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JULIA
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C'etait une soirée d'hiver un hiver tres froid qui tout d'un coup a mes yeux devint tres chaud.J'etais dans un hotel plutot classe il était environ une heure du matin,au pub de l'hotel il y avait une musique douce sorte de jazz langoureux... |
je vois une splendide creature accoudée au bar et qui avait l'air de s'ennuyer .Je l'aborde et l'invite a danser .Fin de la musique,nous sommes resté droit tous les deux a nous regarder et nous n'avons pas dansé.la creature ,femme d'environ 25 ans brune ,1m65 95 de tour de poitine yeux vert me devorait de ses yeux .J'etais plutot troublé vu la situation,moi étant a l'epoque plutot timide.Alors elle me demanda ''veux tu boire un café ''Je lui repondis avec un petit sourire en coin ''Volontiers ca me reveillera''Tout d' un coup je vis dans ces yeux une expression coquine et un sourire qui en disait long .Je ne m'etais pas apercu de mon sous entendu involontaire.Sur ce je la suis je ne savais pas ou on allait.Nous montions dans l'ascenseur ou il n'y avait personne ce soir la .Durant la montée elle mit ses bras autour de mon cou et m'embrassa langoureusement .Arrivé en haut elle rappuya sur le bouton et nous redescendimes .Exité je lui degraffai son chemisier et lui palpai les seins ..je mis ma bouche sur ses tetons et lui lecha le bout de ses seins je luis mis mes mains sur ses fesses et la souleva entre sans m en appercevoir elle m a vait déboutonné la braguette et m 'avait tombé le pantalon .Arrivé en bas je rappuyais sur le bouton et nous remontames .Je la penetrais tout en la soulevant et la teins plaqué contre le mur de l'ascensseur ensuite arrives en haut c'est elle qui rappuya sur le bouton et nous fimes cela 4 ou 5 fois d'affilé avant de se decider d'aller se coucher pour finir notre nuit qui avait bien commencé.Et le matin enfin nous bumes ensemble ce fameux café... |
J'ai l'habitude d'utiliser les transports en commun quotidiennement mais, c'est la première fois qu'il m'est arrivé une chose pareille. J'étais sur la ligne habituelle, comme tous les soirs. La rame était bondée et, une fois de plus, je suis restée debout, coincée parmi les voyageurs. Je dois dire que je n'apprécie que très modérément cette promiscuité obligée, mais je croie bien qu'il en est de même pour la grande majorité de mes compagnons de voyage.
Nous avions déjà effectué une bonne partie du trajet quand je sentis derrière moi une présence insistante. En fait, j'étais coincée entre une barre de maintien et un homme de haute stature. Avec mon mètre soixante, je me sentais toute petite devant lui. Nous étions au mois de juin et je ne portai qu'un chemisier léger et une jupe relativement courte mais tout à fait décente. A chaque coup de frein de la rame, nous étions un peu secoués et je sentais contre mes fesses le renflement que faisait la bite de l'homme dans son pantalon. J'étais un peu gênée, mais je n'osais lui en faire à la remarque, de crainte de m'adresser à une personne peu conciliante. Je ne savais rien de lui et je ne voulais pas risquer de me mettre à dos un mauvais coucheur. Je supportais donc vaillamment les rencontres de plus en plus fréquentes entre sa queue et mon cul.
Après notre passage à la station Châtelet-Les Halles nous avons eu à faire face à un nouvel afflux de passagers. Nous étions de plus en plus serrés dans le wagon et je crois bien que l'inconnu en profitait pour venir se coller toujours plus contre moi. Son membre restait maintenant fiché entre mes fesses presque continuellement. Pire, il me donnait l'impression de le faire aller de droite à gauche dans ma raie. J'avais l'impression de le sentir durcir contre mon cul. Je crois bien que ce salopard était en train de se branler sur moi.
