Qu'est ce qu'elle est chiante cette soirée. Ca fait maintenant 2 heures que je suis là et qu'est ce que je m'ennuie. C'est à en mourir. Je l'aime bien Florence, mais là, je dois dire que sa soirée d'anniversaire est plutôt ratée. On doit être une trentaine, à tout casser, dans la maison de ses parents. Ses vieux se sont tirés ce week-end. Ils ne voulaient pas voir leur demeure squattée par une bande d'énergumène en furie. Ils ont eu raison je crois.
Les quelques mecs présents sont déjà bien imbibés et les nanas ne valent guère mieux. Il faut dire que Jimmy nous a préparé un de ces mélanges dont il a le secret, à base de curaçao et de gin. Je crois qu'il ne reste déjà plus grand monde de valide ici.
La soirée avait pourtant bien commencé. J'étais passée chercher Laure chez ses parents et on était allé ensemble manger un bout chez Enzo, la pizzeria du coin. Puis, vers 21 heures on est arrivé chez Florence. La musique résonnait déjà dans tout le quartier et les invités commençaient à arriver. Nous sommes entrées en même temps que Julie.
Je me demande vraiment ce qu'elle fait là celle-ci. Je crois que Florence l'a uniquement invitée car sa mère est une grande amie de la sienne. Julie, c'est un peu le paria de la classe. Ce n'est pas vraiment méchant de la part des autres, mais bon.. ! Il y en a un ou une dans toutes les classes. C'est comme ça. On a beau avoir 18 ans, ce genre d'habitude ne se perd pas si facilement. Julie est la fille un peu effacée qu'on aime bien charrier. Tout juste bonne à filer les corrigés des exos quand c'est un peu compliqué pour les autres.
Elle n'est pas moche Julie, juste un peu insignifiante. Si j'étais un mec, je ne crois pas qu'elle me taperait dans l'œil au premier regard. Elle a toujours des fringues un peu ringardes et n'est pas très féminine. Son style, c'est plutôt " mademoiselle première de la classe ". Notez bien qu'elle n'est pas mal gaulée, non, ce n'est pas ça. C'est juste qu'elle ne fait pas attention à ça. D'ailleurs, moi qui la connaît depuis l'école élémentaire, je ne l'ai jamais vue avec un garçon. Ca ne doit pas être son truc. Les études doivent passer d'abord.
Élisa et moi sommes deux amies de longue date. Il y a deux ans, nous étions parties toutes deux en vacances au bord de la mer. Il faisait chaud, très chaud. Nous étions persuadées que nous rencontrions de superbes mâles, bronzés et musclés.
Le premier soir, arrivées à l’hôtel, nous nous installions dans notre chambre, avec un seul lit, c’est moins cher. Élisa décida de prendre une douche avant de sortir. Pendant qu'elle se douchait, j’entendis comme des petits gémissements, des râles. Je me demandais si tout allait bien et je franchis la porte de la salle de bain. Je découvris Élisa en train de se masturber avec le jet de la douche. Et apparemment, cela devait faire de l’effet, puisqu’elle ne remarqua même pas ma présence. Elle sortit de la salle de bain comme si rien n’était et alla se coucher tout à fait naturellement.
Vers une heure du matin, nous ne dormions pas encore et nous discutions, allongées sur le lit, habillées de simples T-shirt. La discussion vint alors aux baisers que nous avions pu échanger avec des garçons. Élisa me décrivait tellement bien sa façon d’embrasser que cela me donna un frisson étrangement agréable. Elle remarqua mon état et me dit :
-"Tu veux essayer ?"
Cette question me surpris et m’intéressa en même temps. Je répondis :
-"Comment cela ?"
-"Et bien, imagine que je suis un garçon et embrasse-moi !"
D’abord étonnée, je me laisse prendre au jeu, en toute confiance pour ma meilleure amie. Je ferme les yeux et je me laisse faire. Élisa s’approcha doucement de moi et posa d’abord une main tendre et douce sur ma hanche. Ses lèvres chaudes et pulpeuses se frottèrent aux miennes et finalement nos deux bouches n’en formèrent plus qu’une. Puis elle me mit sa langue agile et délicate dans la bouche afin de rencontrer la mienne qui n’attendait que cela. Nos deux langues firent des jeux insensés. À ce moment, je ressentis que j’allais avoir comme un orgasme, une sensation de plaisir. Élisa le sentit également et glissa sa main experte sous mon T-shirt pour caresser doucement mon bas-ventre et finalement effleurer mon clitoris. J’étais totalement éperdue de plaisir et je l’encourageai même à continuer ses caresses. Sa main glissa sur mon sexe et un doigt décida enfin de me pénétrer, doucement et sûrement. Son doigt entra très facilement vu l’état dans lequel j’étais. En reprenant conscience de la situation, je me rendis compte que j’étais si lubrifiée que sa main entière aurait pu s’introduire en moi. Son doigt s’agitait doucement puis elle en fit entrer un deuxième puis un troisième pour me donner encore plus de plaisir. Je poussai un gémissement comme jamais je n’aurais cru pouvoir en faire. Ma meilleure amie était en train de me faire jouir comme jamais un garçon n'avait pu le faire. J’aimais ce qu’elle me faisait.
Après ce premier orgasme, Élisa me demanda si j’avais apprécié ce baiser qui était plus qu’un simple baiser. Je lui répondis que oui et je lui demandai alors ce que je pourrais faire pour la remercier. Elle me demanda si j’acceptais de lui caresser la chatte avec ma langue. J’étais tellement avide de sensations que je n’ai pas mis longtemps à accepter. Elle enleva son T-shirt avec beaucoup de grâce et elle s’allongea entièrement nue sur le lit. Sa peau douce et légèrement bronzée m’excitait beaucoup et je commençai par lui caresser les cuisses de la façon la plus douce possible. Elle se tordit un peu et écarta les jambes pour m’indiquer le chemin. Ma langue s’aventura alors dans son jardin secret qui était très fourni. Ses poils noirs en cachaient complètement le fruit défendu mais je réussis à me frayer un chemin. Elle était très humide et son foutre commença à donner un goût agréable à mes coups de langue. Arrivant à son clito, j’entrepris en même temps de lui caresser les fesses. Elle se tourna alors légèrement sur le côté, offrant à mes mains un derrière ferme et arrondi que j’enviais.
