouveau, effleurant le bout de ses seins. Elle me regarde de nouveau.
-« Je me sens dans un tel état ! »
Je sens mon coeur s’emballer. Je dis doucement :
-« Vous vous sentez plus femme que patiente, c’est cela ? »
-« Ho oui ! Je me sens tellement femme, tellement plus que femme. Femelle, je me sens femelle ! »
Elle rougit.
-« Pardonnez-moi ! »
-« Ne vous excusez pas. Ne vous excusez pas puisque je me sens moi-même plus mâle que docteur. »
Elle effleure à nouveau ses seins, s’exclamant :
-« Ho mon dieu ! »
Elle palpe ses seins en fermant les yeux à présent. Une bouffée d’adrénaline me traverse. Mon désir est irrésistible et son attitude m’indique que le sien est bien présent aussi. Je dégrafe mon pantalon, le laisse tomber sur mes chevilles. Je baisse mon slip. Mon sexe est déjà gros mais pas encore tendu, recourbé vers le bas, il repose sur mes testicules comme sur un tremplin. Elle n’a rien perdu de mon exhibition. J’empoigne mon sexe, je me masturbe devant elle. Elle s’exclame à nouveau :
-« Ho mon dieu ! »
Elle caresse ses seins sans perdre une miette de mon activité. Puis impatiente elle demande :
-« Touchez-moi ! »
Je m’approche d’elle et pose la main sur ses fesses que je caresse lentement. Elle fixe mon sexe tendu tout en continuant ses caresses mammaires. J’essaie une claque légère sur sa croupe. Elle proteste :
-« Non, plus maintenant. Vous m’avez bien excitée tout à l’heure, mais cela ne produirait plus le même effet à présent. »
Elle se redresse à genoux sur la couchette puis murmure :
-« Giflez mes seins ! »
Je regarde les gros globes aux pointes érigées. Elle les serre entre ses bras, cependant que ses mains s’enfoncent entre ses cuisses.
-« Giflez les, mais pas trop fort, s’il vous plaît. Giflez les avec tendresse ! »
Les seins dépassent nettement d’entre ses bras. Je désire tellement leur pointes brunes, qui semblent si dures. Je gifle une première fois de la paume, cela est malaisé et ne ressemble qu’à une caresse appuyée.
-« Plus fort s’il vous plaît ! »
Je recommence trop faiblement, puis trouve la bonne application. Entre chaque gifle elle en réclame une autre. La façon dont elle dit ‘encore’, et les mouvements saccadés qu’elle fait subir à son entrecuisse, m’excite. Je reprends ma masturbation. Elle prend tant de plaisir à cet exercice qu’elle parvient à jouir, se recroquevillant soudain sous le plaisir, sa tête venant reposer sur ses cuisses. Je pose la main sur sa tête et caresse ses cheveux pendant qu’elle se remet de son orgasme. Quand elle lève les yeux vers moi, son visage est épanoui, elle tend ses bras vers mon cou en se redressant sur les genoux. Je la serre contre moi et je l’embrasse fougueusement. Je promène mes mains sur ses reins et sa croupe fabuleuse.
Je fais glisser un peu plus la culotte toujours enroulée autour des cuisses, elle se trémousse pour aider à la descente du dérisoire vêtement de dentelles. Elle s’abandonne encore un instant contre moi, puis se dégageant doucement elle implore :
-« Prenez-moi maintenant, prenez-moi comme vous voulez, mais ne jouissez pas en moi. »
Elle s’est appuyée sur le bord de la couchette, a empoigné mon membre qu’elle caresse sans quitter mes yeux du regard. Je la laisse faire, j’insère ma paume entre ses cuisses et possède sa chatte. Je murmure :
-« Je vous veux tellement ! Laissez moi faire ! »
Je me débarrasse rapidement de mes chaussures, de mon pantalon et de mon slip. Je grimpe sur la couchette et me mets à genoux, assis sur les talons, le sexe dépassant fièrement. Je l’invite à me rejoindre. Elle s’agenouille à califourchon sur moi, se laissant pénétrer délicieusement.
-« Vous vous contrôlerez ? »
-« Oui, ne vous inquiétez pas je veux jouir sur vos seins prodigieux. »
Elle rit de ce qualificatif et nous joignons nos bouches avides. Elle manoeuvre ses hanches pour aspirer le membre viril en elle. Je possède ses fesses de toutes mes paumes. Parfois je l’empoigne aux hanches pour l’aider à faire de plus amples mouvements et alors les gros nichons battent la mesure devant mon visage. Je cherche à les happer.