Sans doute enhardi par mon manque de réaction, l'homme laissa glisser ses mains sur mes hanches et releva l'arrière de me jupe. Je n'osais toujours rien dire et personne ne voyait rien tant nous étions comprimés. A l'audace dont il faisait preuve je me doutais bien, pour ma part, que je n'avais pas à faire à un gentleman. D'autre part, je dois avouer que la situation commençait à passablement m'exciter. A cette période de ma vie, je n'avais pas de petit ami et cela faisait un moment que je devais me contenter de mes caresses manuelles pour satisfaire ma libido.
L'homme n'alla pas jusqu'à me baisser la culotte en public. Il se contenta de venir frotter plus vicieusement encore sa tige dans ma fente. Je décidais alors de lui faire comprendre que ses caresses ne me laissaient pas vraiment indifférente. Je contractais et décontractais alternativement mes muscles fessiers, tentant d'enserrer sa bite entre mes globes charnus. Je crois que je lui prodiguais ainsi un savant massage qui ne le laissa pas sans réaction. J'entendais dans mon cou le souffle haletant qui le trahissait. Je passai alors la vitesse supérieure et commençai à rouler vraiment du cul.
Je sentais le membre du gars qui grossissait toujours plus derrière moi. Les caresses de mon postérieur sur son chibre lui faisaient visiblement de l'effet. Mais je n'étais pas en reste. Bien serrée contre la barre d'appui verticale, je faisais vibrer mon bassin autant pour mon branleur inconnu que pour mon propre plaisir. A chaque passage devant la barre d'aluminium, j'en profitais pour me frotter le minou. Ma culotte commençait à être complètement mouillée et je sentais entre mes jambes ma chatte qui s'ouvrait peu à peu. J'imaginais mes lèvres gonflées par le désir et mon petit bouton bandé sous mon slip.
L'homme se faisait de plus en plus insistant. Je pense qu'il avait compris que, moi aussi, je trouvais mon compte dans cette petite relation improvisée. Ses mains me tenaient maintenant par le haut des cuisses et son bassin accompagnait la danse de mes fesses. Je ne tournais presque plus, me contentant de petits mouvements latéraux qui facilitaient ma branlette sur la barre. Je faisais rouler toute ma vulve sur le tube et commençais à ressentir les premières vagues du plaisir. De temps en temps, je donnai avec mon pubis de petits coups sur la barre afin de stimuler mon clitoris.
Au bout d'un moment, je sentis l'homme qui se contractait. Ses doigts se crispèrent sur mon corps, presque avec violence. Je compris à cet instant que mes caresses avaient eu un effet bénéfique sur sa queue. J'imagine qu'il avait rempli son slip avec le trop-plein de ses couilles. A cette idée, je ne pus retenir plus longtemps ma propre jouissance. Un éclair, en provenance de ma chatte, traversa mon corps de part en part, me laissant pantelante au milieu des voyageurs. J'étais accrochée à la barre qui venait de si bien me faire jouir et mes jambes me supportaient à peine. Mon slip était inondé de mouille et je n'avais plus qu'un souhait : arriver chez moi pour me laver et me coucher.
Quand j'ai enfin osé me retourner, je n'ai trouvé personne derrière moi qui corresponde à l'image que je me faisais de mon branleur. Sans doute avait-il quitté la rame précipitamment, profitant de mon état pour s'éclipser discrètement. Depuis ce jour, j'espère en vain le rencontrer à nouveau et je m'arrange toujours pour prendre les wagons les plus bondés.
L' histoire que je vais vous raconter m'est arrivée il y a quelque temps. J'avais dû être hospitalisé pour une péritonite. De retour à la maison, je me retrouvais seul toute la journée à ne pouvoir pas faire grand-chose d'autre que de surfer sur Internet, manger, me laver et attendre le passage de l'infirmière qui venait faire mes soins.