Gémissant de plus en plus fort, elle guida ma main vers son autre orifice. Pendant que ma langue la pénétrait, mes doigts fins et longs caressaient son anus assez vivement. C’est là qu’elle me prit les mains, et qu’elle les mit dans mon sexe complètement humide. Je me laissai faire et lorsque mes doigts furent bien lubrifiés, elle mit ma main gauche dans sa bouche pour goûter mon jus et remit ma droite vers son anus afin que je puisse la pénétrer plus facilement.
Je découvris tout cela mais Élisa m’aida beaucoup, tout en prenant beaucoup de plaisir à cet apprentissage. Un doigt, puis deux parvinrent à pénétrer son autre orifice pendant que ma langue devint de plus en plus vigoureuse. Un long soupir profond m'indiqua qu’elle venait de jouir. Et cela grâce à moi...
Entrez dans la danse… regardez-moi autant que vous voulez, ce soir c’est pour vous que je danse, vous me l’avez demandé… Je danse pour vous, sous vos yeux affamés, envieux… je danse de tout mon être… je bouge sous votre regard car c’est vous qui l’avez souhaité…mais ce soir c’est moi qui mène cette danse…ce soir je vais vous faire voyager vers un orient encore insoupçonné… vous allez rêver… laissez vous enivrer de ses odeurs qui nous enveloppent, ces senteurs d’épices et de thé à la menthe qui se mélangent et taquinent nos narines…
Venez Monsieur, approchez, osez poser vos mains sur mes anches et laissez vous guider… sentez moi bouger, onduler mon corps, mon ventre, mes jambes, mes bras…c’est vous qui leur donnez envie de s’animer… Mon parfum éveil vos sens… il se nomme comme moi Salomé… pour vous servir Monsieur…
Dans cette danse, autour de nous ce décor de mosaïque et de bois ciselé tournent et se mélangent à nous faire chavirer… cela tourne tellement que nous fermons tous deux les yeux et nous voilà transporté… loin de ce lieu clos…
Nous voilà transporté dans une oasis sous un clair de lune qui se reflète dans une eau limpide… je plonge mon regard dans le vôtre, je le vois rempli d’étoiles, d’envies… vos mains d’un simple et tendre geste me dénudent et vous m’allongez là sur ce sable encore chaud… Vous saisissez dans chacune d’elles du sable que doucement vous faites couler sur mon corps… vous me caressez sans même me toucher… Sous ces caresses mon corps ondule à nouveau, dans ce mouvement les bracelets qui ornent mes poignets et mes chevilles tintent et produisent une douce musique…
Musique à laquelle je me lève et recommence à danser pour vous Monsieur… c’est plus fort que moi je ne peux m’en empêcher… Vous, vous ne pouvez résister à mon appel, à nouveau vous, vous approchez et posez vos mains sur mes hanches pour cette danse… Un fort vent se lève, des nuages de sable nous entourent… Nous fermons les yeux et nous sommes transporté cette fois-ci dans un hammam…
Il y fait chaud… mais cette chaleur que nous ressentons vient-elle vraiment de ce lieu ou est-ce la chaleur de notre désir mutuel qui nous anime ? …A reculons je m’éloigne de vous… nos mains se tiennent encore alors que je disparais dans ce brouillard que forme la vapeur… nos mains glissent l’une de l’autre… je m’éloigne… vous n’entendez plus que vaguement le tintement de mes bracelets et un reste d’effluve de mon parfum vous nargue encore… Vous restez là avec vos envies, vos désirs… vous ne le savez pas encore mais le jour vient déjà de se lever et tandis que dans ce bain de brume vous me cherchez… c’est vers un ou une autre que je suis partie danser…
C’était l’an dernier, je passais mes vacances sur l’île la plus sensuelle de la côte espagnole : Ibiza.
A cinquante ans, je n’avais pas pris de vacances seul depuis bien longtemps, c’était l’occasion pour moi de me retrouver avec moi-même le temps d’une semaine. J’avais loué une chambre dans un hôtel luxueux de la station balnéaire, tout près des plages de sable fin. Je remplissais mes journées par un programme simple et revigorant, piscine et farniente le matin, plage et farniente l’après-midi, et le soir quelques verres au pub ou quelques paris ruineux au casino.
Une après-midi, alors que je circulais avec une voiture de location qui ne me servait qu’à parcourir quelques kilomètres à l’intérieur de la ville, je freinais brusquement lorsque je vis une charmante jeune femme en maillot de bain, lever le pouce sur le trottoir que je longeais. Les pneus de l’auto crissèrent légèrement en s’immobilisant à son niveau.
« je n’aurais pas attendu longtemps, me dit-elle d’un air amusé en se penchant à la vitre, … je vais à la plage sud, pouvez-vous m’y conduire ? »
« je suis en vacances, rien ne me presse, montez, ça me fera une petite ballade et de la compagnie. »
Je lui ouvre la portière, elle monte et s’installe confortablement sur le siège en cuir.