-« Laissez moi sucer vos seins ! »
-« Attrapez les vous-même ! »
Alors je cesse de la soulever et je dévore à pleine bouche les beaux mamelons.
-« Non continuez à me baiser ! »
-« Mais je vous baise, je vous baise partout ! »
-« Non, baisez-moi mieux, baisez-moi plus fort ! » Supplie-t-elle.
Alors je la soulève à nouveau et elle reprend ses râles sans honte, et les gros seins viennent à nouveau me défier, dansant librement.
-« Vous êtes tellement désirable, que si je ne peux téter vos seins je me venge en pelotant votre croupe épanouie. »
Elle rit encore s’écriant :
-« Ho baisez-moi, baisez-moi fort ! »
Je lui procure un deuxième orgasme, elle enfouit sa tête dans mon cou, ne manoeuvrant que doucement ses hanches. Je lui caresse la nuque lui chuchotant :
-« Hum, ma belle baiseuse, vous jouissez si fort ! Laissez moi vous contenter autrement. »
Elle se dégage, je me remets debout, et l’invite à en faire autant. Je la fais s’accouder à la couchette, elle cambre ses reins, espiègle. Je m’accroupis derrière elle et lui lèche les fesses et le sillon, puis le haut des cuisses, et toute la vulve. Elle me laisse faire un moment, gémissant sous mes caresses puis réclame :
-« Reprenez-moi, finissez-moi. »
Je me redresse et pénètre cette vulve accueillante. Je se repais du mouvement accomplit par les seins que je viens régulièrement palper, et de la vue de ce cul charnu s’offrant à moi. Je lui sers une allusion au test de tout à l’heure :
-« Vous aimez que je vous touche comme cela ? »
-« Oui, comme une femelle ! »Répond-elle.
-« Une femelle déchaînée ! »
-« Une femelle que l’on donne au mâle ! »
-« Une vrai cochonne ? »
La puissance des mots crus décuple notre plaisir.
-« Hum ! Oui, je suis votre cochonne ! »
-« Oui, regardez moi et redites le, vous m’excitez terriblement ! »
Elle se retourne, et de sa belle bouche articule lentement :
-« Baisez-moi comme une cochonne en rut, je suis votre... »
Elle s’interrompt, je termine :
-« Ma salope ! »
Elle gémit. J’insiste :
-« je vous souillerais comme si vous étiez une salope ! »
Elle ne me quitte pas des yeux, elle râle :
-« Vous pourriez être méchant avec moi, vous pourriez m’avilir en me possédant autrement ! »
-« Oui, c’est cela, oui, allez au bout de votre fantasme ! »
Je lutte pour contenir ma jouissance, suspendu à ses mots, donnant de violents coups de reins espacés. Elle ahane :
-« Vous pourriez... vous... vous pourriez... »
-« Oui, Oui, dites-le ! »
-« Vous le savez... vous le savez que vous pourriez violer mes fesses. Vous pourriez me sodomiser ! »
Elle jouit à nouveau.
-« Ho oui ! Ma belle garce, je viens, je viens ! »
Je sors précipitamment d’elle, elle s’agenouille devant moi, soutenant ses seins devant ma queue turgescente. Je souille ses gros nichons par de violentes giclées de sperme. Elle étale la semence avec ses paumes rendant leur surface luisante. Puis je tombe à genoux devant elle.
Je l’étreins fortement, je l’embrasse, la tendresse fait place à la violence verbale qui nous avait tant excités. Nous gouttons durant de longues minutes le plaisir de se cajoler l’un dans les bras de l’autre, mon regard se noyant dans le sien. Nous osons à peine nous parler, comme intimidés d’être allé si loin. C’est moi le premier qui suggère de quitter les lieux. Nous nous rhabillons en silence. Après avoir fermé le cabinet, je dépose la clef comme convenu. Nous croisons la secrétaire dans le hall. Nous sommes main dans la main, elle nous sourit sans faire de commentaires.
Voilà comment j’ai réalisé ma première consultation en étant encore qu’étudiant en médecine. En sortant du cabinet de mon cousin, nous avons décidé de donner une suite à notre histoire en déjeunant dans un restaurant. Ce fut très concluant !
Vinciane stoppa ses consultations chez les médecins à partir de ce jour. Je devins son docteur particulier et 2 mois plus tard nous nous installions ensemble dans un appartement pour une histoire d’amour prometteuse.
Par julien - Publié dans : Histoires Coquines
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Jeudi 28 décembre 4 28 /12 /Déc 05:46