Un matin, alors que je venais de prendre mon petit déjeuner et de terminer de mettre la maison en ordre, je me dirigeais vers la salle de bains pour faire ma toilette lorsqu'on frappa à la porte. C'était la secrétaire de la boîte pour laquelle je travaillais. Elle était aussi la femme de mon patron. Une personne très gentille avec qui je m'entendais très bien. Avec les années une relation de confiance s'était installée entre nous. Je savais à peu près tout sur elle. Jamais il n'y avait eu la moindre ambiguïté dans nos rapports, qui se bornaient à être professionnels et amicaux. Elle était assez jolie, pas très grande, très mince, un joli petit fessier et une toute petite poitrine. Elle était tellement inquiète du fait que je me sois fait opérer qu'elle avait profité de l'occasion pour venir me rendre une petite visite. Je l'invitai donc à rentrer et m'excusai de la laisser quelques minutes seule pour aller passer des vêtement un peu plus décents (j'étais encore en pyjama). Elle alla donc s'installer dans le fauteuil et je me dirigeai vers l'escalier pour aller à la salle de bains. Je fis couler l'eau pour me laver et allai dans ma chambre chercher des vêtements et sous-vêtements.
Soudain elle me demanda si je n'avais pas besoin de son aide. Je lui répondis que non, qu'à part me laver les jambes et les pieds, le reste allait très bien. À ma grande surprise, elle me proposa alors de venir me les laver. Très gêné par la situation, je ne savais que répondre ; il y eut un silence qui ne dura que quelques secondes, car elle était déjà dans l'escalier. Je me retrouvai donc en caleçon devant la femme de mon patron. Pour beaucoup, cette position aurait été des plus choquantes mais, comme il n'y avait jamais eu le moindre sous-entendu scabreux entre nous, finalement ce n'était pas si différent que de me retrouver en maillot de bain sur la même plage qu'elle.
J'étais debout, appuyé au lavabo ; elle prit le gant de toilette, l'humidifia dans l'eau, mit du savon dessus et s'accroupit pour commencer à me laver pieds et jambes.
En remontant le long de ma jambe, son visage se retrouva à quelques centimètres de mon sexe. Je sentis monter une légère érection. Soudain, je ne sais pas si elle l'avait fait exprès, son visage heurta la zone intime qui était déjà légèrement sous pression. Le début d'érection se transforma en une belle et fière trique qui déformait allègrement mon caleçon. Je ne savais plus que faire, j'étais très gêné mais aussi très excité par la situation. Visiblement, elle savait exactement ce qu'elle faisait, elle était arrivée à ses fins. Moi, qui avais toujours cru que le sexe ne m'intéressait pas, je crois que je m'étais trompé. Elle finit quand même de me sécher les jambes. Sentir ses mains remonter le long de mes jambes entretenait la tension sexuelle, même si elle s'arrêtait à quelques centimètres de ce qui était devenu le centre d'intérêt.
À un moment, son menton frôla l'extrémité de ma verge tendue. Je ressentis ce contact, si bref fut-il, comme une décharge électrique, tant mon corps était tendu. Elle reposa enfin la serviette sur le rebord du lavabo et se tint debout en face de moi, me regardant dans le blanc des yeux mais sans prononcer le moindre mot.
Une bonne minute s'écoula sans qu'elle ni moi ne fissions le moindre geste.
C'est alors qu'elle me demanda de lui faire visiter l'étage. Je commençai donc la visite sans avoir pensé à remettre mon pantalon. Et me voilà dans le hall de nuit, en caleçon, avec la femme de mon patron. Je lui montrai le bureau, les chambres des enfants pour finir par la chambre conjugale.
Une fois dans cette chambre, elle s'assit sur le bord du lit et fit quelques commentaires sur la maison qu'elle trouvait très belle et très à son goût. Mon érection, qui quelques minutes plus tôt était indiscutable, était retombée. Je pensais donc qu'en fait c'était moi qui m'était trompé et qu'il n'y avait pas eu la moindre intention sexuelle dans cette toilette des jambes et des pieds. J'en fus encore plus gêné.
Je lui proposai alors de redescendre pour lui offrir à boire et me dirigeai vers la porte. Au moment où je passai devant elle, elle me stoppa, me fit pivoter pour se retrouver avec mon bassin juste en face de son visage, et d'un geste précis elle retira mon caleçon. Ma verge revint presque instantanément au garde-à-vous. Je n'eus pas même le temps de me rendre compte de quoi que ce soit, elle avait déjà commencé un long mouvement de va-et-vient le long de mon sexe. Elle me décalotta entièrement et revint lentement en serrant ma bite entre ses doigts. J'avais les yeux fermés pour profiter au maximum du plaisir qu'elle m'offrait.