« je m’appelle Jélicca, je suis sur l’île pour quelques semaines avant de retourner chez moi à Rome. Je viens à Ibiza pour la deuxième fois, j’ai besoin de sentir ce soleil sur ma peau, cela me recharge en énergie. Et puis l’ambiance qui règne sur cette île me plaît beaucoup aussi, chaque rue, chaque personne ici dégage une sensualité et un pouvoir de séduction particulier, cela m’excite assez je dois avouer. »
« je dois avouer aussi que je suis sensible à ce climat de volupté, ici les gens sont beaux et les rencontres souvent chargées de magie. »
Pendant que je parlais, je voyais la jeune femme étirait le soutien gorge de son maillot deux pièces, glissait une main sous l’étoffe bleu ciel, laissant apparaître les deux tiers d’un joli petit sein bruni par le soleil. Elle caresse son sein délicatement avant de dire :
« l’unique désagrément ici, c’est ce sable qui reste collé à la peau, c’est pour moi un vrai désagrément, il faut que je l’enlève, est-ce que ça vous dérange ?» Je trouvais cette femme plutôt osée et la situation amusante,
« pas du tout, je vous en prie, sur cette île il est toléré, plus qu’ailleurs, de montrer sa nudité. Et puis il serait difficile à un homme de résister au plaisir de poser son regard sur vous. « dois-je y déceler un compliment ? »
« si vous le permettez, je vous trouve charmante et séduisante, et vos seins sont très jolis »
la jeune femme réfléchit, son regard fixé sur le mien,
« d’accord pour le compliment,…c’est vrai, vous les trouvez jolis mes petits seins ? …Ils sont très sensibles, je ressens chaque grain de sable à leur contact, et quand je passe ma main, mes mamelons se dressent presque toujours. »
L’auto-stoppeuse avait fini d’ôter le sable sur ses seins. Elle soulevait maintenant l étoffe de la culotte de son maillot de bain, les jambes suffisamment écartées pour m’offrir une vue imprenable sur son sexe longuement laissé aux mains d’une esthéticienne expérimentée. Elle commence à frotter son pubis, puis l’intérieur de son maillot et ses grandes lèvres charnues, puis se cambre légèrement pour atteindre la raie qui sépare ses deux fesses fermes et rondes. Elle remonte doucement, promène ses doigts dans chaque recoin, comme pour vérifier qu’il n’y a plus de sable. Je devinais que cette femme jouait un jeu avec moi, qu’il était même possible qu’elle ne s’arrête pas juste à l’époussetage du sable qu’elle a sous le maillot. Je laissais faire les choses et commençais à sentir une érection vigoureuse sous mon maillot moulant. Même si je l’avais voulu, je n’aurais rien pu dissimuler. Je continuais à rouler en direction de la plage. Ses mouvements de mains se recentrèrent et commencèrent à se faire plus sensuels encore et plus profonds. La jeune femme se masturbait à côté de moi. Elle me regardait droit dans les yeux.
« depuis longtemps j’ai ce fantasme de me masturber devant un inconnu, ça m’excite énormément… »
Je voyais les lèvres dorées de son sexe devenir petit à petit plus luisantes, sous les passages répétés de ses doigts agiles qui s’immisçaient toujours plus en profondeur. Très vite, la main avec laquelle elle se prodiguait cet agréable massage se trouvait aussi trempée et luisante.
« ça te plaît ?, demanda-t-elle, … as-tu déjà eu l’occasion dans ta vie de voir une inconnue se masturber devant toi ? »
« uniquement dans mes rêves, mais il me semble qu’ils prennent maintenant une tournure réelle. »
Elle retire la main de sa vulve excitée, se redresse sur le siège et porte sa main en direction de mon sexe tendu.
« je vois que je ne suis pas dénuée de charme, je te fais de l’effet !…je suis sûre que ta bite a très envie de faire ma connaissance. »
Elle plonge directement sa main chaude et gluante dans mon maillot et saisit mon membre avec conviction, le branlant un peu avant de l’extraire de son cache. Je venais de repérer un chemin de terre dans lequel je m’engageais, j’arrêtais le moteur. Elle s’approcha et porta ses lèvres et sa langue sur mes bourses fermes et commença à déposer une coulée de salive chaude le long de mon manche jusqu’au gland qu’elle avala férocement. Sa main huilée par son nectar allait et venait entre mes fesses, pressant même par moment le trou de mon anus. La belle inconnue soupirait de plaisir, de son autre main, elle frottait fiévreusement son sexe.
« humm, tu as une bonne queue….préviens-moi avant d’éjaculer, je veux recevoir ta sauce sur mes fesses. ».
Son langage sans retenue amplifiait mon excitation, je la prévenais assez tôt, je sentais monter mon sperme, Hum c’est bon. Elle se retourna, cambra ses reins, me présentant son cul magnifique. Je me masturbais en direction des belles fesses rondes de ma compagne Jélicca. Elle astiquait énergiquement son sexe, avec frénésie presque. Elle gémissait d’une voix douce et cristalline. Je m’écriais :
« hummm, ce que c’est beau ! ! » avant de répandre mon sperme en saccades sur elle.
« ouiiiii…….je viens aussiiiii…. », hurla-t-elle avant de s’étendre, soulagée, sur la banquette de cuir.
Je m’affalais aussi et nous sommes restés là, quelques longues minutes, silencieux et repus, l’un contre l’autre. Je réalisais à peine ce qui se passait, j’étais tout simplement bien. J’ai ensuite déposé l’inconnue à la plage sud. Nous avons échangé un simple clin d’oeil complice qui en disait autant que toutes les paroles que nous aurions pu échanger avant de nous quitter. Je garde, comme un secret d’enfant, le souvenir de cette rencontre insolite.
C’était un peu comme toutes ces choses qu’on attend depuis si longtemps et qui finissent par arriver quand on s’y attend le moins. Mégane avait fini par croire que ce moment n’arriverait jamais pour elle. Ses amies avaient déjà toutes franchies le cap depuis belle lurette et elle restait seule, avec sa virginité et ses 25 ans.
Catherinette depuis quelques jours, elle avait subi avec résignation le supplice du chapeau infligé par ses camarades. La soirée entre « copines » qui avait marqué le coup n’était pas restée exempte de petites allusions mi-amusées, mi-perfides sur son éternel état de jeune fille. Elle était d’autant plus étonnée ce soir que le garçon avec qui elle s’apprêtait enfin à passer à l’acte avait tout du parfait jeune homme.
Beau brun athlétique, Grégory, employé dans la même agence bancaire que Mégane passait pour quelqu’un de posé et discret, à l’humour caustique cependant. Il est vrai que la jeune fille avait espéré meilleures circonstances pour ce passage à l’acte que l’arrière d’une vieille 205 garée devant le parc municipal. Mais à son âge, pouvait-elle réellement faire la difficile, au risque de repousser encore une fois le moment tant attendu ?
Le jeune homme ne se posait pas ce genre de question. Plus expérimenté que sa partenaire, il avait pris les devants. Le bouche à bouche torride qui avait marqué le début des hostilités s’était rapidement accompagné d’un pelotage en règle de la poitrine juvénile. Il avait d’abord caressé les seins à travers le textile, puis, s’enhardissant devant l’absence de résistance, glissé sa main sous le chemisier dégrafé de Mégane. Le soutien gorge rapidement abaissé sous les deux globes jumeaux les maintenait serrés l‘un contre l’autre. La poitrine de la jeune fille semblait ainsi appeler les caresses, les tétons fièrement dressés.