Il y a quelque année j’ai monter une petite entreprise avec ma femme et nous avons d’abord travailler ensemble puis affaire croissante ma femme est rester à la maison et j’ai été obliger de prendre une perso nne pour la remplacée et c’est la que tout à commencer j’ai fais venir ma maîtresse pour comblé le poste vacant.

Je vous laisse imaginer le travaille intense que nous fournissions, et dire que certaine perso nne font la gueule quand il faut aller travailler pour nous le travail est un véritable plaisir.

Un soir en sortant du bureau, je croise une super jolie fille qui travaillait juste en face de nos locaux et qui me demande si a toute hasard je n’allais vers Vincennes…et si je peut la déposer, je n’y allait pas mais j’ai répondu oui, nous somme donc parti tous deux et nous avons entamer une discussions professionnel, puis sans que je ne comprenne quoi  que ce soit elle à poser sa main sur ma cuisse et m’a demander si je recrutais une secrétaire en ce moment, j’était complètement paralyser je dois vous dire que je suis de nature timide et que je ne suis pas dragueur pour un sou, la situation me plaisait beaucoup forcement puisque je faisait un détour pour la raccompagner j’avais espérer sans y croire que quelque chose pouvait arrivée, mais la peur m’envahi je tremblais de tout mon corps, je lui répondis faut voir…..

Sa main quittait ma jambe pour remonté sur mon sexe elle me caressais, puis elle retiras la ceinture de sécurité, je ne pouvais plus parlé j’étais pris entre peur et envi nous étions sur le périphérique il y avait du monde tout autour de nous, elle sortie mon sexe et se mit a me sucer

Le contexte faisait que je crois que c’est la meilleur pipe de ma vie pourtant ça à été dur car les gens que nous croisions n’était pas dupe et comprenait ce qui se passait dans le véhicule se qui faisait que je bandait et débandait en alternance, puis arriva la sortie du périph un feu rouge, il y avait la deux chauffeurs de taxi qui discutait heureusement le feu est passer au vert mais il nous ont vu ont rigoler et cela a provoquer chez moi un orgasme d’une intensité j’ai cru que tout mon corps ce vidait et elle continuait elle m’aspirait encore et encore, puis sans un mot elle se releva essuya ses lèvre, me dit ça va ?..... Je répondis oui très timidement je l’avoue, puis elle m’a guider jusque chez elle je l’ai déposer en bas de son immeuble elle m’a demandée (tu crois que je peut t’envoyé mon CV) ?.

Je lui est répondu (je veux oui) elle a sourie et est parti sans se retourner.

Dans ma tête je me suis dit …quelle classe….

Je suis rentrer chez moi je ne sentais plus mon sexe mes bourses vibrais toujours elle est rester dans ma tête toute la nuit.

Et voila comment cette jeune femme à réussi à intégrer notre société car bien évidemment j’ai étudié son CV assidûment.

Je me retrouve donc maintenant au travail avec mes deux femmes adorables et qui s’entende à merveille, je vous passe les délires, si nos clients savaient que lors qu’il nous téléphone nous sommes souvent nu et occupé, voir très occupé le pire c’est que l’on doit créée encore deux poste et la j’ai bien peur que les choses se complique donc ont fais des heures sup.

 Voila si cette histoire vous à plus je vous raconterais comment j’ai présenté cette fille à ma maîtresse ça na pas été facile mais ni l’une ni l’autre ne le regrette, nous pouvons vivre pleinement nos envi et nos différances ne sont que plus excitantes moi j’ai 40ans ma maîtresse 34 et notre nouvelle venu une jeune beurette de 25ans.

Laisser vos comme si la suite vous intéresse 

Par Bernard - Publié dans : Histoires Coquines
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 08:40
ho ho julia c'est bientôt noël!!

Elles serons chez tous les petits coquins de "blogdefolie.com " en un click.
Monic , Elouise ,Berangere etc.... trop belles et chaudes sur les écrans.