Après quelques instant, je sentis une chaleur humide entourer mon gland : elle entamait une fellation. J'entendais le bruit de ma verge entrer et sortir de sa bouche, tant elle salivait dessus. Elle agrémentait le tout de tendres caresses sur mes fesses, sur mes testicules et la base de mon sexe. Sa langue entourait mon gland, s'attardant sur le prépuce et sur l'extrémité. Je ne savais que faire de mes deux mains. J'aurais bien voulu lui retirer son chemisier pour découvrir la petite poitrine qui s'y cachait et, qui sait, peut-être jouir sur ses seins. Mais j'étais bloqué debout devant elle.
Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement, j'étais au bord de l'explosion. Allais-je, sans la prévenir, lâcher dans sa bouche tout le sperme contenu dans mes couilles? Il faut dire qu'elle ne me laissait pas beaucoup d'autres choix vu que je ne savais rien contrôler et qu'elle ne lâchait pas mon sexe une seconde.
Le point de non-retour était presque atteint lorsqu'elle stoppa cette magnifique pipe. Elle retira son chemisier et son soutien-gorge, me laissant découvrir une poitrine qui n'était pas si menue que cela. Bien sûr, cela n'avait rien à voir avec la poitrine de mon épouse, mais j'étais pour l'instant loin de penser à elle. Elle ne disait toujours rien. Une fois son déshabillage terminé, elle reprit mon sexe dans ses mains et me fit comprendre que je devais m'asseoir à mon tour. Elle m'offrit ses seins à embrasser et me permit de jouer avec ses tétons. Elle les tint dans ses mains et les porta à mon visage avant de se mettre à genoux entre mes jambes pour reprendre sa fellation. Ce petit intermède avait permis de faire retomber la pression.
Je n'étais plus au bord de l'éjaculation, mais savais qu'il ne faudrait pas longtemps pour que l'orgasme soit à nouveau proche. Elle dirigea alors ma verge entre ses deux petits seins et me fit une branlette espagnole. Ce qui était marrant, c'est de savoir qu'elle était d'origine espagnole (peut-être est-ce dans ses gênes ?). Ce n'était pas ses seins qui me massaient le plus le sexe mais ses mains qui essayaient tant bien que mal de l'enrober. Ses tétons se dressaient fièrement au sommet des mamelons.
Je sentais déjà remonter la pression au bout de mon gland, l'orgasme était très proche. Elle accéléra la cadence au fur et à mesure, me donnant de petits coups de langue pour lubrifier mon membre. Après ces instants magnifiques, elle reprit tout en douceur sa fellation puis augmenta la cadence pour, cette fois-ci, me mener à l'orgasme. Elle ne garda que mon gland dans sa bouche et me masturba énergiquement jusqu'à ce que, dans un grand cri, je jouisse dans sa bouche.
De longs flots de sperme vinrent inonder sa bouche. Elle n'en perdit quasiment rien, juste quelques gouttes glissèrent des commissures de ses lèvres et descendirent le long de son menton. Elle avala tout ce que je lui avais donné et passa la main sous son menton pour récupérer les dernières gouttes. Elle continua de me branler machinalement, toujours sans dire le moindre mot, et caressa ses tétons dressés avec l'extrémité de mon gland encore gonflé par l'excitation.
J'avais des tonnes de frissons qui parcouraient tout mon corps. Elle ne disait toujours rien. J'avais bien envie que cela ne s'arrête pas, mais voulais aussi lui rendre le bonheur qu'elle venait de me donner. Cependant, la cicatrice située au bas de mon ventre m'interdisait de la pénétrer et même de me plier pour lui lécher le sexe. Elle se mit debout en face de moi qui étais toujours assis sur le bord du lit. Je lui déposai quelques baisers sur le bas du ventre et commençai à défaire son pantalon. Elle m'arrêta immédiatement et me dit qu'il était préférable d'attendre d'avoir repris toutes mes forces pour lui rendre le plaisir qu'elle venait de me donner. J'embrassai donc une dernière fois ses seins, m'attardant sur ses tétons avant qu'elle ne reprenne son soutien et son chemisier qu'elle remit assez rapidement avant de sortir de la chambre.