Grégory faisait rouler son pouce sur le bout des seins, tirant de temps à autre dessus. Les soupirs de plus en plus appuyés qui sortaient de la bouche de Mégane ne laissaient aucun doute sur son état d’excitation. C’est donc sans appréhension que, peu à peu, la main droite du jeune homme quitta la mamelle pour continuer sa danse impudique sur le genou et les cuisses de la catherinette. Mégane se félicitait d’avoir adopté pour cette soirée une tenue féminine. Délaissant son traditionnel pantalon, elle avait opté pour un tailleur dont la mini-jupe mettait agréablement en valeur ses jambes élancées. Accessoirement, ce choix facilitait aussi l’entreprise de son partenaire.
La large main du jeune homme pelotait avec entrain la partie charnue des cuisses qui côtoie habituellement le pubis. Par moment elle venait même buter sur le fond de la petite culotte de coton. Mégane se laissa glisser un peu plus sur la banquette arrière, invitant ainsi Grégory à ne pas freiner ses ardeurs. Les fesses à peine posées sur le siège, les jambes maintenant assez largement écartées, sa position ne laissait planer aucune équivoque sur son état d’esprit. La timidité de Mégane, sous les assauts de plus en plus explicites de son partenaire, avait totalement disparue. Les soupirs se transformaient peu à peu en gémissements et encourageaient le mâle à intensifier son action.
Il ne se fit pas prier bien longtemps. Délaissant les cuisses musclées de Mégane, il glissa sa main sous la fine étoffe de coton qui protégeait encore le sexe de la jeune fille. L’humidité qui régnait sous le textile confirma, s’il en était encore besoin, le bien fondé de sa démarche. Le sexe poisseux semblait haleter, comme sa propriétaire, appelant de ses vœux les attouchements qui lui permettraient de satisfaire l’irrépressible besoin qui le tenaillait. Les doigts de Grégory furent littéralement happés, aspirés par la caverne d’amour de Mégane. La bouche goulue formait ventouse autour des phalanges masculines.
Si les doigts entrèrent sans peine, amplement lubrifiés par les secrétions vaginales, Grégory eut un peu de mal à les faire glisser au début. Tout se passait comme si le sexe, satisfait de pouvoir enfin combler un manque, un vide, ne voulait plus laisser repartir la main qui le fouillait.
Dans la tête de Mégane les choses se bousculaient. Elle n’avait qu’à demi conscience de l’obscénité de la situation. Si elle avait pu se voir, écartelée sur le siège du véhicule, les jambes presque à l’horizontale, le bassin roulant vers la main de son partenaire, son plaisir en aurait été décuplé. Elle pouvait seulement imaginer la scène, entre deux moments d’égarement, mais cela suffisait à augmenter son désir.
La langue aspirée par les lèvres du jeune homme, une main sur les seins et une autre dans la chatte, Mégane sentait que, peu à peu, son cerveau primitif prenait le dessus. Elle peinait à se reconnaître dans les gémissements qui envahissaient la voiture. Un peu gênée, elle savait pourtant qu’elle ne pourrait pas s’interrompre avant que le dénouement tant attendu n’intervienne.
Les doigts de Grégory avaient trouvé leur rythme de croisière. Le sexe dégoulinant de Mégane consentait maintenant à favoriser le mouvement coulissant de la main. Y trouvant son intérêt, le vagin élastique facilita l’intromission d’un troisième doigt à côté des deux autres. Abandonnant le lancinant va et vient, l’homme vint coller son pouce sur le clitoris tendu de la jeune femme et crocheta le reste de sa main à l’intérieur de la moule. Il sentit la tension qui anima immédiatement le bas ventre féminin. Serrant les doigts comme une pince, il insista longuement sur le massage du bouton durci par le plaisir.
Les petites fesses de Mégane étaient maintenant presque totalement décollées de la banquette. Les jambes et le ventre tendus démontraient avec persuasion combien Mégane appréciait les attouchements prodigués par son amant. C’est elle-même qui dégrafa le pantalon de Grégory. Celui-ci s’était jusque là contenté de donner du plaisir à sa partenaire, se satisfaisant d’un massage léger de sa bite tendue à travers ses vêtements. Il apprécia en connaisseur l’initiative de Mégane.
La charge érotique de la situation apparût pleinement à la jeune fille quand l’organe masculin jaillit vivement dans sa main, enfin libéré de sa prison. Maladroitement elle entama une masturbation de la hampe veineuse. Ce n’était pas ce qu’elle réussissait le mieux. Consciente de ses lacunes autant que de ses envies, elle prit elle-même l’initiative d’orienter le sexe de Grégory vers l’angle formé par ses cuisses. Cette fois-ci serait la bonne, elle deviendra femme ce soir.
La bite prit la place des doigts presque sans heurts. Le patient travail masturbatoire accompli portait ses fruits. La lubrification massive de la chatte fit le reste et le pénis long et fin de Grégory disparut presque instantanément au fond du puits. La fragile barrière de l’hymen n’était plus là pour ralentir la progression du membre dans le conduit vaginal. Celle-ci avait depuis longtemps disparue sous les assauts répétés des divers objets que Mégane s’introduisait régulièrement. A défaut de sexe masculin, une bouteille ou un légume pouvait faire l’affaire. Mais ce soir, la jeune femme ressentait totalement combien la présence au fond d’elle-même de l’engin palpitant qui la fouillait n’avait rien de commun avec les intromissions secrètes dont elle devait jusqu’à présent se satisfaire.
Coincés sur la banquette, les deux amants imprimaient au véhicule un léger tressautement qui trahissait avec indiscrétion leur activité. Le pilonnage de Grégory dans le con de Mégane faisait son œuvre. Sur la jeune femme tout d’abord. De plus en plus souvent les gémissements laissaient place à une sorte de jappement. Jamais Mégane ne se serait cru capable d’exhaler de tels sons. Même dans ses plus torrides souvenirs de masturbation, elle ne se rappelait pas avoir subi semblable excitation. Sentir le gland cogner au fond de son trou avec force lui procurait une satisfaction jamais égalée avec les accessoires habituels qu’elle y enfonçait. Les coups de butoir du ventre plat de Grégory sur son pubis ajoutaient encore à son trouble.