Par Un bloggeur - Publié dans : Histoires Coquines
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Dimanche 10 décembre 7 10 /12 /Déc 08:58
salut moi momo et les 2 petites pétasses c'est mes deux ex,trop chaudes ces deux-la...

Laissez moi vos coms


PHOTOS CENSUREES




Nous vous rappelons que les photos DOIVENT vous appartenir avant de nous les envoyer par avance merci

Julia
Par Momo - Publié dans : Histoires Coquines
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Samedi 2 décembre 6 02 /12 /Déc 11:51
Allo ! Allo !
La voix était troublée au téléphone Bonjour Vous êtes bien chez Cathy, je ne suis pas là pour l'instant mais vous...

- Cathy décroche Bon sang, c'est Marie-Claire !!!

- Allo Marie-Claire ! Que se passe-t-il ??

- Je viens encore de recevoir une lettre de menace !

- Et qu'en pense ton mari… !

- Il est pas là, il est en voyage d'affaires. Cette fois j'ai vraiment peur...

- Sais-tu qui peut te l'avoir écrite ?

- Aucune idée mais çà viens du bureau de mon époux et je sais qu'une de ses collègues a le béguin pour lui.

- Une histoire de cul quoi.

- Sans doute.

- Et tu ne vois pas qui cela peut-être ?

- Elle ne sont que trois : il y a Annabelle qui n'est pas très jolie, peut-être qu'elle fantasme, ou Pauline mais elle a cinquante ans passés, peut-être un retour d'hormone ou alors Marie-Claude.

- Marie-Claude c'est cette femme que l'on a croisée l'autre jours au bassin ! Cette jolie brune aux formes éloquentes.

- Oui oui c'est elle.

- Elle a un de ces cul, un peu gros mais du genre qui excite les homme un max et puis ses seins ne manquent pas non plus de présence, tu peux la retirer de la liste crois-moi, cette femme n'a qu'à se baisser pour ramasser les hommes
- Tu crois ?

- Bien sûr un mec ça pense avec sa bite et cette Marie-Claude là elle en lève plus d'une c'est certain.

- Tu pourrais pas venir ?

- J'arrive je vais demander à Frank de venir me rejoindre chez toi, tu sais il est de la police et son avis ne sera pas peu intéressant.

- Je t'attends.
Le temps passe et Cathy sonne à la porte et c'est une Marie-Claire à moitié dévêtue qui vient lui ouvrir la porte. Elle semble gênée comme si quelque chose se passait dans le coin de la pièce.

- Alors, quoi de neuf ? s'enquit Cathy..

- Entrez ! gronde une voix féminine derrière la porte. Et ne vous avisez pas de crier ou je lui fait sauter la cervelle ! Et toi, ferme ta gueule ! Cathy entre à petits pas, et découvre une femme, un pistolet à la main, pointant directement sur la tête de Marie-Claire. La femme a l'air tendue, stressée.

- Alors comme ça, c'est toi la petite pute qui vient en aide à notre amie ?

- Je vous en prie, formule doucement Marie-Claire...

- Ta gueule salope ! Je t'ai déjà dit de la fermer !
Elle leva le pistolet et l'abattit, crosse en avant, sur la mâchoire de Marie-Claire.
Bing !
Marie-Claire tomba lourdement, presque assommée.
Sa robe de chambre était tirée sur le côté et laissait apparaître sa toison.
Cathy se baissa pour l'aider à se couvrir et à se relever.

- Stop ! Relève-toi, toi ! Laisse-là par terre... elle le mérite bien !

- Mais que nous voulez-vous ? Pourquoi cette violence ? demanda Cathy, implorante.
Elle était au bord des larmes, ses mains tremblaient.

- Ah ! Parce que tu as l'air de ne pas le savoir ! Coquine ! répondit la femme.
Toi par terre, explique-lui ! Tu es le personnage principal de l'histoire, non ?
Crache le morceau, chienne ! On verra si ton amie veut toujours te porter secours après ça !
Sur le moment Cathy n'avait pas reconnu la femme au revolver, mais lorsque son visage sortit de l'ombre elle reconnu Marie-Claude.
Marie-Claire dit à Cathy que Marie-Claude était folle de rage parce qu'elle était sortie avec son mari à l'époque du lycée et qu'elle pensait avoir un droit sur son amour, elle ne voulait pas croire qu'elle n'était qu'un cul de plus dans une galerie qui en comptait beaucoup.
Marie-Claude s'énerva :