Une fois redescendu au rez-de-chaussée, je lui offris à boire. Puis nous avons discuté jusqu'à ce qu'elle prenne congé car elle avait encore des courses à faire. Elle me promit de revenir dans quelques jours me dire un petit bonjour (et peut-être plus si j'avais retrouvé des forces).
Le tournoi se terminait bien pour moi. Depuis mes débuts en badminton, c’était le troisième que je gagnai, mais le premier contre cette fille, Léana. C’était la joueuse la plus redoutée du circuit, encore jamais vaincue en finale.
Je n’étais pas peu fière d’avoir ébranlé aujourd’hui la statue de celle que beaucoup de joueuses craignaient de rencontrer, sur les terrains ou en dehors d’ailleurs. Cette fille était vraiment une teigne et mis à part son entraîneur de père et sa famille proche, bien peu nombreux étaient ses supporters.
Je me retrouvai bientôt seule avec Léana dans les sanitaires du gymnase. La salle s’était peu à peu vidée de ses spectateurs. Quelques bénévoles du club étaient encore occupés à ranger le matériel et je profitai de ce moment pour me délasser un peu sous l’ondée bienfaisante de la douche. Les yeux fermés, je savourai ma victoire sur la rude Léana.
Brusquement, l’eau froide me rappela à la réalité. J’ouvris les yeux pour apercevoir mon adversaire malheureuse en train de couper l’arrivée d’eau chaude. Elle lâcha le robinet pour me coller sa main sur la bouche. D’une poigne vigoureuse elle me bâillonna et me colla contre le mur carrelé. Surprise, je me laissai faire.
Etudiant en sciences, j'avais trouvé cette petite piaule juste en face de la fac. Pour moi, ce n'était pas vraiment le pied, car il s'agissait juste d'une chambre aménagée dans un sous-sol avec un lavabo.
Les WC et la douche étaient à l'écart, à l'autre bout du sous-sol. Comble du comble, je devais passer chez mes logeurs pour rentrer dans ma piaule. Inutile de préciser que je ne me sentais pas vraiment à l'aise, pas vraiment chez moi ! Interdiction de faire la cuisine, interdiction de recevoir des amis, interdiction de mettre de la musique. Cette chambrette n'avait qu'un avantage, celui d'être bon marché, mais je cherchais déjà ailleurs, cette solution n'était pour moi que très provisoire.
Mes logeurs étaient un couple d'affreux ringards. Lui, moustachu, amateur de foot, buveur de bière, il passait ses week-ends à lustrer sa voiture. Elle, femme au foyer, femme à lunettes, à l'aspect terne et sévère, elle passait tout son temps à faire la poussière. Chez eux, tout était nickel, les bibelots bien alignés sur la commode et le plancher soigneusement encaustiqué. Mis à part ça, ils avaient deux enfants, deux garçons 18-20 ans, pas spécialement sympathiques.
À cette époque, je draguais une étudiante, Sonia, avec qui je n'arrivais pas à conclure. Elle était venue une fois dans ma chambre, cela ne l'avait pas emballée. Juste quelques petits bisous, un touche-pipi et le pelotage en règle de sa grosse poitrine, puis elle s'en était allée. Ça pouvait se comprendre, quand on entend les chaises grincer sur le carrelage, juste à l'étage, ce n'est pas vraiment bandant !
Je me sentais donc un peu seul, je me branlais très, très souvent, plus d'un an que je n'avais pas fait l'amour avec une fille. J'étais amateur de revues érotiques, une partie de mon petit budget passait dans l'achat de presse masculine. Le soir venu, je m'astiquais la bite pendant des heures en feuilletant ces revues, retardant au maximum ma jouissance. Misère sexuelle, me direz-vous ? Misère sexuelle, oui. D'autant plus que j'appris un jour incidemment que Sonia faisait de même dans sa piaule à peu près à la même époque.