Mais c’est surtout quand elle aperçut la scène dans le rétroviseur intérieur que son désir enfla. Se voir ainsi écartelée à l’arrière du véhicule, une bite entre les jambes et les seins à l’air, lui fit l’effet d’une bombe. C’est à ce moment qu’elle laissa exploser son plaisir. Agitée de soubresauts, tremblante comme une feuille, elle connut pour la première fois l’extase sous les assauts masculins. Ses jambes enserrèrent le bassin de Grégory avec force dans un premier mouvement, avant de se relâcher mollement et de tomber, pantelantes entre les sièges de la 205.
Sentant partir sa partenaire, le jeune homme accéléra le va et vient de sa queue dans le sexe. Lisant le plaisir inscrit sur le visage déformé de Mégane, il ne put contenir plus longtemps sa jouissance. Son gland enfla jusqu’au moment où, tendu à l’extrême, il se libéra en éjaculant une bonne dose de foutre sur la matrice. A cinq reprises le jus vint buter tout au fond du ventre de la jeune fille.
Exténués, les deux amants s’effondrèrent l’un sur l’autre dans un râle simultané. La vieille voiture, devenue immobile abrita jusqu’au petit matin les corps alanguis de Mégane et Grégory.
Comment ai-je bien pu en arriver là ? A près de 30 ans, je suis pourtant un jeune père consciencieux et un mari toujours amoureux de sa femme. Nous formons une famille unie et heureuse. Mais aujourd'hui, je ressens le désagréable sentiment de trahir tout mon entourage.
En fait, cette idée reste cantonnée bien au fond de mon esprit, mais, malgré tout, elle est là, bien présente et je la sens qui rôde. Heureusement, une autre sensation, bien plus intense et agréable, la masque largement et m'empêche de trop culpabiliser. Mes deux jeunes gamins, que je suis censé surveiller, sont en train de jouer seuls à l'aire de jeux du jardin public tandis que je me fais sucer par une jeune fille au pair dans les toilettes pour femmes du parc. C'est du propre !
En congé parental depuis quelques années déjà, je m'occupe de mes deux garçons âgés respectivement de 2 et 4 ans pendant que ma femme travaille. J'avoue que c'est un peu spécial pour un homme, mais on s'y fait très bien, malgré les interrogations légitimes de ses parents et amis. Les journées passent très vite et il est vraiment agréable de pouvoir passer du temps avec ses enfants, de les voir grandir. Cet après-midi, par exemple, nous sommes venus ensemble au jardin public, comme presque tous les mercredis dès le retour des beaux jours. J'y retrouve en général toute une foule d'habitués, surtout des femmes et pour la plupart des mamans venues comme moi défouler un peu leurs garnements en ce jour de repos. Pendant que mes gamins jouent tranquillement dans leur coin, je lis ou je discute de choses et d'autres avec quelques-unes d'entre elles.
Mais aujourd'hui, pour la toute première fois, j'ai laissé mes enfants seuls. J'ai prétexté une course urgente pour confier leur surveillance à une des mamans que je connais bien. Puis, je me suis rendu discrètement dans les toilettes des femmes pour y retrouver la jeune fille qui me faisait de l'œil depuis mon arrivée au parc. C'est une superbe brune d'à peine 20 ans au fort accent anglais, très sexy dans son tailleur chic un peu strict qui accompagne deux petits bourgeois tout aussi élégamment vêtus. Je l'avais déjà remarquée la semaine dernière pour la première fois. Elle aussi apparemment. Nous avions échangé quelques sourires mais pas un mot. Lorsqu'elle est partie avec ses petits protégés, je n'ai pu m'empêcher de la suivre du regard. Elle a du le sentir et s'est retournée, me souriant une dernière fois. Je n'étais pas certain alors de la revoir un jour. Et pourtant, aujourd'hui, elle est là et je suis bel et bien occupé à lui peloter la chatte.
Quand elle s'est levée pour se diriger vers la cabane en bois qui fait office de toilettes, elle m'a fait un petit signe encourageant qui ne laissait guère de doutes quant à ses intentions. Elle voulait que j'emboîte le pas. Je l'ai donc suivie, sans un mot, à bonne distance et me voilà maintenant subitement passé du statut de papa modèle au rôle de père indigne.
Je suis assis sur le couvercle des chiottes, slip et pantalon sur les chevilles. La jeune brunette me taille une pipe d'enfer, agenouillée sur le sol carrelé, toujours vêtue de son tailleur. J'ai largement écarté les cuisses pour lui faciliter la tâche. Sa tête disparaît entre mes jambes. Cette salope suce comme une reine. Elle me pompe fougueusement le jonc, bien au chaud dans sa bouche humide. Ses joues sont déformées, leur fine peau distendue par le nœud de ma bite. Ses lèvres goulues et pulpeuses enserrent mon sexe dans un étau de velours délicieux. Je sens sa langue pointue qui lape le bout de mon gland à l'intérieur de la bouche. S'aidant de sa main, elle fait coulisser mon pieu dans la cavité, avançant et reculant la tête alternativement. De temps en temps, elle s'arrête de glisser sur mon manche pour mieux en sucer l'extrémité. Ces moments sont exquis. Elle aspire alors les quelques gouttes de liquide séminal qui perlent du méat. Elle semble aimer sucer et me fait bénéficier de son goût pervers pour les sucettes humaines. Si elle pompe la queue de son patron aussi bien que la mienne, celui-ci n'est pas prêt de la renvoyer au pays.
Dans ma position un peu inconfortable, il m'est assez difficile de rendre à ma partenaire autant de plaisir que j'en reçois. Je suis penché en arrière, le dos sur la cuve de la chasse d'eau et je me tiens fermement au couvercle des toilettes avec les deux mains. Tout mon être est tendu vers la bouche de la jeunette et se concentre dans ma pine. J'ai l'impression de ne plus être qu'une queue qu'on suce. Néanmoins, je veux honorer ma suceuse comme elle le mérite. Je parviens difficilement à glisser mon pied droit entre ses cuisses écartées. Avec le dessus, je frotte légèrement sa vulve à travers son slip. J'insiste un peu, massant sa fente en un mouvement de va-et-vient régulier. J'applique de douces pressions sur son sexe. A travers le sous-vêtement de coton, je sens la tâche humide que déjà fait sa mouille. La vicieuse s'excite toute seule en me pompant le dard. Je vais l'aider à jouir.