- Attention j'en ai tué d'autre pour moins que ça !
Puis elle demanda aux deux jeunes femmes de se mettre nues et porta une main masturbatoire vers son clitoris.
Cathy s'exécuta rapidement et glissa à l'oreille de Marie-Claire qu'il fallait tenter de gagner du temps, Frank ne saurait tarder.
Marie-Claude menotta les deux femmes et commença à son tour à se déshabiller.
Elle se tourna d'un coup et leur fit admirer son beau gros postérieur nu...
Marie-Claire, à qui le postérieur, bien que très plaisant au regard, ne plaisait pas tant que ça, détourna la tête... ce ne fut pas le cas de Cathy, chez qui des tendances lesbiennes lui laissaient toujours apprécier les belles choses.
Marie-Claude s'en aperçut et lança :

- Toi, la blonde, approche-toi !
A genoux et les mains attachées dans le dos, Cathy s'avança lentement, en titubant. Lorsqu'elle arriva à la hauteur du fameux cul, Marie-Claude recula d'un coup pour faire rebondir le visage de Cathy dessus... ce qui fit son effet... faisant basculer Cathy sur le dos. A cet instant précis, Marie-Claude s'assit sur elle, et écartant les cuisses se frotta vigoureusement le minou sur le visage de Cathy.
Cette dernière, obéissante, se laissa faire, sortant la langue et fermant les yeux.
Marie-Claude poussait des râles de plaisir... se tortillant au-dessus de la langue qui la pénétrait. Elle fouettait doucement le haut des cuisses de Cathy qui se prolongeaient devant son ventre.
Marie-Claire, à qui le spectacle ne plaisait pas du tout, cria :

- Mais laissez-là tranquille ! Elle ne vous a rien fait !
Marie-Claude, fâchée la fouetta à son tour.

- Tais-toi, salope ! Elle reprit ses mouvements de plus belle, empêchant presque sa soumise de respirer...
Marie-Claire qui avait réussit à se défaire des menottes s'approcha de Marie-Claude qui ne l'avait pas vue et elle la menotta à son tour :

- Ma salope maintenant tu vas parler ! S'exclama Marie-Claire.
Cathy reprit :

- On va te faire avouer tes crimes et te faire jouir jusqu'à que tu demandes grâce !

- Détachez-moi tout de suite ! Les seins de Marie-Claude pointaient et étaient durs.
Cathy fit mettre Marie-Claude cul en bombe et pour s'amuser s'empara d'un cactus à la forme oblongue.

- Tu ne trouves pas qu'il ressemble étrangement à une bite ! S'amusa-t-elle et elle l'approcha lentement vers le cul nu et offert de Marie-Claude
- Ne fait pas ça malheureuse !! Les pics de ce cactus sont mortels !
Cathy reposa directement le cactus sur le sol
- On n'a pas idée de garder cela chez soi !!!

- Je vais penser à le jeter bientôt… Pendant ce temps Marie-Claude était tout en sueur.
Cathy demanda à Marie-Claire si elle n'avait pas un godemichet. Marie-Claire lui donna et le jeu pu recommencer.

- Ah ce cul m'excite ! reprit Cathy et elle leva le godemiché comme s'il s'agissait d'une bite attachée à son corps et pénétra Marie-Claude.
Même si peu surprise par cette pénétration, Marie-Claude poussa un cri que l'on ne pouvait ni classer dans le registre de la douleur, ni dans celui de la jouissance. Derrière elle, Cathy donnait de grands coups de bassin, tenant bien serré l'ustensile qui disparaissait dans le vagin de la soumise.
A côté d'elles, Marie-Claire rigolait : le spectacle était trop comique.
Marie-Claude était accroupie, les mains attachées dans le dos et grimaçait de tous les visages possibles, et Cathy était à genoux derrière elle, lui balançant de grands coups de hanches en tenant l'engin dans sa main. De temps à autre, elle donnait une grande claque sur le cul de sa 'chose', et cette dernière gémissait.

- Arrêtez ! Arrêtez tout de suite ! Lançait Marie-Claude entre deux gémissements.