Un jour, je suis rentré beaucoup plus tôt que d'habitude, parce que les cours avaient été annulés et qu'il faisait trop chaud pour aller s'enfermer à la bibliothèque. Je suis rentré dans la maison en silence, j'avais bien sûr ma propre clef. J'allais descendre au sous-sol lorsque j'entendis des cris qui venaient de l'étage. Des cris et des voix d'hommes, ils devaient être plusieurs et ils riaient beaucoup. Très intrigué, je compris vite que les cris en question étaient des cris de jouissance et que ma logeuse s'envoyait en l'air. Mais avec qui ? Son mari travaillait à cette heure et il ne rentrait d'ordinaire qu'en fin d'après-midi.
J'étais figé en bas de l'escalier. Hors de question bien sûr de gravir les marches, car elles auraient craqué. Mais la curiosité était très forte. Je n'aurais jamais imaginé ma logeuse en train de s'envoyer en l'air dans le dos de son mari, surtout avec plusieurs hommes. Ils étaient deux, c'est certain. Avec le temps, je finis par reconnaître distinctement leurs voix, sans trop comprendre pour autant ce qu'ils étaient en train de dire. Au mieux, je devinais des « Elle est bonne cette salope » ou des « Elle aime la bite » et ma logeuse qui gloussait. Des ahanements très graves de mec en train de pilonner. « Vas-y Jeannot, troue-lui le cul »
Par la suite, il y eut des mouvements à l'étage et je compris qu'il était bientôt temps pour moi de me planquer. Je redescendis au sous-sol, bien décidé à voir de quoi avaient l'air ces deux baiseurs. Il me fallut attendre encore longtemps. Peut-être s'étaient-ils arrêtés dans la cuisine pour boire un coup, peut-être avaient-ils remis le couvert et étaient-ils à nouveau en train de pilonner ma logeuse ? Finalement, j'ai vu les deux types s'en aller, inconnus au bataillon, tous les deux en bleu de travail, un grand blond aux cheveux longs et à l'allure dégingandée et un maghrébin un peu plus vieux, mais d'allure plus solide. Tous deux plus jeunes que ma logeuse, un peu moins de la trentaine et tous deux plutôt beaux mecs, ma logeuse devait avoir des talents cachés pour lever de pareils étalons ! Ils s'engouffrèrent dans une camionnette garée de l'autre côté de la route et filèrent sans plus attendre.
J'allais regagner mes pénates, lorsque j'entendis la porte de l'escalier. Pas le temps de me planquer, juste le temps de faire croire que je revenais des chiottes.
- Ah, vous étiez là ?
Je crois que j'ai rougi jusqu'aux oreilles. J'ai répondu en balbutiant : prétextant un mal au ventre, j'ai expliqué que je n'étais pas allé en cours ce matin-là et que j'étais resté au lit toute la matinée... Elle m'a laissé raconter mes bobards et bien m'enfoncer :
- Pourtant, je vous ai vu partir ce matin. J'étais dans la cuisine quand vous avez pris le bus.
La honte ! Pris en flagrant délit de mensonge.
- Euh, je suis revenu juste après, j'avais trop mal.
L'explication ne tenait pas debout et elle n'était pas dupe. Elle était devant moi, impassible, l'œil sévère, et me barrait l'accès à ma piaule, apparemment bien décidée à obtenir des explications.
- Arrêtez un peu de mentir, je suis certaine que vous m'avez espionnée.
Je secouais la tête sans conviction.
- En plus, je vous ai entendu refermer la porte tout à l'heure, vous n'êtes pas très discret.
J'étais sans voix. Surtout lorsqu'elle enchaîna :
- Ecoutez, je vais vous dire la vérité : J'étais avec deux amants. Lorsque je peux m'envoyer en l'air avec deux jeunes hommes virils, je n'hésite pas une seule seconde. Vous savez, je suis comme toutes les femmes, j'aime baiser. Ça vous choque ? Ça vous étonne ?