Appâtée par mes attouchements, la jeune cochonne écarte un peu plus les genoux, facilitant par là même le mouvement de mon pied entre ses jambes. Elle me pompe toujours allègrement le dard mais je perçois une certaine excitation dans ses gestes, légèrement plus désordonnés. Elle me suce plus violemment mais ce n'est pas pour me déplaire. Devant ses réactions, je m'enhardis un peu. Je tente de faire passer mes orteils sous le doux tissu de son slip. Après deux tentatives malheureuses, elle comprend mes difficultés, vient m'aider et écarte elle-même le bord du bout d'étoffe d'une main. Je profite immédiatement du passage ainsi libéré pour prodiguer à sa chatte une caresse intime qui ne la laisse pas indifférente.
Le cabinet de toilette résonne à présent des petits gémissements de la jeune fille au pair, à peine étouffés par ma queue. La salope prend son pied (ou devrais-je dire " mon pied " ?). C'est la première fois que je branle une femme de la sorte. Je suis prêt à toutes les expériences pour la satisfaire. J'insère mon gros orteil dans sa vulve juvénile et je sens son clito gonflé qui pointe sur mon cou de pied, tout là-haut. Je fais le nécessaire pour venir le coincer entre deux de mes doigts et tirer un peu dessus. Les gémissements du début se transforment peu à peu en petits cris. Sa bouche gloutonne pompe toujours avidement ma bite noueuse. Cependant, je la sens un peu moins disponible, moins consciencieuse, trop excitée sans doute pour pouvoir s'appliquer vraiment. Mais ce que je perds en technique, je le gagne en fougue. Ses gestes sont certes moins précis mais plus rapides et mon manche coulisse maintenant agréablement entre ses lèvres. Ainsi pompé, je ne vais guère tarder à jouir.
Au bas des toilettes, la fille au pair lubrique gigote sur mon pied. Son corps tout entier s'agite sur mes orteils. Je la vois qui s'active sur mes doigts pour faciliter leur intromission dans son sexe maintenant complètement ouvert. Je les resserre pour qu'ils entrent bien dans la fente. Elle n'est plus à genoux mais accroupie, toujours plus écartelée, les jambes presque à l'horizontale. Elle monte et descend alternativement sur mon pied. Elle non plus ne va pas pouvoir tenir bien longtemps à ce rythme infernal. Une idée cochonne traverse alors mon esprit pervers.
Je déplace lentement mon pied gauche sous son bassin. Je le fais passer sous ses fesses. Je recourbe la pointe des orteils et je les insère sans peine entre les globes jumeaux et charnus. De la pointe de mon pouce, je viens lui effleurer délicatement l'anus. Je lui masse la rondelle avec mon pied. Son bassin va et vient d'avant en arrière. Elle cherche le contact côte pile et côté face. Je lui taraude la vulve par-devant et le trou de balle par-derrière. Je sens que la rosette s'ouvre un peu plus à chaque fois que je presse dessus. Le gras de mon orteil vient parfaitement adhérer au pourtour violacé du trou. Il fait ventouse. Je l'agite un peu pour augmenter encore son plaisir.
C'est beaucoup pour son corps affamé de jouissance. Quand je pousse une ultime fois contre son anus et que je parviens à l'écarter suffisamment pour y entrer, elle ne peut faire autrement que s'envoler vers les sommets. C'est le moment que choisit également ma bite pour inonder sa bouche vorace de foutre liquoreux. En bonne suceuse, mon anglaise lubrique n'en perd pas la moindre goutte, retrouvant à l'occasion sa langue maternelle pour lâcher deux ou trois " oh, my God ! " explicites avant de s'effondrer sur le sol froid des toilettes, vaincue par mes caresses.
Décidément, je crois bien que je reviendrais souvent dans ce jardin public le mercredi après-midi. Dommage qu'il faille y amener les enfants
Depuis plusieurs jours Laurent parlait de ce fameux match de foot contre l’Irlande. Du retour de Zidane. De l’inconnue Thuram. Des stratégies de jeu. Avec ses collègues au travail. A la maison aussi. Sophie ne l’écoutait pas. Elle souriait juste un peu. Le mercredi matin, au petit déjeuner, elle lui dit :
« Ce soir, je suis de sortie. Tu seras tranquille pour voir ton Zidane . Tu peux bien te débrouiller.».
Il la regarda et au fond de lui il pensa que c’est vrai qu’il allait pouvoir être tranquille. Elle ne tournerait pas dans l’appartement. Pas de bruits de vaisselle. Pas de sifflements du fer à repasser. Le pied !
Le soir, après avoir rejoué avec ses copains au bistrot les dernières stratégies, Laurent rentra à l’appartement. Il était vide. Bon ! Se mettre à l’aise d’abord. Survêtement de sport. Pratique pour se gratter les couilles sans avoir le regard désapprobateur de madame sur soi. Manger ensuite. Un fond de baguette. Un peu molle mais il ferait avec. Dans le réfrigérateur, des rillettes, du fromage, enfin, ce qu’il en restait. Un camembert un peu sec. Deux canettes de bières. Il s’installa devant la télé. Au but de Thierry Henri, il cria sa joie. Pas de remarque derrière lui. Allez ! Une troisième canette.
Après le match, heureux comme un pape, Laurent alla au lit. Il mit son pyjama, rejoua dans sa tête toutes les grandes actions. Il passa une nuit sereine. Le matin, le réveil sonna à six heures. Il allait pouvoir en raconter avec ses potes ! Mais, Il n’y avait personne à côté de lui.
Laurent eut une pointe d’inquiétude. Après tout, elle devait être chez sa copine Martine. Il n’avait peut être pas bien saisi. C’est vrai que dans la salle de bain la brosse à dent de Sophie manquait. Allez ! Un bon café ! Zut ! Il n’y en avait pas ! Il s’en fit un, un peu lavasse. Il alla à la salle de bain. La douche... pas d’eau chaude !