- Mais non, pas tout de suite ! On va te faire jouir d'abord ! Et comme il faut!
Cathy attrapa les poignets de Marie-Claude et les tira vers elle.
Marie-Claude se cambra d'un coup. Cathy la tenait prisonnière.
Marie-Claire en profita pour remplacer Cathy dans le rôle du marteau-piqueur.
Elle attacha le gode-ceinture à sa taille, bien serré pour qu'il tienne bien, et les aller-retour reprirent de plus belle.

- Qu'est-ce qu'on s'amuse ! Lança Cathy en se glissant devant Marie-Claude.
Tout à coup, on frappa à la porte. Cathy s'empressa d'aller voir : c'était Frank qui arrivait.

- Vite, mets-toi à poil ! Lui lança-t-elle.
Frank obtempéra.
Elle le tira jusque devant Marie-Claude et la lui présenta :

- Frank : je te présente Marie-Claude. Elle attendait impatiemment que tu arrives. Marie-Claude, je te présente Frank, je le connais bien et suis sûr qu'il aimerait que tu le suces. Par contre, tu n'as pas intérêt à lui faire mal, ça se passerait très mal pour toi.
Marie-Claude hocha la tête, montrant qu'elle avait bien compris.
Frank passa devant elle et lui présenta son énorme verge. Impressionnée, Marie-Claude roulait de gros yeux. Elle ouvrit lentement la bouche et dès que ce fut possible, Frank s'enfonça violemment dedans. Marie-Claude faillit s'étouffer. L'homme donnait de grand coups de bite dans la bouche de Marie-Claude, Marie-Claire lui donnait aussi de grands coups de gode, et Cathy mirait la scène, souriante (et très excitée). Que n'aurait-elle pas donné pour qu'un autre homme entre dans la pièce à ce moment précis !
Frank bourrait la tête de Marie-Claude comme s'il s'agissait d'un cul c'est alors qu'Alberto le coéquipier de franc fit son apparition et s'étonna de la scène.

- Merde que se passe-t-il ici ?!
Cathy qui n'en pouvait plus lui dit qu'elle n'attendait plus que lui.

- Ok, mais pas longtemps parce que j'ai garé une voiture bourrée de Nitro devant la maison, il faut que j'apporte cela au poste au plus tôt.
Frank lui demanda :

- Tu as arrêté toute la bande ?
Ouais, sauf leur chef y parait que c'est une femme, une nommée Marie-Claude, une polonaise avec un beau gros cul.
A ce moment Marie-Claude s'extirpe des griffes de Frank, démenottée, et tente de se sauver.
Cathy pendant ce temps a englouti la bite d'Alberto...

- Holà ! Vous êtes bien rapide, Madame...

- Mademoiselle, s'il te plaît, glissa-t-elle entre deux 'bouchées'.
Elle était accroupie à ses genoux et tétait le gland avec ardeur, d'une main en coupe sous ses testicules elle les caressait du bout des ongles.

- Mais... Frank...

- Tais-toi, il est déjà bien occupé !...
En effet, Frank avait attrapé Marie-Claude par le poignet, l'empêchant de s'enfuir et l'avait rabattue par terre.

- Alors comme ça, c'est toi le boss de cette ridicule organisation de malfaiteurs ? Tu es fière de toi j'espère ! Esclavagiste !
Tombant à plat ventre, sa tête percuta le sol avec fracas. Elle resta inconsciente une seconde, le temps que Frank lui relève les hanches et la pénètre sauvagement.
A côté, Cathy avalait consciencieusement le gros membre d'Alberto, dont le visage rougissait de plus en plus... Savante fellatrice, Cathy le maintenait au bord de l'orgasme.
Marie-Claire, pour sa part s'était approchée d'eux, et s'accroupit à genoux à côté de Cathy. Elle attendait qu'elle lui 'passe la main', si l'on peut dire.
Remarquant la demande, Cathy aida le chibre à pénétrer Marie-Claire, tout en se masturbant. Alberto, d'habitude fidèle monogame et catholique pratiquant, il n'y croyait pas à ce que les deux femmes lui faisaient subir : l'une lui avait offert sa bouche, se délectant, et l'autre son cul, en miaulant. Il donnait de grands coups de butoir, et Marie-Claire s'extasiait.
De son côté, Frank (sans arrêter ses mouvements de bassin) usait maintenant du godemiché, l'introduisant petit à petit, et très lentement, dans l'anus dilaté de Marie-Claude. Cette dernière criait, refusait, s'exclamait, de toutes ses forces. Elle se cambrait vers le bas, puis remontait, essayant de faciliter le passage de l'engin. Elle se débattait, mais ses poignets étaient bien tenus derrière son dos par la main de Frank. Tout à coup, elle arriva à en extraire un de la solide étreinte, et le passa directement entre ses jambes. Amusé, Frank prit ce geste comme masturbatoire...mais Marie-Claude était plus vicieuse que cela. Sa main ouverte ne s'arrêta pas à son con, comme on aurait pu le croire, mais passa cette frontière et attrapa les couilles du mâle et les pressa furieusement, les secouant de tous les côtés.
Criant de douleur, Frank se jeta en arrière, et Marie-Claude lâcha prise. Elle se trouva projetée face en avant... et profita de l'élan pour avancer (à genoux, et un gode dans le cul, ne l'oublions pas) brinquebalant du cul, vers la fenêtre, sur laquelle elle se hissa. Avant de s'y laisser glisser, elle lança à l'assemblée :