Oui ça m'étonnait, ça m'étonnait vraiment qu'une femme qui aurait pu être ma mère, d'apparence froide et coincée, pour ne pas dire guindée, s'envoie en l'air comme une pute. Et ça m'étonnait encore plus qu'elle avoue ses forfaits, sans aucun regret, sans aucune pudeur, en me regardant droit dans les yeux !
Je rêvais depuis toujours de femmes chaudes et vicieuses, de véritables salopes, mes copines ne l'étaient jamais assez. Mais je ne les imaginais pas comme ça, pas sous l'apparence d'une mère de famille qui passe ses journées à faire la poussière. Comme je ne répondais toujours pas :
- Et puis vous savez, j'aime les étudiants, j'aime la jeunesse, j'adore les jeunes hommes très vicieux. Et si vous avez envie, vous aussi, de me baiser, vous savez, je n'ai rien contre, bien au contraire. Je peux être gentille, très gentille...
Je la regardais, comme un ahuri. J'avais quand même du mal à imaginer une partie de jambes en l'air avec elle. Avec ses grosses lunettes à double foyer, elle ressemblait à une de mes tantes, une femme acariâtre que j'avais en horreur. Plate comme une limande qu'elle était et fagotée comme une vieille femme, pas du tout mon style de meuf.
- Ne vous fiez pas aux apparences, je peux vraiment être très très gentille, enchérit-elle au bout d'un moment, et je suis, paraît-il, un bon coup... En plus, vous me plaisez. Alors si vous vous décidez, faites-moi signe.
Sur ce, elle tourna les talons et me laissa seul dans le sous-sol. Je regagnai ma piaule, assez perturbé par cette conversation. Ce n'était pas mon type de femme, mais c'est rare aussi de rencontrer une femme prête à baiser sur demande, ça mérite quand même réflexion. Et puis j'en avais marre d'attendre le bon vouloir de Sonia et marre de toutes ces jeunes filles compliquées qui commencent par vous psychanalyser pour une partie de jambes en l'air. J'étais jeune et viril, j'avais besoin de baiser.
J'ai sorti quelques revues que je planquais dans mes cours et je les ai feuilletées à la recherche d'une brune mature, à lunettes, et sans poitrine. Difficile à trouver, même dans les journaux d'annonces. Tiens, celle-ci ne correspondait pas trop mal à cette description. Beaucoup trop jeune peut-être, mais brune, presque plate et avec d'imposantes lunettes :
« Marie-Paule, brune 32a, mariée, ch h poilu pour a-m à l'hôtel, imberbes s'abstenir, rapports protégés exigés, pluralité bienvenue. Réponse assurée si photo envoyée »
Les femmes mariées à lunettes étaient-elles toutes des salopes ? Et ma logeuse ne s'appelait-elle pas Marie-Paule ? Non, ce n'était pas Marie-Paule, mais un nom composé dans ce style là, je crois bien Marie-Pierre. Etrange coïncidence quand même. Sur ce, je sortis ma queue et entrepris de me branler en reluquant Marie-Paule. J'imaginais cette salope en train de s'envoyer en l'air l'après-midi dans des hôtels miteux avec d'illustres inconnus, poilus comme des ours. Avec moi ça n'aurait pas marché, j'étais quasiment imberbe. Je l'imaginais rentrant chez elle, couverte de sperme, faisant une bise à son mari cocu jusqu'à l'os.
Pour Marie-Pierre cela devait être un peu pareil, son mari était un rustre, il devait la baiser à la va-vite, à la hussarde, le temps de se vider les couilles dans bobonne, et bobonne était pleine de sperme, mais complètement insatisfaite, elle avait besoin d'autres bites pour prendre son pied. Bien compréhensible après tout. Sauf que bobonne avait de très grosses envies cachées, elle ne pouvait se contenter d'un seul amant, elle avait besoin d'essayer plein de bites.
Marie-Paule, Marie-Pierre, deux cochonnes binoclardes qui devaient aimer sucer des bites et se faire gicler sur les carreaux. Je me suis branlé bien à fond en pensant à elles et j'ai craché sur le balatum un gros tas de foutre.