En se rasant, il se coupa au menton. Il y avait longtemps que cela ne lui était pas arrivé ! La dernière fois, c’était ce lendemain de cuite avec ses copains lors de la victoire de l’équipe de France contre les Féroé. Il commença à s’habiller. Un caleçon délavé avec une trompe d’éléphant, son marcel, des chaussettes avec Snoopy... une chemise. Zut ! Aucune de repassée. Il se sentait de plus en plus mal ! Qui donc pouvait lui en vouloir.
Sur ces entrefaites, Sophie entra. Visage radieux mais fatigué. Il cria :
« Où étais-tu ? »
« J’avais un match moi aussi » dit elle dans un grand sourire ironique.
« D’ailleurs, il était tellement bien, que ce soir je rejoue. Je suis juste passé prendre quelques affaires. Ce week-end, je passerai prendre le reste... »
Laurent sentit le sol se dérober sous lui.
« Mais Sophie... »
« Je te laisse avec l’équipe de France de foot. Moi, je vais retrouver Gérald. Au moins le week-end je prendrai l’air sur les greens. En plus, c’est un amant qui sait donner du plaisir à une femme ! »
« Dis-moi que je baise mal ? »
« Tu ne baises pas mal, tu te branles dans mon corps ! »
Laurent était pâle, écroulé sur le canapé. Même ce qu’il avait de plus fort pour lui, elle le dénigrait.
« Mais pourtant, tu les aimes ces préliminaires. Quand tu me suces, je sens que tu as du plaisir... »
Laurent se mit à pleurer. Comme un enfant gâté à qui on vient de brûler son doudou
C'était un de ces soirs de fin d'été, quand le soleil se couche sur la mer qui rayonne de mille feux; donnant au paysage un note d'irréalisme. La brise marine balayait doucement les cheveux sur mon visage. Les embruns stimulaient mes sens et je m'enivrais de ce paysage magnifique aux odeurs si agréables. Les vagues venaient doucement s'écraser sur les rochers. Sur l'un deux, je me tenais assise, le regard perdu dans le vague, loin dans mes pensées, parfois coquines, dont celle d'un jeune homme dont j'étais tombée sous le charme...Je me laissais bercer par le bruit régulier de la houle. Une douce torpeur engourdissait mon corps.
Au loin j'entendais les gens parler. Je n'y prêtais pas attention. J'étais trop bien, perdue dans mon monde imaginaire. Puis doucement, je sentie deux mains se poser sur mes épaules. J'eu un mouvement de recul. Quand je voulus me retourner, les deux mains se firent plus fermes:
"Non, ne bouge pas s'il te plait, détends toi, laisse toi faire, repenses a cette plénitude dans laquelle tu avais l'air de te trouver"
La voix était chaude, sensuelle, suave, elle ne me semblait pas inconnue. Je lui demandais:
" Mais qui es-tu? Que veux tu? "
-"Ne t'inquiète pas je ne te ferais aucun mal, je veux juste ton bonheur."
Je me détendais un peu. Décidemment cette voix me disait bien quelque chose, elle me rappelait quelqu'un, mais qui ?
Les mains qui étaient toujours sur mes épaules descendirent un peu plus bas, se posèrent sur mes hanches. Elles commencèrent à me caresser le dos tout doucement puis avec plus d'insistance. C'était très agréable. Je me détendais un peu. La nuit commençait à tomber. Un frisson m'envahi. Etait-ce le froid ou un plaisir naissant? Je pense qu'il le sentit, il se serra un peu plus contre moi, et ses bras m'entourèrent comme pour me protéger, me réchauffer. Je me sentais finalement en confiance. Je n'avais pas envie de partir, tout mon corps en éveil et dans l'attente de ce qui allait se passer ensuite. Je me sentais même en sécurité dans ces bras bronzés par le soleil d'été.
Une main ouvrit doucement mon corsage, me caressant le ventre, les flans, effleurant doucement ma poitrine, sans toucher mes mamelons qui pourtant commençaient à se dresser de désir. Il retroussa ma jupe. Son autre main se posa à l'intérieur de ma cuisse et me caressait jusqu'au mont de Vénus. Si tendre, si sensuel, il mettait tout mon corps en éveil, chaque cellule vibrait une a une laissant un désir fou monter en moi.
Il m'ôta alors mon corsage et posa ses lèvres sur mon dos qu'il parcouru par des milliers de baisers; sa langue se faisait parfois plus insistante sur le bas des reins. Il avait remarqué que cela me faisait tressaillir de plaisir.
Il faisait maintenant nuit. Nous étions seuls sur la plage. Ses mains se faisaient plus insistantes. L'une commençait à me pétrir les seins, a titiller leur petit bout et l'autre caressait mes lèvres déjà toutes humides de plaisir. Un doigt se fit plus inquisiteur. J'écartais doucement les jambes. Je le laissais entrer en moi. Je le sentais bouger doucement, puis régulièrement venir s'occuper de mon petit bouton. Je sentais le désir monter de plus en plus. Je voulais encore me retourner mais il m'en empêchait. Ne pouvais-je à mon tour lui donner du plaisir?
Mais je n'avais pas envie de parler, je ne voulais pas briser cet instant magique. Ses caresses étaient de plus en plus précisent, je m'en délectais.
A un moment, il s'arrêta; me pris par la main tout en restant toujours derrière moi et me fit descendre sur la plage. Le sable était frais. Il posa alors sa veste sur le sol ainsi que son t-shirt et m'aida à m'asseoir entre ses jambes. A travers son short de toile fine je le sentais aimer lui aussi ce moment. Il me pencha alors en avant relavant mes hanches au dessus de ma tête et mis sa bouche brûlante sur mes lèvres en feu. Sa langue s'insinuait partout, aussi bien dans mon nid d'amour que sur mon petit bouton avec lequel il jouait allègrement. Un petit cri de plaisir m'échappa. Il continua alors avec plus de voracité encore. Il accompagnait sa langue de ses doigts, d'abord un puis deux. Une explosion de plaisir m'envahi alors. Je ne pouvais retenir un gémissement de bonheur.
Il me caressa alors doucement partout, se fit moins inquisiteur. Que se passait-il? Il n'allait pas s'arrêter là? Je me redressais doucement et tendis une main vers l'arrière. Je sentais son membre encore tout gonflé de désir.