- Vous ne m'aurez pas comme ça !
Frank, dont les réflexes étaient les plus aiguisés (même lorsqu’il avait les couilles en pâle état) avait pris le temps de s'élancer vers la fenêtre... et tendant le bras pour attraper Marie-Claude, il glissa et frappa main à plat dans le godemiché qui se planta au plus profond du cul de Marie-Claude qui se jetait en avant.
Elle tomba de la fenêtre en hurlant, projetée plus loin que ce qu’elle n’aurait voulu, et dans un cri ultime s'écrasa, la tronche effarée, toute nue trois étages plus bas sur la voiture d'Alberto... qui, bourrée de Nitro explosa dans une immense gerbe de flammes.
C'est à ce moment précis que Marie-Claire et Alberto s'envolaient dans un orgasme commun, de force décuplée par l'explosion.
Des flammes montèrent jusqu'à leur niveau, tous quatre les regardaient lécher le montant de la fenêtre.

- Mon Dieu ! Quelle fin sordide et toute nue en plus ! S'exclama Marie-Claire !

- Oh ! Ce n'est rien ! Ca finit toujours dans une grande explosion... Mais, je trouve ça plutôt bien ! répondit Cathy, sourire en coin.
En direction de Frank :

- Et pour toi, chéri, ça va ?
Frank, dont les parties génitales n'avaient pas été sérieusement endommagées, les massait doucement...

- Hum… j'ai failli exploser aussi !
Tous quatre éclatèrent de rire... et se rapprochèrent, s'épiant les uns les autres. Ils s'allongèrent à même le sol, et chacun cajola ses voisins de douces caresses...
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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Lundi 27 novembre 1 27 /11 /Nov 11:40
Depuis que nous sommes séparés, mon ex femme et moi, nous avons toujours garde une relation légèrement ambiguë. Toujours à se chercher du regard, à s’allumer gentiment, à se frôler doucement… Et parfois, ne tenant plus et ayant une envie de folie, nous faisions l’amour tous les deux. C’est vrai qu’ayant chacun nos vies, et de plus quand l’un était libre l’autre avait notre fils avec lui, se retrouver seuls tous les deux était rare. Mais cette occasion là arrivait un soir où je rentrais plus tôt de chez ma famille, où j’avais laisser mon fils pour les vacances.

Ce soir là, je passais la chercher chez elle, et l’emmenais en Italie pour un petit resto sympa. C’était marrant comme, dans la voiture, nous étions presque timides et gênés de par cette situation mais au fond de nous très impatient de cette soirée et de ce qu’il pouvait se passer. Arrivés à Bordighera, nous avons trouvé un restaurant avec une très belle terrasse extérieure. Le repas se déroule bien, nous rigolons, nous discutons, nous nous allumons, le vin aidant, nous nous lâchons de plus en plus : une caresse sur la main, du pied sous la table, un regard sur son décolleté qui laisse imaginer ses superbes seins demandant juste à être caressés.

L’adition arrive, je règle et nous nous levons. Elle me fait un baiser pour me remercier de ce repas et nous partons vers la voiture main dans la main. Nous passons devant un jardin public où se trouvent des bancs. Nous nous asseyons et commençons à nous embrasser fougueusement, un baiser tellement bon que l’envie monte encore plus forte en nous. Rapidement elle se retrouve à califourchon sur moi, à se frotter contre la bosse que fait mon pantalon depuis déjà longtemps. Je caresse ses seins à travers son chemisier. Ils pointent et les bouts sont tellement durs que j’ai envie de les attraper entre mes lèvres.

La situation devient de plus en plus chaude, mais à ce moment là deux italiens, avec leurs fils, arrivent pour jouer aux balançoires. Nous nous calmons vite, et après s’être un peu rhabillés, nous partons de ce sympathique jardin. Il n’est plus question pour nous de repartir en voiture, ou d’attendre plus longtemps, alors nous décidons de prendre une chambre d’hôtel ! A peine la porte refermée derrière nous, nous reprenons où nous avions été dérangés au jardin. Nous nous retrouvons rapidement nus, nos mains se balladent tendrement sur le corps de l’autre, ma bouche cours le long de son cou, vers son lobe d’oreille, descend sur son épaule, descend encore entre ses seins, je les saisis avec mes mains, et les serre l’un contre l’autre afin de pouvoir lécher les deux mamelons qui sont tout dur.

Je continue à descendre encore jusqu’à son nombril, son bas ventre, puis ma langue vient se poser sur son sexe. Il est très humide d’envie et j’en profite pour bien goûter à ce sexe que je n’ai plus eu depuis longtemps et dont je ne me suis pas assez occupé les années passées. Pendant que je lui lèche le clito, je viens glisser un doigt en elle et commence de légers va-et-vient en elle. Elle ne tient plus tellement l’envie est là. Elle joui fort. Hummm, je profite de boire cette jouissance si douce. Apres quelques saccades de vibrations, elle vient directement prendre mon sexe dans sa bouche. Je sais de suite que je risque de ne pas tenir longtemps, tellement elle suce à merveille.

Je n’ai jamais trouvé une autre femme qui suce aussi bien qu’elle. Sa bouche va le long de mon sexe, descend jusque sous mes couilles et remonte sur mon gland. Elle l’avale, l’aspire le titille. C’est bon. Ne pouvant plus tenir, je la pousse sur le lit et directement je m’introduis en elle. Elle est si mouillée que ça glisse tout seul. Je commence à bouger en elle doucement puis de plus en plus vite. Très vite nous jouissons ensemble très fort. A ce moment là, malgré le silence, je sais que nous sommes heureux tous les deux. Nous nous serrons dans les bras. Nous savourons. Nous respirons fort. Nous avons encore envie l’un de l’autre, comme si cela faisait des tonnes et des tonnes de retard d’envies à rattraper. Nous voulons pleinement profiter de ce moment là, peut être le dernier entre nous, qui sait !

Elle me regarde dans les yeux et me dit « j’ai encore envie ». Alors là, elle commence à se caresser. Un spectacle délicieux. Je me mets à genoux devant elle. Elle est allongée, les genoux repliés, les jambes écartées. Ses doigts sur son sexe. Moi, je commence à me branler en la regardant. L’envie revient vite, mon sexe durci très vite du fait de ce spectacle dont j’ai tant rêvé. Nous sommes là, face à face, en train de se caresser pour l’autre.

Apres quelques instants comme ça, elle se lève, me prend par la main et m’emmène sur le balcon. La chambre de l’hôtel est au premier étage et donne sur la rue principale. Il est tard dans la nuit, mais des gens se promènent encore, profitant de la douceur de cette nuit d’été. Là, sur le balcon, elle s’accoude à la balustrade et je viens derrière elle. Elle prend mon sexe dans la main et l’introduit en elle doucement et commence à bouger d’avant en arrière. Je lui saisi les seins. Je commence à aller et venir de plus en plus vite. Je vais au fond d’elle. Je la prend fougueusement et lui tiens les seins fortement. Très rapidement encore nous jouissons tous les deux. Il est déjà très tard dans la nuit. Il ne reste pas beaucoup de temps pour dormir un peu et rentrer en France afin de se préparer pour aller bosser.

Cette soirée là reste dans ma tête, et très souvent j’y repense. Nous nous étions dit que c’était à refaire, ainsi qu’à découvrir d’autres choses aussi torrides ensemble. Le temps est passé la vie aussi. Nous n’avons plus eu de relation ensemble même si je sais que nous en avons envie tous les deux. Mais je garde espoir d’un jour où nous nous retrouverons pour des moments forts comme cette soirée en Italie.
Par julia - Publié dans : Histoires Coquines
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