Alors j'essayais de me retourner. Il ne m'en empêcha pas. Je n'osais pas lever mon visage vers lui. Je sentais ses yeux sur moi, je le devinais me dévorer du regard. Je fis glisser son short sur ses genoux, commençant par lui caresser l'intérieur des cuisses, le faisant languir pour augmenter encore plus son désir. Et je pris, à pleine main, son sexe tout tendu, avant de guider ma bouche, vers lui. Mes lèvres se refermèrent sur son gland. Je l'entendis pousser un petit gémissement. Le plaisir montait de nouveau en moi. Je voulais lui donner autant de plaisir qu'il avait su m'en donner. Mes mains sur ses fesses, je m'appliquais à le faire frémir. Sa verge se tendit encore d'avantage. Je m'arrêtais avant qu'il ne soit trop tard. Je voulais me donner à lui.
Je m'allongeais sur le dos en fermant les yeux. Peu m'importait alors de savoir qui il était. Je l'invitais par des gestes tendres à venir en moi, à me prendre. Ce qu'il fit avec une infinie tendresse! Rapidement, nous jouîmes; tous les deux en même temps.
Nous étions là, allongés l'un contre l'autre sur cette plage, épuisés par cette merveilleuse étreinte charnelle. Je n'osais toujours pas ouvrir les yeux. J'étais si bien. Il me prit alors le visage entre ses mains, me caressa les joues, posa un petit bisou sur le bout de mon nez et me fit ouvrir les yeux...
C'est un samedi après midi, la bibliothèque de la ville va fermer. Je lis, bien installé dans un fauteuil en cuir. Les lecteurs, à cette heure ci, se font plus rares. Ma voisine feuillette une revue. C'est une femme d'une trentaine d'année, plutôt bcbg, une de ces bourgeoises citadines que l'on croit si prudes... au moment où je tourne la tête vers elle, elle me fixe.
Ses yeux m'apparaissent derrière de fines lunettes.. ils sont profonds et troublants... elle me sourit. Elle me fait face et croise alors ses jambes... laissant voir le haut de ses bas sous une jupe classique, très sage mais plutôt courte.... ses bas possèdent des dessins magnifiques... il me semble reconnaître le style de Chantal Thomass... j'aime beaucoup ses dessous. Elle me sourit et croise de nouveau ses jambes. Je ne peux détourner mes yeux. Elle le voit.. et ralentit ses gestes.. elle serre maintenant très fort ses jambes... geste que je connais bien.. mon épouse Sophie le fait souvent quand elle se caresse. Il me semble lire sur ses lèvres... "venez...". Elle se lève et se dirige vers les toilettes. La bibliothèque ferme dans 20 minutes.
Les derniers lecteurs rangent leurs livres. Poussé par je ne sais quel trouble et quelle envie, je me lève à mon tour et entre des les toilettes. La lumière est éteinte... il fait très sombre... j'entends une voix derrière une porte.. "entre..."... me voilà entré.... "ferme vite!" me dit elle. Cette femme si sérieuse a enlevé ses lunettes et m'embrasse violemment.. "baise moi!!!!" me crie-t-elle. Terriblement excité, je passe une main sous sa jupe.... elle ne porte rien. Sa chatte est déjà toute mouillée.
"Fais vite! la bibliothèque va fermer!!! baise moi comme une pute! je suis ta salope!!!!" ses mots me rendent fou de plaisir... je sors ma queue dressée. La jeune femme est assise sur la cuvette. Elle commence à me sucer goulument. C'est magnifique à voir... "tringle moi! défonce moi la chatte !!!". L'excitation est trop forte... je sors ma grosse pine de sa bouche humide et chaude. Je retourne cette bourgeoise contre le mur et je soulève sa jupe. Sa chatte m'apparait, elle mouille tant! je lui enfonce ma queue profondément dans la chatte.... elle gémit.. "plus vite! plus vite! défonce moi le petit trou aussi !".
Je bande si fort.. ma queue, trempée de sa mouille n'a aucun mal à pénétrer ce trou pourtant petit, étroit... elle se retient pour ne pas crier... je sens son cul se serrer contre ma queue.. elle jouit! je sens ses contractions... ses spasmes.. j'ai mis deux doigts dans sa chatte... c'est si bon.. son sexe se serre et se déserre sur mes doigts! sa jouissance est si forte!!!
Elle se retourne brusquement et se met à genoux... elle engloutit ma bite et commence à me branler rapidement! La jouissance est presque immédiate.. je lâche tout mon foutre entre ses lèvres sages.... elle continue.. avalant chaque jet puissant jusqu'à la dernière goutte, en me massant lentement les couilles..."sauvons nous! me souffle-t-elle..." elle descend sa jupe, se passe la langue sur les lèvres, comme pour effacer toute trace de ma jouissance, se recoiffe tres vite et remet ses lunettes.
L'orgasme lui donne un regard magnifique, presque abandonné.... "merci... me dit elle en sortant et à très bientôt j'espère... j'ai beaucoup aimé votre côté violent, rapide... et puis... hummmmm je me caresserai en pensant à vous ce soir..."
Pratiquer le triolisme, peut provoquer des modifications dans votre relation de couple, comme il en était déjà question dans l'introduction. Contrairement à l'échangisme, le triolisme ne permet pas de comparaison couple à couple, le partenaire au triolisme est une personne n'ayant pas nécessairement une vie de couple, et qui fera irruption dans un couple déjà formé, quoi qu'il arrive il restera extérieur au couple. Bien sur personne n'est à l'abri d'un coup de foudre, une révélation qui peut avoir pour conséquence de briser un couple. C'est la raison pour laquelle il est impératif que le passage à l'acte soit mûrement refléchi et discuté. En aucun cas l'amour à trois ne constitue un pansement sur les problèmes du couple, si vous espérez que cette action va reformer votre couple en perdition, vous vous trompez : le triolisme demande une complicité et une harmonie parfaite du couple. |
Dans tous les cas, pratiquer le triolisme doit être considéré au même titre que l'achat d'un gadget érotique, il n'est pas question de tomber amoureux du partenaire ou d'envisager former un couple à trois. Il s'agit d'une expérience qui implique un acte sexuel seulement pour le plaisir et la recherche de sensation nouvelle. |